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Table de la matière
Partie I – Le contexte
Partie II : Jésus l’Egyptien
Rubrique : Chercheurs de Vérité
Sous-titre : Dogme et culte chrétiens empruntés à
la religion d’Isis.
Sous-titre : Dogme et culte chrétiens empruntés
à la religion d’Isis.
L’historien et docteur en droit égyptien, le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty
développe une intéressante argumentation sur ces sujets dans ses «
Recherches comparées sur le Christianisme Primitif et l’Islâm Premier »,
les « Origines Egyptiennes du christianisme ». Ces emprunts sont
nombreux : le principe monothéiste, l’iconographie de Isis-Horus versus
Marie-Jésus, la Trinité isiaque et chrétienne, la mort et la résurrection, la
fête de Pâques et de Noël, fête des rameaux commémorent des
événements concernant Osiris, la communion par les deux espèces, la
prière…
Introduction
L’énoncé « Origines égyptiennes du christianisme » est clair. Si d’aucuns
prétendent aux origines juives du christianisme et d’ainsi souscrire à des
sources judéo-chrétiennes, c’est oublier ou méconnaître des pans de
l’histoire pour certains, les renier pour d’autres.
Le Dieu « Aton » est éternel. Il n’a ni début ni de fin, comme l’énoncent les
Textes des Sarcophages. Il est « ce qui a été, ce qui est, et ce qui sera »
comme l’indique la cosmogonie de Isis et Osiris, transmise par Plutarque,
conviction aussi reprise par les chrétiens dans leur profession de foi.
D’autre part, « le Dieu unique est vivant », comme le déclarent encore les
chrétiens dans leurs prières, en répétant en cela « l’Hymne universaliste
d’Akhenaton à Aton ».
Il fait la lumière et les ténèbres » ; ces phrases sont reprises dans les
Instructions de Mérikarè vers le XXII e siècle avant notre ère, et dans la
Genèse 1, verset 3. Enfin, dans les mêmes Instructions de Mérikarè à
propos de la création de l’homme, on va retrouver dans la Bible, la Thora et
le Coran, la semblable conception de l’homme créé à l’image de Dieu.
Cette fête est encore commémorée de nos jours par les coptes et les
musulmans en Egypte. C’est le lundi de Pâques, la Sham an-Nassîm, une
fête commune aux anciens égyptiens, ainsi qu’aux chrétiens et musulmans.
Les textes des Sarcophages mentionnent par ailleurs la célébration de la
semaine sainte au moment de la Pâques pour l’inhumation d’Osiris.
La résurrection
C’est en Egypte qu’est apparue pour la première fois, l’idée de l’immortalité
de l’âme! Avec le nouvel oppresseur romain rejaillit le mythe du dieu Osiris
avec la résurrection comme espérance de renaissance dans un monde plus
juste. Le symbole de la résurrection fut transmis à travers les millénaires
par la pensée égyptienne et devint par après un éminent symbole chrétien.
Plutarque nous l’a enseigné, écrit encore le Professeur Sarwat ; des
cérémonies rituelles célébraient deux fois par an, notamment au printemps,
la mort puis la résurrection d’Osiris au troisième jour. Ce rituel s’est ensuite
poursuivi sous la chrétienté. Les thèmes du jugement et de la résurrection
possèdent aussi des origines égyptiennes qui furent reprises dans le
christianisme et l’islam.
Les lieux où séjourneront les âmes après la pesée sont définis par les
Textes des Sarcophages et le Livre des Morts deux millénaires avant notre
ère. Ils seront d’une part le paradis dans lequel les âmes seront les «
consacrées, glorifiées et récompensées d’Osiris ». D’autre part, les âmes
condamnées pour leurs actions répréhensibles seront livrées dans le
brasier au feu éternel, au sein duquel rôdent les démons et les ennemis.
Le baptême
Le baptême isiaque avec immersion dans l’eau, symbole de renaissance,
déjà pratiqué dès le troisième millénaire avant notre ère, s’est perpétué
sous la domination romaine de même que d’autres rituels, attestés par
Apulée, comme le repas en commun, la confession et la prière.
La trinité
La trinité égyptienne ou osirienne met en lumière une triade, un rapport
entre deux termes complémentaires, Isis la femme et Osiris l’homme,
nécessaires l’un à l’autre et l’un pour l’autre, et la création ou
l’engendrement de cette entente, soit l’enfant Horus. Dans celui-ci, Isis est
aussi Mère du monde, Force productrice de Vie, tout comme l’est Maria.
Voici la Vraie Bible, la Bible de Dieu, la Bible Originale qui est divisée en 2
grandes parties : Une 1ère grande partie intitulée Testament Scientifique et
spirituel, et une 2eme grande partie intitulée Testament Historique.
1 -Livres de la genèse
2 - Livres De La Loi, de la vie après la « mort » et de la transfiguration
du défunt
Il n’y a pas de réussite au regard de Dieu…Mais il n’y a pas non plus d’échec
à ses yeux. Si l’homme se met en position de rechercher la réussite, En
l’espace d’un instant, il la perd. Aie l’esprit grave, affermis ton cœur. Ne
gouverne pas avec ta langue. La langue d’un homme est le gouvernail d’un
bateau, Mais c’est le maître éternel qui en est le pilote.
Aménémopé dit encore « Donne tes oreilles, écoute ce qui est dit. Donne
ton cœur pour l’interpréter. Il est utile de les mettre en ton cœur », la Bible
copie (Proverbes 22, 17, 19) :« Prête l’oreille et écoute les paroles des
sages. Applique ton cœur à ma science ».
Aménémopé ajoute : « Mieux vaut la pauvreté de la main de Dieu que les
richesses dans un grenier » et la Bible reprend (Proverbes 22, 1, 2) : « La
réputation est préférable à de grandes richesses. Et la grâce (divine) vaut
mieux que l’argent et l’or ». etc… Amenémopé, n’est pas le seul à s’être fait
plagier.
Prenons encore un Texte du Sage Ptahhotep qui dit ceci : « Les plans de
l’homme ne sont jamais réalisés mais ce sont ceux que Dieu ordonne qui
se produisent ». Nous avons bien, reconnait officiellement la célèbre
spécialiste Christiane D. Noble court, un proverbe biblique qui s’en est
inspiré en disant: « L’esprit de l’homme trace sa route mais Yahvé dirige
ses pas ».
L’énergie d’Ousiré résidait en fait pour les prêtres kémites dans le blé. Le
pain et le fait de le rompre représentaient symboliquement sa passion ou
sa souffrance, étant donné que cette souffrance d’Ousiré se retrouve dans
le corpus théologique kémite qui explique que Seth avait tué Osiris puis
l’avait dépecé en plusieurs morceaux.
Cette scène sera plagiée par le christianisme plus de 2000 ans plus tard : «
Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le
rompit et, le donnant aux disciples, il dit : « Prenez, mangez : ceci est mon
corps ». Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, en
disant : « Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé
pour la multitude en rémission des péchés » (Matth. 26.26-28).
Verset 2 - Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur
donna, en disant: «Buvez, ceci est le propre sang d’Ousiré… Chaque
fois que vous en boirez, faites cela enmémoire de moi »
Verset 3 -« Ousiré connaît son heure et sait qu’il a vécu sa période de
vie… Ousiré a peur. Ousiré a la terreur de marcher dans les ténèbres…
Ceux qui veulent se défaire de moi et mefaire du mal sont les fils des
ténèbres »
Verset 5 - Plus tard, quand les fils des ténèbres viennent capturer
Ousiré, il leur dit : « Je suis votre Seigneur. Venez prendre place dans
mes rangs. Je suis le fils de votre Seigneur et vous m’appartenez par
mon divin père qui vous a enfantés… Je suis le Seigneur de la Vie»