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Un processus correspond à un ensemble d'activités reliées entre elles par des flux
d’informations et des flux physiques qui se combinent pour fournir un produit défini. Le
fonctionnement d’une entreprise repose sur un ensemble de processus aux interactions
permanentes. C’est à l'occasion de ses processus que les ressources et compétences
disponibles se combinent et s’articulent pour donner naissance à un produit ou un service
issu de l'activité de production. L’association française de normalisation (AFNOR) distingue:
Les parties prenantes peuvent jouer un véritable rôle de contre-pouvoirs à l’égard des
dirigeants de l’entreprise. En cherchant à faire valoir leurs intérêts propres ou en contestant
certaines positions des dirigeants, les parties prenantes vont tenter de peser sur les
processus mis en œuvre par les dirigeants de l’entreprise. Ceci devront alors arbitrer entre
les attentes souvent contradictoires des différentes parties prenantes, le but étant d’obtenir
la collaboration de tous. Il en est ainsi de la prise en compte de la RSE que l’on peut définir
comme “l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises
à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes.
Edith PENROSE
Les ressources se définissent comme l’ensemble des moyens dont l’entreprise dispose
qu’elle contrôle et qu’elle peut engager pour créer de la valeur au sein de son activité. Elle
constitue un stock dans lequel peut puiser en fonction de ses besoins, au niveau des
ressources on doit beaucoup aux travaux et aux classements d’Edith PENROSE.
Peter DRUCKER
Selon Peter Drucker, “si la meilleure structure ne constitue pas une garantie de succès et de
performance, la mauvaise structure , elle, est la garantie de résultats nuls”. C'est-à-dire
l’importance de bien répartir les tâches entre les différents acteurs et services de
l’entreprise. Il existe trois manières de procéder à un tel découpage de l’activité:
➢ par fonction (administration, production…) dans une logique taylorienne (un homme
un geste et salaire au rendement + je produis + je gagne)
➢ par division (par secteur géographique, par marché)
➢ en combinant les deux premières (fonctionnel et divisionnel)
Il n’existe pas de modèle universelle, tout dépend du contexte et il est nécessaire que la
structure choisie y soit adoptée. D’autres structures dites post-industriel émergent surtout
par projets, en réseaux. Elles seraient plus adaptées aux contraintes actuelles internes (cela
correspond à la génération Z plus réactive face aux turbulences externes et plus à même de
valoriser l’autonomie et l’esprit d’entreprise.
Henry MINTZBERG
Le découpage de l’activité fait courir le risque d’une perte de cohérence globale. C’est
pourquoi on associe au découpage la mise en œuvre de mécanismes de coordination.
Selon Henry Mintzberg, un certain nombre de mécanismes permettent aux organisations de
coordonner leurs travails:
Rensis LIKERT
Diriger c’est obtenir un résultat par d’autres que soi ce qui implique notamment d’anticiper
l’avenir, de diagnostiquer les problèmes internes, de définir la structure de responsabilité ou
encore de coordonner le travail. Le dirigeant ou leader va pour se faire devoir définir le rôle
qu’il entend tenir au sein de la firme et la place qu’il entend laisser aux salariés, il s’agit pour
le leader de trouver un équilibre entre autorité (qu’il exerce) et autonomie (qu’il accorde aux
salariés). Il existe de nombreuses typologies de management, Rensis Likert recense 4 styles
de direction: