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Comité :

Problématique : comment assurer l’accès au soin de santé au population


vulnérable d’Afrique
Délégation : Guinée
Honorable présidence, chers délégués
La délégation de la Guinée et enjoué a l’idée de participé à cette conférence
nous escomptons trouver un terrain d’entente pour les pays les plus démunie
en débattent a bonne échéance.
Le sujet évoquer est fondamental et primordial pour la Guinée car en effet les
soins sont difficiles d’accès dans toutes les villes guinéennes et nous vous
remercions d’aborder ce sujet

Notre pays ( Guinée ) et un pays très peu développer en effet nous occupons la
178° place sur 189 pays au sujet de l’IDH. De plus nous nous positionnons dans
un continent qui ne favorise pas l’accès aux soins en effet plusieurs pays
d’Afrique sont dans le même cas que nous et nos demande d’aide ne sont
souvent pas entendue voir même mépriser. La couverture des installations
sanitaires est encore en retard et il existe un écart important entre les zones
urbaines et les zones rurales (56% en général, seulement 29% en milieu rural).
À Conakry, l’offre sanitaire publique n’est pas suffisante pour garantir l’accès
aux soins d’une population en constante expansion, d’autant plus que les deux
hôpitaux nationaux. La moitié de l’effectif total des soins de santé se trouve
dans les grandes villes, principalement à Conakry.

D’autant plus, la Guinée demeure faibles. Avec une population de 14,3 M


d’habitants et un PIB de 17,6 Mds selon les autorités, un peu moins de la moitié
des Guinéens (44%) vivent en dessous du seuil national de pauvreté qui est
estimé à 13 679 GNF/personne/jour (1,3 EUR) en 2019. Par ailleurs, l’économie
reste encore en grande partie informelle, avec une part estimée à 41,5% du PIB
(et 96% des emplois en 2019. Pour rappel le smic est de 550 000 franc guinéens
sois 57,97 euros par mois.

Comme indiqué, l’accès aux soins est plus problématique dans les zones rurales
en raison de la rareté des ressources (humaines et matérielles), de la pauvreté,
de l’analphabétisme, de l’inaccessibilité géographique, des structures sanitaires
et de certaines pratiques comme le clientélisme et le payement informel des
soins. Il existe des programmes verticaux et projets comme «stop palu» et la
lutte contre le VIH-SIDA qui attirent plus d’attention des partenaires techniques
et financiers que d’autres, comme le programme de lutte contre les
traumatismes. Ainsi, les indicateurs qui reçoivent le plus d’appui sont priorisés
au détriment des activités de base du système. Ces projets et programmes de
santé ont du mal à évoluer parce que la communauté n’en bénéficie
pas. Certaines politiques et certains projets créent des difficultés d’accès aux
soins et même des tensions entre les prestataires et les communautés. Par
exemple, la politique de maternité gratuite a rendu l’accès à ces services plus
difficiles surtout en milieu rural. Les coûts associés à l’accouchement sont
souvent plus élevés qu’auparavant.

Comme vous avez pu l’apercevoir nous avons nombreuses difficultés qui lie le
sanitaire et le financiers par la hausse des soins et par le salaire déplorable de
nos habitants qui ne peuvent pas assurer les soins de leur familles et un repas
qui peut combler leur faim nous faisons appelle a de l’aide par un coup de
pouce financiers au simplement des installations de camps sanitaire dans
chaque ville afin que notre population puisse demeurer en bonne santé

Merci beaucoup de votre écoute

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