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TD Socio

Séance 2 : La rupture avec les prénotions 2


Séance 3 L’analyse des faits sociaux 3
Durkheim : Le suicide 3
Mauger, Pour une sociologie de la sociologie 4
Séance 4 : Analyse relationnelle des faits sociaux 6
Elias, qu’est-ce que la sociologie 6
Bourdieu, Questions de sociologie 7
Séance 5 : L’analyse socio-historique des phénomènes
politiques 9
Texte de Garrigou 9
Texte sur Elias, La société de cour 10
Séance 6 : La domination 13
La domination légale rationnelle 13
La domination traditionnelle 14
La domination charismatique 14

rebecca.guez.pro@gmail.com

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Séance 2 : La rupture avec les prénotions
L’esbl des êtres sociaux ont des prétentions. L’hypothèse vient après la prénotion.
À ne pas confonde avec une hypothèse. Il faut une théorie pr faire une hypothèse.

! DURKHEIM Emile, Les règles de la méthode sociologique, Paris, Flammarion,


2009, p. 23-40.

Préface de la 2nd edition. Réponse à ts les critiques. Il dé nit l’objet de la sociologie


premièrement. Il s’inscrit ds un contexte où il a l’ambition de devenir la sociologie
scienti que (fait de règles strictes pr défendre). Une discipline revendique tirs un
new objet spéci que et une méthode propre. Il y avait d’autre visions de la scie à
son époque → D a gagné.

Il dé nit les faits sociaux → en des manières d’agir, de sentir et de penser extérieur
à l’individu et quo sont doués d’un pouvoir de coercition auquel duquel il s’impose

Page 102 règles de la méthode sociologique

Le langage est un fait social car elle est à l’extérieur de nous. Les mots ns
préseddent. Le langage est coercitive, on ne peut pas communiquer ss lui.

Manger → fait social car on mange d’une certaine manière.

Le fait social est sui généris (de son propre genre). La totalité du fait social n’est pas
réductible à la somme de ses partis. Si on veut comprendre le fait social on ne peut
pas partir de l’individu car ils ont pas de cs de fait soc auquel ils participent. On doit
de partir de global pr analyser individuel.

Durkheim sous Pôle déterministe → les individus st déterminés par des facteurs qui
les poussent à agir et penser de telle manière. Holisme → la méthode de
déterministes.

Selon Durkheim faut se détacher de tout (même si on connait faut faire genre qu’on
en connait pas) et puis revoir les méthodes si il ne marchent pas.

Faut étudier des faits sociaux comme des choses. Qd les fais sociaux ext à nous on
ne les in uence pas, ils sont durs avec une consistance. On ne peut pas
comprendre le corps humain par la seule attitude morale.

Page 10 → faire la sociologie qu’en comparant. Durkheim reagrde la totalité pr


regarder l’individualité.

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Séance 3 L’analyse des faits sociaux

DURKHEIM : LE SUICIDE
Durkheim : Le tout dépasse la somme des individus → ce qu’il l’intéresse c’est la
société car c’est elle qui détermine des individus.

Il prends le suicide car le suicide donnne les explication psychologisantes, très


individuelles. Il regarde les tableaux de taux de suicide → méthode statistique. Il
observe que d’une année à l’autre ds la société il y a le même nb de suicides. Cette
méthode de s’appuyer s/ les chi re et les comparer d’un année à l’autre, il l’appelle
une méthode de variations concomitantes. (On appele today les corrélations).

Méthode des variations concomitantes : si 2 phénomenes prennent des valeurs


identiques alors c’est qu’il existe une relation entre eux.

Ex : plrs études sociologiques ont démontré que le niveau scolaire d’enfants est en
lien et dépends de leur origine sociale. On le démontre par des comparaison de
di érentes statistiques des indicateurs (éco, niveau d’étude etc). Si on constate les
2 tableaux on constitue une variable. On compare les notes d’enfants au niveau de
diplôme des parents. Si évolution ds la même manière on voit qu’il y a un lien.

Durkheim dit que puisque le suicide se repdroduit chaque année ce n’est pas un
hasard. QQ fait cette reproduction?

Durkheim prends les données de plrs suicides ds plrs pays européen entre 184-70.
En prenant de ce tableau il se rends compte : hommes se sucide + que les femmes,
+ l’été qu’hiver, + jour que la nuit, + la semaine que le weekend.. + célibataire que
marié, par contre si pas bébé + chance de suicide (d’où + suicide des hommes).
Les protestans + que Catho. Les catho + que juives. Ds express° de la foie les
protestants font usage d’un certain libre arbitre, ils sont plus individuels avec le dieu
(que les chrétiens et juives). C’est ds les moments où la vie sociale est la + intense.

Il observe que ds chaque contstat il y a une explication sociale. On explique le


suicide par d’autres facteurs sociaux.

Durkheim établi une grille d’intérprétation de plrs catégories de suicides.:


• Suicide altruiste : extrêmement intégré socialement et c’est le poids des
normes intériorisées qui le pousse à se suicider.
• Suicide égoïste : les règles sociales ne vous permettent plus d’être intégré,
vous devenez marginalisé.
• Suicide anomique : façon dont une société a la capacité de proposer des
normes et valeurs assez intégratrices pour englober tout le monde. L’anomie
explique la grande vague de jeunes radicalisés → normes et valeurs ne
permettent pas de se sentir intégrés.

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• Suicide fataliste
Ts les types de suicides sont reliés à des mécanismes d’intégration collective
di érente. Altruiste et égoïste ont des caractéristiques ocmpléteemtns opposé.
Altruiste individu accepte trop les normes, il se sacri e en norme de l’institution. La
cohésion sociale est si forte que la personnalité individuelle s’e ace dans une vase
indistincte. Ce type de suicide est + ds les sociétés mécaniques.

Le suicide égoïste + ds les sociétés organiques, Ce suicide est qd y a la rupture


avec le lien d’intégration avec la société.

Le suicide anionique : il y a une régularité dans les suicides. Par contre ds certains
moments où y a une grande hausse de suicides ds les états. Ces suicides sont avec
les crises atomiques → ce type de société est lorsque la société n’est + à mener de
jouer son rôle de régulation sociale et de satisfaire les besoins et les attentes des
individus.

Le suicide : pq la sociologie est scienti que.

MAUGER, POUR UNE SOCIOLOGIE DE LA SOCIOLOGIE

Il explique tt d’abord que les sociologues st en concurrence avec eux mêmes mais
aussi avec des personnes di érentes qui travaillent à imposer leur représentation du
monde sociale → not° de champ.

Il y a un micro univers où on retrouve la domination entre di érents champs : chaps


universitaire dominés par champ politique et médiatique.

18 Pr comprendre ce qu’est la socio faut étudier sa relation avec di érents champs


(pol et média).

Le raport de la sociologie et du politique. Cela peut être distribué à 3 grandes pôle


et one peut les rattacher aux 3 grandes sociologues.

Pôle de l’expertise → Un sociologue qui est au service de l’État cad éclairer les
élites dirigeantes. Les sociologues qui sont vu comme les conséillés par un activité
tq de conseiller réserve aux spécialistes. Cela a un e et sur la dé nition concret de
la recherche et sur ses priorités. Le champ politique nance le champ universitaire.
Le fait que les sociologues sont considérés comme des experts fait que le champ
politique nance les recherches “utiles” aux yeux des politiques par la réponse aux
pb étatique. Problématique de manque d’autonomie. Cela a aussi impact sur des
méthodes car on demande des rechees courtes : pas de tps de travailler sur la
dé nition par ex. Les méthodes sont parfois très probmématiques comme des
sondages. Il y a aussi des disciplines qui disparaissent comma la socio-histoire.

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Pôle de l’engagement : Des scienti ques pensent qu’en faisant la sociologie on doit
/ peut servir à l’intégrer militant. Le risque de l’engagement est de projeter nos
ambitions militantes sur notre travail.

Pôle de l’autonomie : Les chercheurs qui revendiquiez une stricte démarcation


entre le savant et politique, entre l’université” et les agents du pvr économique et
politique. Ce sont les sociologues qui se mé ent de la demande sociale, le pb
d’actualité → qd on demande aux sociologues de s’exprimer sur des gillets jeunes
alors que le phénomène n’est pas encore ni. Ils cherchent du recul. Il y a la
radicalisation qui été “acheté” par l’État alors que les chercheurs savent tout seuls
qu’ils n’ont pas assez de recul. Il distingue 2 catégories à l’intérieur de ce pole.

→ pôle académique qui défends la position de la neutralité

→ l’autonomie des personnes qui militent pour leur disciplines. Ils défendent
la sociologie pour la sociologie de manière militante.

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Séance 4 : Analyse relationnelle des faits sociaux

ELIAS, QU’EST-CE QUE LA SOCIOLOGIE

Analyse relationnelle :

One ne peut pas comprendre un individu si on ne le met pas en relation avec des
autres individus. Les choses ne sont pas prises en soit, on les analyse pas de façon
isolés. On peut comprendre le monde social car on distingue ou oppose. Analyse
sociologique est toujours une comparaison, on explique le social par le social.

Ex : le structuralisme. Dans le langage, pr comprendre un terme, pour l’associer à la


signi cation comme par ex le chien, l’explication est forcément arbitraire. On sait
par contre que le son est le chien et pas une vache. Ce chien a une signi cation que
par rapport d’autres animaux de la même catégorie. Le son chien signi e chie que
parce qu’il y a d’autres sons.

Bourdieu ds la distinction prends les pratiques culturelles. On apprécie une chanson


car il y a d’autres qui existent.

Elias met au coeur de sa sociologie cet aspect relationnel (la sociologie c’est
toujours une comparaison). Les individus n’ont pas de sens pris isolément . On peut
pas décrire qq ss la comparaison. L’individu n’est pas isolé de la même manière
que la société n’existe pas en dehors des individus qui la composent. L’individu et
société font partie de la même réalité et sont indissociables.

Elias prends une métaphore de jeux d’échec pr expliquer l’interdépendance.

Le jeux des échecs comme on joue des échecs, toute action accomplie dans une
relative indépendance représente un coup sur l’échiquier social qui déclenche
infailliblement un contre coup d’un autre individu limitant la liberté d’action de 1er
joueur. Dans la réalité il y a plusieurs de joueurs. (il s’agit en réalité de bcp de
contre-coups exécuter par bcp d’individus).

Elias ne parle pas de liberté mais de marge de manœuvre.

Il propose de ne plus raisonner en termes d’individualité mais en termes de relation.

On analyse pas en regardant l’individualité mais des relations entre des positions
qui se dé nissent par ce système de relations entre les positions qui sont dé nis par
ce système de relation. Les con gurations n’existent pas en dehors des individus et
à l’inverse. Il y a pas de liberté mais marge de manœuvre avec des agents plus ou
moins autonomes. Cette autonomie ne peut être abordée que âcre qu’il y a tt une
série d’action avant.

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La con guration est de taille variable. Toute con guration exerce une force sur des
individus qui y sont à des degrés variables, engagés. Cette force n’existe pas en
tant que telle, si on la met pas dans une con guration. Elle n’est pas extérieur aux
individus mais résulte simplement de leur interdépendance. La con guration est tjrs
un équilibre tension plus ou moins stable, qui peur se reproduire mais qui n’est pas
intemporel.

BOURDIEU, QUESTIONS DE SOCIOLOGIE

Bourdieu envisage l’espace social en empruntant le vocabulaire de l’économie.


L’espace sociale fonctionne par système de marché dans ses champs. Il n’y a pas
le champ partout (tout n’est pas un champ). Chaque champ possède ses propres
lois et ses biens spéci ques qui est la distribution notamment du capital symbolique
(prestige, ‘honneur). Chaque champ comprennes 3 dimensions principales : le
volume de capitale, la structure du capital, l’évolution ds le tps de ces 2 propriétés.

Un capital : Un ensemble de ressources et de pouvoirs qui sont e ectivement


utilisables.

Le capital économique : esbl des facteurs de production, le revenu

Capital culturel : l’esbl des dispositions et quali cations intellectuelles.

3 types de formes

incorporés : dispositions acquises par des individus

objective : les tableaux, livres qui montrent le volume au capital culturel qu’on
possède. Est un indicateur de notre classe social.

institutionalisé : les diplômes, titres scolaires objectives et institutionnalisés.

Le champ : Un espace de jeu, un champ de relation objective entre des individus en


compétition pr un enjeu identique. Cet enjeu c’est le pvr symbolique (prestige,
revenu) qui va entrainer la compétition que forme le champ en transformant
l’espace social en un lieu de can coudre des intérêts ( en un lie de ce être d’intérêt
qu à la condition que les individus investissent leurs capitaux pr le conquérir.

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Pr que ce jeu fasse sens il y a un sorte de magie sociale véhicule par les
institutions qui vont ériger en intérêt individuelle liés en fonctionnement de champ
précidérique ce qui provoque l’autonomisation de champ. Cela nécessite un travail
de longue durée.

Cette croyance ds les intérêts individuelles c’est l’ilusio = valeur essentiel au


fonctionnement de champ. C’es là où il sort de déterminisme car les individus ils y
croient. Cette croyance fait la reproduction et la transmissions de champ.

Champ de force compris comme un espace des positons qui fonction en même tps
comme un champ de lutte qui est lui même un espace de prise de position. Au sein
du champs il y a des oppositions (métaphore physique des magnats) entre les
dominants et le dominés. Cette lutte constante permet le fonctionnement de
champ. Les prises de positions des agents dans le champs dépendent de leur
position. Le champ détermine l’espace des possible des individus, il n’agisse ds ce
qu’il leur permet leur position.

Les champs sont relativement autonome, ils se caractérisent tjrs par la référence à
leur propre histoire. Chaque champ a sa propre loi et mécanismes (distributions des
capitaux par ex). Les prises de positions s’a rontent (au sein de champ) autour de
la dé nition l’légitime de l’activité en jeu. Les positions obj st structurées p/ une
distribution inégal du capital spéci que en son sein. Malgré le fait que chaque
champ a ses modalités spéci ques Burdioui distingue des chpses. Tout les champs
on une autonomie relatifs par rapport aux autres champ. Pareil pr les individus ds
les champs.

Les dominants → gardiens de l’ordre, ceux qui luttent pr conserver la dé nition


original du champ.

Dominés → agents de subversion qui essaient de bouleverser la notion de champ


pr devenir dominés. La position dans le champ limite le choix des possibles.

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Séance 5 : L’analyse socio-historique des
phénomènes politiques

Objectif : le sociologue et le politiste peuvent, eux aussi, étudier l’histoire.

TEXTE DE GARRIGOU

Montrer les di érences entre l’histoire et la socio-histoire. Le sociologue pose une


question à ses archives alors que l’historien les prend en tant que tel.

L’histoire décrit les grands hommes et grands événements qui deviennent ce qu’ils
sont on ne sait trop comment. Les historiens n’ont pas vraiment de problématique.
La socio-histoire a pour objectif de replacer chaque événement dans un contexte :
Comment un grand homme devient un grand homme ?

Les faits pol ne sauraient être analyser hors de leur dimension historique. Cette
dimension historique prend une forme de comparatisme qui permet plusieurs
choses. Pour le sociologue, quand vous étudier le passé, les évidences sont moins
évidentes, c’est plus facile de chasser ses prénotions car on connait moins le sujet.

Pour Garrigou, il n’y a pas d’évolution. L’histoire, c’est sans cesse des ruptures, des
manières de recommencer. Vision contre-évolutionniste. Il n’y a pas de progrès de
l’histoire.

Paul Veyne : Reproche à l’histoire d’être trop descriptive, trop normative, qui ne
pose pas de question.

Garrigou va contester les clivages académiques. Il explique pourquoi seulement les


historiens font des archives et les politologues des analyses. Les politologues ne
font plus de socio-histoire en raison de la demande sociale, d’un besoin de
vulgarisation.

Mauger explique que la socio est dominée par d’autres champs qui vont lui imposer
des problématiques de recherche, des méthodes. La recherche reçoit ses
nancements de l’Etat. Les postes de socio-histoire ne sont pratiquement plus
nancés donc ils tendent à disparaître.

Mais la socio-histoire reste tout de même très pratique.

Les sources historiques permettent d’avoir une meilleure connaissance de la


science. Ça permet aussi de traiter les faits historiques d’une nouvelle façon.

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Ex de Tocqueville : raconte la journée d’élection qu’il raconte comme très spontané.
Mais en réalité, il y a eu beaucoup de violences, il n’y avait rien de spontané.

On créer des relations entre les phénomènes, càd qu’on chasse le constat
évolutionniste.

On remet en cause les ruptures proclamées de changement constitutionnel.

On recontextualise les processus jusqu’au point où il ns intéressent. On va de la n


vers le début.

La grosse di érence entre l’histoire et la sociologie c’est le fait que qd on a un


questionnement et des théories sociologiques on ne s’attardent pas sur les grandes
ruptures de l’histoire. Il y a une découpure très arbitraire dans l’histoire, le
changement de régime n’applique pas forcément un changement sociétal. Le
socio-historien reproduit la situation.

Le travail de Garrigou consiste à revenir sur le passé. En allant aux archives on va


forcément trouver de nouvelles problématiques.

TEXTE SUR ELIAS, LA SOCIÉTÉ DE COUR

L’analyse de socio-histoire sur le 18e en prenant la cour de Versailles et Louis 14. Il


se demande comment le roi fonde son pouvoir? Ce n’est pas simplement qu’il est
un roi qu’il a le pvr, il doit lutter pr l’avoir. Le roi est placé dans une con guration
d’interdépendance et il dépends de la bourgeoise et la noblesse. Il ne peut obtenir
son pvr grâce à un équilibre et maintien de tensions.

Le phénomène de curialisaiton / purilasisation : passage de noblesse d’épée à la


noblesse de robe.

Elias montre cette transformation et comment le roi a appelé la noblesse d’épée à la


cour → comme ça le phénomène de purilasisation. Le prestige ne vient plus de la
guerre met de roi (il explique cela). Cette transformation est possible que parce que
la noblesse d’epée et ses maisons s’est a aiblie entre elles par les guerres et le roi
devient + fort.

Versailles et Louis 14, La société de cour ne disparait pas mais s’a aiblir après
Louis 14. Il y a de règles instaurés très strictes par le roi mais la force de Louis 14
était ds le respect de ses propres règles. Le moindre geste devient un élément de
prestige, prestige pr garder le pvr et organiser son royaume (la cour) selon des
critères visibles et calculables.

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L’étiquette et cérémonie :

2 outils pour pouvoir dominer. Cela fait dire à L14 que L’État c’est lui. Il gouvernait
sa maison comme il gouvernait son état. En instaurant des chances de prestige il
pouvait gouverner son royaume. Les nobles ont tiré le prestige de la proximité de
roi. Les nobles de province tire le prestige de nobles en lien avec le roi. Bref, tout
tourne autour de L14. Plus la réputation de roi s’étend, plus son pvr s’étend ds
l’espace et ds le tps.

On parle d’une course au prestige permanente entre les nobles entre eux et un
calcul des chances de plaire au roi et d’augmenter ds la hiérarchie. Si on sort de
cette con guration on sort de notre rang et notre existence. Les robes etc n’était
pas simplement le plaisir, c’est l’expression de leur existence sociale et de leur
place que les nobles occupent dans la hiérarchie dans laquelle il se trouve. Il faut se
distinguer le plus possible. L’appartenance et la place dans la bonne société mais
aussi la place dans l’opinion sociale. Il faut pas perdre l’honneur par le tribunal de
l’honneur car c’est un fonctionnement et une réalité sociale. La rationalité curiale et
le contrôle des a ectes.

La rationalité curiale:

La plani cation calculé de comportement de chacun en vue de s’assurer ds la


compétition et sous une pression permanente des chances de statut et de
prestige par un comportement approprié. Cette forme de rationalité c’est une
forme de calcul qui se joue sous le comportement d’individus, sur ses
réactions a ectives immédiates en fonction des buts qu’il s’est xé
conformément à sa position sociale. Cette con guration n’est possible que
parce qu’elle marque le renforcement de l’auto-compréhensible.

S’auto-contrôler est 3 choses dans la société de cour :

→Savoir observer et analyser chaque situation sociale

→Savoir adopter une attitude conforme aux étiquettes mais aussi en


situation qu’on a observé. Savoir exactement où il faut se placer, comment il
faut agir

→Savoir contrôler ses émotions en héritant les manifestations a ectives et


spontanés. Il faut tjrs correspondre à son étiquette.

Cette rationalité de cour se manifeste par la lutte constante pr le statu sociale. Le


rang d’une personne se manifeste par : rang soc, charge héréditaire, ancienneté de
sa maison, argent qu’on reçoit du roi (si on réussi à lui plaire), sa beauté, bonne
maniéré, façon de se comporter. Cette place s’exprime par la distance qu’on a du

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roi (même dans la con guration spatiale de château nous montre ça, qui peut
passer ou etc).

Cette ordre hiérarchique est furtlant d’où la nécessité de régler son attitude ds la
nécessité du moment, de savoir s’adapter. L’étiquette et cérémonial et l’instrument
de domination de roi qui lui permet de diriger son royaume. Toute personne qui
souhaite déroger à ces règles sera exclu et n’aura plus de prestige.

La société de cour permet très bien de comprendre une Con guration. On voit
comment l’individu dépends de la con guration et comment la con guration est le
résultat de tous ces relations entre les individus. Le roi n’est pas en dehors de cette
con guration, il dépends de cette chaine d’interdépendance. Le roi est pris en piège
de ses propres règles.

Lorsque les formations sociales survivent aux individus c’est que la nature de leur
rapport n’a pas subi des modi cations mais les rapports entre courtisants et le roi
était déterminé en dépit in ni des variations individuelles par des conditions
particulières qui elles sont restées les mêmes pr tous les individus concernés. La
société de cour est une formation de processus. Cette cour exist grâce au
processus qui lui on précédé et elle donne de nouvelles con gurations. Les modes
de rationalités ne changent pas forcément.

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Séance 6 : La domination
La domination : ds le texte de Weber, La chance de trouver obéissance pour un
certain ordre émis, peut reposer sur di érents motifs de docilité.

Cette domination doit avoir des fondements juridiques qui sont la base de cette
légitimité.

3 formes purs de domination légitimité qui st associés à une structure sociologie de


la direction administrative et des moyens d’administration fondamentalement
di érentes de celle de 2 autres.

Le sociologue prends les traits les plus signi catifs et les compare à la réalité. Cela
lui permet de comparer dans le temps mais aussi dans l’espace et dans le temps.
Ces formes purs ne sont jamais retrouvés dans la réalité, il y a toujours plusieurs
formes de la domination dans qui coexistent dans le monde réel.

LA DOMINATION LÉGALE RATIONNELLE


Le droit quelle fait sa condition. Le groupement des dominations st soit élus soit
désignés (només). Toutes les parties qui constituent se groupement de domination
st des entreprises. Elles st hétéronomes (pas autonomes) et st soumis au droit et
reçoivent le droit de dehors, et hétéroséphales (il y a plrs autorités administratives).
Ces entreprises sont composés de fonctionnaires et ceux qui obéissent ds la
domination légale sont des membres. On obéit à la personne en vertu de la règle
codi é qui contraint tout autant la personne qui reçoit l’ordre que la personne qui
donne l’ordre (tout le monde obéit à une seule personne). C’est des formes purs.

Par ex ds le pvr de fonctionnaire : il est censé d’appliquer le droit. Le


sociologue en comparaison avec la réalité se rends compte que parfois le
fonctionnaire, même s’il doit appliquer le droit, il arrive des moments où il use
le pvr discrétionnaire (il vont faire preuve d’arbitraire à un moment). La forme
pur c’est qu’ils appliquent la règle / et la forme de la réalité c’est qu’ils
peuvent jouer avec ça (avec la règle).

Celui qui donne les ordres et un supérieure hiérarchique qui est légitimé par des
règles codi és à l’intérieur d’une compétence, d’une spécialisation. Il nous prépare
d’ordre arbitraire qui ne serait pas in uencé car il a une compétence étique qui lui
permet d’appliquer au mieux la règle. La forme pur de cette domination légale,
exemple par excellence, c’est la bureaucratie. Aucune domination n’est exercée de
façon exclusivement bureaucratique. On trouve au + haut sommet des souverains,
Monarchs, plébiscitaires, parfois des individus avec des intérêts particuliers.

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LA DOMINATION TRADITIONNELLE

On adhère à la tradition par la croyance. C’est la croyance qui fait qqch sacré. On
accords le pouvoir à un maitre parce qu’on croit à ses capacités et on se laisse
diriger. Le groupement de domination c’est la communautarisation avec un maitre
(le chef trad)

La direction administrative est faite par des serviteurs et ceux qui obéissent sont les
sujets. Le contenu des ordres de données est liée à la tradition. Si jamais le maitre
(chef trad) était ramené à remettre en question la tradition ça mettrait en danger sa
légitimité d’où le fait que la tradition n’évolue peu car on mettrait en cause les
fondements de cette domination.

Il y a 2 formes ds la domination traditionnelle :

Patriarcale : les serviteurs sont en totale dépendance avec le maitre. C’est


basé sur l’idée de loyauté.

Statutaire : les serviteurs sont indépendant du maitre, ils tiennent pas leur
pouvoir directement du maitre (pas le pvr direct du maitre). La possession est
permise par le privilège ou par la transaction juridique (achat, bail etc)i. Il y a
une domination avec une séparation des statuts des pouvoirs entre le maitre
et l’administration.

LA DOMINATION CHARISMATIQUE

La domination Grace au charisme d’une personne, son caractère, la rhétorique.

Dans le CM exemple de l’Hitler.

Example Jésus : Il a revendiqué d’être un être exceptionnel, par cette croyance on


croit en lui, l’ensemble des personnes on cru dan cette personne car il a un donne
de grâce, faculté magique, preuve d’héroïsme ce qui entraine le le dévouement
personnelle à cette personne.

L’abandon a ectif à la personne du maitre et à ses dons de grâce.

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