DROIT

Cas pratique

1) Dans cette situation, la clause de non- concurrence pourrait ne pas être

valable en raison de son étendus géographique et de sa durée. En effet,
interdire à Emile de travailler dans en rayon de 500 km pendant un an
semble excessif pour un ingénieur informaticien. De plus, l’employeur n'a
pas de justification claire de ses besoins.

2) L'employeur a le droit de muté l’employé, pour encadrer la nouvelle équipe

à Vatan.
Cependant, il doit justifier la nécessité de la mutation et tenir compte des délais
raisonnable pour la transition.Ensuite, le droit de mutation
dépend des termes du contrat initial d'Emile.

3) Les conditions pour qu'un CDD soit valable semblent être réunies. M.
Feuille est embauche pour concevoir un jeu informatique de A à Z . De plus,
la durée du contrat est bien justifié définie jusqu'à la commercialisation du
jeu, prévue dans 3 ans.Sachant,qu’ un CDD est un contrat par lequel un
employeur embauche, un salarié pour une durée déterminée

A) l'employeur peut rompre le contrat de travail de M. Feuille pour plusieurs

motifs, comme une faute grave, par ex: un manquement important à ses
obligations contractuelles, Ensuite, une inaptitude médicale par ex: inapte
à remplir ses fonctions . Pour finir, le refus de mutation , par ex: si M.
Feuille refuse de se conformer à une mutation pour le besoins de
l'entreprise. En revanche,l'employeur respecte les procédures légales,
fournisse des preuves suffisantes de la faute

b) Pour commencer, l'employeur lui verse une indemnité de précarité de 5% de son

salaire brut de 3500 €, ainsi qu'une indemnité compensatrice de congés payés de
8% de son salaire brut. Selon la loi, cette indemnité devrait être équivalente à
10% du salaire brut total perçu pendant la durée du contrat. Ainsi, si le salaire
brut total était de 3 500 €.Pour l’indemnité compensatrice de congés payés : Si
l’employeur verse 8% du salaire brut au lieu du montant légal, elle devrait être
égale à 10% du salaire brut total perçu pendant la période de référence des
congés payés. Enfin , l'employeur versera à Emile une indemnité de précarité de
350€ et une indemnité compensatrice de congés payés de 350 €.

c)