Vous êtes sur la page 1sur 17

AOMI

1- Le Syndrome de Leriche est défini par : b,c,d


A- Abolition unilatérale des pouls
B- Ensemble des troubles provoqués par une thrombose de l’aorte abdominale
C- Claudications intermittentes bilatérales
D- Dysfonctionnement érectile

2- La classification de Fontaine et Leriche : b,c,d


A- Stade 1 : Claudications intermittentes
B- Stade 2 : Claudications intermittentes
C- Stade 3: Claudications de repos
D- Stade 4 : Troubles trophiques

3- Cochez la/les réponse(s) justes : a,b,c


A- Takayasu est une maladie plus fréquente chez la femme
B- La maladie de Behçet se caractérise par des aphtes vasculaires
C- Les AOMI sont le plus souvent consécutives à des lésions athéromateuses
D- L’Angio-IRM sous-estime les lésions

4- Le syndrome de Leriche associe : a,c


A- Des claudications intermittentes bilatérales
B- Une fièvre
C- Une impuissance érectile
D- Une hypotension artérielle

5- Parmi les facteurs de risque des AOMI ; on trouve : a,b,c


A- Le tabac
B- L’alcool
C- Le diabète
D- La Grossesse

Un patient âgé de 60 ans, sans Atcds particuliers présente des troubles trophiques
au niveau du pied droit associé à une douleur insomniante depuis 1 mois,

6- le diagnostic à évoquer est : c


A- L’ischémie aigue
B- L’ischémie subaiguë
C- L’ischémie critique
D- Aucune réponse n'est juste
7- Le syndrome de Leriche et Fontaine est défini par : b,c
A- La présence d’un œdème.
B- Claudications intermittentes.
C- Dysfonctionnement érectile.
D- La froideur.

8- L’artériopathie oblitérante des membres inférieurs : a,d


A. Est souvent asymptomatique
B. Est symptomatique exclusivement à la marche
C. Est symptomatique en décubitus à la phase initiale
D. Est favorisée par le tabac

9- L'évolution d'une plaque d'athérome peut se faire vers : a,b,c


A- Un anévrisme
B- Un gonflement subit par hémorragie dans la plaque
C- Une thrombose pariétale
D- Une disparition sous l'effet du traitement

Un homme âgé de 75 ans tabagique depuis l’âge de 25 ans, connu diabétique type 2
et hypertendu, consulte pour des claudications intermittentes du MI droit avec un
périmètre de marche inférieur à 50 m.
L’angioscanner montre une sténose pré-occlusive au niveau de l’AFS.

10- A quel diagnostic pensez-vous ? c


A- Une artériopathie athéromateuse stade 4
B- Un artériopathie inflammatoire type takayasu
C- Une artériopathie athéromateuse stade 2
D- Une sciatalgie

11- À l’examen clinique il faut rechercher : c,d


A- Des signes d’insuffisance veineuse à l’inspection
B- D’un thrill à la palpation
C- D’un souffle sur le trajet artériel à l’auscultation
D- Une abolition ou diminution des pouls à la palpation

12- Quel(s) traitement(s) proposez-vous ? a,d


A- Héparinothérapie
B- Corticothérapie
C- Pontage Aorto-bifémoral
D- Artériographie à visée thérapeutique (angioplastie)
13- Concernant le diagnostic différentiel de l’AOMI au stade II on trouve : a,b,c
A- La claudication d’origine veineuse
B- La claudication d’origine neurologique
C- La claudication d’origine rhumatismale
D- La claudication d’origine artérielle

14- L’ischémie critique des MI est caractérisée chez le diabétique par : a,d
A- Douleurs ischémiques de décubitus insomniantes soulagées par la position
(Jambes pendantes)
B- Une pression artérielle systolique (PAS) à la cheville inférieure à 50 mmHg
C- Des douleurs de décubitus avec ou sans des troubles trophiques évoluant en
moins de 15 jours.
D- Une pression artérielle systolique (PAS) à l’orteil inférieure à 30 mmHg.

15- Parmi les moyens thérapeutiques de l’AOMI : a,b,d


A- Le TTT médical est présent dans tous les stades de Leriche et Fontaine
B- La revascularisation du membre ischémié
C- L’amputation du membre sans revascularisation
D- Le contrôle des facteurs de risque cardio-vasculaires (FRCV)

16- Quels sont les critères par définition d'une ischémie critique : c
A- PAS < 50 mmHg au niveau de l'orteil ou PAS <30 mmHg au niveau de la cheville.
B- Douleurs permanentes de moins de 5j
C- Douleurs permanentes de plus de 15j
D- Claudications intermittentes

17- La classification de Leriche et Fontaine : a


A- Est dans l'ordre : Claudications intermittentes -> Douleur de repos -> troubles
trophiques
B- Est une classification à 5 stades
C- Le stade III est l’ischémie critique
D- Le stade II est asymptomatique

18- Choisir les réponses correctes : b


A- Une gangrène sèche évolue toujours vers une gangrène gazeuse.
B- Un faux-anévrisme peut avoir lieu au niveau de l’anastomose entre artère et
prothèse
C- Chez le diabétique, on prend par référence l'IPS au niveau de la cheville.
D- Le pied diabétique est une association neurologique et infectieuse avec une
composante ischémique.
19- L’athérosclérose est une maladie caractérisée par l’apparition de plaques
d’athérome : b,c,d
A- Entre la média et l’adventive
B- Entre l’intima et la média
C- Elle touche les artères de gros et moyen calibre
D- Le remaniement causé par les plaques d’athérome est irréversible

20- Concernant l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs : a,b,c,d


A- Elle se manifeste par un rétrécissement de la lumière artérielle
B- Les rétrécissements favorisent la formation de la thrombose
C- La douleur d’effort est un motif fréquent de consultation
D- Face à une ischémie le tissu nerveux est le plus fragile

21- L’indice de la pression systolique est : a,b,c,d


A- Supérieur à 1,30 chez les diabétiques
B- Sa valeur normale est 0,90
C- Est le rapport entre la pression artérielle systolique mesurée à la cheville et la
pression artérielle systolique brachiale
D- Est calculé à l’aide d’un doppler
L’anévrysme de l’AA
1- Concernant les anévrysmes : b
A- Ils peuvent être définis par un rétrécissement de la lumière artérielle
B- Ils peuvent être définis par une dilatation localisée associée à une perte du
parallélisme des bords de la paroi artérielle
C- On parle d’anévrysme sacciforme si toute la paroi est intéressée
D- L’anévrysme fusiforme est dit plus grave parce qu’il a un haut risque de rupture

2. Concernant les anévrysmes : b,c


A. La syphilis est l’étiologie la plus fréquente des anévrysmes
B. La maladie athéromateuse est responsable de la plupart des cas (85%)
C. Les anévrysmes peuvent être asymptomatiques
D. Les anévrysmes se traduisent cliniquement par une masse solide, non battante et
très douloureuse

3. Concernant les anévrysmes : a,b,d


A. La rupture est la complication majeure et la plus grave des anévrysmes
B. Le but du traitement est d’exclure l’anévrysme en évitant sa rupture
C. Le traitement des anévrysmes est seulement médical
D. La mise à plat + greffe prothétique constitue la technique de référence du
traitement chirurgical

4/ concernant les critères de l’anévrysme de l’aorte abdominale : a,b,c


A : cliniquement il se manifeste par une masse battante, soufflante et expansive
B : la localisation abdominale la plus fréquente est sous rénale
C : le traitement chirurgical repose sur une mise à plat + greffe prothétique
D : il existe un haut risque de décès dans les ruptures rétropéritonéales

5/parmi les complications d’un anévrysme de l’aorte abdominale sous rénale on


trouve : a,c,d
A : une uretéro-hydronéphrose
B : embolie pulmonaire
C : fistule aorto-cave
D : insuffisance cardiaque droite

6 /Devant un anévrysme de l’aorte abdominale sous rénale, l’indication chirurgicale


est retenue devant, cochez la réponse fausse : c
A : un anévrisme sacciforme
B : un anévrisme douloureux
C : un anévrisme dont le diamètre est inférieur à 3 cm
D : un anévrisme qui comprime les organes de voisinage
7/Anévrysme abdominal : b,c
A : les pouls distaux sont toujours abolis
B : les pouls distaux peuvent être présents
C : est à prédominance masculine
D : son traitement est toujours médical

8 /Parmi les indications du traitement chirurgicale de l’anévrysme : a,b,c


A : compression des organes de voisinages
B : diamètre > 5cm
C : embolie périphérique
D : anévrysme asymptomatique

9/Le faux anévrysme : a,c


A) Nécessite un traitement chirurgical indépendamment de sa taille
B) Peut-être fusiforme ou sacciforme
C) Se forme à la suite d’une rupture artérielle
D) Ne peut pas être traité en endovasculaire

10-/Concernant l’anévrysme de l’aorte abdominale : a,d


A. Le vrai anévrysme : Peut-être fusiforme ou sacciforme
B. Le faux anévrysme : toute la circonférence artérielle est intéressée
C. Le vrai anévrysme : l’organisation fibreuse de l’hématome aboutit à la formation
d’une capsule.
D. le faux anévrysme : un hématome se forme suite d’une rupture artérielle

11/- Les formes cliniques de l’anévrysme de l’aorte abdominale : a,c,d


A. Les formes topographiques : AAA type IV et AAA para-rénaux
B. Les formes inflammatoires : AAA aorto-iliaque
C. Les formes topographiques :AAA juxta-rénaux et AAA supra-rénaux
D. LA forme inflammatoire sur maladie de Behçet : anévrysme de type aphteux

12/- Pour le traitement de l’AAA : a,b,d


A. Traitement chirurgical : technique de référence est la mise à plat + la greffe
prothétique.
B. traitement endovasculaire : son but est d’éviter la rupture et exclure l’anévrysme.
C. Traitement chirurgical : rupture anévrysmale secondaire comme complication.
D. Traitement endovasculaire : l’endoprothèse est Stent + prothèse.

13) Les examens permettant l’étude morphologique d’un anévrisme de l’aorte


abdominale : a,d
a. Angio-TDM abdominale
b. Radiographie d’abdomen de face sans préparation
c. Angiographie abdominale
d. Echographie abdominale
14) Parmi les complications des anévrismes de l’aorte sous-rénale, quelle est celle
que l’on ne peut observer ? b
a. Ischémie aigüe des membres inférieures
b. Dissection du tronc ceoliaque
c. Rupture dans la veine cave inférieure
d. Erosion vertébrale

15) Le dépistage d’un anévrisme de l’aorte abdominale : c,d


a. Se fait par l’IRM abdominale
b. Doit se faire chez le jeune de moins de 40 ans
c. L’échographie abdominale est l’examen de choix
d. Se fait chez un homme âgé>65ans avec FRCV

17 / Lesquels des types anatomiques suivants correspondent à un anévrisme de


l’aorte : a,b,c
a. Un anévrisme disséquant
b. Un anévrisme fusiforme
c. Un anévrisme sacciforme
d. aucune réponse n’est juste

18 / Parmi ces critères anatomiques de faisabilités (sizzing), le(s) quel(s) est/sont


mauvais : a,b,d
a. Un diamètre supérieur à 3 cm du collet proximal
b. Un diamètre supérieur à 1,5 cm de l’artère iliaque et/ou une longueur inférieure à
1,5 cm du collet proximal
c. Absence des calcifications et tortuosité au niveau de artères iliaques
d. Présence d’un thrombus sur le collet

19 / Quelle(s) est/sont la/les complication(s) secondaire(s) du traitement


endovasculaire : a,d
a. Une rupture anévrismale secondaire
b. Une endofuite type IV
c. Une endofuite type I
d. Un sepsis de l’endoprothèse

20/ les examens radiologiques diagnostiques à demander en cas de l’anévrysme de


l’aorte abdominale : a,c
A : Echographie abdominale
B : ASP
C : angioscanner abdominal
D : IRM abdominal
21/ Le faux anévrysme est caractérisé par : c,d
A- Une paroi propre
B- Perte de parallélisme de la paroi
C- Une masse battante à la palpation
D- Une extravasation du produit de contraste à l’artériographie
ISCHEMIE AIGUE
1- L'ischémie aigue : a,c
A- C'est une pathologie vasculaire qui engage le pronostic vital
B- Ne survient jamais sur des artères saines
C- L'atteinte cutanée témoigne d’un stade avancé
D- L'héparinothérapie est contre indiquée

2- Quelles sont les solutions thérapeutiques devant une ischémie aigue d'origine
embolique ? a,d
A- Traitement Héparinique
B- Amputation du membre ischémié
C- Pontage
D- Embolectomie

3- Concernant le traitement des ischémies aigues des membres : a,c,d


A- Les pontages peuvent être réalisés par un matériel autogène
B- La Fogartisation peut se faire sur une artère pathologique
C- L’amputation est toujours indiquée en cas d'ischémie consommée
D- L’’angioplastie peut être effectuée de façon combinée avec une thrombectomie

4- La tétrade de Griffith contient les éléments suivants : a,c


A- La douleur
B- La perte de substance tissulaire
C- L’absence de pouls
D- L’hémorragie

5- L'ischémie aiguë est : c


A- une interruption brutale de l’apport de sang désoxygéné au niveau d’un membre
en amont d’une obstruction d’un tronc artériel principal
B- une interruption progressive de l’apport de sang oxygéné au niveau d’un membre
en aval d’une obstruction d’un tronc artériel principal
C- une interruption brutale de l’apport de sang oxygéné au niveau d’un membre en
aval d’une obstruction d’un tronc artériel principal
D- une interruption progressive de l’apport de sang oxygéné au niveau d’un membre
en amont d’une obstruction d’un tronc artériel principal

6- Concernant l'ischémie aiguë, à l’examen clinique : a,


A- L’inspection recherche une pâleur de la peau et une décoloration des lits
unguéaux
B- L’inspection recherche une rougeur de la peau et une décoloration des lits
unguéaux
C- L’inspection recherche une coloration jaunâtre des conjonctives
D- L’inspection recherche une pâleur de la peau et une décoloration de la langue
7- Les ischémies aiguës des membres ont deux causes principales : c
A- Les anévrismes et les AVC
B- L’hypertension intracrânienne et les AVP
C- Les thromboses et les embolies
D- Les varices et les TVP

8- Concernant l’ischémie aigue : b,c,d


A- est l’interruption progressive de l’apport de sang oxygéné au niveau d’un
membre
B- c’est une urgence en chirurgie vasculaire
C- a comme conséquence une souffrance tissulaire et une atteinte cutanée
D- tout retard à la mise en route d’un traitement adapté engage le pronostic vital

9- Concernant l’ischémie aigue : a,d


A- est l’interruption brutale de l’apport de sang oxygéné au niveau d’un membre
B- se manifeste par une rougeur de la peau à l’inspection
C- la palpation retrouve une chaleur cutanée
D- les pouls artériels sont absents au-delà du niveau de l’obstruction

10- Concernant l’ischémie aigue : b,c


A- est une douleur de plus de 15 jours selon les recommandations de l’AHA
B- le bilan pré-opératoire ne doit pas retarder la prise en charge thérapeutique
C- l’artériographie permet de préciser la cause
D- l’échodoppler est systématique

11- En cas d’ischémie aigue : b,c,d


A- Un bilan complémentaire est obligatoire
B- Elle nécessite d’emblée une revascularisation
C- Elle ne dépasse pas les 6h
D- Elle engage fortement le pronostic fonctionnel
TRAUMATISMES VASCULAIRES
1- En ce qui concerne l’exploitation radiologique d’un traumatisme vasculaire,
l’examen complémentaire de première intention est : a
A- L’écho-doppler
B- L’angio-TDM
C- L’angio-IRM
D- L’artériographie

2- Parmi les propositions suivantes, quelles sont les formes chroniques d’un
traumatisme vasculaire : a,b,d
A- Fistule artérioveineuse
B- Faux anévrysme
C- Hémothorax
D- Claudications

3- En ce qui concerne le traitement des lésions associées à un traumatisme


vasculaire : b,d
A- La réparation des artères précède la réparation des veines
B- Il faut privilégier l'ostéosynthèse extra focale après réparation artérielle en cas de
lésion osseuse.
C- En cas de section franche, la réparation des nerfs est retardée
D- La réparation des nerfs est secondaire

4- Un traumatisme vasculaire artériel peut se manifester : a,b,d


A- Par une ischémie pouvant aller jusqu’au déficit sensitivo-moteur
B- Par l’apparition d’un hématome
C- Toujours par un état de choc
D- Par des signes d’anémie aiguë

5- En ce qui concerne la prise en charge d’un traumatisme artériel : a,c,d


A- Une prise en charge chirurgicale doit être faite rapidement afin de limiter les
pertes sanguines et la durée d’ischémie
B- Il faut placer un garrot en première intention pour limiter les pertes sanguines en
cas de traumatisme ouvert
C- Le premier geste à réaliser est la compression manuelle et orientée
D- Réaliser tous les examens complémentaires nécessaires afin de localiser les
lésions et orienter la conduite thérapeutique si le patient est
hémodynamiquement stable
6- Un jeune sportif qui, quelques heures après réduction d’une luxation du genou
gauche présente une ischémie de la jambe gauche. Il s’agit certainement d’une : b
A- Section de l’artère poplitée gauche
B- Contusion de l’artère poplitée gauche
C- Section de l’artère fémorale superficielle gauche
D- Contusion du pied gauche

7- Parmi les complications post-opératoires on note : b,c,d


A- La thrombose veineuse profonde
B- Le syndrome de revascularisation
C- Le sepsis
D- La nécrose musculaire
STENOSE CAROTIDIENNE
1- Le polygone de Willis : a,c
A- Unit système carotidien au système vertébro-basilaire au niveau de la base du
crane
B- Il est mis en jeu en cas d’occlusion d’ASP
C- Il est mis en jeu en cas d’occlusion d’ACI
D- Il n’intervient pas au cas d’occlusion

2- Classification de Whismant-Siekart et Milliakan : b,d


A- stade 1 est asymptomatique
B- stade 1 représente stade d’accident ischémique transitoire
C- stade 1 est irréversible
D- stade 0 est découverte fortuitement

3- L’examen de référence pour sténose carotidienne : a,c


A- Echo Doppler
B- Angio-IRM
C- Angio-TDM
D- Artériographie

4- Un accident ischémique transitoire carotidien peut se manifester par : a,b


A- Une hémiplégie brachio-faciale
B- une aphasie de wernicke
C- Une cécité bilatérale
D- fourmillements bilatéral

5- Les signes du diagnostic différentiel d’un AIT d’origine vertébro-basilaire : b,c


A- cécité homolat à la lésion
B- ataxie
C- trouble de l’équilibre
D- aphasie de Broca

6- Le degré de la sténose est évalué par : a,d


A- Echodoppler
B- Tdm cérébral
C- Doppler transcrânien
D- Angioscanner

7- Concernant les sténoses carotidiennes : a,b


A- L ’athérosclérose est l’étiologie la plus fréquente.
B- Peuvent être responsable d’AVC.
C- 70% des sténoses se situent au niveau de la carotide interne.
D- 30% des sténoses se situent dans la bifurcation carotidienne.
8- Le polygone de WILLIS : a,c
A- Unit le système carotidien au système vertébro-basilaire a la base du crane
B- Est constitué du système carotidien seulement.
C- Est considéré comme un réseau de suppléance.
D- N’est que rarement mis en jeu en cas de sténoses carotidienne.

9- Concernant les examens paracliniques : a,d


A- L’écho doppler permet le dépistage des Sténoses carotidiennes
B- L’angio TDM n’est jamais réalisé.
C- L’angio IRM est réalisé systématiquement.
D- L’artériographie a un intérêt diagnostic et thérapeutique.

10- Une sténose carotidienne peut être à l’origine : a,c,d


A- D’une cécité monoculaire homolatérale transitoire
B- D’une diplopie
C- D’une hémiplégie controlatérale
D- D’un souffle carotidien

11- Parmi ces examens, lequel permet de dépister une sténose carotidienne ? c
A- Angio-IRM
B- Artériographie
C- Echo-Doppler
D- ECG
LES ANTI-COAGULANTS
1- Quels sont les acteurs de l’hémostase primaire ? b,d
A- Fibrine
B- Plaquettes
C- Facteur X
D- Endothélium

2- Quels sont les anti-agrégants plaquettaires parmi les suivants : a,d


A- Aspirine
B- HNF
C- HBPM
D- Clopidogrel

3- Concernant les héparines : a,d


A- HNF est utilisée en urgence
B- HBPM est utilisée en urgence
C- HBPM est utilisée en cas d’insuffisance rénale
D- HNF est utilisée en cas d’insuffisance rénale

4- On fait le suivi du traitement par héparine par : b,d


A- TP
B- TCA
C- INR
D- NFS

5- La coagulation participe à : b
A- L'hémostase primaire
B- L'hémostase secondaire
C- Fibrinolyse
D- Aucune des réponses n’est justes

6- Les Anti-vitamine K agissent sur : a,c,d


A- Le facteur II
B- Le facteur V
C- Le facteur X
D- Le facteur VII

7- La formation du caillot de fibrine se fait au niveau de : b,d


A- L’hémostase primaire
B- L’hémostase secondaire
C- La fibrinolyse
D- La coagulation
8- Les anticoagulants : b,d
A- L’héparine est contrôlée par l’INR
B- Les anti-vit K sont contrôlés par l’INR
C- L’Aspirine a une action réversible
D- L’HNF a une action immédiate
TVP
1- A propos de la thrombose veineuse profonde des membres inférieurs : a,b,c
A- Définit par la constitution, développement et fixation d’un caillot sanguin
cruorique dans une ou plusieurs veines sous aponévrotiques des membres
inférieurs
B- L’embolie pulmonaire comme principale complication
C- L’Hypercoagulabilité, la stase veineuse, l’altération de la paroi veineuse
constituent la triade de Virchow
D- Le tableau clinique comprend une douleur spontanée ou provoquée par la
palpation du mollet, une diminution de la température locale, avec présence du
signe de « Homans »

2- Parmi les examens suivants, lequel est l’examen de choix pour la thrombose
veineuse profonde des membres inférieurs ? b
A- D-dimères (technique Elisa)
B- Echo-doppler veineux
C- Examen clinique
D- Phlébographie

3- Le traitement de la TVP : a,b,c


A- Permet d’obtenir une recanalisation de la veine
B- La contention élastique fait partie intégrante du traitement
C- Essentiellement médical inclut une héparinothérapie, les anti vitamines K, et les
anticoagulants oraux
D- aucune réponse n’est juste

4- Parmi les complications de la TVP on cite : a,b


A- L’embolie pulmonaire
B- Le syndrome post-phlébitique
C- Le syndrome de Leriche
D- La thrombose artérielle

Vous aimerez peut-être aussi