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es usages et ses fonctions dans la discipline sociologique depuis Durkheim (1987), le sociologue Philippe Besnard met en évidence la double dimension du lien social telle qu’elle apparaît dans
es usages et ses fonctions dans la discipline sociologique depuis Durkheim (1987), le sociologue Philippe Besnard met en évidence la double dimension du lien social telle qu’elle apparaît dans
es usages et ses fonctions dans la discipline sociologique depuis Durkheim (1987), le sociologue Philippe Besnard met en évidence la double dimension du lien social telle qu’elle apparaît dans
Elle est constituée par l’ensemble des caractères propres à un
individu ou à un groupe d’individus : une classe d’âge (les
jeunes), une classes sociale ( les ouvriers), un peuple (les français). Cet ensemble de caractères permet de se définir en tant que personne ou en tant que groupe pour soi même et pour les autres. Un individu appartient à des groupes (la famille, la nation, l’ethnie, l’entreprise) dotés d’une identité collective, qui se combinent pour former son identité personnelle. (Par exemple, être une Française, médecin, célibataire, d’origine vietnamienne). François de Singly (Double je, identité individuelle, identité statutaire, 2017) considère ainsi que l’identité personnelle est constituée par ces identités statutaires, mais hiérarchisées par l’individu qui acquiert ainsi une singularité. Claude Dubar ( La crise des identités, 2010) souligne quant à lui la double dimension de l’identité. Elle est à la fois appartenance commune et singularité. Il distingue alors les identifications attribuées par les autres (identité pour autrui) et les identifications revendiquées par soi-même (identité pour soi). Elles peuvent converger ou diverger. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois grandes écoles : de l’économie une science au même titre que les autres, en établissant de fait des lois et des principes qui seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée néoclassique ont donc notamment travaillé sur le fonctionnement des marchés, de la concurrence, du comportement du consommateur et du producteur ou encore de l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois grandes écoles : seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée néoclassique ont donc notamment travaillé sur le fonctionnement des marchés, de la concurrence, du comportement du consommateur et du producteur ou encore de l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois grandes écoles : La pensée néoclassique, caractérisée par son approche marginaliste (c’est-à-dire à la marge), a pour but de faire de l’économie une science au même titre que les autres, en établissant de fait des lois et des principes qui seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée néoclassique ont donc La pensée néoclassique, caractérisée par son approche marginaliste (c’est-à-dire à la marge), a pour but de faire de l’économie une science au même titre que les autres, en établissant de fait des lois et des principes qui seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée néoclassique ont donc notamment travaillé sur le fonctionnement des marchés, de la concurrence, du comportement du consommateur et du producteur ou encore de l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois grandes écoles : notamment travaillé sur le fonctionnement des marchés, de la concurrence, du comportement du consommateur et du producteur ou encore de l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois grandes écoles :