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CHEMAA
I/ INTRODUCTION :
L’air que nous respirons, à l’extérieur comme à l’intérieur des locaux, l’eau et
les aliments que nous ingérons, le bruit auquel nous sommes exposés, influent de
manière plus ou moins directe sur notre santé.
1- La santé :
2- La santé environnementale :
3- L’environnement :
4- L’exposome :
Les contaminants biologiques, appelés aussi agents pathogènes, tels que les
champignons, les bactéries, les virus, les parasites. On peut y associer les
vecteurs responsables de la transmission d’agents pathogènes à l’homme et à
l’animal tels que moustiques, rats… ;
Les contaminants chimiques tels que les métaux lourds, les hydrocarbures ou
les dioxines,… ;
Les contaminants physiques : les rayonnements ionisants, les rayons
ultraviolets, les champs électromagnétiques, le bruit et les températures
extrêmes (froid, chaleur).
La pollution de l'eau, de l'air, des sols, les habitats vétustes ou les conditions
de travail dangereuses sont à l'origine de multiples pathologies.
Les polluants et leurs dérivés peuvent avoir des effets nocifs en altérant, par leur
interaction, des molécules essentielles aux processus biochimiques ou
physiologiques du corps humain. Trois facteurs agissent sur le degré de toxicité de
ces substances : leurs propriétés chimiques et physiques, la dose de polluant qui
atteint les zones tissulaires clés et la réaction de ces tissus au polluant.
Les conséquences des polluants atmosphériques sur la santé peuvent aussi varier
selon les groupes démographiques ; les jeunes et les personnes âgées, en
particulier, sont souvent sensibles à leurs effets délétères. Les personnes ayant déjà
de l’asthme ou une autre affection respiratoire ou cardiaque peuvent, si elles y sont
exposées, connaître une aggravation de leurs symptômes.
1. Maladies cardiovasculaires :
2. Les cancers :
4. Les allergies :
5. L’hypersensibilité environnementale :
Cette loi a pour objet la mise en œuvre d'une politique nationale de protection
de l'environnement dans le cadre du développement durable. Elle fixe les principes
fondamentaux et les règles de gestion de l'environnement : la protection, la
restructuration et la valorisation des ressources naturelles ; la restauration des
milieux endommagés, la prévention et la lutte contre toute forme de pollution et
nuisance ; l'amélioration du cadre et de la qualité de la vie, la promotion de
l'utilisation rationnelle des ressources naturelles disponibles.
Cette loi a pour objet la mise en œuvre d'une politique nationale de protection
de l'environnement tendant : la protection, la restructuration et la valorisation des
ressources naturelles ; la prévention et la lutte contre toute forme de pollution et
nuisance ; l'amélioration du cadre et de la qualité de la vie.
CONCLUSION :
Il est souhaitable de mobiliser des outils scientifiques pour mieux connaitre les
risques sanitaires liés à l’environnement afin de les maitriser dans une optique de
développement durable.
BIBLIOGRAPHIE :
Un volume sonore important rendait l’amygdale cérébrale plus active. Or, cette zone du cerveau est
impliquée dans les processus de stress, d’anxiété et de peur. Lorsqu'elle est stimulée, elle entraîne
donc un excès de production d'une hormone, le cortisol, délétère sur le long terme sur la santé. Par
ailleurs, l’excès de bruit augmente le risque d’inflammation des artères et donc le risque de maladie
cardiovasculaire.
Ces études chez l’homme et l’animal sont concordantes et indiquent que l’élévation du taux nocturne
de cortisol peut avoir des conséquences sur le système cardio-vasculaire, telles que l’élévation de la
fréquence cardiaque et de la pression artérielle, ou encore des troubles du rythme cardiaque
Le développement durable est l’idée que les sociétés humaines doivent vivre et répondre à leurs
besoins sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.