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Carnet de lecture de :

Sido
Et
Les Vrilles de la vigne
Sido étant le premier chapitre de cette ouvrage, m‘a particulièrement surpris à cause de la
façon de l’auteur décrire, j’aime beaucoup le personnage Sido car la mère de l’auteure a l’air
d’être une grande inspiration pour elle et on le voit garce a l’admiration dont elle lui porte.
Elle a comme une sorte de fascination et d’étude sur sa mère , sa mère qui elle-même a l’air
d’être fasciné par le monde et tout ce qui l’entoure. On peut le voir à cause du fait que Sido
était extrêmement connaisseuse des fleurs , où comment elle prédisait le temps en fonction
de ce qui changeais autour d’elle , les animaux, les fleurs et les gens. La chose qui m’a
intrigué le plus dans ce chapitre est la personnification des point cardinaux , je ne
comprenais pas les métaphores avec le Sud l’Est , Ouest et Nord et je n’ai compris le sens de
tout cela et de comment Colette jouais avec cet outil qu’a la toute fin du chapitre.

« Le Capitaine » c’est comme cela que s’intitule le second chapitre de Sido, ce chapitre qui
parle de son père. J’ai beaucoup aimé ce chapitre et c’est mon préféré des trois du recueil ;
car je trouvais que le père était très effacé. J’ai apprécié le fait que l’auteure elle-même se
rende compte pendant son écriture de « l’absence » de son père, non pas physique mais
intérieure. Car en effet c’était un homme triste et j’ai aimé comment Colette a su le montrer
et l’étudier. Elle a « toujours eu connaissance» de la tristesse de son père , qui était un blessé
de guerre. J’ai apprécié comment l’auteure inclus des partis des chants que son père faisait
cela donnait du rythme et illustrait mieux les scènes, les rendait plus faciles à imaginer avec
le chant en tête.
Le dernier chapitre du recueil intitulé « Les sauvages » j’ai trouvé cela très bizarre qu’elle eut
choisi ce titre pour désigner le chapitre désigner à ses frères (et sa sœur) je trouve la relation
que Colette avait avec ses frères assez minimes, pas très profonde. Surtout leur grande sœur
qui n’est évoqué que deux ou trois fois et négativement. J’ai quand même apprécié le
portrait du frère cadet qui est très lié à la nature et sensible et qui possédait un « don » pour
la musique. L’anecdote quand il repart dans leur ancienne maison est touchante et montre
bien son personnage et la vision de l’auteure sur son frère j’ai donc beaucoup aimé lire ce
passage.
« Vrilles de la vignes » Je n’ai pas compris exactement le sens du texte et la morale qui est
censé être retenu mais j’ai aimé la métaphore entre le rossignol et l’auteure, j’ai trouvé que
le texte était très poétique. La prosopopée du rossignol est intéressante puisqu’elle le fait
chanter et s’exprimer ce qui donne vie a l’animal et donne du rythme au texte.
« Nuit blanche » décrit une nuit d’insomnie de Colette au coté d’une de ses amantes qu’elle
eut dans le passé. J’aime beaucoup l’émotion et les sentiments amoureux que l’on ressent à
travers les mots de l’auteur le fait qu’elle montre à quel point amante était affectueuse
envers en énumérant plusieurs actes de gentillesse de sa part. En tout le fait d’appeler « Nuit
blanche » ce texte est logique et ingénieux car elle décrit tout ce texte comme si cela était
des pensées qui l’empêchait de dormir.
« Jour gris » je trouve que ce texte est très rythmé et qu’il y a beaucoup d’émotions tels que
la colère, la tristesse, la mélancolie et nostalgie et de l’amour. Colette parle à son amante de
son mal du pays, on ne sait pas si elle parle de sa campagne ou d’un pays imaginaire, on a
l’impression de faire face à une dispute intérieure et une sorte de dialogue à la fois ou on
pourrait imaginer les réponses de son amante, le texte se finit quand même sur une note
légère ou l’auteure cède à la mer qu’elle détestait tant au début.
« Le dernier feu » ce texte ne m’inspira pas grand-chose et je le trouve répétitif dans sa façon
de décrire et de « converser » avec « M ». Cependant j’apprécie comment Colette réussie à
nous ramener constamment proche de la nature, des odeurs et nous illustre des images avec
ses mots.
« Nonoche » j’ai été agréablement surprise quand je me suis rendu compte qu’elle parlait
d’un chat dans ce texte. La personnification du chat est parfaite tellement est donne à la
chatte un aspect humain puisque qu’elle la fait aussi parler, elle lui donne beaucoup de traits
de caractère en utilisant des adjectifs. J’ai trouvé la tournure de la fin du texte très
intéressante car elle fait passer des messages par rapport à l’amour et la vie de couple et
peut être de ses propres expérience à travers les chats qu’elle personnifie.
« La Dame Qui Chante » Je trouve que m’écriture de Colette est tellement agréable à lire, le
champ lexical de la musique mélangé aux émotions et au métaphore qu’elle utilise pour que
l’on puisse sa faire un portrait de « cette dame » est un plaisir à lire. Et j’aime beaucoup la
façon dont ses textes n’ont jamais cité de lieu précis mais le sens même du texte nous nous
rendons compte du lieu ou prend place le texte avec notre imagination.
« Toby chien parle » Suivant le contexte, Colette se fait parler elle-même a travers du chien
nommer « Toby » car son mari Willy était infidèle et la gardait éloigné de la liberté dans ce
texte le chien raconte comment sa maitresse Colette éclata de rage. Je trouve cela
intéressant car ce texte a été destiné à son amie qui épousa elle-même son mari après qu’ils
eurent divorcer…ironique.
« Dialogues des bêtes » ce dialogue entre les animaux de compagnie de Colette est
intéressant car il parle d’elle et de se qu’il se passe après qu’elle est quitté Paris et divorcé de
Willy, on sent une grande tristesse en sa personne et comment elle est décrite et qu’elle
« erre »
« Toby chien et la musique » je trouve que ce texte est un peu complexe à comprendre mais
en soit le chien parle de son amour pour la musique et ce qu’il éprouva en entendant
chanter une chanteuse.
« Belles de Jour » J’ai beaucoup aimé ce texte et cela doit être l’un de mon préféré car
Colette écrit directement de son point de vue. Je trouve que la scène est bien amenée au
début ce n’est qu’une simple rencontre entre amies puis cela fini en quelque chose de plus
profond avec des questions sur les femmes et les hommes en général.
« De quoi est ce que on a l’air ? » Ce texte est je pense l’un de mes préférés aussi, je me sens
concerné puisque cela parle de femmes. Je trouve que la vision de Colette sur la vie est
rafraichissante pour les gens de son époque et cela se voit même à travers de son écriture.
« Le miroir » Je ne comprend pas vraiment le rôle de Claudine , j’ai l’impression que c’est un
mixte d’amie imaginaire et de la version plus jeune et plus insouciante de l’auteure, le texte
est bien raconté mais je n’ai pas aimé ou retenu quelque de particulier.
« En marge d’une plage blanche » J’aime toujours la façon dont l’auteure décrit les paysages
avec une sorte de douceur dans ses mots. L’anecdote qu’elle raconte est plutôt intéressante
mais je ne retiens pas grand-chose à part du fais que le changement la brusque et qu’elle est
ici en voyage.
« En marge d’une plage blanche II » J’aime beaucoup comment dans ce texte elle change de
sujet et de description des lieux en nous indiquant ou elle était au moment venu, cela rend le
texte plus vivant et agréable à lire.
« Music halls » Je trouve que ce texte est différent et c’est ce qui le rend intéressant, il est
vibrant plein de détails de costumes, l’anecdote sur comment Colette a performé le sein nu
est divertissante et rajoute de la profondeur au texte car on sait que cela est arriver en vrai.
Je trouve que l’auteure a bien décrit une scène qui se passe en coulisse entre les quatre murs
ou les artistes échange à propos de leur vie après le travail c’est très réaliste t nous met
facilement dans l’ambiance.
« Printemps de la Riviera » Ce chapitre qui clôt l’ouvrage (outre l’annexe) est assez
intéressant plein de couleurs et de la douceur du printemps je trouve que c’est une bonne
manière de clôturer l’ouvrage.
« Nouvel an » J’ai trouvé ce texte très touchant, le fait qu’elle exprime ses émotions si bien
avec des mots est apaisant et compréhensible, elle parle de la vieillesse et du temps de la
beauté et de l’atrocité qu’elle y retrouve et je trouve cela émouvant.
« Chanson de la danseuse » J’ai bien aimé ce passage dans le texte , il est très sensuel et
doux, je trouve que la métaphore et la danse est très belle et le rapport a la danse et le corp
et l’amour est un très bon lien et une bonne illustration très romantique.
« Maquillages » Ce texte parle en effet, de maquillages , des femmes qui le portent, quand et
comment, d’après les observations de Colette, je ne suis pas tout à fait d’accord avec ce
qu’elle affirme mais j’ai trouvé cela plaisant qu’elle aborde ce sujet.
« Amours » Tout au long du récit j’ai adoré la relation entre la chatte de Colette et elle, elle
avait un lien fort avec ses animaux elle les prenait comme des personnes à part entière avec
qui elle passait son temp et elle clôture le texte en appelant sa chatte son « amie » et c’est
une très belle manière de lui rendre honneur.
« Rêve » c’est le dernier texte et il parle d’un rêve de l’auteure, qui au cours de sa vie a
possédé plusieurs chiens dans son rêve elle converse avec une de ses chiennes mortes mais
elles ne se souvient pas de son nom tellement elle a en eu beaucoup. Je n’ai pas compris la
morale de ce texte mais comme toujours, c’était agréable à lire.

« Belles de jours » est un de mes texte préféré car le fait que l’auteure compare et sait que
ses amies ont toute leurs habitudes et techniques afin de rester « belle » aux yeux du monde
et de leur mari mais pas de leur amant qui sont « sensés » les aimés tels qu’elles sont
puisque qu’ils ne sont en soient pas les « titulaires » de ces dames. Je trouve que c’est un
comportement intéressant , de voir comment les hommes réagissent par dégout aux femmes
sans leur artifices ou quand elles essayent de les entretenir trouvent cela ridicule alors qu’en
dehors, ils apprécient se pavaner à leurs côtés.
« De quoi est ce qu’on a l’air » est mon deuxième texte favori, en effet j’ai apprécié les textes
accompagnés de son amie Valentine. L’auteure ne se soucie pas de ce que les gens pensent
contrairement aux femmes qui vivent avec leur mari, qui se pomponnent en permanence et
doivent s’occuper des enfants, dans ce moment-là son amie trouve enfin un moment de répit
chez Colette et compare sa piètre vie à celle de Colette qui, en effet, est une femme
beaucoup plus libre qu’elle. J’ai donc aimé comment elle a pu nous transmettre son message
de liberté a travers ce texte en nous montrant le contraste de sa vie a celle des autres
Parisiennes.
Enfin mon dernier extrait choisi est "Jour gris" Dans ce texte, elle utilise une langue poétique
et imagée pour dépeindre un jour pluvieux et gris, créant ainsi une atmosphère
mélancolique et introspective. De plus, "Jour gris" aborde des thèmes tels que la solitude, la
tristesse et la nostalgie, qui résonnent avec de nombreux lecteurs. Colette explore les
sentiments d'une personne confrontée à la solitude et à la monotonie d'une journée grise, et
ses observations profondes permettent aux lecteurs de s'identifier et de se connecter
émotionnellement au texte.

Citations choisies :
« Une année de plus…A quoi bon les compter ? Ce jour de l’an Parisien ne me rappelle rien
de ma jeunesse et qui pourrait me rendre la solennité puérile des jours de l’an d’autrefois, la
forme des années à changer pour moi, durant que, moi, je changeais » Je la mets dans la
catégorie monde d’hier et aujourd’hui car elle parle de temporalité et de la façon dont elle a
changé.
« C’est mon visage d’autrefois que je cherche, dans ce miroir ovale saisi d’une main distraite
et non visage de femme, de femme jeune que sa jeunesse va, bientôt, quitter… » Je mets
cette citation dans la catégorie du regard sur le monde car c’est elle qui se regarde et se parle
à travers le miroir, elle se contemple et converse ce qui proviens de l’émerveillement mais
aussi d’un regard complexe sur sa propre personne.
« J’appartiens à un pays que j’ai quitté » Je mets cette citation dans les lieux célébrés car elle
parle de la campagne qu’elle a quitté et monde d’hier et aujourd’hui car elle parle de son
enfance en Bourgogne.
« Si tu savais comme j’embellis tout ce que j’aime » Je mets cette citation dans la partie Art
du récit car elle s’exprime sur ses sentiments et sur l’amour.
« Le dégel ? les météorologues pour un petit froid passager… » (page 56) Je mets cette
citation dans la partie des lieux célébrés car « Sido » faisant attention au monde qui l’entoure
et aussi le regard sur le monde.
« Je voudrais dire, dire, dire tout ce que je sais, tout ce que je pense, tout ce que je devine,
tout ce qui m’enchante et me blesse et m’étonne » Je mets cette citation dans la catégorie
des tonalités sonores et rentre aussi dans genres littéraires divers.
« La plus belle de tes danses…c’est quand tu t’éloignes de moi, calmée et les genoux
fléchissant et quand t’éloignant tu me regarde ton corps se souvient oscille er hésite… »
(Chanson de la danseuse page 294) Cette citation rentre dans la partie un art du récit
puisque Colette fait preuve de sensualité et diffère métaphore.
« Il faut garder quelque chose de l'enfance, même quand on est très vieux. » Celle-ci rentre
dans la catégorie monde d’hier et aujourd’hui.
"Les souvenirs sont nos forces." Cela entre dans le regard sur le monde.
« La nature ne fait rien en vain, et elle est toujours prête à recommencer ce qu'elle a
commencé. » Cette citation célèbre la nature elle rentre donc dans les lieux célébrés.
« Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage. » Catégorie : prose poétique
« La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre. » Elle
rentre dans des tonalités diverses et dans le regard sur le monde.
« Le temps, ce grand sculpteur, travaille sans relâche, sans pitié, sans merci. » Cette citation
rentre dans prose poétique et un art du récit, pour la forme de la phrase la métaphore et le
rythme.
« La mémoire est un jardin d'enfance. » Cela rentre dans monde d’hier et aujourd’hui car elle
éprouve une forte importance pour l’enfance et les souvenirs nous transportant dans sa
nostalgie et dans ses pensées.
« Le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil. » Cette citation
de «Sido » rentre dans la prose poétique et le regard du monde.
« L'amour, c'est l'infini mis à la portée des caniches. » Cela rentre dans les êtres aimés car
Colette aimait particulièrement les chiens mais cela rentre aussi dans la prose poétique.
« Il n'y a pas de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. » Celle si rentre dans l’art du
récit et évoque une des nombreuses morales et valeurs que Colette avait.
« On ne possède pas les êtres, on les rencontre. » Elle rentre dans la catégorie de l’art du
récit , Colette, comme toujours fait preuve de sensibilité.
« Elle repoussait en arrière la grande capeline de paille rousse, qui tombait sur son dos… et
elle reversait la tête pour offrir au ciel son visage couleur de pomme d’automne… » Cette
dernière citation entre dans la catégorie des êtres aimés, ici, l’auteure évoquait « Sido » de
manière élogieuse, donnant à sa mère, la beauté et sérénité d’un déesse.

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