Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
L’Union européenne –
Un ordre cosmopolitique
européen en émergence ?
euryopa
www.unige.ch/ieug
Publications euryopa
10
Sidjanski, op. cit., p. 33-39, surtout p. 34 et 35 et Du Réau, op. cit., p. 166-171 concernant l'unionisme et le
fédéralisme et p. 172-177 concernant le Congrès de La Haye.
11
Du Réau, op. cit., p. 178-188 concernant la fondation du Conseil de l'Europe et p. 194-196 concernant la déception
des fédéralistes; voir aussi Bitsch, op. cit., p. 53-57.
12
Voir le petit aperçu proposé par Philippe MOREAU DEFARGES dans son ouvrage Les institutions européennes,
Paris, Armand Colin, 1998, p. 68-69 ou alors directement les auteurs cités: David MITRANY, A working peace
system, Chicago, Quadrangle Books, 1966; Ernst HAAS, The uniting of Europe: political, social and economic
forces 1950-1957, London, Stevens & Sons, 1958 et Beyond the nationstate: functionalism and international
organization, Stanford Calif, Stanford University Press, 1964 et Karl DEUTSCH, Political Community at the
international level, 1954, cité in Moreau Defarges, op. cit., p. 68 ou, Tides among nations, New York, The Free
Press, 1979, surtout p. 234-248.
13
Bitsch, op. cit., p. 161-165.
l'affrontement entre maximalistes et minimalistes de l'intégration européenne s'articula
dorénavant entre supranationalistes et intergouvernementalistes à l'intérieur des
Communautés européennes qui étaient devenues les nouveaux porteurs politiques de
l'espoir de l'unification européenne. Les modifications postérieures des Traités de Rome,
Acte unique em 1986, Traité de Maastricht en 1992, Amsterdam en 1997 et Nice en 2001
ne changèrent rien à cet antagonisme politique principal. Ces événements historiques ont
induit les conséquences politiques et juridiques suivantes dignes d'être retenues pour les
développements futurs de notre étude:
L'affrontement idéologique et politique entre fédéralistes et supranationalistes,
même si au sens strict un supranationaliste peut ne pas être fédéraliste, et unionistes et
intergouvernementalistes conjugué avec la dynamique fonctionnaliste des traités
communautaires a donné dès ses débuts une logique institutionnelle propre au processus
d'intégration des Communautés et de l'Union européenne. Celui-ci est caractérisé par un
exercice en commun de la souveraineté selon la règle de l'unanimité entre les États
membres
en ce qui concerne les domaines de l'Union (voir l’article 23 TUE 14 concernant la
prise de décision en matière de politique étrangère et de sécurité commune [PESC] et l’artic
le 42 concernant la coopération policière et judiciaire en matière pénale [CPJ]) et par um
transfert partiel de celle -ci, impliquant un déplacement limité de compétence législative du
niveau national à un échelon supra- ou transnational aux Communautés européennes, en ce
qui concerne les domaines sectoriels gérés par les Traités de Rome 15. La modification des
traités par contre reste soumise à la procédure intergouvernementale et donc à la règle de
l'unanimité.16
Une dynamique politique, ouverte à des étapes d'intégration successive, consacrée
par la formule de l'article premier du Traité de l’Union européenne la définissant comme
"un processus créant une union sans cesse plus étroite entre les peuples d'Europe", soustend
l'édifice institutionnel. Les processus décisionnels permettant les transferts de souveraineté
reposent sur une culture de négociation intergouvernementale qui, tout en connaissant le
principe de supranationalité et donc de vote à la majorité qualifiée en matière de
compétence communautaire, ne sont pas comparables à ceux d'un État fédéral national. Le
caractère hybride des institutions et des processus décisionnels originaux de l'Union et des
Communautés européennes ainsi sommairement esquissés ont amené les politologues
Croisat et Quermonne de parler de fédéralisme intergouvernemental 17, appellation
contradictoire qui illustre très bien notre propos. Nous sommes confrontés à un objet
politique non identifié18 et nouveau qui désarçonne les spécialistes. De plus, du
supranationalisme communautaire est né un nouveau droit, européen ou communautaire,
qui ne peut être assimilé ni au droit international public classique ni encore être qualifié de
droit supranational constitutionnel d'une Union fédérale européenne.
Le caractère dynamique de l'intégration sectorielle agrandit continuellement
l'emprise de ce nouvel ordre juridique communautaire et lui confère une essence sui generis
qui pose aux juristes des défis important de théorie constitutionnelle. L'ampleur de transfert
de souveraineté qu'a atteint le processus d'intégration soulève par exemple des problèmes de
14
TUE = Traité instituant l'Union européenne, version consolidée après l'adoption du Traité de Nice, JO C 325/5 du
24.12.2002. Le Traité de Nice a été publié au JO C 80/1 du 10.3.2001.
15
L'art. 5 du Traité instituant la Communauté européenne (TCE) prévoit l'attribution de compétences légales à la
Communauté, l'article 249 les sources légales communautaires principales et les articles 250 à 252 les procédures
décisionnelles. La version consolidée du TCE après l'adoption du Traité de Nice a été publiée au JO C 325/33 du
24.12.2002.
16
Art. 48 TUE.
17
Maurice CROISAT et Jean-Louis QUERMONNE, L'Europe et le fédéralisme, Paris, Montchrestien, 1996, p. 61 ss.
18
C'est nous qui soulignons cette formule attribuée à Jacques Delors, reprise ici de Jean-Louis QUERMONNE,
"Existe-t-il un modèle européen", Revue française de Science politique, N° 2, avril 1990, p. 196.
légitimité politique et force d'une part l'Union européenne à une réforme fondamentale de
ses
institutions et appelle d'autre part la théorie politique et constitutionnelle à réfléchir
quant à la qualification normative de ce nouveau droit. Il s’agit aujourd’hui de penser cet
ordre juridique sui generis dans la perspective d'une théorie constitutionnelle qui le
fonderait philosophiquement et le structurerait juridiquement. Etant donnée la nature
politique propre du processus d'intégration, cette théorie constitutionnelle devra autant
prendre en compte la racine métaétatique du droit communautaire, fruit d'un processus
historicopolitique original et résolument nouveaux, que préserver son caractère dynamique,
c'est-à-dire ouvert au changement et à l'adaptation permanente.
L'Union et les Communautés européennes sont actuellement le seul exemple d'une
intégration politique et juridique métaétatique qui n'est plus une association d'États
entièrement souverains, puisque les États ont consenti abandonner des compétences
considérables dans
les domaines communautaires, mais pas encore une Confédération ou même un État
fédéral supranational, étant donné que les souverainetés nationales dans les domaines clés
de la politique étrangère et de la sécurité sont exercées d'une manière commune mais
unanimement. D'un autre côté, la Communauté agit em Fédération en ce qui concerne ses
domaines de compétence exclusive, ce qui a permis à l'ancien recteur du collège de Bruges
Brugmans de parler de fédéralisme à l'envers1919. En effet, la Communauté fédéralise
les politiques proches des citoyens et non les relations extérieures et la sécurité comme dans
les Fédérations traditionnelles, ce qui complique encore la qualification politique des
institutions européennes.
Par contre, et nous voilà parvenus à l'hypothèse foncière de notre problématique,
l'Union européenne ressemble à une Cosmopolis, de type régional et européen certes,
comme le philosophe Immanuel Kant l'avait proposée d'instituer pour le monde dans son
Projet de paix perpétuelle. Nous pensons que grâce au caractère universel et théorique du
projet philosophique de Kant, il est à priori, pour faire un clin d'oeil au lexique du
philosophe, possible d'en retirer quelque enseignement pour la compréhension du projet de
pacification de l'Europe à travers le processus d'intégration. Nous montrerons tout au long
de notre réflexion que la pensée politique kantienne se rapproche, grâce et non pas malgré
sa perspective universaliste, bien plus de la réalité de l'unification européenne
contemporaine que tous les autres plans historiques d'une unification du continent. Ainsi, un
exemple majeur du premier mode de pensée de l'unité européenne, philosophique et
spéculatif, pourrait éclairer la réflexion juridique dans sa tâche ancillaire du politique
européen qui tend vers une Union qui ne sera peut-être jamais un État fédéral supranational
mais probablement bien plus qu'une association d'États ou une Confédération, et pour
laquelle il faut par conséquent développer une théorie constitutionnelle d'un nouveau type.
Nous étudierons dans quelle mesure l’ordre cosmopolitique que Kant présente dans
son opuscule Projet de paix perpétuelle pourrait contribuer à l'élaboration de nouveaux
20
paradigmes pour penser l'Union européenne et aider à théoriser ce que la doctrine juridique
appelle le droit constitutionnel matériel de l'Union. Il s'agira notamment d'évaluer si ce droit
constitutionnel sur lequel se fondra peut-être un jour une Constitution européenne répond
aux critères normatifs d'un ordre cosmopolitique européen. Le philosophe rêvait d’une paix
perpétuelle pour l’Europe sur la base de la prééminence du droit, de la démocratie et du
respect des droits fondamentaux des individus. Nous étudierons si et comment les postulats
philosophiques du grand penseur allemand pourraient concourir à l’élaboration
d’une Constitution européenne.
19
Nous soulignons cette citation reprise de Quermonne, idem, p. 197.
20
Voir ci-dessous note N° 21 p. 12.
Stéphane Bloetzer
A União Europeia -
Uma ordem cosmopolita
Europeu emergente?
euryopa
Instituto Europeu da Universidade de Genebra
O catálogo geral
publicações estão disponíveis
no site do Instituto Europeu:
www.unige.ch/ieug
Publicações euryopa
Problemática
Entre as muitas organizações internacionais que surgiram após a Segunda Guerra
Mundial na Europa, a União Europeia e as Comunidades Europeias prometem mais
concretamente e melhor encarnam politicamente o projeto de uma Europa unida. O nosso
estudo limitar-se-á à sua análise, embora admitindo que a Europa política em formação ainda se
expressa através de outras organizações, nomeadamente a Organização para a Segurança e
Cooperação na Europa (OSCE) e o Conselho da Europa. O nascimento destas últimas precede o
das Comunidades Europeias e as forças políticas que então se expressaram foram o início de
uma vontade política europeia comum.
Como pudemos distinguir no prólogo dois modos fundamentais de pensar o
eurocentrismo, um antigo e especulativo, filosófico e cultural, conducente à afirmação de uma
consciência europeia e o outro recente e proativo, político e técnico, dando origem a instituições
jurídicas capaz de estruturar concretamente a Europa política, acreditamos que é possível
subcategorizar a forma política de pensar a unidade europeia em duas correntes ideológicas
principais que têm moldado durante cinquenta anos a integração europeia. Estas duas ideologias
ou forças políticas entraram em confronto desde o início da construção europeia, ou seja, já no
Congresso de Haia (7 a 10 de maio de 1948), mas ainda mais significativamente durante a
fundação do Conselho da Europa, da definição da sua natureza e finalidade política e, portanto,
durante o estabelecimento das suas instituições e das suas competências. O confronto entre os
federalistas, corrente maximalista que deseja um Estado federal europeu, os Estados Unidos da
Europa, e os unionistas, corrente minimalista que pretende estabelecer apenas uma organização
internacional clássica de carácter intergovernamental, cortou pela raiz a então possível formação
de uma ligação federal de natureza nova entre os Estados da Europa Ocidental. Quanto à outra
Europa, a do Centro e do Leste, preparava-se para afundar sob o jugo da ditadura comunista.
As Comunidades Europeias criadas entre 1951, Comunidade Europeia do Carvão e do
Aço (CECA), e 1957, Comunidade Económica Europeia (CEE) e Comunidade Europeia da
Energia Atómica (CEEA ou EURATOM), são o resultado de uma nova ideologia política no
canteiro de obras europeu, funcionalismo que consegue superar temporariamente a sua
estagnação. No entanto, o desejo de despolitizar a construção europeia através da integração
setorial e económico-tecnocrática teorizada por David Mitrany, Karl Deutsch e Ernst Haas nas
décadas de 1950 e 1960 e posta em prática pelas Comunidades Europeias, não conseguiu
impedir o recomeço do debate político. o cenário europeu, o mais tardar durante a crise da
cadeira vazia causada pela França de Charles de Gaul em 1966. Na verdade, o confronto entre
maximalistas e minimalistas da integração europeia foi doravante articulado entre
supranacionalistas e intergovernamentais dentro das Comunidades Europeias que se tornaram os
novos portadores políticos da esperança da unificação europeia. As modificações subsequentes
dos Tratados de Roma25, Ato Único em 1986, Tratado de Maastricht em 1992, Amesterdão em
1997 e Nice em 2001 não alteraram nada neste principal antagonismo político. Estes
25
Arte. O artigo 5.º do Tratado que institui a Comunidade Europeia (TCE) prevê a atribuição de competências
jurídicas à Comunidade, sendo o artigo 249.º as principais fontes jurídicas comunitárias e os artigos 250.º a 252.º os
procedimentos de tomada de decisão. A versão consolidada do TCE após a adoção do Tratado de Nice foi publicada
em JO C 325/33 de 24.12.2002.
acontecimentos históricos induziram as seguintes consequências políticas e jurídicas dignas de
serem retidas para os futuros desenvolvimentos do nosso estudo:
O confronto ideológico e político entre federalistas e supra nacionalistas, mesmo que
em sentido estrito um supra nacionalista possa não ser federalista, e sindicalistas e
intergovernamentais aliado à dinâmica funcionalista dos tratados comunitários deu desde o
início uma lógica institucional específica ao processo de integração. as Comunidades e a União
Europeia. Isto caracteriza-se por um exercício conjunto de soberania de acordo com a regra da
unanimidade entre os Estados-Membros no que diz respeito aos domínios da União (ver artigo
23.º do TUE relativo à tomada de decisões em matéria de política externa e de segurança
comum [PESC] e artigo 42.º relativo à cooperação policial e judiciária em matéria penal [CPJ])
e através de uma transferência parcial da mesma, implicando uma mudança limitada de
competência legislativa do nível nacional para um nível supra ou transnacional para as
Comunidades Europeias, no que diz respeito às áreas setoriais geridas pelos Tratados de Roma.
A modificação dos tratados, por outro lado, permanece sujeita ao procedimento
intergovernamental e, portanto, à regra da unanimidade26.
Uma dinâmica política, aberta a etapas sucessivas de integração, consagrada na fórmula
do artigo primeiro do Tratado da União Europeia que o define como “um processo que cria uma
união cada vez mais estreita entre os povos da Europa”, sustenta a estrutura institucional. Os
processos de tomada de decisão que permitem transferências de soberania baseiam-se numa
cultura de negociação intergovernamental que, embora conhecendo o princípio da
supranacionalidade e, portanto, da votação por maioria qualificada em matérias de competência
comunitária, não são comparáveis aos de um estado federal nacional. O carácter híbrido das
instituições e dos processos de decisão originais da União e das Comunidades Europeias, assim
brevemente delineados, levaram os cientistas políticos Croisat e Quermonne a falar de
federalismo intergovernamental27, um nome contraditório que ilustra muito bem o nosso ponto
de vista. Estamos diante de um objeto político novo e não identificado 28 que desconcerta os
especialistas. Além disso, do supranacionalismo comunitário nasceu um novo direito, europeu
ou comunitário, que não pode ser assimilado nem ao direito internacional público clássico nem
ainda ser qualificado como direito supranacional constitucional de uma União federal europeia.
A União Europeia e as Comunidades Europeias são atualmente o único exemplo de uma
integração política e jurídica de meta-Estado que já não é uma associação de Estados
inteiramente soberanos, uma vez que os Estados concordaram em abdicar de poderes
consideráveis em áreas comunitárias, mas ainda não uma Confederação ou mesmo um estado
federal supranacional, dado que as soberanias nacionais em áreas-chave da política externa e da
segurança são exercidas de forma comum, mas unânime. Por outro lado, a Comunidade atua em
Federação no que diz respeito às suas áreas de competência exclusiva, o que permitiu ao antigo
reitor do colégio de Bruges Brugmans para falar de federalismo ao contrário 29. Na verdade, a
Comunidade federaliza as políticas próximas dos cidadãos e não as relações externas e a
segurança como nas Federações tradicionais, o que complica ainda mais a qualificação política
das instituições europeias.
Por outro lado, e aqui chegámos à hipótese fundamental do nosso problema, a União
Europeia assemelha-se a uma Cosmópolis, de tipo regional e europeu certamente, como o
filósofo Immanuel Kant se propôs estabelecer para o mundo no seu Projeto de paz perpétua.
Acreditamos que graças ao caráter universal e teórico do projeto filosófico de Kant, é a priori,
para dar um aceno ao léxico do filósofo, dele ser possível tirar algumas lições para a
compreensão do projeto de pacificação da Europa através do processo de integração.
Mostraremos ao longo da nossa reflexão que o pensamento político kantiano está mais próximo,
graças e não apesar da sua perspectiva universalista, muito mais próximo da realidade da
unificação europeia contemporânea do que todos os outros planos históricos para a unificação
do continente. Assim, um grande exemplo do primeiro modo de pensar a unidade europeia,
26
Art. 48 TUE.
27
Maurice CROISAT et Jean-Louis QUERMONNE, L'Europe et le fédéralisme, Paris, Montchrestien, 1996, p. 61 ss.
28
Somos nós que sublinhamos esta fórmula atribuída a Jacques Delors, aqui extraída de Jean-Louis QUERMONNE,
"Existe um modelo europeu", Revue française de Science politique, n.º 2, Abril de 1990, p. 196.
29
Sublinhamos esta citação retirada de Quermonne, idem, p. 197.
filosófico e especulativo, poderia iluminar a reflexão jurídica na sua tarefa auxiliar da política
europeia, que tende para uma União que talvez nunca seja um Estado federal supranacional,
mas provavelmente muito mais do que uma associação de Estados ou uma Confederação, e para
a qual é portanto necessário desenvolver uma teoria constitucional de um novo tipo.
Estudaremos até que ponto a ordem cosmopolítica que Kant apresenta no seu panfleto
Projeto para a Paz Perpétua poderia contribuir para o desenvolvimento de novos paradigmas de
pensamento sobre a União Europeia e ajudar a teorizar o que a doutrina jurídica chama de
direito constitucional material da União. Em particular, tratar-se-á de avaliar se este direito
constitucional em que talvez um dia se baseie uma Constituição Europeia cumpre os critérios
normativos de uma ordem cosmopolita europeia. O filósofo sonhava com uma paz perpétua
para a Europa baseada no Estado de direito, na democracia e no respeito pelos direitos
fundamentais dos indivíduos. Estudaremos se e como os postulados as ideias filosóficas do
grande pensador alemão poderiam contribuir para o desenvolvimento de uma Constituição
Europeia.