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Historique de peuplement
La Commune d’Adjohoun est peuplée par des groupes ethniques venus d’horizons divers. Il
s’agit :
Les quatre (04) ethnies essentielles sont : le Wemε, le Fon, le Yoruba et le Adja. L’ethnie
majoritaire est le Wemε, suivie des Fon des Yoruba et enfin des Adja.
Administration
Les services réglementaires au fonctionnement de l’administration communale sont créés. Ils
sont placés sous l’autorité et le contrôle du Secrétaire Général de la Mairie et sont animés par
des agents des collectivités locales.
Au total, pour son fonctionnement, la Commune d’Adjohoun dispose de neuf (09) services
qui sont complémentaires. Les différents services qui animent l’administration communale
d’Adjohoun sont :
Il est à noter aussi que chacun de ces services est subdivisé, lesquelles divisions travaillent en
franche collaboration avec leur chef de service respectif.
La Commune d’Adjohoun est peuplée par des groupes ethniques venus d’horizons divers. Il s’agit :
Les quatre (04) ethnies essentielles sont : le Wemε, le Fon, le Yoruba et le Adja. L’ethnie majoritaire est
le Wemε, suivie des Fon des Yoruba et enfin des Adja.
Administration
Les services réglementaires au fonctionnement de l’administration communale sont créés. Ils sont placés sous
l’autorité et le contrôle du Secrétaire Général de la Mairie et sont animés par des agents des collectivités locales.
Au total, pour son fonctionnement, la Commune d’Adjohoun dispose de neuf (09) services qui sont
complémentaires. Les différents services qui animent l’administration communale d’Adjohoun sont :
Il est à noter aussi que chacun de ces services est subdivisé, lesquelles divisions travaillent en franche
collaboration avec leur chef de service respectif.
La commune d’Adjohoun est administrée par un conseil communal élu et installé depuis juin 2020. pour un
mandat de cinq (5) ans. Il est composé de 19 conseillers élus. Le Maire de la commune est assisté de deux
adjoints. Les arrondissements sont administrés par un Chef d’Arrondissement et les villages et quartiers par un
chef de village ou de quartier. Le conseil communal a en son sein trois commissions permanentes: la
Commission des affaires économiques ; la Commission des affaires Sociales et la Commission des affaires
domaniales et la commission de la Coopération décentralisée et l’Intercommunalité, toutes fonctionnelles.
ZANNOU-AGBO S. François
La Commune d’Adjohoun est située au centre du Département de l’Ouémé et comprise entre 6°42’43’’ de
latitude Nord et 2°29’38’’ de longitude Est, dans la vallée et à 32 km au Nord de Porto-Novo, Capitale du Bénin.
Sa superficie totale est d’environ 308 Km2. Elle est limitée
La Commune d’Adjohoun compte environ 75 323 habitants avec une densité de 245 Hbts/km2 (RGPH4, INSAE
2013). Cette population serait estimée en 2018 à 86 958 habitants (RGPH4, INSAE 2013).
Activités économiques :
Agriculture, pêche, élevage, commerce et exploitation des carrières de sable fluvial.
Réalisations majeures :
Forum jeunes, implication de la société civile dans l’organisation des audiences publiques de reddition de
comptes
-2018 : Recettes réalisées : 184 038 161 sur recettes prévues : 362 887 961
Dépenses exécutées 175 886 545 sur dépenses prévues : 362 877 961
-2019 : Recettes réalisées : 245 064 752 sur recettes prévues : 376 000 017
Dépenses exécutées 155 410 633 sur dépenses prévues : 376 500 017
-2020 : Recettes réalisées : 320 437 727 sur recettes prévues : 406 723 293
Dépenses exécutées 187 343 314 sur dépenses prévues : 406 723 293
GIZ, UNICEF, PNUD, FNUAP, Union Européenne, Plan International, Care Bénin Togo, Département français
de Loire-Atlantique,
a. Historique de peuplement
La Commune d’Adjohoun est peuplée par des groupes ethniques venus d’horizons divers. Il s’agit :
Les quatre (04) ethnies essentielles sont : le Wemε, le Fon, le Yoruba et le Adja. L’ethnie majoritaire est
le Wemε, suivie des Fon des Yoruba et enfin des Adja.
Administration
Les services réglementaires au fonctionnement de l’administration communale sont créés. Ils sont placés sous
l’autorité et le contrôle du Secrétaire Général de la Mairie et sont animés par des agents des collectivités locales.
Au total, pour son fonctionnement, la Commune d’Adjohoun dispose de neuf (09) services qui sont
complémentaires. Les différents services qui animent l’administration communale d’Adjohoun sont :
Il est à noter aussi que chacun de ces services est subdivisé, lesquelles divisions travaillent en franche
collaboration avec leur chef de service respectif.
La commune d’Adjohoun est administrée par un conseil communal élu et installé depuis juin 2020. pour un
mandat de cinq (5) ans. Il est composé de 19 conseillers élus. Le Maire de la commune est assisté de deux
adjoints. Les arrondissements sont administrés par un Chef d’Arrondissement et les villages et quartiers par un
chef de village ou de quartier. Le conseil communal a en son sein trois commissions permanentes: la
Commission des affaires économiques ; la Commission des affaires Sociales et la Commission des affaires
domaniales et la commission de la Coopération décentralisée et l’Intercommunalité, toutes fonctionnelles.
ZANNOU-AGBO S. François
La Commune d’Adjohoun est située au centre du Département de l’Ouémé et comprise entre 6°42’43’’ de
latitude Nord et 2°29’38’’ de longitude Est, dans la vallée et à 32 km au Nord de Porto-Novo, Capitale du Bénin.
Sa superficie totale est d’environ 308 Km2. Elle est limitée
AGUEGUES
Commune lacustre du Sud-Ouest du département de l’Ouémé au
Bénin constituée d’un ensemble d’ilots de terre submersibles logés
dans la partie basse du fleuve Ouémé, les Aguégués s'étendent sur
103 km2.
Chaque année, pendant la période de juillet-novembre, toute la
commune est inondée et devient totalement lacustre à l’exception d’un
seul village : Agbodjèdo dans l'arrondissement de Houédomè.
L’espace habité s’étend sur 500 m de large le long du fleuve Ouémé
et est sujet d’inondations saisonnières pendant les crues où toute la
commune devient lacustre.
« Aguégués » c’est le nom d'un tout petit bois que l’on utilise pour
serrer le lacet avec lequel on lie un fagot de bois pour le transporter.
On évoque cet instrument dans les expressions et pensées locales
comme « egni do nake mavo, Aguégués non kpo ayi » ou encore «
nake madouvo Aguégués mon non yi adome » pour dire que tant
qu’on n’est pas en pénurie totale de bois de chauffage, Aguégués
sera toujours épargné du feu. Ce petit bois frais ayant servi à attacher
le fagot de bois est toujours épargné du feu. Au delà d’une intention
de prière, cela rappelle aussi que les guerres de conquête de
Danxomè ont ravagé presque toutes les zones du Bénin sauf «
aguégués ».
L’histoire du peuplement des Aguégués fait référence aux
événements du 17ème siècle. Deux principaux groupes socio-
ethniques et linguistiques en seraient à l’origine. Les Toffinous, les
premiers à s’installer à cet endroit, et les Ouémènous, venus plus tard.
Parmi ce groupe des Toffinous, deux collectivités se réclament
comme la première occupante : les Djêviénou et les Dankonou.
Pour la collectivité des Djêviénou, leur premier descendant est
Soholou Linzé-Agban. Il serait venu directement d’Adja Tado et plus
précisément d’Adjahounzon. Sur son itinéraire migratoire, il se serait
installé à Ahouansori Agué (actuel quartier Sainte Cécile de Cotonou)
puis à Sô-Ava, une localité lacustre (devenue commune de Sô-Ava)
où il avait installé un campement de chasse et de pêche (Ava).
Selon les récits oraux, Soholou a fait la rencontre de Tê-Agbanlin,
fondateur de Hogbonou (qui fuyait les conflits fraticides qui déchiraient
Allada) dans la région d’Akassato (dans l’actuelle commune
d’Abomey-Calavi) en venant vendre une partie de ses produits de
pêche et de chasse. Les deux amis, après avoir séjourné à Sô-Ava
pendant un moment, se sont dirigés vers Porto-Novo. Alors que Tê-
Agbanlin s’est installé à Porto-Novo où il construisit une habitation
dénommée « Hogbonou ». Soholou, pour rester proche de Tê-Agbalin
et continuer ses activités de chasse et de pêche, élit domicile à son
tour sur l’actuel site des Aguégués où il trouva à son arrivée
Amoussou Aguégué (fils du chef de Vakon).
La collectivité des Dankonou quant à elle est constituée de la
descendance de Gnancadja Zounhon, ami du chasseur Amoussou
Aguégué (qui serait un fils d’un chef de village de Vakon dans la
commune d’Akpro-Missérété). Selon l’histoire soutenue par cette
collectivité, le territoire des Aguégués fut fondé par Gnancadja
Zounhon, leur ancêtre éponyme. Ce dernier serait aussi venu
directement d’Adja-Tado plus précisement de Sogbonouhoué Parten
fuyant les conflits fratricides.
Gnancadja Zounhon et l’un de ses frères Todjinou se sont installés à
l’Ouest à Sowè (Houédogbadji) puis à Dékanmè (deux localités de la
commune de Sô-Ava). De Dékanmè, Gnancadja s’installera sur un îlot
plus vaste à l’Est de la rivière « Sô » qu’il appela « Zoungbo-Fonsa »
(sur la rive droite des Aguégués mais proche de Dékanmè). Ce
dernier, en faisant la chasse vint retrouver Amoussou Aguégués au
lieu-dit Kogboho (actuelle place publique appelée Sohonto). Gnacadja
Zounhon épousa Gbassègbo, sœur de Amoussou Aguégué. En
souvenir à son gendre, Gnancadja Zounhon consacra la localité à qui
il donna le nom ‘’Aguégué’’.
Le deuxième groupe, les Ouémènous seraient venus plus tard
d’Abomey en fuyant les attaques du roi d’Abomey au cours de la
première moitié du 18è siècle. Ils étaient conduits par Zoungla et ses
compagnons Houndagnon, Ahésou, Houénou, Atchassou, Assin et se
sont installés dans l’arrondissement d’Avagbodji. Certains
Ouémènous s’installèrent plus tard dans le village d’Agbodjèdo dans
l’arrondissement de Houédomè.
Cette commune de 44 562 habitants (selon le 4ème RGPH) et dirigée
actuellement par GANDONOU Marc compte 23 villages répartis dans
les 3 arrondissements que sont : Avagbodji, Houédomè et Zoungamè.
La commune des Aguégués est limitée au Nord par les communes de
Dangbo et d’Akpro-Missérété, au Sud par le lac Nokoué et la
commune de Sèmè-Podji, à l’Est par la lagune de Porto-Novo et la
ville de Porto-Novo et à l’Ouest par le lac Nokoué et la commune de
Sô-Ava.
BONOU
Bienvenue dans la commune d'origine de « Gbesso Wémèton», le
talentueux artiste de la musique traditionnelle béninoise!
DANGBO
La Commune de Dangbo, porte d’entrée dans la Vallée de l’Ouémé
est une collectivité territoriale du département de l’Ouémé, dotée par
la nature de terres fertiles en toutes saisons. Elle est limitée au Nord
par la Commune d’Adjohoun, au Sud par la Commune des Aguégués,
à l’Est par la Commune d’Akpro-Missérété, à l’Ouest par la Commune
de So-Ava. Elle comporte 07 arrondissements à savoir Dangbo,
Dèkin, Gbéko, Houètin-Houédomey, Hozin, Kessounou et Zounguè.
La population de Dangbo, estimée à plus de 96 000 habitants occupe
une superficie de 149 km2. Le maire actuel de la Commune de
Dangbo est Maoudo Djossou.