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Elle est constituée par l’ensemble des caractères propres à un

individu ou à un groupe d’individus : une classe d’âge (les


jeunes), une classes sociale ( les ouvriers), un peuple (les
français). Cet ensemble de caractères permet de se définir en
tant que personne ou en tant que groupe pour soi même et pour
les autres. Un individu appartient à des groupes (la famille, la
nation, l’ethnie, l’entreprise) dotés d’une identité collective,
qui se combinent pour former son identité personnelle. (Par
exemple, être une Française, médecin, célibataire, d’origine
vietnamienne). François de Singly (Double je, identité
individuelle, identité statutaire, 2017) considère ainsi que
l’identité personnelle est constituée par ces identités statutaires,
mais hiérarchisées par l’individu qui acquiert ainsi une
singularité. Claude Dubar ( La crise des identités, 2010)
souligne quant à lui la double dimension de l’identité. Elle est à
la fois appartenance commune et singularité. Il distingue alors
les identifications attribuées par les autres (identité pour autrui)
et les identifications revendiquées par soi-même (identité pour
soi). Elles peuvent converger ou diverger. Ce courant est
né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois
grandes écoles : de l’économie une science au même titre que
les autres, en établissant de fait des lois et des principes qui
seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée
néoclassique ont donc notamment travaillé sur le
fonctionnement des marchés, de la concurrence, du
comportement du consommateur et du producteur ou encore de
l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe
siècle et on distingue généralement trois grandes écoles :
seraient des vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée
néoclassique ont donc notamment travaillé sur le
fonctionnement des marchés, de la concurrence, du
comportement du consommateur et du producteur ou encore de
l’équilibre des marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle
et on distingue généralement trois grandes écoles :
La pensée néoclassique, caractérisée par son approche
marginaliste (c’est-à-dire à la marge), a pour but de faire de
l’économie une science au même titre que les autres, en
établissant de fait des lois et des principes qui seraient des
vérités de fait. Les différents auteurs de la pensée néoclassique
ont donc La pensée néoclassique, caractérisée par son approche
marginaliste (c’est-à-dire à la marge), a pour but de faire de
l’économie une science au même titre que les autres, en
établissant de fait des
lois et des principes qui seraient des vérités de fait. Les
différents auteurs de la pensée néoclassique ont donc
notamment travaillé sur le fonctionnement des marchés, de la
concurrence, du comportement du consommateur et du
producteur ou encore de l’équilibre des marchés. Ce courant est
né à la fin du XIXe siècle et on distingue généralement trois
grandes écoles : notamment travaillé sur le fonctionnement des
marchés, de la concurrence, du comportement du
consommateur et du producteur ou encore de l’équilibre des
marchés. Ce courant est né à la fin du XIXe siècle et on
distingue généralement trois grandes écoles :

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