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Le FMI annonce une hausse de 10 % des prix du pétrole ce qui réduirait la production mondiale de 0,4
%. Il affirme également que cela entraînerait une augmentation de l'inflation mondiale de 0,4 .%

Pierre Gourinchas économiste au FMI, a déclaré aujourd'hui, mardi, que les documents de recherche du
FMI indiquent qu'une hausse de 10 % des prix du pétrole entraînera une baisse de la croissance
mondiale d'environ 0,2 % l'année prochaine, en plus d'une hausse de l'inflation mondiale de 0,4 %. Les
prix du pétrole ont également légèrement baissé aujourd'hui, après avoir augmenté de plus de 4 % lors
de la dernière session, alors que les marchés évaluent la possibilité d'une perturbation des
approvisionnements en raison de la poursuite du conflit israélo-palestinien.

Dans une note adressée à ses clients, la banque Goldman Sachs a déclaré qu'elle ne prévoyait aucun
impact majeur immédiat sur les stocks du marché pétrolier à court terme en raison des affrontements
entre la Palestine et Israël. L'offensive du Hamas contre Israël a entraîné une hausse des prix du pétrole,
les marchés évaluant un élargissement du conflit au Moyen-Orient.

Par la même occasion Goldman Sachs a déclaré qu'il continue de prévoir que le prix du brut Brent
atteindra les 100 dollars d'ici juin 2024, notant qu'à ce stade il n'y a eu aucun impact sur la production
mondiale.
Le monde d'aujourd'hui est plongé dans une effervescence économique qui défie toute comparaison avec les
archives économiques du siècle dernier. C'est une époque de tumulte, où les forces convergentes ont donné
naissance à une inflation qui défie toutes les conventions de la vision économique classique. Les politiques
monétaires, autrefois considérées comme des balises sûres, sont maintenant ébranlées, laissant planer le doute
sur leur capacité à maîtriser les soubresauts économiques. Les politiques démesurées déployées pendant la crise
de la COVID-19 ont laissé des séquelles indélébiles dans les économies majeures, laissant derrière elles des
cicatrices profondes et douloureuses.

Les économies du monde entier sont actuellement en proie à des secousses, avec en tête de file l'économie américaine,
déclinant de manière inexorable par étapes. Les prévisions quant aux prix futurs restent voilées de mystère aux yeux des
experts, et cela s'explique par l'affaiblissement manifeste des retombées des politiques économiques sur les citoyens et les
divers secteurs économiques. L'inquiétude grandit quant à la capacité des politiques monétaires, véhiculées par des taux
d'intérêt, à influencer positivement la situation.
Les tumultes géopolitiques ajoutent une couche d'incertitude, faisant naître de véritables préoccupations quant à
l'avenir. Le modèle économique est en pleine métamorphose, s'éloignant du passé tant dans sa nature que dans
ses comportements, rendant tout parallèle historique incertain. La gestion des anticipations économiques est
devenue un exercice complexe, malgré une reprise qui, bien que laborieuse et déséquilibrée, s'annonce. Une
croissance dont la moyenne était de 3,8 % au cours des deux dernières décennies est censée se stabiliser à 3 %
d'ici 2024, mais dans cette ère de bouleversements, même ces prévisions sont à prendre avec une extrême
prudence.
Selon certaines estimations du Fonds monétaire international, les pertes résultant des chocs successifs de
l'année 2020 ont atteint 3,7 billions de dollars jusqu'en 2023, après que le produit intérieur brut mondial ait
dépassé les 100 billions de dollars.
Tous les indicateurs économiques clés aux États-Unis, en Europe et au Japon demeurent dans une zone grise en
2024, en étroite corrélation avec les prévisions du FMI. Les moteurs de croissance des économies émergentes
sont entravés par des facteurs économiques complexes tels que le niveau de la dette et les répercussions de la
hausse des taux d'intérêt, dont les estimations suggèrent qu'elles ne se calmeront pas avant d'atteindre 8 %. Une
perspective de détente semble loin d'être envisageable.
À la fin de cet article, une question cruciale persiste : quelles sont les nations qui émergeront indemnes, voire
positives, de la situation économique actuelle ? Pour les producteurs de pétrole, la chance semble être de leur
côté pour faire face aux défis, car l'inflation mondiale alimente positivement les prix du pétrole de manière
constante. De plus, les pays ayant une dette minimale et une diversification économique complexe sont mieux
positionnés. En revanche, les économies émergentes avec des niveaux de dette dépassant 80 % de leur PIB se
retrouveront probablement dans la tourmente, confrontées aux crises économiques liées aux taux de chômage
élevés et aux faillites d'entreprises. Le jeu des taux d'intérêt est réservé aux grands acteurs, tels que les
Américains, les Européens et les Japonais, et seules les nations riches en ressources semblent pouvoir rivaliser
en 2024.
Laissez-moi vous présenter le dernier chef-d'œuvre de la politique :

Prétendre être la championne incontestée de la non-nationalité et du rejet de toute idée divine. La politique, ce convive
indésirable à la table des négociations, où l'intérêt public ressemble étrangement à des intérêts personnels persistants, au
détriment des malheureuses victimes de la guerre et de l'économie du pays occupé, qui, pour notre plus grand regret,
semble destiné à rester éternellement arabe !

Ah, la politique dans les pays arabes, un terrain de jeu préféré pour toutes les expérimentations, qu'elles soient religieuses
ou militaires, tout cela sous le regard attentif de l'ensemble de la galerie !

Ah, la politique, ce génie incompris, une véritable énigme drapée derrière son voile d'ignorance, de racisme, d'oppression
et de violence envers l'histoire et l'humanité. Quand on jette un coup d'œil sur le passé, qu'il soit ancien ou récent, on
réalise à quel point la politique était une œuvre d'art macabre, où le monde et l'ignorance étaient assassinés de manière
créative. Eh bien, personne n'a le droit de protester ou de s'opposer, sinon cela risque de déclencher une conspiration ou
une vendetta !
Ah, la politique, cet éminent champ d'étude, une méthodologie suivie par les nations pour le bien public, évitant tout
dommage économique et historique. Cependant, ce que nous voyons ressemble davantage à une répression effrayante,
cachée derrière un scénario qui vous fait vous demander quel est le vrai visage de ces relations qui semblent instables et
peu tolérantes devant la caméra. Chacun arbore un sourire éclatant et fait des promesses de renversement !
Les ennemis se cachent dans l'ombre, et devant le public, c'est une représentation lamentable, comme s'ils étaient les plus
médiocres à avoir jamais atteint des postes de pouvoir. Une stupidité minutieusement orchestrée transparaît sur leurs
visages lorsqu'on les interroge sur la situation du pays ou leur avis sur un pays voisin, traité comme un adversaire !
La politique requiert perspicacité, intelligence, une personnalité expérimentée, et parfois même une touche militaire sur le
terrain. Elle exige une personnalité solide, quelqu'un doté d'intelligence sociale et du talent de l'éloquence. La politique
est à la fois un art et une science, bien loin de la farce qui se déroule actuellement. Dans chaque nation, qu'elle soit arabe
ou étrangère, la plupart de ceux qui l'ont dirigée avec un certain succès et ont contribué à la stabilité du pays ont adopté
une approche modérée, une mentalité quelque peu patriotique.
Certains ont été contraints de prendre une décision ou d'adopter une idée pour assurer leur place sur l'échiquier du
pouvoir. Dans le monde politique, il n'y a ni amis ni amants, car à chaque incident d'assassinat, une femme émerge de
manière déformée, presque comme un appât. Des langues nombreuses et encore plus de caméras tournent autour de la
personnalité du moment, suscitant une multitude d'opinions et d'histoires. Une nouvelle version apparaît alors pour une
autre figure, et des pays étrangers, sans aucun intérêt légitime, interviennent. Tout cela sous prétexte de corriger la
trajectoire !
Leurs pouvoirs s'étendent, leur influence domine la situation, et vous finissez par entendre parler de leur occupation de ce
pays. Les véritables motivations restent cachées, mais une chose est certaine : rien n'est ce qu'il semble être dans ce jeu
politique complexe !
Ce qui se passe pour les musulmans en Inde et dans d'autres pays crée un profond ressentiment dans l'esprit du public,
loin de l'identité religieuse, générant une colère profonde et un engagement total en faveur de l'humanité. Nous avons
besoin de la politique pour vivre en paix, pas pour mourir au nom d'ambitions personnelles sans fin !!
La politique est devenue effrayante dans son utilisation et son application. Elle est devenue une faille profonde, et son
prix est la parole. La plupart de ceux qui ont parlé pour l'intérêt public sont devenus des oubliés de l'histoire !
Quand je vois la patience de l'araignée en construisant sa toile et son dévouement dans cette entreprise, je me demande
pourquoi nous les voyons sous cette image dans une grande toile. Au début, c'est une question de soumission et d'adopter
la politique du troupeau, et à la fin, c'est l'effondrement de tout ce qui est passé à travers leur filtre gustatif !
La politique, autrefois un crime secret, est devenu une affaire publique, enlevant qui elle veut et élevant qui elle veut.
Ainsi, elle est maintenant la décision principale dans tout !
Même ce que nous entendons et lisons n'est rien d'autre qu'une illusion politique. Derrière tout cela se cache une mentalité
figée et une volonté de s'approprier tout ce qui a de la valeur de toutes parts. Des nations disparaissent et d'autres
prospèrent, chacune ayant sa part de cette mentalité qui ne croit qu'en la mort ou en l'obéissance !
Des rois ont été assassinés, des savants ont été tués, des hommes de religion ont été emprisonnés, des nations ont été
détruites, et des monuments historiques ont été défigurés. Finalement, nous trouvons un clown qui donne un discours sur
la politique et la démocratie, promettant au spectateur de vaincre l'ennemi !
Même si nous voulions écouter son discours, il est vide, son esprit est dérangé, et la folie de la grandeur le
domine ! Un tel clown, qui émet des jugements, donne des ordres, décide de détruire les religions, crée une
narration d'un seul pays et un destin unique, prétend lutter pour rendre l'avenir excitant... !
Affirmer que ce que nous voyons est de la politique reviendrait à prétendre que le diable est un ange pur !
La Déclaration Balfour... Plus d'un siècle d'atteintes aux droits de l'homme.

Le 2 novembre 1917, la Déclaration Balfour voit le jour, trahissant une série de paradoxes. En un geste historique, la
Grande-Bretagne s'engage à établir une patrie nationale juive en Palestine, dédaignant ainsi les réalités historiques,
religieuses et la présence préexistante du peuple palestinien. Une promesse qui cristallise un déséquilibre profond,
considérant les Juifs comme une minorité religieuse, en dépit des faits tangibles dépeignant une population palestinienne
enracinée depuis des générations.
Au cœur de cette déclaration se tisse un lien étroit avec l'accord de Sykes-Picot, formant ainsi les fondations d’un
nouveau mandat. Les ravages de la Première Guerre mondiale et l'effondrement de l'Empire ottoman se conjuguent pour
donner naissance à cette nouvelle donne politique et territoriale.
Il y a plus d'un siècle, une simple déclaration a été émise, mais ses répercussions continuent de résonner aujourd'hui au
Moyen-Orient. La Déclaration Balfour, énoncée il y a 105 ans, est bien plus qu'un simple morceau de papier ; elle a
sculpté un nouveau visage pour la région, laissant derrière elle une traînée d'effets qui perdurent.
En novembre 1917, cette déclaration britannique à destination du mouvement sioniste semblait être une simple
correspondance politique. Cependant, elle s'est rapidement transformée en une entité qui a façonné l'avenir du Moyen-
Orient. Une promesse qui a pris vie grâce aux efforts des partisans du sionisme au sein du gouvernement britannique,
avec des figures telles que le ministre des Affaires étrangères Arthur Balfour et le Premier ministre Herbert Samuel.
Bien que la Déclaration Balfour demeure le cadre historique incontournable du colonialisme sioniste en Palestine, la
Résolution de l'ONU numéro 181 s'est également imposée comme un acteur inévitable dans cette saga d'un siècle. Un
siècle marqué par des transformations, des défis et des conséquences qui continuent de façonner la région aujourd'hui.
Dans une formulation officielle, les Nations Unies ont émis la Résolution 181, une feuille de route internationale visant à
mettre fin au mandat britannique en Palestine et à former de nouvelles entités politiques. La planification dessine un
avenir complexe pour la région, avec une division du territoire selon les détails suivants :
1. État Arabe : S'étendant sur une superficie d'environ 4 300 miles carrés (11 000 km²), elle englobe le Jiljel Al
Gharbi, la ville d'Acre, la Cisjordanie et la côte sud s'étendant du nord d'Asdod jusqu'à Rafah, avec une partie du
désert le long de la frontière avec l'Égypte.
2. État Juif : Couvrant une superficie d'environ 5 700 miles carrés (15 000 km²), elle inclut la plaine côtière de
Haïfa au sud de Tel Aviv, la partie orientale du Jiljel comprenant le lac de Tibériade et le doigt du Jiljel, ainsi que
le Néguev, y compris Eilat actuelle.
3. Jérusalem, Bethléem et les zones avoisinantes : Placées sous tutelle internationale, ces régions comprennent des
sites religieux et historiques cruciaux.
Cette résolution, adoptée par les Nations Unies, redessine les frontières de la région et stipule l'administration unitaire des
lieux saints et historiques.
La contradiction ici réside dans le fait que l'État qui a accordé aux Juifs une patrie nationale a refusé de voter en faveur de
cette résolution. Depuis lors, l'injustice historique s'est abattue sur le peuple arabe palestinien, les privant de tous leurs
droits. Cette décision a entraîné le gaspillage et la violation des droits des citoyens palestiniens dans la détermination de
leur destinée.
L'occupation sioniste a été encouragée à commettre des crimes et des massacres en flagrante violation des accords
internationaux sur les droits civils et politiques ainsi que d'autres instruments internationaux en matière de droits de
l'homme. Le régime d'occupation a délibérément ignoré le système international des droits de l'homme, estimant qu'il
n'était pas lié par ses dispositions et se considérant en dehors de la loi.
Une violation flagrante de cette résolution aujourd'hui est la délimitation actuelle des frontières de l'occupation, qui
dépasse largement la superficie qui lui avait été initialement attribuée selon le plan de partition établi par les Nations
Unies en 1947. Ce faisant, cette résolution est souvent utilisée pour fournir une base juridique à l'existence de l'entité
occupante.
Les frontières actuelles de l'entité sioniste violent la Charte des Nations Unies, qui interdit l'annexion de territoires par la
force, considérée comme l'une des bases permettant l'intervention du Conseil de sécurité en vertu du Chapitre VII de la
Charte pour le maintien de la paix et de la sécurité internationales. De plus, c'est l'un des crimes relevant de la compétenc e
de la Cour pénale internationale, bien que sa définition n'ait pas encore été pleinement mise en œuvre.
L'implantation de colonies est également considérée comme un crime de guerre, stipulé à l'article 49 de la Quatrième
Convention de Genève, ainsi qu'à l'article 8, paragraphe 8, du Statut de Rome établissant la Cour pénale internationale.
Après cent cinq ans depuis la Déclaration Balfour, où se situent les droits de l'homme dans tout cela ? Malheureusement,
la réponse est claire : ils n'ont absolument aucune place dans les projets des puissances coloniales et des entreprises de
peuplement. Ils cherchent toujours à présenter ces crimes comme civilisés et légaux. La Grande-Bretagne a tenté de
camoufler diplomatiquement son crime, jetant la question de la Palestine dans les bras des Nations Unies, qui ont succédé
à la Société des Nations, après avoir rempli la Palestine de migrants juifs et formé leur armée.

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