Vous êtes sur la page 1sur 8

1.3.

Flottage

le procédé de flottage consiste à obtenir Un ruban de verre puis à déposer celui-ci à l'état
ramolli sur une surface libre d’un bain d’étain fondu. La face en contact avec le bain acquiert
une planéité et la face opposée, est rendu parfaitement plane. À l’action de la tension
superficielle qui tend à étaler le ruban de verre sur le bain.

Pour éviter l'oxydation du bain l'atmosphère doit être neutre. Une quantité déterminé de vers
fondu appelé par raison et introduit dans un moule et pressé. Les moules sont en acier
Spécial et là surface Sont chromées.

2. Verre creux

2.1. Pressage

Ici on commence généralement par une ébauche dans un moule Et cette ébauche est ensuite
transférée dans un moule Définitif ou aura lieu le soufflage.

Par soufflage on peut réaliser les verres pressés et souffler, Les Verts soufflés soufflés, Le
verre injecté Et souffler.

3. fibre de verre

3.1. Etirage mécanique

Le procédé comporte un four chauffé électriquement dont le four est percé de petite orifices .
Le verre issu de ces orifices est étiré en fibre qui s’enroulent sur un tambour Mis en rotation
Rapide.

Les films obtenu sont beaucoup plus fines 3 à 10 micro mettre de diamètre avant le moulage.
Les feuilles sont ensimer c’est-à-dire coller à entre elles par adjointion d’un produit plastique.

3.2. Étirage centrifuge

D’ici la fusion est réalisée au cubilot (haut fourneau) Ensuite on laisse tomber un filet de
liquide 2 viscosités 3 à 10 pascales 2nd sur la périphérie d'un disque elle ne talque tournons à
grande vitesse autour d'un accès horizontal. Les gouttes de verre projetées tombent sur un
autre disque tournant autour d’axes parallèles Mais en sens inverse Puis sur un 3 e Tournant
dans le même sens que le premier.
3.3. Étirage par les fluides

 La flamme.

Les baguettes De vin de un millimètre. Sont lentement poussé dans un gel horizontal de gaz
chaud émanant d’un brûleur à combustion interne. Quand il pénètre dans la flamme, Le verre
de l’extrémité des baguettes est fondu Et étirer par le gaz Il se forme un flot de filaments de
laine fine Sur lequel on projette un aérosol Contenant un liant destiné à apporter la résilience
au tapis de fibre.

Le procédés d’étirage à la flamme a l’avantage de Produit des fibres De grandes finesses. Et


comme inconvénient elle consomme beaucoup d’énergie. L’une des applications les plus
importante De la laine de verre Produite par ce procédé est l’isolation thermique des avions.

 Vapeur

Ce procédé permet Le produire des fibres plus ou moins longues.. Le filet de Vendre vendu
est étiré pas un jet de vapeur Sur auto pression orientée dans le même sens Que le filet.

4. vers particulier

 fibre optique

on distingue 2 grandes catégories de fibres optiques, La fibre pour instrumentation Et la fibre


pour télécommunications.

La fibre optique et obtenu par étirage d'une réforme ou bien par étirage du verre fondu.

Pour la préforme, on va Chauffer par induction Alors que pour le vin fondu on va chauffer
par effet joule.

 Les vitraux céramiques

Ce sont des matériaux dont l’obtention est analogue à celle des verts lors de la phase de
fusion Et de formage Mais qui subissent des traitements ultérieurs ( céramisation et
dévitrification) De façon à les transformer en matériau cristallin. Elle nécessite la présence
d’agents de nucléation Tel que l’oxyde de titane, l'oxyde de zirconium, les sulfures et les
phosphates pour assurer la cristallisation interne.
Chapitre 2 : LES CÉRAMIQUES

L’industrie des céramiques se refaire au groupe argileux (porcelaines, Faïence, sanitaire,


poterie, réfractaire, Carreaux, brique) Qui tiennent à haute température.

Les aptitudes à supporter les hautes températures et à résister à des agressions chimiques, leur
confère un avantage appréciable vis-à-vis des métaux et alliages dans de nombreux domaines
d'applications industrielles.

I. Composition

La distinction entre les céramiques traditionnelles (Carreaux sanitaire poterie et tuile Destiné
aux bâtiments et aux usages domestiques et le céramique nouvelle technique,, électronique,
armement, nucléaire, et biomatériaux, apparaît essentiellement dans la nature des matières
première. Dans les céramiques nouvelles, les matières premières sont essentiellement
d'origine synthétique. Ces matières sont préparées par voie chimique Et sont généralement des
oxydes purs Telle que la…

Dans le cas de céramiques traditionnelles, Les matières premières sont constituées.

1. L’argile

c'est un matériau plastique malléable Quand il est humidifié il est rigide à sec et vitreux
quand il est chauffé à température adéquate.

Il existe plusieurs espèces des matériaux argileux :

 Kaolinite
 Illite
 Mont manillonite
2. Feldspath

C’est un matériau qui ont raison de sa réaction à la cuisson joue le rôle de fondant. Il existe
de nombreux feldspaths dont les principaux sont :

 Orthose (K2O, Al2O3 4SiO2 )


 Albite (Na2O Al2O3 6SiO2)
 Anorthite (CaO Al2O3 2SiO2

Les céramiques sont fragiles, elles ont une faible ténacité à des températures élevées.

Comme propriété électrique, ce sont des isolateurs, des semi-conducteurs, (Électrode). les
céramiques sont aussi utilisées comme thermistance et résistor Pour leur propriétés
thermiques.

II. Technologie des céramiques.

La séquence de la technologie des céramiques classiques est la suivante :

 Mélange des minéraux mise en forme à température ambiante


 Synthèse du matériau et frittage simultané.

Lors de la phase pure qui est le mélange de matériaux, On dose, on conditionne le mélange
pour obtenir un état technologique adapté à la mise en forme.

Lors de la phase de mise en forme, c'est l'obtention d'une ébauche qu'on peut obtenir par
coulée dans un moule ou bien par extrusion ou par presse. Fais la mise en forme, le produit
est séché à l'air ou dans un séchoir ou encore dans une étuve.

Pendant la phase 3, Cette phase se subdivise en 2 étapes :

 La cuisson
 la cristallisation De la phase liquide.

Pendant l’étape de cuisson il y a frittage de particules elle s’effectue à des températures de


300 à 1000 °C. Pendant cette phase il y a

 Déshydratation de l’argile et des compositions des carbonates,


 Transformation allotropique …
 Combustion de la matière organique entre 400 et 800 °C
 Oxydo-réduction de certains oxydes en fonction de la température du four
 formation de nouvelles phases par réaction entre les composés libres. (La mullite
Peut se former à 900 °C par association de la silice et de l’alumine)
 Le grossissement des cristaux dans les céramiques,
Pendant la phase de cristallisation on observe :

 Transformation allotropique (Passage de la cristobalite béta en Cristobalite Alpha à


2000 °C).
 Apparition des contraintes dans la structure. Cette contrainte est d’autant plus élevée
que la vitesse de refroidissement est rapide.

Exemple de température de cuisson :

 Faïence et carreaux 950 et 1200 °c


 Porcelaine 1300 à 1400 °C
 terre cuite et poterie 900 à 1050 °C
Chapitre 3 : LES ÉMAUX

Les aimants sont les produits vitrifiable résultant de la fusion, du frittage, Et la vitrification
des matières premières. ils sont destinés à former une ou plusieurs couches de revêtement
Vitrifié.

leurs applications sont multiples :

 Appareil électroménager, (four, cuisinière, casserole)


 Sanitaire, (baignoire, Douche la colonne d'eau, Cuve des chauffe-eau)
 dans l'industrie, (silo et cuve, Les citernes, Réacteur chimique, échangeur thermique).

I. Constituant des émaux

Les émaux sont les produits de la famille Du verre essentiellement constitué de silice. Ce sont
les Borosilicates Alcalin et alcalino-terreux. Complexe composé de matières réfractaire,
fondant et de produits d'addition.

1. Les réfractaires

Ils sont apportés par le sable, l’argile Et le feldspath et améliore la résistance mécanique

2. Les fondants

Ils permettent de diminuer la température de cuisson et de dilatation.

Exemple : Trioxyde de brome, L’oxyde de vanadium, bloc oxyde de sodium, l'oxyde de


potassium et l'oxyde de lithium.

3. Les opacifiants

Ils permettent de renforcer l'opacité des mailles et améliore le pouvoir couvrant grâce au
phénomène de diffusion de la lumière.

Exemple : Oxyde de thiosulfate, oxyde de titane, oxyde d'étain.

4. Les oxydes métalliques

Ils permettent l'adhérence.


( L’oxyde de cobalt, l’oxyde de cuivre, l’oxyde de manganèse et l’oxyde de fer 3). Les oxydes
métalliques peuvent aussi être utilisés comme colorants.

II. Technologie des émaux

La préparation des emails consiste à le mettre sous forme de barbotines. Suivant la forme de
l’émaille il y a 2 procédés

 sous forme de frites d'émail


 Sous forme de poudre d’email .

Les frites se préparent par fusion vers 1100 °C Et le produit est coulé en minces filets dans
l’eau, On obtient alors les tenailles qu’on va broyer.

1. Emaillage

L’opération d’émaillages consiste à appliquer puis à cuire une ou plusieurs couches de my sur
une ou plusieurs faces d'un support d'acier adapté dont la surface a été minutieusement
préparée. Les mailles peut s’appliquer par trempage…

Le maillage comprend plusieurs étapes :

 Préparation de la surface de la pièce,


 préparation des émaux (émail de masse Et émail de couverture)
 Application des emails de masse
 Séchage,
 Première cuisson
 application de l'émail de couverture,
 Séchage,
 2e cuisson.
2. Mécanisme d’émaillages au cours de la cuisson et du
refroidissement.

(Cfr dessin cahier…)


En début de cuisson, l'oxydation de l'acier à travers la couche d’émailles poreuses par la
vapeur de l'atmosphère crèe de l’hydrogène qui pénètre dans l'acier (La solubilité de
l’hydrogène augmente avec la température)

En fin de cuisson, L’hydrogène est introduit dans l’acier et cherche à s'échapper car sa
solubilité baisse et la couche d’une émaille vitrifiée s'y oppose.

A température ambiante, l’hydrogène en excès emprisonné dans l’acier s'accumule aux


imperfection de structure En particulier à l’interface émail-acier.

Selon le graphe, le mécanisme d'émaillage Tout s’explique comme suit celle-là

 Entre 500 et 550 °C, il y a la décomposition de l'argile des nitrites et les


carbonates, L’humidité et l'oxygène de l'atmosphère du four pénètre dans les
mailles pour eux qui oxydent l'acier ce qui conduit à la à la formation d'une couche
d'oxyde de fer à l'interface émail-acier et l'hydrogène atomique provenant de l'eau
diffuse dans l'acier.
 Entre 550 et 830 °C, Il y a fusion de l’émaille qui forme une Couche semi-
perméable, on observe une diminution Sami d’échanges gazeux avec l’atmosphère
du four, Dissolution de l’oxyde de fer et corrosion supplémentaire.
 Autour de 830 °C on assiste à des réactions d’adhérence, La réduction d'oxyde de
fer, la réduction métallique, la Co précipitation des phases. L’adhérence est
facilitée par la rugosité de l'acier.
 Le refroidissement, on assiste à la solidification des l'émail La solubilité de
l’hydrogène diminue, ce qui implique une sursaturation de l'hydrogène dans l'acier.
Et a enfin une accumulation des contraintes de compression dans le mail.

Une fois la cuisson terminée l’objet émaillé est refroidi lentement, conditions indispensables à
l'intégrité de qualité physique de l’émails car Une cuisson à température trop élevée et
entraîne une perte d'opacité et une cuisson à température basse entraîne une faible brillance et
l’objet est moins poli.

Chapitre 4 : Le ciment

Vous aimerez peut-être aussi