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Projet Finale

L’amour traversant quatre œuvres d’écrivain(e)s différent(e)s.

L’amour c’est un truc très nébuleux qui se trouve surtout dans la littérature et

l’art en général. Le découvert, la perd, l’espoir, la manque— tous ces et plus sont des

thèmes qui ses répètent dans les œuvres d’écrivain(e)s pendant les années. Dans cet

article, je vais parler comment l’amour se présent à travers quatre auteurs et comment

chaque l’utilise remarquablement pour parler des plusieurs facettes et façons en

comment elle se présent. Je noterai les poésies de Paul Verlaine et Rimbaud à côté de

deux romans : La vagabonde de Collette et Kiffe, kiffe demain de Faïza Guène.

Quand on discute un topique si abstrait comme l’amour, il faut demander

comment est-ce qu’on en dérive le sens. De plus, il est nécessaire qu’on analyserait les

pensées d’amour de chaque auteure/auteur avec un angle contextuel qui peut noter les

typifications entre les pressions sociales et les vrais intérêts de l’intérieure. Combien de

chacun se permet d’exprimer eux-mêmes dans leurs œuvres ? Pourquoi est-ce qu’on la

mention ? Comment est-ce que l’amour change dans chaque personne/personnage ? On

explorera comment le quatre exprime le même sentiment au travers de siècles et verra

quoi ses gens influents ont voulu partager à nous.

On commence avec Paul Verlaine. Dans sa « Colloque Sentimentale, » il est très

notable que l’amour soit quelque chose qui a laissé une mauvais goût pendant la vie.

On suit deux « fantômes » qui se promènent dans le parc— l’un qui demande les

questions amoureuses, et l’autre qui réponde très brute et dur. Cette idée d’une amour
perdue voulait nous dire que c’est genre une mort sur la terre quand après plusieurs

des ans, on a bien oublié comment d’être tendre et doux avec l’un qu’on avait veut.

Verlaine bien met le douleur et peine qui peut-être accompagne l’amour. Elle est

évidement, l’angoisse, aussi dans « Les Coquillages ». Le narrateur a besoin de partager

s’amour avec quelqu’un dans une grotte— secrètement ayant les doutes au tour de son

amoureuse.

Au presque fin de sa vie, on voit comment sa langue romantique est dirigé par la

nature et la religion. Même s’il semble comme beaucoup de ses poésies sont écrit sans la

romance du tout, il y a des moments où il exprime son appréciation des choses

naturelles et la beauté— ça c’est la case dans sa poésies « L’ennemi se déguise ». Il a

choisi que sa propre amour doit tourner loin des autres humaines, et vers Ciel ou il peut

projeter la spiritualité— parmi une amour religieuse. Bah aussi, il a écrit « l’été » et « le

printemps » où il y a deux femmes qui ses aiment et parlent/font des choses

romantiquement. Il y a beaucoup d’implications sexuelles qui contredire ces mots

religieux— peut-être il est tiraillé à la spiritualité et au plaisir physiquement : deux

chemins d’amour qu’il ne peut pas partager. La vie n’était ni gentille avec Verlaine, ni

lui avec elle, en fait. Verlaine, étant homosexuelle, ne pouvait pas vraiment s’exprimer

où s’amour pour ses amants. C’est peut-être pour ce qu’il parle avec l’angoisse et haine

du sujet. Il se marie avec Mathilde Mauté, mais à la fin de leur mariage, il a essayé de la

tuer après tombant alcoolique.


Arthur Rimbaud est très romantique en comment il parle de la vie— on peut dire

que tôt dans sa vie, il est tombé amoureux pour elle, la vie. Les sujets trouvés dans ses

poésies rangent par l’amour physiquement à celle de la nature et les choses quotidien.

Dans « Le buffet, » Rimbaud exprime sa gratitude à ce meuble et les histoires qu’il port.

C’est clair qu’il apprécie les petites moments et trucs simples, car belles. Au presque le

même temps dans sa vie, il a écrit « Rêvé pour l’hiver », où il parle d’un moment

érotique entre lui-même et une femme dans un petit wagon : « un nid de baisers

fours… ». Cette dichotomie entre les pensées doux et sensibles et ceux très sexuelles,

elles nous montent la maturation de ce jeune garçon et comment il a vu le monde

d’amour. Plus tard dans sa vie, il commence de perdre ces sentiments tendres et il

tourne plus obscure. On peut voir ce manque comme en « Le loup criait sous les

feuilles… » et « Bal des pendus » où il parle beaucoup de la mort et les choses

politiquement : « Cependant, dans « Âge d’or, » on dirait qu’il a trouvé une nouvelle

amour pour la religion, comme Verlaine avant ; en parlant de Ciel, il dit « O ! joli

château ! Que ta vie est claire ».

Dans La vagabonde de Collette, on suit l’histoire de Renée, une danseuse-actrice

divorcée qui est obligé de décider si elle doit partager les mêmes sentiments d’un

homme qui est tombé amoureux d’elle, ou si elle doit continuer avec sa vie seul. Le sujet

d’amour est imposé en elle des mecs autour d’elle. Il y a une pression sociale qui

s’encercle de se marier avec cet homme-là, même si elle ne vraiment l’aime pas. En ce

relation, elle a essayé de se convaincre qu’elle peut l’aime— il est tous les choses qu’on

peut aimer ; il est gentil et tendre et il s’aime sans réservation (on suppose). Elle menti à
propre de ses sentiments pour lui, quand en fait elle n’a pas une chose sentimentale

pour lui. Collette nous monte les effets d’une amour pas vrai, pas honnête et comment

ça fait la peine. Mais sa vue amoureuse change pendant une tournée au travers de la

France par essayant d’aimer quelqu’un d’autre, à essayant d’aimer elle-même et la

beauté de la nature. Collette, en mettent cette développent en Renée, elle veut dire que

l’amour n’est toujours une dépendance à quelqu’un ; c’est la liberté d’être comme on

veut— de tomber amoureux avec soi-même et les choses que vous poussent. Avec cette

amour interne et la laisse de patriarchie, Collette veut battre les normes sociales et

donner l’indépendance aux femmes qui doivent avoir la doigt d’exprimer l’amour

comme elles veulent.

Finalement, Kiffe, kiffe demain pose beaucoup de questions autour des types de

rapports amoureux. Notre personnage principal, Doria, rencontre la difficulté en se

convaincant de coopérer avec un jeune homme quand il a fait une avance romantique

vers elle. On suit Doria pendant qu’elle se grandit par adolescence à vrai femme, et

comment ses opinions changent. Aussi, Guène a ajouté les thèmes de l’amour familiale

et l’amour platonique. Son rapport avec sa mère est bien établi au début du livre, mais

en cours de sa croissance, elle fortifie une amour plus honnête et ouvrit l’une avec

l’autre Dans la case de sa mère, elles partagent une forte amour familiale, pour elles,

Doria a beaucoup de respect pour elle. Ce respect mutuel nous mit comment il y a la

confiance entre les deux— c’est clair comment cette confiance c’est passé à cause d’une

amour partagée. Les deux n’ont que l’autre, donc l’honnête c’est plus fort et présent.

Aussi, elle a-t-un ami, Hamoudi, qui change à côté d’elle aussi. Doria, qui peut-être a
craqué pour lui au début, devenait plus empathique et altruiste, donc maintenant elle

peut partager une amour platonique et ouverte avec Hamoudi et sa petite-amie. À la fin

aussi, elle est plus gentille avec les autres personnes dans sa vie, Mme « Dutruc », Mme

Burlaud. Elle les donne plus de grâce et elle essaye d’approcher ceux avec un ton

empathique : « ... je lui ai même dit merci à Mme Burlaud. Un vrai merci. »

C’est clair que ces quatre écrivain(e)s ont les vues diverses à propos de l’amour,

par le platonisme Saphonique qui Guène présent à l’amour explicitement romantique

que les deux poètes montent. L’amour de soi-même se trouve dans les romans de

Collette et Guène ; les deux personnage, Renée et Doria, ses grandissent pendant leur

propre histoire. Il y a aussi les similarités en comment ces deux laissent les pressions

sociales qui auraient leur arrêté. Elles créent leurs propres identités et aiment ses

nouvelles vies.

C’est aussi intéressé de noter comment Verlaine et Rimbaud à partager une

relation romantique l’un avec l’autre pour quelque temps, mais leurs vues d’amour ne

sont pas d’accord. On peut voir dans la case de Rimbaud qu’il a traversé plus obscure

après cette relation— « Le bateau ivre, » c’est un bon exemple. Est-ce qu’il y a une ligne

qui travers chaque auteur ? On peut dire que la romance se trouve dans chaque œuvre :

Rimbaud et Verlaine entre leur vies personnelles, et dans les personnages (qui sont les

extensions de ceux-même on peut dire) trouvés dans leur propres romans, Faïza Guène

et Collette. C’est sûr que l’amour jouerait une rôle dans chaque case, mais comment ça

change et mature pendant le cours de chaque vie (où d’une moment là-dedans, la vie).

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