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- BATNA-
Juin : 2019
INSTITUT NATIONAL DE FORMATION SUPERIEURE PARAMEDICALE
- BATNA-
Thème :
Juin : 2019
Remerciement
Avant toutes choses, je remercie Dieu, le tout puissant, pour nous avoir
donné la force et la patience. la louange à Allah, nous le glorifions lui
demandons aide et invoquons son pardon contre le mal nos péchés, celui qui
fut guide personne ne peut l’égaré personne ne peut le guider je témoigne qu’il
n'y a point de divinité digne d'adoration sauf Allah l'unique, qui n’a point
d’associé et je témoigne aussi que Muhamed est sons Serviteur et son Message,
que la
bénédiction d’Allah soit sur lui , sa famille , ses compagnons , et tous ce qui le
suivent sur droit jusqu’au jour dernier .
En fin, nous exprimons notre vifs remerciement a notre familles pour leurs
patience, leur conseils et leur encouragements.
Dédicaces
Fatiha A ma famille ;
GHETAI
GHETAI MAROUA
Dédicaces
TAIBI ZINEB
Introduction.
Objectifs de la recherche.
Problématique.
Hypothèse.
Délimitation des concepts.
Suggestions
Conclusion
Bibliographie
Annexes
Liste des abréviations
Tableau Pages
Figures pages
catégorie
l’ancienneté
L’Hygiène Hospitalière est une discipline à part en tienne qui a principale conséquences
de réduire non seulement la mortalité et la morbidité hospitalière dues aux sur infection quel que
soit leur origine mais qui a également un impact «économique important sur les couts des
santés ». Dans notre pays notre système de soin a été basé d’emblée sur l’utilisation des
techniques les plus modernes d’exploration, ou de traitements (dialyse, hémodialyse, greffe, sous
couverture antibiotique on négligeant l’étape préalable de l’hygiène et aseptique (asepsie).
L’hygiène hospitalière est l’affaire de tous. Elle concerne le personnel médical, para
médical, administratif, entretien, les malades, et les visiteurs. Sa mise en application nécessite
des moyens appropriés, une information permanente doit rappeler son intérêt à l’ensemble de
l’équipe hospitalière.
Objectif de la recherche
Objectif générale : -Identifier les principaux facteurs influençant sur la bonne pratique des
règles d’hygiène hospitalière.
Objectifs spécifiques
- assurer une large communication les partenaires (Patients, soignants) afin de maintenir une
attention soutenue face au problème de l’infection nosocomiale
Problématique
Les infections nosocomiales (IN) ou infections associées aux soins (IAS) sont devenues
aujourd’hui un sujet d’actualité, d’où elles constituent un sérieux problème de santé publique,
générateur de coûts humains (morbidité et mortalité) et socioéconomiques importants Signalons
que ce problème méconnu et non perçu comme une priorité Bien qu’il y ait une nette une
amélioration en matière de moyens déployés pour la lutte contre les infections nosocomiales au
niveau des deux services homme et femme de chirurgie de L’EPH de Bou-Saada.
Pour cela, la moindre diminution des taux des infections nosocomiales représente un vrai défi.
qu’on a remarqué lorsque le personnel soignant n’accordent pas l’importance aux moyens de
protection contre les infections parmi pratiques du coton contaminé par le sang dans le sac noir,
collecteur jaune plein, des aiguilles et des papiers dans le sac jaune, une seule paire de gants
utilisée pour toutes les pratiques, lavage des mains deux fois maximum du début jusqu’à la fin
des soins et tenue professionnel pas incomplète, différent types des pansements qui exige des
règle d’hygiène extrêmes précises des condition particulières .Ainsi que le personnel soignant
n’a bénéficié d’une formation dont l’objectif est l’actualisation des acquis en matière d’hygiène
hospitalière Donc la continuité, la propagation des infections liées aux soins sur le terrain et les
conséquences provoquées par ces dernières.
Cela est expliqué qu’on fait appel à une série de questionnements qui méritent une réflexion,
Quelles sont les défaillances dans la chaîne de soins qui peuvent expliquer l’importance
de la prévalence des infections liées au soin?
Existe-t-il des éléments majeurs de sensibilisation des décideurs à la mise en œuvre d’une
politique de prévention?
Comment avoir une qualité de soins pour réduire les causes des infections nosocomiales
et améliorer la santé des populations ?
Qu’elles sont les facteurs influençant sur la bonne pratique des règles d’hygiène hospitalière
au niveau de service de chirurgie de L’EPH Rezigue El Bachir Bou-Saada ?
Hypothèse
La bonne pratique des règles d’hygiène hospitalière susceptible liée à la formation du personnel
et/ou à la disponibilité de moyen matériel.
L' hygiène :est l’ensemble des moyens et pratiques mis en œuvre pour prévenir ou améliorer
l’état de santé d’une collectivité donnée. Du point de vue médical, l’hygiène se définit comme
l’ensemble des moyens et pratiques visant à assurer le bien-être physique et mental de l’individu
et à faciliter son adaptation harmonieuse au milieu ambiant.
L' hygiène hospitalière : est l' ensemble des moyens et pratiques mis en œuvre dans un
hôpital ou toute autre structure sanitaire pour prévenir les infections ou protéger le personnel
médical, paramédical, les malades, les visiteurs et les accompagnants contre les infections
nosocomiales.
Hôpital : est un établissement public ou privé où sont effectués d' une part tous les soins
médicaux, chirurgicaux ainsi que les accouchements et d' autre part il héberge certains malades
pendant des durées variables.
Les infections associées aux soins : Une infection est dite associée aux soins si elle
survient au cours ou au décours d’une prise en charge (diagnostique, thérapeutique, palliative,
préventive ou éducative) d’un patient et si elle n’était ni présente, ni en incubation au début de la
prise en charge
Les mesures d’hygiène : consistant à mettre en place les actions pour prévenir les infections
associées aux soins et la diffusion des bactéries multi ou hautement résistantes aux antibiotiques
émergentes ou des infections contagieuses.
Les soignants : le soignant : qui est chargé de soigner les malades dans un hôpital.
Cadre
conceptuel
Chapitre 1 Le monde microbien
Chapitre 1 :
Le monde microbien
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Chapitre 1 Le monde microbien
1. Le monde microbien
Le monde microbien ce caractérise par une grande diversité ; il est constitué d’organismes qui
ne peuvent pas être observé qu’an microscope : ce sont des microbes ou des micro-organismes
ils se trouvent partout dans l’air, l’eau, sol …
Définition :
Micro-organisme : être vivant mono cellulaire de taille microscopique. Présent dans toute la
nature. Utiles dans les biotechnologies. Certains sont dangereux ils provoquent des maladies. Les
autres sont dits « banaux » on vit bien avec eux tant qu’ils ne sont pas très nombreux.
Les types micro-organismes :
Les bactéries : Les bactéries sont des micro-organismes que l’on rencontre
pratiquement partout. Leur présence est souvent manifeste : les blessures s’infectent, le
lait surit, la viande se putréfie, mais, on ne peut les voir qu’au microscope. Ils sont
généralement unicellulaires et leurs cellules sont des cellules de type procaryote.
Classification des bactéries (Relation avec l’oxygène) :
Bactéries aérobies (Pseudomonas, Neisseria).
Bactéries microaérophiles (Campylobacter, Mycobacterium).
Bactéries aéro-anaérobies (E. coli, Salmonelles, Streptocoques, Staphylocoques).
Bactéries anaérobies strictes (Bacteroides, Fusobacterium, Clostridium).
Les virus: micro-organisme de petite taille ne pouvant en principe être observé
qu’à l'aide du microscope, ils sont obligatoirement parasites de l'hôte qui les héberge
(animal, végétal ou homme) car ils ne peuvent se reproduire qu'a l'intérieure d'une cellule
vivante. 1.2.2.1Classification des virus :
Selon les cellules infectées : Animaux, plantes, insectes, champignons, bactéries.
Selon leur structure : Virus nus ou enveloppés.
Selon leur mode de reproduction (réplication) : Réplication cytoplasmique ou nucléaire,
Rétrovirus.
Selon leur matériel génétique : ARN ou ADN.
Selon les maladies associées ou leur mode de transmission : Virus des hépatites, virus
transmis par les arthropodes (Arbovirus= Arthropode Borne Virus).
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Chapitre 1 Le monde microbien
Les parasites : Un parasite est un organisme qui vit sur ou dans un organisme
hôte et tire sa nourriture de son hôte ou aux dépens de celui-ci. Il existe trois classes
principales de parasites pouvant causer des maladies chez l'homme: les protozoaires, les
helminthes et les ectoparasites.
Les champignons : Le terme champignon microscopique est un terme très vaste
qui regroupe des micro-organismes vivants (principalement pluricellulaires) ni végétaux,
ni animaux, tels que les moisissures, les rouilles, ou encore les levures. Leur taille varie
de 4 à 100 microns (1 micron= 1/1000ème de millimètre) environ. Les champignons
transforment la matière organique afin de se développer. Ils peuvent ainsi avoir un rôle
de parasite lorsqu’ils se développent au détriment de certains être vivants.
Les Spores : une cellule reproductrice capable de se développer en un nouvel
individu sans fusion avec une autre cellule reproductrice. Les spores diffèrent donc des
gamètes, qui sont des cellules reproductrices qui doivent fusionner par paires pour donner
naissance à un nouvel individu. Les spores sont des agents de la reproduction asexuée,
alors que les gamètes sont des agents de la reproduction sexuée. Les spores sont produites
par bactéries, champignons, algues et plantes.
le prion : Le prion est un facteur infectieux d'un type radicalement nouveau (ni
bactérie, ni virus, ni parasite, ni champignon).
Il est la forme pathologique d‘ une protéine normale présente chez tous les mammifères.
Cette protéine anormale est voisine des glycoprotéines décelées dans la maladie de Creutzfeldt-
Jakob ou d‘ Alzheimer.
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Chapitre 1 Le monde microbien
personne qui les héberge. Par exemple, des bactéries du côlon, comme Escherichia coli.
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Chapitre 1 Le monde microbien
Transmission animal-homme : On appelle zoonoses les maladies animales
occasionnellement transmises aux êtres humains. La transmission directe aux humains
peut se faire de différentes manières :
par contact avec un animal infecté ou avec ses matières fécales, ses poils/plumes, sa
salive, etc.
par l'ingestion de produits provenant d'animaux infectés (viande, lait, œuf)
Transmission par contact indirect
La transmission par contact indirect désigne la propagation d’un agent pathogène d’un réservoir
à un hôte par l’intermédiaire d’un objet (ex. mouchoir, gobelet, couche, fourchette, monnaie,
clous rouillés, etc.). Ces objets sont des vecteurs passifs dans la transmission des maladies
infectieuses, puisque les microorganismes séjournent sur eux sans se reproduire. Plusieurs
infections se transmettent par l'intermédiaire d'objets contaminés par des personnes ou des
animaux infectés (ex. la giardias, une parasitose commune dans les garderies). Le risque de
transmission par contact indirect est plus élevé dans le milieu hospitalier, où les infections sont
transmises par l'entremise d'objets souillés (ex. récipients, ustensiles, instruments, pansements,
aiguilles hypodermiques, literie, appareils, etc.).
Transmission par gouttelettes.
La transmission par gouttelettes est le dernier des trois modes de transmission par contact. Dans
ce type de transmission, les microorganismes sont expulsés dans des gouttelettes de mucus
lorsqu’une personne tousse, éternue, rit ou parle, et les gouttelettes en question parcourent moins
d’un mètre entre le réservoir et l’hôte (par exemple, une personne qui éternue peut produire
jusqu’à 20 000 gouttelettes). Étant donné la courte distance parcourue, on ne considère pas que
les microorganismes soient propagés par la voie aérienne. La pneumonie, la grippe, la méningite
et la coqueluche sont quelques exemples de maladies qui peuvent se transmettre de cette façon.
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Chapiter2 :
Les infections
associées au Soins
Chapitre 2 Les infections Associés au Soins
Toute maladie provoquée par des micro-organismes contractée dans un établissement de soins
par tout patient après son admission, soit pour hospitalisation, soit pour y recevoir des soins
ambulatoires. Une infection répond à cette définition lorsqu'elle était absente à l'admission du
patient. Lorsque cet état infectieux du patient n'est pas connu, l'infection sera qualifiée de
nosocomiale si elle apparaît après un délai de 48 heures d'hospitalisation. Les infections
nosocomiales représenteraient, selon l'Organisation mondiale de la santé, l'une des causes
principales de morbidité et de mortalité chez les hospitalisés.
exogènes.
3.1 Les I.AS endogènes. « Auto-infection ». Lorsque le malade est contaminé par ses propres
germes tel -le staphylocoque doré -au cours de certains soins (actes chirurgicaux, sondage
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Chapitre 2 Les infections Associés au Soins
urinaire, pose et manipulation d'un cathéter, respiration artificielle...).
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Chapitre 2 Les infections Associés au Soins
3.2. Les I.A.S exogènes : Il peut s'agir d'infections croisée transmises d'un malade à l'autre par
les mains ou les instruments de travail du personnel médical ou paramédical, soit d'infections
provoquées par les germes portés par le personnel, soit d'infections liées à la contamination de
l'environnement hospitalier (eau, air, matériel, alimentation...) comme, par exemple, une
contamination du patient par le virus de l'hépatite C intervenue en dehors de toute transfusion
sanguine .
Infections urinaires : Ce sont les infections associés aux soins les plus courantes ;
80 % des infections sont liées à un sondage vésical à demeure. Les infections urinaires
sont associées à une plus faible morbidité que les autres infections nosocomiales, mais
peuvent dans certains cas provoquer une bactériémie potentiellement mortelle.
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Chapitre 2 Les infections Associés au Soins
Autre infections associés aux soins : Les infections décrites plus haut sont les
quatre types les plus fréquents et les plus importants d’infections associés aux soins, mais
il existe de nombreux autres sites potentiels d’infection.
Infections de la peau et des tissus mous : les plaies ouvertes (ulcères, brûlures,
escarres) favorisent la colonisation bactérienne et peuvent conduire à une infection
généralisée.
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Chapitre03 :
Historique
Au IXème siècle à Bagdad, naquirent déjà les premières réflexions sur l’environnement
des malades. Un hôpital devint célèbre dans cette même ville, en raison de sa démarche pour le
contrôle de l’air ambiant par installation d’un système de filtre à sable et poussière couplé à un
système de rafraîchissement de l’air par jet d’eau.
La peste qui s’est abattue sur Paris de 1531 à 1606 fut à l' origine des réflexions sur les
modes de contamination et les problèmes d’isolement.
En 1545 Ambroise paré réfléchit sur les problèmes d’asepsie et de désinfection pendant
ces interventions et réussit à faire diminuer de 45 à 15% ses décès postopératoires en réduisant
les surinfections.
Un peu plus tard en Autriche, il établit la probable transmission des germes par les mains
des étudiants en obstétrique. Il exige en 1847 que les tous membres du personnel de son service
se lavent les mains obligatoirement avant d’examiner une femme ou de lui faire des soins.
- pendant la guerre de 1870 à Metz, Strasbourg et Paris Gessard dénonça la pourriture d’hôpital,
une gangrène nosocomiale qui faisait des ravages.
- En 1882 il isola le germe Pseudomonas aeruginosa du pus des plaies. Par une méthode de
pansements occlusifs, il permet de lutter efficacement contre cette infection nosocomiale.
- Halsted en 1889 suggéra, le premier, l’utilisation protectrice des gants de caoutchouc pour
opérer tandis-que Chaput vulgarisa cette méthode
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
- en 1910. Au Mali un courageux élève en médecine, répondant au nom Gabriel Touré est mort à
la suite d’une maladie "la peste" qu’il a contracté en soignant les pestiférés à Dakar.
Les premières études analytiques sérieuses concernant les infections provoquées par
hospitalisation datent de 1968 aux Etats unis, Thoburn estime à 4,7% le taux des infections
nosocomiales.
Quelques années plus tard en 1970 nait aux Etats unis le premier système de surveillance
des infections nosocomiales(NNISS). Des 1967 à l' occasion des entretiens de Bichat, le
professeur Vilain évoque la nécessité de structure de surveillance et de réflexion des infections
hospitalières. Il étend le concept du lavage des mains aux protections vestimentaires, essuie-
mains, serpillières et circuit du linge sale.
L’O.M.S constate en 1979 que les infections nosocomiales constituent l’une des
principales causes de mortalité et de morbidité chez les malades hospitalisés. Elles contribuent
aussi bien, directement ou indirectement aux énormes augmentations de dépenses sanitaires dues
à l’apparition de nouveaux risques pour la santé.
Les grandes épidémies d’infections hospitalières sont apparues, dues pour la plupart à la
résistance des germes aux antibiotiques ainsi qu’au manque d’application de règles de base
d’hygiène. C’est ainsi qu’il a été établit le lien santé et environnement qui demeure une des
préoccupations actuelles
But du lavage des mains : Le but du lavage des mains est de diminuer la fréquence des
Infections nosocomials manu portées en réduisant la flore microbienne, des mains afin
d’interrompre la chaine de transmission manu portées des micro-organismes pathogène ou
potentiellement pathogène d’un malade infecté ou colonisé à un autre patient.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
Objectif : éliminer les salissures, réduire la flore transitoire, limiter la transmission croisée pour
le personnel et les patients.
Indications :
Le lavage chirurgical :
Indication :
Indications :
FHA :
Objectifs : Réduire le risque de transmission croisée des microorganismes par manu portage.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
Indications :
Protéger le personnel de santé des risques infectieux par contact avec liquide biologique et
de risque de blessures.
Protéger le patient lors de soins aseptique.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
La stérilisation :
L’objectif de la stérilisation : Prévenir les risques d’infection nosocomiale par les dispositifs
médicaux stérilisés dans les établissements de santé.
Le rinçage et le séchage : Le rinçage a pour but d’éliminer toutes les traces résiduelles de
détergent ou de désinfectant.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
la tenue professionnelle :
1.4.1- Le but de tenue professionnelle : Une tenue médicale adaptée permet de réduire la
transmission des infections d'un malade à l'autre et des malades aux membres du personnel
Coiffe : elle doit couvrir tous les cheveux, elle est changée aussi souvent que cela est
nécessaire.
Masque : de préférence à usage unique, il doit couvrir la bouche et le nez. A utiliser
obligatoirement, chaque fois, que le risque infectieux parait manifeste (manipulation
septique, exploration invasive)
Blouse : de la quelle rien ne doit dépasser (col, manches...) le pyjama est Préférable
puisqu'il permet de mettre au vestiaire les Vêtements de ville.
Chaussures: elles doivent être utilisées uniquement à l'hôpital donc laissées au vestiaire à
la sortie. Elles ne doivent pas être bruyantes. Le port de bottes est indispensable dans les
services ou unité à haute risque.
Lunettes: ou une visière sur le masque sont préconisées en cas de projection possibles de
sang.
Les antiseptiques :
Définition : Produit utilisé pour lutter contre les germes de la peau et des muqueuses.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
Définition :Ce sont les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de
traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et
vétérinaire.
Le tri : Il consiste en la séparation sur la base de leurs propriétés dangereuses des différents types
de déchets, les types de traitement et d’élimination qui leur sont appliqués.
Stockage intermédiaire.
Le stockage centralisé.
Le transport :
Le bio-nettoyage s'effectue soit en un seul temps, à l'aide d'un produit détergent-désinfectant, soit
en 3 temps : détergent, rinçage à l'eau, puis application du désinfectant.
Traitement du linge.
Il s’agit :
Le pré tri : Le pré tri a pour but de limiter le tri en blanchisserie. Le pré tri intervient après
chaque réfection de lit et lors de la toilette et des soins corporels du patient
Le transport interne et l’entreposage du linge sale : Le transport interne s’effectue dans des
chariots réservés exclusivement à cet usage. Le stockage doit être le plus bref possible : 12
heures est un délai acceptable.
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
Le local est sec, bien ventilé, régulièrement nettoyé et dépoussiéré, le transport du linge propre
est réalisé dans des chariots réservés à ce seul usage.
PHC type gouttelette : Prévention de transmission, à courte distance (moins d’un mètre),
d’agents infectieux par la production de gouttelettes contaminées, supérieures à 5 microns,
émises lors de la toux, des éternuements, de l’expression orale ou lors de certains soins. Ex :
méningocoque, coqueluche, grippe, VRS, streptocoque pyogène …
PHC type aéroporté : Prévention de transmission, au-delà d’un mètre, d’agents infectieux
portés par des particules de moins de 5 microns résultant de la dissémination dans l’air de
gouttelettes ou de poussières contaminées. Ex : tuberculose, rougeole, varicelle
PHC type contact : Prévention de transmission d’agents infectieux après contact
physique entre un sujet colonisé ou infecté et un sujet réceptif (contact direct) ou par
l’intermédiaire d’un vecteur présent dans l’environnement (contact indirect). Bactéries multi
résistantes, Clostridium Difficile, rota virus … Principe : « tout ce qui sort de la chambre est
correctement décontaminé ou emballé »
L’isolement :
Définition : mettre des barrières sur les voies de transmission des micros organisme
responsables de l’infection.
But de l’isolement :
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
PREMIERS SOINS
A FAIRE IMMEDIATEMENT APRES L’ACCIDENT
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Chapitre 3 Les mesures d’hygiène hospitalière
3. CLIN - Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales : Le CLIN est une instance
obligatoire chargée de la lutte contre les infections nosocomiales dans les Etablissements de
soins. Il travaille en collaboration étroite avec l'Equipe Opérationnelle d'Hygiène
Le président est élu par les membres du CLIN. L’équipe Opérationnelle d’Hygiène est
composée d’une Pharmacienne, Présidente du CLIN, et d’une Infirmière, formées en hygiène
hospitalière. L’EOHH (l'équipe opérationnelle d'hygiène hospitalière) est chargée de mettre en
œuvre le programme d’action défini avec le CLIN.
Le rôle du CLIN :
- Coordonner (organiser, planifier et animer) la Lutte des Infections Nosocomiales dans le cadre
de la gestion des risques, c'est-à-dire définir la politique de lutte contre les Infections
Nosocomiales mise en application par l’EOHH et l’ensemble des professionnels.
LES COMPÉTENCES : Chaque établissement de santé organise en son sein la lutte contre
les infections nosocomiales, y compris la prévention de la résistance bactérienne aux
antibiotiques.
A cet effet, chaque établissement de santé institue en son sein un comité de lutte contre les
infections nosocomiales, se dote d'une équipe opérationnelle d'hygiène hospitalière et définit un
programme annuel d'actions
Les missions du CLIN:
· Elaborer un programme d’actions avec l’EOHH qui sera mis en œuvre par l’ensemble des
professionnels,
· Coordonner l’action des professionnels dans les domaines de la prévention et la surveillance
des infections nosocomiales,
. Elaborer un rapport d’activité adressé directement au Ministère.
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Aspect
méthodologique
Aspect méthodologique
1. Démarches méthodologique :
Enquête :
Concernant les professionnels chaque service à un effectif qui se compose de (02) groupes le
jour et (03) la nuit.
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Aspect méthodologique
1.1. 4 population cible : NOUS avons ciblé le personnel soignant notamment les paramédicaux
exerçant au niveau du service de chirurgie (homme et femmes) travaillant le jour et la nuit de
l’EPH MED BOUDIAF EL BAYADH qui sont au nombre de 26 personnels soignant.
1.1. 7 Méthode: Pour identifier les principaux facteurs influençant sur la bonne pratique des
règles d’hygiène hospitalière et leur impact sur l’apparition des infections liées aux soins On a
recueillir les données de l’enquête , dépouillés les résultats , on a utilisé Microsoft Word 2007,
Microsoft Excel 2007 pour saisir et représenter ces des données et en dernière phase on a les
interprétés et analysé ces résultats ce qui nous a permet d’utiliser la méthode descriptive
analytique .
1.1. 8 les entraves de l’enquête : Durant notre enquête nous avons eu une certaine réticence de
la part du personnel soignant afin de répondre à notre questionnaire, on remédiés à ce
problème en expliquant à ces derniers que le questionnaire est entièrement anonyme
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Aspect méthodologique
30,77%
ISP
57,69% IDE ATS
11,54%
Interprétation et Analyse:
Soit 57 ,69% du personnels soignants sont des infirmiers de santé publique, 11,54% représente
sont des infirmiers diplômé d’état et que 30,77% ce sont des aides-soignants de santé publique.
D’après les résultats obtenus on constate que plus que la moitié des personnels soignants
représente des infirmiers de santé publique.
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Aspect méthodologique
Ancienneté : Avez-vous Combien d’exercice dans ces deux services ?
Interprétation et Analyse:
Soit 53,85% des questionnés déclarent qu’ils ont une ancienneté moins de 05 ans, et 46,15%
déclarent qu’ils ont une ancienneté supérieur à 05 ans.
D’après les résultats obtenus on constate que la majorité des personnels soignants ont une
expérience inferieur à 5ans.
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Aspect méthodologique
Question N°1 : Ya-t-il des personnes qui sont revenues après une intervention chirurgicale
pour une complications ou infection du site opératoire ?
26,92%
OUI
73,08% NON
Interprétation et Analyse:
73,08% des interrogés disent qu’il y a des personnes (malade) revenus après de leur interventions
chirurgical. Pour complications ou spécialement une infection du site opératoire tandis que
26,92% disent l’inverse.
D’après les résultats obtenus on constate que la majorité des personnels soignant affirment
l’existence des infections liées aux soins représenté par l’infections du site opératoire
probablement cela est due au non-respect du personnels soignants au pratique d’hygiène
hospitalièrement dans toutes les mesures des règles ou recommandations.
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Aspect méthodologique
Question N°2 : "Connaissez –vous les germes responsables des infections nosocomiales
à votre service ? "
38,46%
OUI
61,54% NON
Interprétation et Analyse:
61,54% des interrogés déclarent qu’ils connaissent les germes responsables à l’apparition des
infections nosocomiales par ailleurs que 38,46% déclarent qu’ils ne connaissent pas les germes
responsable à l’infection nosocomiale.
D’après les résultats obtenus on constate que la majorité des personnels soignants connait les
infections nosocomiales.
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Aspect méthodologique
Question N°3 : Connaissez- vous les types d’hygiène des mains ?
oui non
Interprétation et Analyse:
La totalité des questionnés ont jugé qu’ils ne connaissent pas les différents types du lavage des
mains.
Ce qui exprime que le personnel soignant avec une totalité omissent les différents type du
lavage des mains malgré que l’expérience professionnelle ne soit pas considérable ce qui influe
négativement à leur pré reçus en matière de connaissance durant leurs périodes de formations.
Ainsi que la pratique durant cette période d’exercice professionnel.
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Aspect méthodologique
Question N°4 : Est-ce que les produits pour l’hygiène des mains sont toujours disponibles ?
34,62%
OUI
65,38% NON
Interprétation et Analyse:
65,38% des interrogés pensent que les produits de l’hygiène des mains ne sont pas toujours
disponible par contre 34 ,62% pensent l’inverse.
Et dans le 2ème tranche de la question n°04 totalité du personnel soignant au niveau du service
de chirurgie affairement l’existence des deux produits qui sont savon doux et SHA (solution
hydro alcoolique) ce qui explique que la majorité affirment que le service de chirurgie ne
comporte pas tous les moyens de prévention des infections nosocomiale. Peut-être est due à la
négligence de l’établissement au risque infection (responsable, personnel) liée à la non
disposition des produits pour la 1ère mesure de lavage des mains, ce qui influe positivement à
l’apparition des infection nosocomiale.
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Aspect méthodologique
Question N°5. Est-ce que vous portez systématiquement des gants au cours de soins ?
26,92%
OUI
73,08% NON
Interprétation et Analyse:
73,08% du personnel soignant exerçant en service de chirurgie portent les gants ou cours
des soins. 26,92% du ce personnel ne portent pas les gants lors de la prédiction des soins.
Ce qui explique que la minorité du personnel qui ne porte pas les gants influent négativement à
apparitions des infections nosocomiale cela peut être est due la négligence du personnel au
mesure d’hygiène et leur impact.
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Aspect méthodologique
Question N°6: "quel est la durée appropriée du portage d’une paire des gants ?"
0,00%
42,31%
Moins de 30min
57,69% 30min-2h Plus de 2h
Interprétation et Analyse:
Soit 57,69% des interrogés disent que la durée appropriée du port des gants est 30min à 2h,
42,31% disent le temps à respecter est moins de 30 min et 0% disent que le temps a respecter
plus de 2h.
Cette divergence des avis nous montre que la majorité des interrogés négligent le risque de
la transmissions cela peut être due à l’inexistence d’un protocole au niveau service du port
des gants.
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Aspect méthodologique
Question N° 7 : Qu’est-ce que vous utilisez pour stériliser les dispositifs médicaux ?"
Outoclave Poupinel
100,00%
Interprétation et Analyse:
La totalité des questionnée affirment qu’ils utilisent l’autoclave pour une meilleure stérilisation
des dispositifs médico-chirurgicale cela signifie qu’aucun d’entre eux n’a pensé a stériliser le
matériel dans la poupinel.
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Aspect méthodologique
Question N°8: a)Savez-vous les principales étapes de stérilisation ?"
0%
OUI
NON
100%
Interprétation et Analyse: La totalité de la population cible disent qu’ils savent les principales
étapes de la stérilisation.
Ce qui explique que la totalité de la population visée ont des notions sur la stérilisation
32
Aspect méthodologique
b) Si oui lesquelles
0%
oui
non
100%
Interprétation et Analyse:
Dans la 2ème tranche de la question n°08 aucun a répondu sur les étapes de stérilisation ce qui
exprime que le personnel n’ont pas acquis les compétences insuffisante pour prévenir les
infections nosocomiales. Cela est due probablement à la négligence du personnel soignant aux
déférentes étapes de la stérilisation par omission de celles-ci ou manque d’un protocole au
service qui fait rappelle au personnel a l’importance a ces derniers (une insuffisance matière de
l’hygiène hospitalière) ou manque de sensibilisation concernant à la transmission des germes
qui fait apparaitre les infections hospitalière.
33
Aspect méthodologique
Question N°9 :"Quel sont les antiseptiques disponibles chez vous ?"
Les antiseptiques %
Dakin 69,23%
Bétadine 57,59%
Eau oxygénée 42,31%
Alcool 46 ,15%
éther et autres 00%
Tableau représentatif N°12 des réponses de la question N°09
80%
60%
40%
20%
0%
DakinBétadineEauAlcooléther et
oxygénéeautres
Interprétation et Analyse:
Le personnel interrogés mentionne que les antiseptique sont disponible avec un pourcentage
égale à 69,23% du dakin, 57,59% Bétadine, 42,31% eau oxygénée et 46 ,15% de l’alcool.
De cette diversité des réponses obtenus on constate que difficultés qui rencontrent le personnel
soignant dans le choix d’un antiseptique .sont d’ordre suivant :
34
Aspect méthodologique
Question N°10 : Triez-vous les déchets de soins systématiquement au lit du malade ? "
26,92%
oui
73,08% non
Interprétation et Analyse:
La majorité des personnel soignant ne font pas le tri il peut être due à la négligence ce qui
représente le risque infectieux dans la plupart des cas.
35
Aspect méthodologique
Question N°11: Connaissez-vous les filières des déchets d’activités de soins ?
3,85%
OUI
NON
96,15%
Interprétation et Analyse:
Presque la totalité des interrogés ne connaissent pas les déférentes filières des déchets d’activité
de soins avec un pourcentage égale 96,15% et que 3,85% connaissent les filières DASRI.
Ce qui explique le personnel soignant n’actualisent pas ces connaissance préalablement enseigne
susceptible est due a l’omission de ces derniers au risque infectieux ou ils n’ont pas des
connaissances à la pratique des règles d’hygiène hospitalière.
36
Aspect méthodologique
Question N°12: Quel sont les moyens utilisés pour collecter les déchets d’activité de soins à
risque infectieux
Interprétation et Analyse:
La totalité des questionnée collectent les déchets dans les sacs noir, jaune, DASRI.
Soit 61,54% collectent les aiguillé tranchante dans des collecteur jaune spéciale, par contre
38,46% des questionnés collecte les objets tranchante dans des bouteilles en plastique.
D’après les résultats obtenus on constate que la majorité des questionnés respectent les mesures
d’hygiène hospitalière mais vue la minorité qui utilisent les bouteilles pour collecter les objets
tranchantes et piquantes cela représente un risque infectieux.
Ce qui provoque une mauvaise pratique de ces derniers probablement est dû au manque des
recommandations strict au niveau du service et aussi d’une façon systématique sans aucun
protocole et en l’absence d’une intervention par les responsables spécialisé (chirurgie, médecin,
chef service, service épidémiologique …). Manque du matériel, ainsi que le manque d’une
formation continue.
37
Aspect méthodologique
Question N°13 : "Ya-t-il un local réservé uniquement au stockage du linge sale dans le
service ?"
46,15%
53,85% oui
non
Interprétation et Analyse:
Plus de la moitié soit 53,85% des personnel questionnés déclarent qu’il n’existe pas un local
réservé uniquement au stockage du linge dans le service par contre le reste des personnel
questionné déclarent l’inverse.
Ce qui exprime que la majorité méconnaissent qu’il existe un local réservé au stockage du linge
peut être cela est due à la négligence du personnel interrogé au rôle du local de stockage qui le
joue dans les risques infectieux.
38
Aspect méthodologique
Question N°14 :Est-ce qu’il y a un protocole d’isolement élaboré dans votre service ?"
23,08%
oui
76,92% non
Interprétation et Analyse:
Soit 76,92% du la population cible disent qu’il n’existe pas un protocole d’isolement élaboré
dans leurs service et que 23 ,08% disent que le protocole d’isolement existe.
Cela explique que la majorité négligente le respect d’un protocole d’isolement pour prévenir les
infections nosocomial. Peut-être est due Par manque de structure et de matériels (masque….) ce
qui influe négativement à la bonne pratique d’hygiène hospitalière
39
Aspect méthodologique
Question N°15 :Portez-vous toujours la tenue professionnelle ?"
26,92%
OUI
73,08% NON
Interprétation et Analyse:
Soit 73,08% des questionnés portent la tenue vestimentaire et réglementaire par ailleurs 26,92%
parmi eux ne portent pas la tenue professionnel pendant leurs exercice.
Cette négligence par la minorité fait facteur de l’ apparition des infections nosocomiale ainsi que
le risque de transmission susceptible est due au manque de sensibilisation du personnel soignant
aux recommandations des mesures d’hygiène pour prévenir les risque infectieux par les
responsables hiérarchique du service .
40
Aspect méthodologique
Question N°16 :"Quel est le rythme de nettoyage du service par la femme de ménage ?"
11,54% 3,85%
Interprétation et Analyse:
Soit 84,62% des répondus informent que le nettoyage et le bio nettoyage se fait une seule
fois par jour et soit 11,54% des répondus informent 2 fois par jour et que 3,85% informent
plus 2 fois.
D’après les résultats obtenus on constate que le nettoyage et le bio nettoyage se fait d’une façon
anarchique ce qui permet de ne pas prévenir le risque infectieux.
41
Aspect méthodologique
Question N°17: Est-ce-que vous être vacciné contre l’hépatite virale B ?"
15,38%
oui
84,62% non
Interprétation et Analyse:
La majorité avec 84,62% de la population cible déclarent qu’ils sont vacciné par contre 15,38%
de celle-ci déclarent qu’ils ne sont pas vacciné contre l’hépatite. Cela explique que le risque
infectieux au personnel est majore car l’obligation de la vaccination fait prévenir probablement
les risque infectieux cela est due à la négligence du personnel soignant au précaution standard
de l’hygiène hospitalière.
42
Aspect méthodologique
Question N°18:"Quel est votre conduite à tenir en cas d’accident exposant au sang ?"
120%
100%
80%
60%
40%
20%
Soins immidiat déclarer au la médcinecontinuer votre travail
0%
de travail
Interprétation et Analyse:
La totalité des interrogés respecte les mesures en cas d’accident d’exposition au sang, soins
immédiats et déclaration au service de médecine de travail.
43
Aspect méthodologique
Question N° 19: Avez-vous bénéficié d’une formation continue en hygiène hospitalière ces
trois dernières années ?"
0%
OUI NON
100%
Interprétation et Analyse:
Aucuns personnels soignants ne déclarent qu’une formation continue sur les mesures d’hygiène
ou les précautions standards et particulières.
D’après les résultats obtenus on constate que la totalité déclarent qu’une formation est nécessaire
ce qui justifie l’importance de celle-ci dans la mise à jour des connaissances malgré que la
population cible sont récemment recruté moins de cinq ans dont 53,85% de la population pour
mieux préserver la santé des patients aussi que le personnel d’après les réponses de la question
identification.
44
Aspect méthodologique
Question N° 20 :
"Que suggérez-vous sur quelle facteur influence à le non-respect des mesures d'hygiène?"
Formation
professionnels et continue, Organisation Condition de
,CLIN ou commission de surveillance
100%
Interprétation et Analyse:
Selon les résultats obtenus que la totalité suggèrent une formation continue, l’Organisation
Condition de travail, CLIN ou commission de surveillance le facteur qu'il influence à le non-
respect des mesures d’hygiène en vigueur de loi n : 85-05du16fiverier 1985 relative à la
protection et la promotion de la santé.
D'après Les suggestions on constate que la formation professionnelle et les conditions de
Travail sont des exigences indispensables pour optimiser une meilleure pratique d’hygiène
hospitalière
45
Aspect méthodologique
46
Aspect méthodologique
A partir des réponses de question n°09: Diversité des réponses obtenus on constate que difficultés
qui rencontrent le personnel soignant dans le choix d’un antiseptique
A partir des réponses de question n°10. 11: on peut dire que presque la totalité ne connaissent pas
les déférentes filières des déchets d’activité de soins, n’actualisent pas ces connaissance
préalablement enseigné.
A partir des réponses de question n°19et20, Nous constatons que le personnel soignant affirment
que les conditions de travail ainsi que la formation professionnels empêche les personnel soignant
de respecter les mesures d’hygiène cela influe négativement sur la bonne pratiques de l’hygiène
hospitalier.
Tous ces résultats sont probablement dues aux :
Manque de matériels
La discontinue de la formation des personnels hospitaliers
Le non-respect des règles d’hygiène de base aussi particulières.
L’absence de la sanction et la surveillance par le comité de lutte contre les infections.
-Ce qui nous ramène a constaté qu’il existe un écarte entre tous ce qui étudie (la théorie) et
La bonne pratique des règles de l’hygiène hospitalière qui est insuffisant en matière de la
disponibilité des moyens et une formation qui va mettre les connaissances du personnel soignant à
jour.
Cela permet de confirmer notre hypothèse qui est : « La bonne pratique des règles d’hygiène
hospitalière susceptible liée à la formation du personnel et/ou à la disponibilité de moyen
matériel. ».
47
Suggestions
D’après ce modeste travail de fin d’étude nous proposons les suggestions suivantes :
La disponibilité des matériels et des produits nécessaire a la bonne pratique des règles
d’hygiène, pour lavage des mains , port des gants , stérilisation .
Créer un couloir pour transporter le matériel, linge sale, et l’autre pour le passage des
malades et personnels selon les normes international.
un protocole d’isolement dans le service.
vacciner tout le personnel contre l’hépatite viral B.
assurer un approvisionnement régulier et suffisant en produits, équipements et
matériels nécessaires pour l’exercice de bonnes pratiques d’hygiène hospitalière.
Former périodiquement tout le personnel sur les bonnes pratiques d' hygiène
hospitalière .
Sensibiliser le personnel sur le bien-fondé de bonnes pratiques d' hygiène
hospitalière tout en leur expliquant ses avantages à travers des ateliers, séminaires
et journées (lavage des mains, port de gants etc.) ou formation continue.
Crier ou réactualiser le comité CLIN au niveau de chaque établissement.
Conclusion
Dans notre contexte marqué par une couverture faible des besoins sanitaires, certes des
efforts doivent être faits pour favoriser une meilleure accessibilité des structures sanitaires.
Mais la priorité doit être accordée à respect des règles des hygiènes surtout en ce qui concerne la
sécurité des patients des visiteurs des accompagnants et du personnel de santé.
Le problème le plus urgent à résoudre est lié au risque de contamination microbienne auquel les
patients et le personnel sont exposés au cours des différentes activités de soins. Ce risque est
essentiellement lié aux connaissances du personnel et la disponibilité de moyen matériel.
Certes les conditions de travail sont souvent très difficiles et les moyens très limités mais le
constat montre qu’il s’agit en premier lieu d’un problème de prise de conscience, de mauvaise
organisation et d’habitudes de travail.
Pour que les personnelles de santé se sentent bien dans leur vies professionnelles, il
faudra bien définir leurs initiatives et inciter a une meilleure reconnaissance au travail.
En fin, nous pensons qu’il serait intéressant pour approfondir cette étude, de traiter le
thème hygiène hospitalière entre la réalité et perspective et les facteurs influençant sur la bonne
pratique les bases d’hygiènes que sur supervisé par l’hygiéniste lui-même.
Bibliographie
Les ouvrages :
- Comité international de la croix – rouge manuel de gestion des déchets médicaux, 9, 55, 56, 19,
avenue de paix, mai 2011, suisse.
- Dictionnaire Larousse.
- OMS, guide pratique prévention des infections nosocomiales 2éme Edition ,2002.
- Réseau des Hygiénistes de Centre, fiche technique désinfection chirurgicale des mains par
lavage, En 12791 ou NF72-503 version 4.
- Réseau des Hygiénistes de Centre, fiche technique lavage simple des mains version 4, 2011.
- Université médicale virtuelle francophone, comité éditorial pédagogique de l’UV MaF, guide
pratique hygiène hospitalières, 1/07/11.
Les mémoires :
- Bentercia Amel, Chemlal Ibtissam, l’asepsie et l’hygiène lors des soins des plaies en chirurgie
–réalité et perspective – service de chirurgie l’EPH- 1-Arris, mémoire, 2016, INFSP Batna.
- Djerraf Nadia, l’hygiène des mains au niveau du service de l’urgence l’EPH Med Boudiaf –
Barika-, mémoire, 2015, INFSP Batna.
- Leila Arbi ,gestion des déchets d’activité de soins , mémoire , 2018, Mostaganem.
- Mazzoudja Sarah, Tiar Sawsen, observation de port des gants dans le soin a risque D’AES,
mémoire, 2012, INFSP Biskra.
Web graphie :
- www.baccide.fr/champignons_moisissures_levures.html
- www.britannica.com/science/spore-biology
- www.devsante.org/articles/accidents-d-exposition-au-sang-aes
- www.filieresoins.blogspot.com/2017/10/hygiene-des-mains-par-lavage-lavage_20.html
- www.fr.ap-hm.fr/sites/default/files/files/arlin-paca/idel_fhav4.pdf
- www.fulltext.bdsp.ehesp.fr/Inas/Memoires/massp/sp/2006/7089.pdf
- www.slideplayer.fr/slide/11594733/
- www.promotionascannes.e-monsite.com/pages/module-3/le-lavage-antiseptique-des-mains.h
Les annexes
Questionnaire adressé au personnel soignant.
Dans le cadre d’élaboration du mémoire de fin d’étude, intitulé : hygiène hospitalière pour l’obtention de hygiéniste
de santé publique, nous vous sollicitons à bien vouloir accepter de répondre aux questionnaires suivant. Nous vous
garantissant l’anonymat. Accepter nos remerciements d’avance.
Q1 : Ya-t-il des personnes qui sont revenues après une intervention chirurgicale pour une
complications ou infection du site opératoire ? Oui Non
Q2: Connaissez-vous les germes responsables des infections nosocomiales à votre service ?
Oui Non
Les quels :
…………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….
Les quels :
…………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………….
Q4 : Est-ce que les produits pour l’hygiène des mains sont toujours disponibles ?
Oui Non
Oui Non
Q7: Qu’est ce que vous utilisez pour stériliser les dispositifs médicaux ?
-autoclave -poupinel
Q8 :a) Savez-vous les principales étapes de stérilisation ? Oui Non
b) si oui les quelles
…………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………......
…………………………………………………………………………………………………………
Q10 : Triez-vous les déchets de soins systématiquement au lit du malade ? Oui Non
Q11 : Connaissez-vous les filières des déchets d’activités de soins ? Oui Non
Les quelles
…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………..
Q12 : Quel sont les moyens utilisés pour collecter les déchets d’activité de soins à risque infectieux ?
Bouteille en plastique
Q13 : Ya-t-il un local réservé uniquement au stockage du linge sale dans le service ?
Oui Non
Oui Non
Oui Non
Q18 : Quel est votre conduite à tenir en cas d’accident exposant au sang ?
Q19 : Avez –vous bénéficié d’une formation continue en hygiène hospitalière ces trois dernières
années ?
Oui Non
Q20 : Que suggérez-vous quelle facteur influence à le non respect des mesures d’hygiène ?
…………………………………………………………………………………………………………
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