Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Par ailleurs, ce système requiert de nombreuses procédures afin de cadrer le travail des
salariés et le fonctionnement de l'entreprise.
Ce n’est pas un modèle parfait car plusieurs facteurs vont avoir un impact sur l’organisation :
La division entre styles directifs basés sur la contrainte en vu d’obtenir la performance ou
basé sur le style en vue de parvenir à la performance, ne reflète pas la réalité du monde du
travail bien plus complexe. Car le style de management se caractérise par la manière dont le
dirigeant partage le pouvoir et donc les prises de décisions.
Le style de management du dirigeant va dépendre de son éducation, sa formation, son
environnement, ses objectifs et parfois le fait qu’il soit vraiment le créateur de l’entreprise.
Le contexte de l’entreprise dépend de sa taille au plus elle est petite le dirigeant va garder le
pouvoir on est dans les PME/TPME. Mais dans les entreprises ou la taille est importante, la
on va avoir des manageurs salariés, lorsqu’elles sont importantes on va avoir des décision
décentralisées.
B. Les différents types de structures managériales
Les structure managériale mise en place dans l’entreprise reflète les choix effectués en
matière d’organisation, en matière de spécialisation des fonctions, en matière de coordination
des taches et on va formaliser ses structure sous la forme d’un organigramme. Ils sont le reflet
synthétique de notre organisation
Définition : La structure se définie comme une combinaison d’éléments et de mécanismes qui
visent à répartir, coordonner mais aussi contrôler les activités de l’entreprise afin d’atteindre
avec efficacité les objectifs stratégiques. La structure permet d’identifier les différentes
fonctions mais également ces niveaux de managements.
En termes de management, il conviendra de distinguer le management stratégique réservé à
l’équipe de direction qui prend les décisions structurante de l’entreprise, du management
intermédiaire qui a principalement la charge de mettre en œuvre ou d’exécuter les décisions
du management stratégique.
4 types de structures managériales :
Structure simple : Le dirigeant est en contact direct avec l’ensemble de ses salariés. Il y a
unicité de commandement : c’est le dirigeant qui seul donne les ordres.
Structure fonctionnelle : Les activités de l’entreprises sont regroupées par fonctions et placée
sous l’autorité d’un responsable. Il y a une pluralité des commandements et les salariés
peuvent recevoir des ordres de plusieurs responsable.
Structure divisionnelle : L’entreprise est découpée en divisions autonomes dirigées chacune
par un responsable unique. Elle est organisée par division, qui produisent des biens ou des
services parfois différents. Chacune de ces divisions est un centre de profit, ce qui va lui
conférer une autonomie en termes de gestion, en termes budgétaire, en termes
d’investissement. Cette structure autonome rendra des comptes a la direction générale. Elle
pourra faire l’objet de la création d’une personne morale. Elle offre une autonomie des
salariés. Dans les grands groupes c’est une structure qui peut engendrer des redondances de
certains postes.
Structure matricielle : Chaque salarié se trouve sous la responsabilité ou d’une fonction et
d’un chef de division ou de projet. Il y a une dualité de commandement.
Structure par projet : La structure par projets organise l'entreprise dont l'activité a un caractère
non répétitif (grands travaux, ingénierie complexe, production de films...). Des équipes
temporaires sont dédiées à un projet et dissoutes une fois qu'il est achevé. Le produit ou
service est conçu et réalisé afin de satisfaire un besoin unique. Cette structure peut être mise
en place parallèlement à une organisation stable ayant une activité plus récurrente. Le
dirigeant doit avoir la capacité de manager efficacement des opérations à durée déterminée.
La structure par projets est l'une des formes de structures d'organisation de l'entreprise
(structure matricielle, structure en réseau, etc).
Cette forme de structure par projets s'est développée dans les grandes entreprises
industrielles pour créer de nouveaux produits ou mettre en œuvre des investissements lourds.
Elle s'est développée ensuite à travers les partenariats et les alliances, notamment pour la
conception et la mise au point de services (informatique, téléphonie, banques...
II. Le rôle des différentes parties prenantes et les contrepouvoir.
B. Les contrepouvoirs
Définition contre-pouvoir : un groupement organisé agissant pour limiter le pouvoir d’un
décideur.
Un contre-pouvoir fait référence à un mécanisme, institutionnel ou non, qui s'oppose à
l'exercice arbitraire ou abusif du pouvoir. Il peut prendre plusieurs formes, telles que des
médias indépendants, des ONG, des organisations de défense des droits de l'homme, des
syndicats, des partis politiques d'opposition, des tribunaux, des organismes de contrôle ou de
régulation, etc. L'objectif d'un contre-pouvoir est de contrôler, équilibrer ou restreindre la
concentration de pouvoir et de prévenir les abus de pouvoir en favorisant la transparence, la
responsabilité et la protection des droits fondamentaux.
C. La RSE et la démarche des parties prenantes
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) est une démarche volontaire des entreprises
visant à prendre en compte les enjeux sociaux, environnementaux et économiques dans leur
stratégie et leurs activités. Elle consiste à intégrer les préoccupations des parties prenantes
dans la prise de décision et à contribuer au développement durable.
La démarche des parties prenantes est quant à elle un processus par lequel les entreprises
identifient, évaluent et dialoguent avec les parties prenantes concernées par leurs activités.
Les parties prenantes peuvent être internes (ex : salariés, actionnaires) ou externes (ex :
clients, fournisseurs, ONG, communautés locales) à l'entreprise. Cette démarche permet
d'identifier les attentes et les besoins des parties prenantes, d'anticiper les risques et
d'identifier de nouvelles opportunités.
La RSE et la démarche des parties prenantes sont complémentaires et interdépendantes. La
RSE permet de répondre aux attentes et aux besoins des parties prenantes, tandis que la
démarche des parties prenantes permet d'identifier les enjeux prioritaires pour l'entreprise. En
intégrant les parties prenantes dans sa stratégie, l'entreprise peut améliorer sa performance
économique, sociale et environnementale, et contribuer au développement durable de la
société.