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Origines égyptiennes du christianisme.

Table de la matière

Partie I – Le contexte
Partie II : Jésus l’Egyptien
Rubrique : Chercheurs de Vérité
Sous-titre : Dogme et culte chrétiens empruntés à
la religion d’Isis.
 Sous-titre : Dogme et culte chrétiens empruntés
à la religion d’Isis.
L’historien et docteur en droit égyptien, le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty
développe une intéressante argumentation sur ces sujets dans ses «
Recherches comparées sur le Christianisme Primitif et l’Islâm Premier »,
les « Origines Egyptiennes du christianisme ». Ces emprunts sont
nombreux : le principe monothéiste, l’iconographie de Isis-Horus versus
Marie-Jésus, la Trinité isiaque et chrétienne, la mort et la résurrection, la
fête de Pâques et de Noël, fête des rameaux commémorent des
événements concernant Osiris, la communion par les deux espèces, la
prière…

Introduction
L’énoncé « Origines égyptiennes du christianisme » est clair. Si d’aucuns
prétendent aux origines juives du christianisme et d’ainsi souscrire à des
sources judéo-chrétiennes, c’est oublier ou méconnaître des pans de
l’histoire pour certains, les renier pour d’autres.

 Emprunts du culte et du dogme chrétien à la religion


d’Isis
Le concept monothéiste et la création
Au III e millénaire avant notre ère, la pensée monothéiste de l’Egypte
ancienne était dévoilée dans les Textes des Pyramides, donc bien avant
l’apparition des Hébreux. Le Dieu des Egyptiens était Aton considéré
comme l’Unique, le Dieu qui s’est créé lui-même, comme l’indique son nom
« Atum » ou encore Yatim, en référence à la yatîm arabe qui signifie « Celui
qui n’a pas de Père ». Christianisme et Islâm se retrouvent dans cette
conception du Dieu unique. Les différents dieux, Amon le Créateur, Ptah
l’Artisan, Osiris le Bienfaiteur, ne sont que les formes et qualités du même
Dieu unique. Il est aussi Le Caché, l’Invisible, et il ne peut être représenté,
comme le professe de même la Bible et le Coran.

Le Dieu « Aton » est éternel. Il n’a ni début ni de fin, comme l’énoncent les
Textes des Sarcophages. Il est « ce qui a été, ce qui est, et ce qui sera »
comme l’indique la cosmogonie de Isis et Osiris, transmise par Plutarque,
conviction aussi reprise par les chrétiens dans leur profession de foi.
D’autre part, « le Dieu unique est vivant », comme le déclarent encore les
chrétiens dans leurs prières, en répétant en cela « l’Hymne universaliste
d’Akhenaton à Aton ».

A propos de la création, la Genèse I,2 mentionne qu’en préalable à la


création, « L’Esprit de Dieu planait sur les Eaux » et ceci fait de même
référence au Nun, l’Océan primordial des Egyptiens duquel émerge Aton. La
doctrine du logos, soit le principe créateur par la parole, existant dans les
textes égyptiens est aussi reprise dans les Textes sacrés, l’Evangile, le
Coran et la Thora « Dieu a fait le Ciel et la Terre. »

Il fait la lumière et les ténèbres » ; ces phrases sont reprises dans les
Instructions de Mérikarè vers le XXII e siècle avant notre ère, et dans la
Genèse 1, verset 3. Enfin, dans les mêmes Instructions de Mérikarè à
propos de la création de l’homme, on va retrouver dans la Bible, la Thora et
le Coran, la semblable conception de l’homme créé à l’image de Dieu.

Une différence notable cependant : « dans une société patriarcale, la


création de l’homme précède celle de la femme, et ainsi le mythe décrit
dans la Genèse prétend que la femme fut conçue à partir d’une côte de
l’homme ». Ce récit de la Genèse vient ainsi au service du mâle.
Et pourtant les Ecrits Apocryphes chrétiens, font référence au principe de
l’androgyne primordial qu’avaient repris les gnostiques valentiniens. Créé
bisexué à l’origine, l’homme fut séparé en deux après la chute, partie mâle,
partie femelle. Au contraire, les égyptiens croient que « sans la matrice
féminine en première origine, à l’instar de la matrice de la création, il ne
peut y avoir de naissance ». Isis est donc la Déesse Mère et ainsi le sera
Marie.

 Noël et Pâques, fêtes égyptiennes. Jésus et Osiris, les deux


frères prophètes.
Aussi, « le Noël chrétien fixé le 25 décembre au cours du IVe siècle est
calqué sur la naissance d’Horus commémoré le même jour par un décret
de Ptolémée III en 238 avant notre ère ». Il en est de même avec le culte.
L’auteur mentionne par exemple que la fête des rameaux était pratiquée en
Egypte pour fêter Isis, et la fête de la Pâques symbolisait la mort et la
résurrection du Dieu Osiris.

Cette fête est encore commémorée de nos jours par les coptes et les
musulmans en Egypte. C’est le lundi de Pâques, la Sham an-Nassîm, une
fête commune aux anciens égyptiens, ainsi qu’aux chrétiens et musulmans.
Les textes des Sarcophages mentionnent par ailleurs la célébration de la
semaine sainte au moment de la Pâques pour l’inhumation d’Osiris.

Ces fêtes coïncident de manière étonnante, dans le courant du mois


d’avril.Toujours selon le Professeur Sarwat Anis Al-Assiouty qui cite Ibn
Manzûr, le terme Pâques est dérivé de l’égyptien « fasekh » ou « fasîkh » en
arabe, signifiant « disloqué » et fait d’une part référence à la mort d’Osiris
disloqué et d’autre part au nom du poisson purifié par le sel, mangé par les
Egyptiens à la Sham an-Nassîm.
Jésus sur la croix eut aussi ses os disloqués, et on fait par là référence à
des notions osiriennes similaires.

 Symbolisme de la croix et communion


A propos du symbolisme de la croix on peut être étonné de la similitude
entre la forme de la croix comme celles qui surplombent les dômes de
certains monastères établis en Egypte à cette époque, et l’hiéroglyphe en
forme de croix représentant la lettre N dans le mot égyptien « Inedj ». Et ce
n’est pas étonnant.

Déjà dans le troisième millénaire avant notre ère, le symbole de la croix


trouve ses racines en Egypte, un symbole d’Osiris et la croix ansée, Ankh,
un symbole de vie éternelle. Tout comme le poisson est un symbole
d’Osiris mentionné par ailleurs dans le Papyrus du Louvre. L’historien
signale aussi que la communion par les deux espèces, le pain et la boisson
est reprise d’un rite isiaque signalé par les Textes des Pyramides et Textes
des Sarcophages, alors que même la signification profonde de ce rite
sacrificiel « manger la chair du corps d’Osiris » est reprise dans un hymne
du IIIe millénaire avant notre ère.

Ainsi, manger la chair et le sang d’Osiris, nourriture sacrée insuffle à


nouveau la vie. Comme le dit l’historien, la dernière Cène ne présente pas
les caractéristiques d’une Pâque juive. Elle n’est en effet pas marquée par
le rite juif, vu l’absence de sacrifice animal et de sang.

 La résurrection
C’est en Egypte qu’est apparue pour la première fois, l’idée de l’immortalité
de l’âme! Avec le nouvel oppresseur romain rejaillit le mythe du dieu Osiris
avec la résurrection comme espérance de renaissance dans un monde plus
juste. Le symbole de la résurrection fut transmis à travers les millénaires
par la pensée égyptienne et devint par après un éminent symbole chrétien.
Plutarque nous l’a enseigné, écrit encore le Professeur Sarwat ; des
cérémonies rituelles célébraient deux fois par an, notamment au printemps,
la mort puis la résurrection d’Osiris au troisième jour. Ce rituel s’est ensuite
poursuivi sous la chrétienté. Les thèmes du jugement et de la résurrection
possèdent aussi des origines égyptiennes qui furent reprises dans le
christianisme et l’islam.

Ils existent de même dans le bouddhisme. Le jugement par la pesée de


l’âme du défunt devant Maât et Anubis rendra compte du poids des actes
avec une perspective dualiste. Ils seront bons ou mauvais et après la pesée
de l’âme surviendra la résurrection. Si celle-ci est prochaine chez l’Egyptien,
elle est remise à la fin des temps dans le christianisme.

Les lieux où séjourneront les âmes après la pesée sont définis par les
Textes des Sarcophages et le Livre des Morts deux millénaires avant notre
ère. Ils seront d’une part le paradis dans lequel les âmes seront les «
consacrées, glorifiées et récompensées d’Osiris ». D’autre part, les âmes
condamnées pour leurs actions répréhensibles seront livrées dans le
brasier au feu éternel, au sein duquel rôdent les démons et les ennemis.

 Le baptême
Le baptême isiaque avec immersion dans l’eau, symbole de renaissance,
déjà pratiqué dès le troisième millénaire avant notre ère, s’est perpétué
sous la domination romaine de même que d’autres rituels, attestés par
Apulée, comme le repas en commun, la confession et la prière.

En effet, le rituel du baptême par immersion dans l’eau était pratiqué


depuis longtemps en Egypte par les prêtres égyptiens. Il comporte un
cérémonial semblable à la liturgie dans le culte d’Isis, adopté ensuite par
les judéo-chrétiens et naturellement par la communauté copte, dont le
jeûne, la prière, le renoncement à la vie de pécheur, l’imposition des mains,
l’immersion purificatrice et la renaissance symbolique.
Des statues de l’enfant Horus montrent ce rituel isiaque, qui fut à nouveau
repris dans l’art chrétien primitif dans le courant du deuxième siècle de
notre ère, mais en substituant Jésus-Îsâ à Horus.

 La trinité
La trinité égyptienne ou osirienne met en lumière une triade, un rapport
entre deux termes complémentaires, Isis la femme et Osiris l’homme,
nécessaires l’un à l’autre et l’un pour l’autre, et la création ou
l’engendrement de cette entente, soit l’enfant Horus. Dans celui-ci, Isis est
aussi Mère du monde, Force productrice de Vie, tout comme l’est Maria.

On peut établir un rapport entre la trinité égyptienne représentée par la


famille avec Osiris le Père, Isis la Mère et Horus le Fils, et puis la trinité
chrétienne représentée par le Père, le Fils et le Saint Esprit. Dans la gnose
chrétienne, les Pères de l’Eglise assimilaient d’ailleurs Maria à l’Esprit-Saint,
la Mère de toute vie, l’Image de l’Esprit Invisible représenté par la colombe
de paix.

L’Esprit- Saint apparaît comme une Quintessence. Cette gnose souscrirait


donc au principe de la trinité familiale « d’engendrement » des premiers
chrétiens, mais avec une permutation entre deux termes. Le Père est
complémentaire de « Maria l’Esprit-Saint », et engendre le Fils. Cette notion
trinitaire familiale du Père, de la Mère et de l’Enfant était donc acceptée par
les Pères de l’Eglise

D’autre part, les écrits apocryphes chrétiens mentionnent Origène à propos


d’un commentaire sur Jean, dans lequel Jésus précise que sa mère est
l’Esprit-Saint: « Le Sauveur a dit: Il n’y a qu’un instant ma mère, qui est le
Saint-Esprit, m’a enlevé par un de mes cheveux et transporté sur la grande
montagne du Thabor ».
C’est dire qu’à la fois, la gnose chrétienne, osirienne, et Jésus-Îsâ
s’entendent pour spécifier que le Fils est le Troisième des Trois, issu de
Yosef le Père et de Maria, la Mère Saint-Esprit. La gnose des chrétiens
Arabes de Najrân va même se rallier à cette vue. Et ceci à l’encontre du
dogme catholique romain.

 Etude comparative entre la Bible Chrétienne et la Bible


Originale.
Lectures de textes et comparaison « A propos des copies opérées par la
Bible de Textes Sacrés Africains anciens, le professeur Thierry Maire a
constaté à partir des travaux du professeur E. Drioton, que le rédacteur
biblique des Psaumes, a tout simplement traduit dans sa langue, les «
Enseignements » écrit sur papyrus, d’un grand Sage Africain du nom
d’Aménémopé (de son vrai nom « Amen-Hotep », soit « Dieu est en paix ».

Cette première version de la Bible Originale des temps contemporains des


éditions Méryt-Ptah Pasashatou (Rapportée Par Dodji Mahouignito
Djehouty Olou), version 2021, vous restitue une bonne partie des textes
sacrés qui ont précédé les religions abrahamiques et quiont été plagiées
ou volés afin de confectionner plusieurs millénaires après la Torah, la Bible
chrétienne et le Coran.

Voici la Vraie Bible, la Bible de Dieu, la Bible Originale qui est divisée en 2
grandes parties : Une 1ère grande partie intitulée Testament Scientifique et
spirituel, et une 2eme grande partie intitulée Testament Historique.

Le Testament Scientifique et Spirituel est composé des 5 livres suivants :

 1 -Livres de la genèse
 2 - Livres De La Loi, de la vie après la « mort » et de la transfiguration
du défunt

 3 - Livre des proverbes


 4 - Livre de la sagesse et des évangiles de Dieu selon les Saints
 5 - Livre des psaumes et des « Prières ».

 Quant au Testament Historique, il est constitué du Livre


Des Rois, Des Reines Et Des Chroniques. Livre De La
Sagesse Et Des Evangiles De Dieu Selon Les Saints
Chapitre 7 Livre de la Sagesse et de l’Evangile de Dieu selon
Saint ménémopé.
Verset 57 - Ne t'endors pas en t'inquiétant du lendemain… L’homme ignore
ce que sera demain…C’est une chose les idées des hommes, C’en est une
autre les desseins de Dieu…

Il n’y a pas de réussite au regard de Dieu…Mais il n’y a pas non plus d’échec
à ses yeux. Si l’homme se met en position de rechercher la réussite, En
l’espace d’un instant, il la perd. Aie l’esprit grave, affermis ton cœur. Ne
gouverne pas avec ta langue. La langue d’un homme est le gouvernail d’un
bateau, Mais c’est le maître éternel qui en est le pilote.

La Bible chrétienne va plagier ce verset des textes sacrés africains : « Ne


vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-
même. À chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6:34. À propos des
Proverbes allant de 22 à 24, lorsque Aménémopé écrit : « N’emploie pas
pourta balance de faux poids », la Bible (Proverbes 20, 23) reprend : « La
balance fausse n’est pas une bonne chose ».

Aménémopé dit encore « Donne tes oreilles, écoute ce qui est dit. Donne
ton cœur pour l’interpréter. Il est utile de les mettre en ton cœur », la Bible
copie (Proverbes 22, 17, 19) :« Prête l’oreille et écoute les paroles des
sages. Applique ton cœur à ma science ».
Aménémopé ajoute : « Mieux vaut la pauvreté de la main de Dieu que les
richesses dans un grenier » et la Bible reprend (Proverbes 22, 1, 2) : « La
réputation est préférable à de grandes richesses. Et la grâce (divine) vaut
mieux que l’argent et l’or ». etc… Amenémopé, n’est pas le seul à s’être fait
plagier.

Prenons encore un Texte du Sage Ptahhotep qui dit ceci : « Les plans de
l’homme ne sont jamais réalisés mais ce sont ceux que Dieu ordonne qui
se produisent ». Nous avons bien, reconnait officiellement la célèbre
spécialiste Christiane D. Noble court, un proverbe biblique qui s’en est
inspiré en disant: « L’esprit de l’homme trace sa route mais Yahvé dirige
ses pas ».

 Livre des Psaumes, Chapitre 4– Prière du matin à Dieu


Amon-Râ) Hymne se trouvant sur une stèle du pharaon
Amenhotep III, stèle numéro 88-1176
 Verset 1 – Ô Amon-Râ
 Verset 2 – Tu es l’Unique,
 Verset 3 – Tu es l’être qui a existé avant toute autre forme
d’existence,

 Verset 4 – Qui a créé le ciel


 Verset 5 – Qui a créé la terre
 Verset 6 – Qui ne cesse de donner le pain du jour à tout un chacun
 Verset 7 – Car la terre vit de tout ce que tu as créé
 Verset 8 – Toi qui donne tout ce qui paraît sur la table
 Livre Des Psaumes Et Des « Prières », Chapitre 2– Hymne à
Amon-Rê-Prière à faire le matin face au soleil - Extrait du
papyrus hiératique 3049 de Berlin p. VIII, lignes A 1-7, XXIIe
dynastie, vers 945-715 avant l’ère chrétienne
 Verset 1 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Le radieux, maître des
transformations, multiples d’aspects, Les cœurs sont remplis de ton
amour !

 Verset 2 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Soleil né du ciel, qui a


créé la terre, qui a créé les eaux et les montagnes, Qui a donné la vie
à tous les êtres !

 Verset 3 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Tu as illuminé la terre


plongée dans les ténèbres, Tu as surgi hors du Noun. Hommes et
divinités sont venus à ta suite.

 Verset 4 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Le puissant, aux noms


multiples, que nul ne connaît, Celui qui nous regarde de loin, mais qui
reste proche pour nous entendre.

 Verset 5 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Aux bras vigoureux,


Seigneur de la force, prompt à la colère, L’irritable qui terrasse ses
ennemis !

 Verset 6 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Le miséricordieux


Seigneur des bienfaits, riche d’amour et de bonté, Qui écoute les
plaintes, émanant de celui qui l’appelle !

 Verset 7 - Que tu sois acclamé, Ô Amon-Rê ! Qui a engendré tous les


hommes, qui a crééleur nourriture. L’unique, le fort qui fait vivre ! Il ne
se lasse pas !
 Livre de la Genèse, Chapitre 5 -Passion d’Ousiré après un
souper, l’eucharistie
 Verset 1 – « La nuit où il allait mourir, le Roi et Seigneur Ousiré, pris
le pain, prononça la bénédiction, le consacra en son nom de Seigneur
de la Nourriture Divine, le rompit et le donna à ses 12 compagnons en
disant : «Mangez, ceci est la chair d’Ousiré, le fils de Dieu… Faites cela
en mémoire de moi »

À ce propos, le chercheur Sâ Osirê affirme : « Dans l’antiquité pharaonique,


le corps de l’eucharistie représentait symboliquement Ousiré. Rompre le
pain correspondait au fait delibérer la puissance d’Ousiré qui permettait au
prêtre Kémites d’effectuer le passage de lavtie vers la vie éternelle.

L’énergie d’Ousiré résidait en fait pour les prêtres kémites dans le blé. Le
pain et le fait de le rompre représentaient symboliquement sa passion ou
sa souffrance, étant donné que cette souffrance d’Ousiré se retrouve dans
le corpus théologique kémite qui explique que Seth avait tué Osiris puis
l’avait dépecé en plusieurs morceaux.

En découpant Ousiré en plusieurs morceaux ou plutôt le fait de rompre le


pain son esprit se libérait et devenait ainsi lumière céleste, solaire,
spirituelle et divine. Les prêtres kémites, pour parfaire leur rite sacré, le
complétait également par du vin, symbole du sang d’Ousiré, Ousiré étant
associé à la vigne et au blé. Il n’est donc pas étonnant que ce rituel fût à
son honneur à l’origine.

Ainsi le prêtre chrétien du quartier qui lors du service de la communion du


dimanche coupe le pain du supposé corps du Christ indo-européen et le
partage en plusieurs morceaux aux fidèles afin que ces derniers puissent
rentrer dans la lumière de Jésus ignore totalement que l’Eglise n’a fait
qu’adopter ce vieux concept de Kemet qui appartenait autrefois à Ousiré,
fils d’Imana ».
Ceci sera plagié par le christianisme pour inventer le mythe des 12
disciples d’un certain Jésus. Texte de la pyramide d'Ounas, 2350 ans avant
l’ère chrétienne, neuvième et dernier souverain de la Ve dynastie de l'Égypte
sous l'Ancien Empire. Il est évident que « Jésus » n’aurait pas pu inventer
une scène spirituelle qui existait plus de 25 siècles avant lui.

Cette scène sera plagiée par le christianisme plus de 2000 ans plus tard : «
Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le
rompit et, le donnant aux disciples, il dit : « Prenez, mangez : ceci est mon
corps ». Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, en
disant : « Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé
pour la multitude en rémission des péchés » (Matth. 26.26-28).

«L’apôtre Paul écrit dans sa première lettre aux Corinthiens : « la nuit où il


était livré, le Seigneur Jésusprit du pain, puis, ayant rendu grâce, il le rompit,
et dit : « Ceci est mon corps, qui est pourvous. Faites cela en mémoire de
moi. » Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant : « Cette
coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en
boirez, faites cela en mémoire de moi. » (1. Co 11.24-25) »

 Verset 2 - Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur
donna, en disant: «Buvez, ceci est le propre sang d’Ousiré… Chaque
fois que vous en boirez, faites cela enmémoire de moi »
 Verset 3 -« Ousiré connaît son heure et sait qu’il a vécu sa période de
vie… Ousiré a peur. Ousiré a la terreur de marcher dans les ténèbres…
Ceux qui veulent se défaire de moi et mefaire du mal sont les fils des
ténèbres »

Texte de la pyramide d'Ounas, 2350 ans avant l’ère chrétienne, neuvième et


dernier souverain de la Ve dynastie de l'Égypte sous l'Ancien Empire. Il est
évident que « Jésus » n’aurait pas pu inventer une scène spirituelle qui
existait plus de 25 siècles avant lui. Pyramide d’Ounas et pyramide de
Hounefer. « Les papyrus d’Ani et de Hunefer nomment Osiris « seigneur de
justice » (Maat) « seigneur saint », comme on appellera Jésus. Ils parlent
du serpent humain Sata ou Seth, qui donnera le Satan chrétien. Ces mêmes
papyrus mentionnent les Fils des Ténèbres et évoquent la passion d’Osiris
après

 Verset 4 -« Père d’Ousiré ! Atoum dans les ténèbres ! Prends Ousiré à


tes côtés ! »

 Verset 5 - Plus tard, quand les fils des ténèbres viennent capturer
Ousiré, il leur dit : « Je suis votre Seigneur. Venez prendre place dans
mes rangs. Je suis le fils de votre Seigneur et vous m’appartenez par
mon divin père qui vous a enfantés… Je suis le Seigneur de la Vie»

 Verset 6 - Et Ousiré continue : « Puissent ma chair et mes membres


ne pas être tailladés à-coup de couteau ! Puissé-je ne pas être fouetté

 Verset 7 -« Oh ! Ne m’enchaînez pas à votre gibet de mort ! Ne


m’entraînez jusqu’au lieu des supplices, où mes ennemis immolent
leurs victimes ! »

 Verset 8 - « Pépi vient à toi, Ousiré! Puisse-t-il essuyer ton, visage ! »


(Répété quatre fois)

 Verset 9 -Et près de mourir, le roi murmure : « Mon cœur ! Ma mère !


Mon cœur ! Ma mère! »

 Verset 10 - Ousiré, fils de Râ (Dieu), énergie des morts qui redonne la


vie, mort sur la croix de la spirale, ressuscité le 3ème jour, justifié par
son fils l'enfant divin Herou, lui-même né de la sainte mère Aïssata.

 Verset 11 - «O Seigneur de l’éternité, Maitre de l’Amenti (demeure des


justes), gardien dela grande salle des deux Maât (Harmonie), tu es né,
mort, ressuscité et réincarné pour guider le troupeau de Râ sur les
chemins radieux de la Maât ! »

Ainsi dans l’Amdouat (« ce qu'il y a dans la Douât » (c'est-à-dire dans le


monde souterrain)), nous pouvons lire : « O Seigneur de l’éternité, Maitre de
l’Amenti (demeure des justes), gardien de la grande salle des deux Maât, tu
es né, mort, ressuscité et réincarné pour guider le troupeau de Râ sur les
chemins radieux de la Maât ! »

 Verset 12 - Ousiré ressuscité, devient le fils de Dieu Rédempteur qui


sauve l'humanité, il descendit dans l’Amdouat afin de juger les ba
(âmes) des défunts. Il est le Mort-Roi, fils du Grand Dieu Rê (Atoum)
et de la déesse-ciel Anouté. « La mère du mort-roi, qui est dans le
monde sous-céleste, fut grosse de lui après que le mort-roi fut
engendré par son père Atoum, quand il n'y avait ni ciel, ni terre, ni
homme, ni naissance de neterou, ni morts ».

 Verset 13 - « Le mort Ousiré est Orion, il parcourt la double terre dans


le voyage de son disque parmi les neterou du ciel, grâce à la mère
Anouté, qui l'a conçu en Ousiré, être bon; son bien-aimé ; tout
enfantement est reçu d'elle » »

 Verset 14 – « Herou fut engendré par Ousiré temporairement


régénéré. Il vengea la mort deson père en tuant Southé puis monta
sur le trône. Ousiré vécut au-dessus de l'enfer et régit les règles des
morts mais il était également considéré par Herou comme la source
de vie remplacée.

Ousiré est aussi le "Seigneur de la montagne de l'Amenti" (lieu où se créent


les âmes), il y régit la résurrection de l'âme en "âme lumineuse". « Je
connais ce fils de Dieu qui y réside. Qu'est cela ? C'est Ousiré, autrement dit,
l'adoration de Râ est son nom, le ba de Râ est son nom ; c'est celui qui
s'unit à lui-même. Je suis le Grand Benou qui est dans Iounou, je suis
Ousiré… ». « Je suis l'Oiseau Bénou, l'Âme/cœur de Rê, le Guide des neterou
vers la Douât ».

 Verset 15 - Ousiré est le symbole de la Vérité, de la Justice et de la


Lumière car il a reçu la double couronne (appelée Ureret c'est-à-dire
celle représentant l'union du sud et du nord) au ciel en présence du
Seigneur suprême depuis la création du monde.

Devant lui se présente le défunt qui doit se justifier et apporter la preuve de


son innocence. Après une existence terrestre, l'âme doit entrer dans la salle
de la vérité et séparer l'homme de ses péchés afin qu'il voit la face des
neterou.
L'âme connaît le nom du Dieu grand, le maitre de la vérité et des 42 juges
du tribunal d'Ousiré. Je viens à toi seigneur du pays sacré, Ousiré, régent
d'Abdjou! Je fus un juste sur terre. J'ai accompli la justice, exempt de faute ;
fait que je sois glorifié dans le ciel, puissant surterre, justifié comme le
seigneur de l’Amdouat. Que mon baï (âme) sorte pour aller dans lelieu qu'il
désire étant moi-même comme les neterou qui sont à ta suite ».

 Livre Des Psaumes Et Des « Prières », Chapitre 7 – Prière


du midi-Grand Hymne à Dieu (Aton)
Le Grand Hymne à Aton, en exemplaire unique, est gravé dans la tombe de
Aÿ, dans le couloir d’entrée, alors qu’il existe plusieurs exemplaires du Petit
Hymne à Aton. L'Hymne à Aton a été rédigé par Amenhotep IV / Akhénaton
et date du 14ème siècle avant l’ère chrétienne. Le Psaume 104 de la Bible
est un plagiat de cet hymne africain.

 Verset 1 - Tu apparais dans la perfection de ta beauté Dans l'horizon


du ciel, Disque vivant, Créateur de Vie, Tu te lèves dans l'horizon
d'orient.

Dans un hymne au principe divin datant du 14ème siècle avant l’ère


chrétienne, le Nézout(pharaon) Akhenaton (vers -1371/-1365 et mort vers -
1338/-1337) déclare : « Ô Dieu Unique, qui n’a point d’autre au-dessus de lui
». Le Psaume 104 de la Bible est un plagiat de l’hymne d’Akhenaton. On y lit
: « Ô Dieu Unique, qui n’a point d’autre au-dessus de lui»

 Chapitre 4– Trame de la naissance de l’enfant divin


 Verset 1 -Aïssata et l’enfant divin Herou
 Verset 2 – Dieu prend conscience et connaissance de la future
femme qu’il a choisie pour enfanter l’enfant divin, le futur roi. Les
étapes de la naissance de l’enfant divin sont retranscrites sur les
murs et les fresques de l’Egypte pharaonique au temps de la pharaon
Hatchepsout, la femme la plus puissante de l’Antiquité, « la femme
noire la plus influente dans l’histoire humaine ».
 Verset 3 – L’immaculée conception : Dieu assis en face de celle qui
doit tomber enceinte s’unit spirituellement à elle et insuffle la vie du
nouvel enfant divin dans son sein…
 Verset 4 – Dieu façonne l’enfant dans le sein de sa mère.
 Verset 5 – Dieu modèle l’enfant physiquement et spirituellement
dans le sein de sa mère.
 Verset 6 – L’annonciation.
Dieu dit à la femme qui a été choisie : « Mon fils Wosiré est désormais
dans ton sein. Ne crains rien à ce propos. Tu es celle que j’ai choisie pour
aider à sauver encore une fois l’humanité malgré eux. Wosiré sera le signe
de ma puissance et de ma bonté. Ainsi soit-il fait… »
 Verset 7 – La visitation. La Bible (Luc 1, 26-38) reprend : « Sois
joyeux, toi qui as la faveur de Dieu. Le Seigneur est avec toi. Voici que
tu vas être enceinte. Tu enfanteras un fils et tu lui donneras le nom de
Jésus. L’esprit saint viendra sur toi et la puissance du très haut te
couvrira de son ombre… ». L’expression « te couvrir de son ombre »
est une expression de l’Egypte pharaonique. Le Nézout (Pharaon) de
la XXVe dynastie nommé Piânkhy ou Piye (-752 à -721 ou -747 à -716)
a fait usage de cette expression.
 Verset 8 – La naissance de l’enfant divin.
 Verset 9 – Dieu bénit l’enfant divin.
 Verset 10 – La présentation aux ancêtres et au temple.

 Verset 11 – Imana sous sa forme masculine, gravure en 3


dimensions, temple de la reine sacrée Hatchepsout.

 Verset 12 – Buste de la reine sacrée Hatchepsout.


 Verset 13 – Commentaires :Plusieurs étapes de la naissance de
l’enfant divin ont été copiées et plagiées par le christianisme.

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