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Chargé de cours
D. N’GUESSAN ALAIN
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INTRODUCTION
Les organisations, quelles que soient leur taille et leur contexte, doivent s’adapter à
leur environnement. Cette adaptation revêt plusieurs formes : le développement d’un
nouveau produit, d’une nouvelle prestation, le développement de synergies avec une
autre organisation ou la modification d’un savoir-faire (par l’introduction de
nouveaux outils informatiques par exemple). Chaque entreprise doit ainsi faire face à
des évolutions qu’elle ne maîtrise pas forcément. Le défi des décideurs est donc de
maîtriser les coûts, les délais et l’étendue du changement au sein de leur secteur
d’activité.
L’approche projet ou le management par projet est l’un des systèmes
organisationnels qui peut être mis à leur disposition. Elle consiste à organiser et à
contrôler tous les aspects d’un projet ainsi qu’à diriger les acteurs pour atteindre les
objectifs fixés de façon sûre et dans le respect des contraintes de temps, de ressources
et de risques. Le management de projet englobe l’ensemble des tâches de
coordination et de direction, l’organisation, les techniques et les mesures
indispensables à la conduite d’un projet
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CHAPITRE I : HISTOIRE DE LA GESTION DE PROJET
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- Début du vingtième siècle
Avant la fin du siècle, Frederick Taylor (1856–1915) commença son analyse détaillée
du travail. Il appliqua au travail un raisonnement scientifique en démontrant qu’il est
possible d’analyser et d’améliorer le travail en le décomposant en parties
élémentaires. Il mit en pratique ses réflexions dans les aciéries, pour les tâches de
pelletage du sable et de manutention des pièces. Auparavant, la seule méthode
utilisée pour augmenter la productivité consistait à exiger des ouvriers un travail plus
difficile et plus long. Taylor a instauré le concept d’un travail plus efficace à
l’encontre d’un travail long et difficile. L’inscription sur sa tombe à Philadelphie
atteste de la place qu’il occupe dans l’histoire de la gestion : « Le père de la gestion
scientifique ».
Associer de Taylor, Henry Gantt (1861 – 1919), a étudié en détail l’ordre des
opérations de travail. Ses études de gestion axée sur la construction au cours de la
1ere guerre mondiale vont conduire à la Création d’un plan de travail, structuré
représenté par des barres. Le diagramme de Gantt, comprend des barres de tâches et
des marqueurs jalon. La séquence et la durée de toutes les tâches selon un processus.
Le Diagrammes de Gantt s’avère être un outil puissant d’analyse pour les
gestionnaires et leur est resté pratiquement inchangé depuis presque cent ans. Il n’a
pas été modifié jusqu'à ce que au début des années 1990 , Microsoft Office Project
décide d’ajouter des lignes de liaison à ces barres de tâches, illustrant plus précis
interdépendances de tâches.
- Aujourd’hui
Cette vision de l’entreprise en tant qu’organisme humain implique que pour qu’une
entreprise survive et prospère, toutes ses composantes fonctionnelles doivent
coopérer vers des objectifs ou des projets spécifiques. Depuis les années 1960, cette
approche de la gestion de projet a commencé à prendre racine dans sa forme
moderne. Divers modèles d’entreprise se sont développés au cours de cette période,
partageant une structure sous-jacente commune : un responsable de projet gère le
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projet, met en place une équipe et garantit l’intégration et la communication du
workflow horizontalement dans les différents services de l’entreprise.
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CHAPITRE II-Les référentiels de certifications dans la gestion de projet
La première approche pour améliorer la performance des projets consiste à former les
individus de l’organisation concernés par les projets aux méthodes de management de
projets.
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- Compétences techniques pour le management de projet (20 éléments)
- Compétences comportementales pour le management de projet (15 éléments)
- Compétences contextuelles pour le management de projet (11 éléments).
Pour donner la dimension de l’intégration, les compétences sont représentées sous la
forme d’un œil comme le montre
Les éléments des compétences techniques de l’ICB recouvrent approximativement le
contenu de l’association des groupes de processus et des domaines de connaissances
du PMBOK ou le regroupement des thèmes et des processus de PRINCE 2. Chaque
élément de compétence est décrit en environ 2 pages avec un ou plusieurs
paragraphes explicatifs, puis de manière synthétique : les processus successifs
possibles, les concepts concernés, les compétences clés du niveau. Les éléments des
compétences contextuelles concernent l’environnement des projets (programme,
portfolio, affaire, technologie, législations, etc.). Ces compétences figurent
également dans PMBOK dans deux chapitres d’introduction. Dans Prince 2, la
description du contexte est limitée aux aspects concernant la gouvernance d’un
projet, dans le thème « Organisation » ou dans les annexes. Le positionnement des
compétences comportementales au même niveau que les compétences techniques est
la particularité du modèle ICB par rapport aux deux autres modèles. Les concepteurs
de PRINCE2 reconnaissent le caractère indispensable des connaissances
comportementales sans pour autant développer cet aspect. Ils se justifient par
l’impossibilité de les décrire « Leadership, habileté à motiver et autres compétences
interpersonnelles sont extrêmement importantes en management de projet mais
impossible à codifier dans une méthode. » (OGC, 2009, page 7). Pour le PMBOK, les
compétences interpersonnelles sont un des outils des processus
9.3-Développer l’équipe projet et
9.4 – Diriger l’équipe Projet.,
10.4- Gérer les attentes des parties prenantes (PMI, 2008, page 217 et 244).
Elles font l’objet de l’annexe G (PMI, 2008, page 409-413). L’ICB n’a pas à vocation
de donner les outils pour suivre le projet au quotidien, mais les connaissances pour
coordonner et diriger un projet. Aussi, l’association francophone de management de
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projet (AFITEP) qui réalise cette certification en France propose également des
certifications de l’ICEC (Internationale Cost Engineering Council) sur les aspects
concernant le suivi du projet : « planification opérationnelle, coûtenance, estimation.
» (www.afitep.org)
Le programme de certification se présente de la manière suivante :
- Level D : équivalent au CAPM (r) du PMI (r) ou au Fundation de Prince2 (tm).
- Level C : Chef de Projets, un cas à présenter sur un projet.
- Level B : Directeur de Projets.
- Level A : Directeur de Programmes.
Puis des certifications spécifiques sur les domaines suivants :
- Planification.
- Estimation.
- Coutenance.
Les trois référentiels sont basés sur les mêmes concepts de base de management, c’est
ce que Morris appelle le noyau traditionnel des sujets de management de projet
(1994, page 3) : planification, budget prévisionnel, suivi. De nombreux sujets sont
abordés dans les trois référentiels (coût, contenu, qualité, communication,
management des parties prenantes, etc.) Chacun des référentiels a ses spécificités :
- le PMBOK va dans le détail des processus et des outils que les chefs de projets
doivent savoir utilisés,
- l’ICB est orientée compétences et approfondit les compétences comportementales,
- PRINCE 2 a simplifié la représentation en processus en les regroupant. Les
processus suivent le déroulement du projet et sont attribués à un niveau de
responsabilité. Les trois référentiels indiquent qu’ils sont applicables à tous les
projets. Dans les trois référentiels il est reconnu que les principes, méthodes et outils
doivent être adaptés aux projets traités par l’organisation. Pour le PMBOK, « la
responsabilité de déterminer ce qui convient à un projet particulier revient à
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l’organisation et/ou à l’équipe de management de projet. » (PMI, 2008, page 10).
Pour l’ICB « Le chef de projet choisit les méthodes et outils appropriés pour une
situation particulière du projet ». (IPMA, 2006, page 5). Le mot approprié
(appropriate) a 80 occurrences dans le document. Dans le référentiel PRINCE 2, le
chapitre 19 a pour titre « Adapter Prince 2 à l’environnement du projet ». (OGC,
2009, page 215-231). Les organismes réalisant une certification de compétences de
personnes prennent en compte l’expérience des personnes en plus que la
connaissance du référentiel. Le PMI exige que les personnes aient été affectées au
sein d’une équipe projet pendant un nombre d’heures suffisant ou d’avoir eu des
heures de formation dans un diplôme de l’enseignement supérieur. A l’exception du
premier niveau de certification, l’IPMA et le référentiel de PRINCE 2 exigent que le
candidat apporte la preuve, par l’intermédiaire d’une soutenance qu’il est capable
d’utiliser les concepts en situation en tant que chef de projet ou de directeur de projet.
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CHAPITRE II- LA PLANIFICATION DE PROJET
A quel coût?
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réalisation de sa mission. Le plan de projet est donc l’objectif ultime de la
planification détaillée.
A travers la planification, il s’agit principalement de dresser un calendrier
d’exécution du projet c’est à dire un échéancier qui situe dans le temps chaque
tâche élémentaire du projet, les ressources nécessaires pour la réalisation des tâches
et le coût de mise en œuvre du projet.
La planification détaillée du projet permet au chef de projet de:
La planification permet de :
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Les grandes étapes de la planification de projet
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1. le projet en entier découpé en un sous-ensemble de lots;
2. les lots se décomposés en des tâches simples ou activités;
3. les tâches simples structurées en un bloc de travail
Tout projet, du plus simple au plus complexe se traduit par une liste de travaux à
faire. Pour gérer le projet de façon adéquate, il est nécessaire de découper chaque lot
de travaux en éléments simples.
Ces éléments incluent les livrables du projet (produits ou services à livrer), les
moyens et les fonctions nécessaires pour la réalisation du projet, les activités à mener
et les lots de travail.
- Les livrables ou extrants sont les produits ou services spécifiques que le projet doit
mettre à la disposition de son promoteur (entreprise, autre organisation ou personne).
- Les activités sont les éléments de travail effectués au cours de la phase de réalisation
d’un projet. Elles sont constituées de tâches.
- Le moyen est l’intrant nécessaire à l’exécution d’une ou de plusieurs activités.
Ex : une machine, un logiciel, les contributions financières,…
- La fonction est un terme générique pour désigner une ou plusieurs activités de
même nature. Certaines fonctions sont appelées fonctions de support. Ce sont
notamment des fonctions non nécessaires pour réaliser une tâche, mais
indispensables pour la réalisation du projet lui-même (ex : fonction de gestion du
projet, fonction de la comptabilité). D’autres fonctions sont dites fonctions
standards, parce que nécessaires pour la réalisation des composantes du projet (ex :
ingénierie, assemblage, tests,…)
- Les lots de travail ou work packages constituent en règle générale le dernier niveau
de décomposition du projet. Ils désignent l’ensemble cohérent d’activités conduisant
à la réalisation d’un livrable.
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Il s'agit ici de dresser la liste de toutes les tâches que l'on se doit d'effectuer
dans un projet.
Étape 2 :
Une fois que l'on a déterminé toutes les tâches à effectuer pour mener à bien le projet,
il s'agit maintenant de regrouper celles qui ont des points communs. Ces
regroupements, qui s'appellent des «lots», forment le niveau 2 de la structure de
fractionnement.
Étape 3 :
Cette étape consiste à mettre dans un ordre logique et séquentiel, les lots que nous
venons d'établir. Elle permet ainsi de bâtir la structure de fractionnement de travail
(SFT)
Étape 4 :
La dernière étape consiste à faire la codification des lots et des activités du projet.
Cela permet de rendre la structure de découpage du projet compatible avec le logiciel
de gestion de projet.
Abréviations: T : Tâches
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B.T. : Bloc de travail
La SFT peut aussi être présentée sous forme de matrice comme suit :
1.0 Lot 1 2.0 Lot 2 3.0 Lot 3 4.0 : Lot 4
Gestion de projet
1.1 2.1 3.1 4.1
1.2 2.2 3.2 4.2
1.3 2.3 3.3 4.3
1.4 2.4 3.4 4.4
1.5 2.5 3.5 4.5
3.7 4.6
3.8 4.7
RJ 1400: LOGISTIQUE
RJ 1500: RESTAURATION
RJ
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ORGANIGRAMME DES TACHES (WBS) : LES DIFFERENTS NIVEAUX
RJ 1410: TRANSPORT
RJ 1440: DECORATION
RJ
RJ
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1.4- La fiche de lot de travail et de projet
Après l’élaboration de la SFT, le chef de projet doit procéder à l’attribution de la
responsabilité des activités à ses collaborateurs et à la confection des fiches de lots de
travail. La fiche de lot doit fournir certaines informations telles que : la description
des biens livrables, le code distinctif du lot, sa date de début et de fin, l’estimation
des coûts des ressources, l’identification du responsable du lot, les principales
interfaces avec les autres lots, etc.
FICHE DE TÂCHES
TITRE: CODE:
BUT:
OBJECTIFS:
CONTRAINTES POSSIBLES:
N° DE L'ACTIVITÉ DESCRIPTION HEURES/ JOURS COÛT RESSOURCES HUMAINES RESPONSABLE
DE L'ACTIVITÉ REQUIS REQUISES
TOTAL
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Choix et organisation de l’équipe de projet
On désigne par équipe de projet le groupe de personnes qui, au moins pour la durée
de leur affectation au projet, relèvent hiérarchiquement du Chef de projet.
Lors du recrutement de l’équipe de projet, le chef de projet devra:
- rechercher les compétences spécifiques requises
- s’assurer de la complémentarité des ressources de ses collaborateurs et de leur
capacité à travailler en équipe.
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* le nom de l’intervenant responsable doit être ajouté à la fiche de tâche et
celle-ci doit lui être communiquée.
* il ne suffit pas au chef de projet de décréter unilatéralement l’assignation
d’une tâche à un intervenant : il faut aussi, obligatoirement que le chef du projet
obtienne son engagement à exécuter la tâche dans les limites contractuelles
convenues et s ‘assure que le mandat a été bien compris.
Charte ou matrice de responsabilités :
Lors de la planification organisationnelle, chaque intervenant est naturellement
informé des responsabilités d’exécution qui le concerne directement : les tâches
qui lui sont assignées ont été discutées avec lui.
Mais chaque intervenant doit aussi être informé de la répartition des responsabilités
relatives à d’autres tâches si elles comportent des interfaces avec les tâches dont il est
lui - même responsable.
La charte ou la matrice des responsabilités permet de présenter de façon simple
et commode une synthèse de cette opération.
La matrice RACI définit les rôles et responsabilités dans un service ou sur un projet.
Cet acronyme RACI signifie :
R: Responsible (Réalise): C’est la Ressource qui Réalise l’activité. Il peut y
avoir plusieurs R.
A: Accountable (Autorité): A l’autorité pour approuver le travail de R. Il n’y a
qu’un seul A.
C: Consulted (Consulté): Est consulté par R. La communication
entre R et C est bidirectionnelle. Il peut y avoir plusieurs C.
I: Informed (Informé) Est uniquement informé des travaux de R. Il peut y avoir
plusieurs I.
La matrice RACI définit les rôles et les responsabilités des acteurs du projet
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III- LA PLANIFICATION OPERATIONNELLE DU PROJET
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-De production : temps d’occupation du matériel ou des hommes qui l’utilisent..
Les techniques d’ordonnancement dans le cadre de la gestion d’un projet ont pour
objectif de répondre au mieux aux besoins exprimés par un client, au meilleur coût et
dans les meilleurs délais, en tenant compte des différentes contraintes.
-La planification : qui vise à déterminer les différentes opérations à réaliser, les
dates correspondantes, et les moyens matériels et humains à y affecter.
1.1.1. Principe.
Les différentes étapes de réalisation d’un diagramme de Gantt sont les suivantes :
Première étape : On détermine les différentes tâches (ou opérations) à réaliser et leur
durée.
Troisième étape : on représente d’abord les tâches n’ayant aucune antériorité, puis
les tâches dont les tâches antérieures ont déjà été représentées, et ainsi de suite…
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Temps
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13
Tâche
Remarques :
Le déroulement d’exécution des tâches figure en pointillé, au fur et à mesure des contrôles.
On est à la fin de la 6 ème unité de temps, B est en avance d’une unité et, C est en retard
d’une unité.
On peut alors déterminer le chemin critique : qui est formé d’une succession de tâches, sur
le chemin le plus long en termes de durées. Il est appelé chemin critique car tout retard pris
sur l’une des tâches de ce chemin, entraîne du retard dans l’achèvement du projet. (Chemin
critique : A, B, D, E).
1.2.1. Principe.
Les tâches sont représentées par des sommets et les contraintes de succession par
des arcs. Chaque tâche est renseignée par la date à laquelle elle peut commencer
(date au plus tôt) et celle à laquelle, elle doit se terminer (date au plus tard).
A chaque arc est associé une valeur numérique, qui représente soit une durée
d’opération, soit un délai.
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Exemple:
A 2
B 4
C 4 A
D 5 A, B
E 6 C, D
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Date
au plus
tard
0 2 4 9 9 15 15
E 6 FIN
0 0
5
DEBUT 0 0 4 4
0
D 4 B
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Remarques :
La date de début au plus tôt d’une tâche est obtenue en cumulant la durée des
tâches qui précèdent sur la séquence la plus longue.
On initialise le sommet DEBUT avec une date au plus Tôt = 0.
Date au plus tôt de la tache j = Max ( date au plus tôt de i + Durée Ti,j) pour
tous les prédécesseurs i de j.
Les dates au plus tard : dates à laquelle doivent être exécutées les tâches sans
remettre en cause la durée optimale de fin du projet.
On initialise à l’étape terminale, le dernier sommet par la date au plus tard =date au
plus tôt.
Date au plus tard i = Min (Date au plus tard de j – durée Ti,j) pour tous les
successeurs j de i.
On peut alors déterminer le chemin critique : succession de tâches sur le chemin le
plus long au sens des durées. Pour toutes les tâches du chemin critique, les dates au
plus tôt et au plus tard coïncident. Chemin critique : B, D, E.
1.2.2. La marge totale.
La marge totale sur une tâche est le retard que l’on peut prendre dans la réalisation de
cette tâche sans retarder l’ensemble du projet.
Elle est obtenue, en faisant pour chaque tâche, la différence entre la date au plus
tard de début d’une tâche et la date au plus tôt.
1.3.1. Principe.
Chaque tâche est représentée par un arc, auquel on associe un chiffre entre
parenthèses qui représente la durée de la tâche.
Entre les arcs figurent des cercles appelées « sommets » ou « événement » qui
marquent l’aboutissement d’une ou plusieurs tâches. Ces cercles sont numérotés afin
de suivre l’ordre de succession des divers évènements.
1.3.2. Réalisation
2 4
2 C(4)
4 4
3
Remarques :
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Il a été nécessaire d’introduire une tâche fictive de durée égale à 0, pour représenter
la relation d’antériorité entre A et D.
Le cumul des tâches composant la séquence la plus longue (B, D, E) permet de
déterminer la date au plus tôt de réalisation du projet. Cette succession de tâches
constituent le chemin critique.
Marge totale
Tâches A B C D E
Marges 4-0-2=2 4-0-4=0 9-4-4=1 9-4-5=0 15-9-6=0
totales
Remarque : sur le chemin critique, les marges totales des différentes tâches sont nulles.
Marge Libre
Tâches A B C D E
Marges libres 2-0-2=0 4-0-4=0 9-2-4=
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