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TP/ GESTION DU PERSONNEL

1.1) Expliquez brièvement le préalable à la création d’une entreprise?

Avant de créer une entreprise, il est important de réaliser une étude de marché
pour évaluer la viabilité de son projet, de définir un business plan pour
déterminer sa stratégie et ses objectifs, de choisir un statut juridique adapté à
l'activité envisagée, de réaliser les démarches administratives nécessaires pour
immatriculer l'entreprise, et enfin de mettre en place une organisation et une
gestion financière efficaces. Ces étapes sont essentielles pour assurer le succès
et la pérennité de l'entreprise.
1.2) Pourquoi faudrait-il examiner le préalable de la création d’une entreprise ?

Il est essentiel d'examiner en détail le préalable à la création d'une entreprise


pour plusieurs raisons :

1. Évaluation de la viabilité du projet : Une étude de marché permet de comprendre


le secteur d'activité dans lequel l'entreprise va évoluer, d'identifier la
concurrence, les besoins des clients potentiels et les opportunités de
développement. Cela permet d'évaluer la faisabilité du projet et de s'assurer qu'il
répond à un réel besoin sur le marché.

2. Définition d'une stratégie et d'objectifs clairs : Élaborer un business plan


permet de définir les objectifs à atteindre, la stratégie à mettre en place pour y
parvenir, ainsi que les moyens nécessaires pour y parvenir. Cela permet d'avoir une
vision claire et structurée du projet, facilitant sa mise en œuvre et sa gestion.

3. Choix du statut juridique adapté : Choisir le bon statut juridique est crucial
pour déterminer la responsabilité des dirigeants, le régime fiscal et social de
l'entreprise, ainsi que les modalités de fonctionnement. Il est donc important de
bien réfléchir à ce choix en fonction de l'activité envisagée et des objectifs à
long terme.

4. Réalisation des démarches administratives : Immatriculer une entreprise implique


de réaliser différentes démarches administrativ auprès des autorités compétentes.
Il est important de bien s'informer sur ces démarches et de les réaliser dans les
délais impartis pour pouvoir démarrer son activité légalement.

5. Mise en place d'une organisation et d'une gestion efficaces : Une bonne


organisation et une gestion financière rigoureuse sont essentielles pour assurer le
bon fonctionnement et la pérennité de l'entreprise. Il est donc important de mettre
en place dès le départ des outils de gestion adaptés et de définir des processus
clairs pour assurer le suivi et le contrôle de l'activité.

En résumé, examiner le préalable à la


création d'une entreprise permet de s'assurer que le projet est viable, bien
structuré et correctement encadré sur le plan juridique et administratif, ce qui
est essentiel pour garantir son succès à long terme.

2) Présentez les formes juridiques autorisées par OADA en RDC

En République Démocratique du Congo (RDC), l'Office des Formalités et du Contrôle


des Sociétés Commerciales (OFCS) est l'organisme chargé de la gestion des
formalités liées à la création et au suivi des entreprises. Voici les formes
juridiques autorisées par l'OFCS en RDC :

1. Entreprise individuelle : Il s'agit d'une entreprise exploitée par une seule


personne, qui est responsable des dettes de l'entreprise sur l'ensemble de son
patrimoine personnel.

2. Société à Responsabilité Limitée (SARL) : Une SARL est une société constituée
entre deux associés au minimum et cinquante au maximum. Les associés ne sont
responsables des dettes de la société qu'à concurrence de leurs apports.

3. Société Anonyme (SA) : Une SA est une société dont le capital est divisé en
actions et qui est constituée par au moins sept actionnaires. Les actionnaires ne
sont responsables des dettes de la société qu'à concurrence de leurs apports.

4. Société en Nom Collectif (SNC) : Une SNC est une société constituée entre deux
personnes au minimum, qui sont solidairement responsables des dettes de la société
sur l'ensemble de leur patrimoine personnel.

5. Société en Commandite Simple (SCS) : Une SCS est une société constituée entre un
ou plusieurs associés commandités, qui sont responsables des dettes de la société
sur l'ensemble de leur patrimoine personnel, et un ou plusieurs associés
commanditaires, qui ne sont responsables qu'à concurrence de leurs apports.

6. Société en Participation : La société en participation n'est pas une forme


juridique à proprement parler, mais un contrat par lequel des associés décident de
mettre en commun leurs ressources et de partager les bénéfices d'une activité
commune.

Il est important de choisir la forme juridique la plus adaptée à son projet


d'entreprise en fonction de ses besoins, de ses objectifs et de sa situation
financière. Il est recommandé de se faire accompagner par un professionnel du droit
ou de la comptabilité pour faire le choix le plus approprié.

3) Quels sont les documents administratifs collectifs et indispensable à


l’ouverture d’une compagnie minière ?

Pour l'ouverture d'une entreprise en République Démocratique du Congo (RDC), voici


les principaux documents administratifs nécessaires :

1. Acte constitutif de la société : Il s'agit du document qui définit les statuts


de la société, ses objectifs, son fonctionnement et la répartition des parts entre
les associés.

2. Statuts de la société : Les statuts détaillent les règles de fonctionnement de


la société, les droits et obligations des associés, les organes de direction et de
contrôle, etc.

3. Registre du commerce et du crédit mobilier (RCCM) : L'immatriculation de la


société au RCCM est obligatoire pour qu'elle soit reconnue légalement et puisse
exercer ses activités en toute légalité.

4. Déclaration de conformité : Ce document atteste que la société respecte les


dispositions légales en vigueur en RDC.

5. Autorisation d'exercice : Certains secteurs d'activité nécessitent une


autorisation spécifique pour pouvoir être exercés légalement. Il est important de
se renseigner sur les autorisations nécessaires en fonction du domaine d'activité
de l'entreprise.

6. Déclaration fiscale : L'entreprise doit effectuer une déclaration fiscale pour


être en règle avec l'administration fiscale congolaise.
7. Autorisations spécifiques : En fonction de l'activité de l'entreprise, d'autres
autorisations spécifiques peuvent être requises, telles que des permis
d'exploitation, des autorisations sanitaires, des licences d'importation ou
d'exportation, etc.

Il est recommandé de se renseigner auprès des autorités compétentes en matière


d'entreprise en RDC pour connaître en détail les documents administratifs
nécessaires à l'ouverture d'une entreprise et pour s'assurer de respecter toutes
les réglementations en vigueur.

Voici quelques documents administratifs indispensables à l'ouverture d'une


compagnie minière en RDC :
1. Autorisation d'exploitation minière : Pour exercer des activités minières en
RDC, une compagnie minière doit obtenir une autorisation d'exploitation minière
délivrée par le Ministère en charge des mines. Ce document est essentiel pour
pouvoir exploiter un site minier.

2. Permis environnemental : En plus de l'autorisation d'exploitation minière, une


compagnie minière doit obtenir un permis environnemental qui atteste que ses
activités respectent les normes environnementales en vigueur.

3. Déclaration d'impôts et autres obligations fiscales : Une compagnie minière doit


se conformer aux obligations fiscales en vigueur en RDC, ce qui inclut la
déclaration et le paiement des impôts et taxes liés à ses activités.

4) Expliquer les critères de classification des entreprises en illustrants des


exemples

Les entreprises peuvent être classées selon différents critères, tels que leur
taille, leur secteur d'activité, leur forme juridique, leur chiffre d'affaires,
etc. Voici quelques critères de classification des entreprises avec des exemples :

1. Classification par taille :


- Micro-entreprise : Moins de 10 salariés et un chiffre d'affaires annuel ou un
total de bilan n'excédant pas 2 millions d'euros.
- Petite entreprise : Moins de 50 salariés et un chiffre d'affaires annuel ou un
total de bilan n'excédant pas 10 millions d'euros.
- Moyenne entreprise : Moins de 250 salariés et un chiffre d'affaires annuel
n'excédant pas 50 millions d'euros ou un total de bilan n'excédant pas 43 millions
d'euros.
- Grande entreprise : Plus de 250 salariés et un chiffre d'affaires annuel
supérieur à 50 millions d'euros.

2. Classification par secteur d'activité :


- Entreprise industrielle : Entreprise qui transforme des matières premières en
produits finis (ex : usine de production automobile).
- Entreprise commerciale : Entreprise qui achète des produits pour les revendre
sans les transformer (ex : supermarché).
- Entreprise de services : Entreprise qui fournit des services plutôt que des
biens matériels (ex : agence de voyages).

3. Classification par forme juridique :


- Entreprise individuelle : Entreprise détenue et gérée par une seule personne.
- Société à responsabilité limitée (SARL) : Société dont la responsabilité des
associés est limitée au montant de leurs apports.
- Société anonyme (SA) : Société dont le capital est divisé en actions et dont
la responsabilité des actionnaires est limitée au montant de leurs actions.

4. Classification par chiffre d'affaires :


- TPE (Très Petite Entreprise) : Chiffre d'affaires inférieur à 2 millions
d'euros.
- PME (Petite et Moyenne Entreprise) : Chiffre d'affaires compris entre 2 et 50
millions d'euros.
- ETI (Entreprise de Taille Intermédiaire) : Chiffre d'affaires compris entre 50
et 1,5 milliard d'euros.
- GE (Grande Entreprise) : Chiffre d'affaires supérieur à 1,5 milliard d'euros.

Ces critères de classification permettent de mieux comprendre la diversité des


entreprises en fonction de leur taille, de leur secteur d'activité, de leur forme
juridique et de leur performance économique.

6) Expliquer en illustrants les exemples les limites de l’autorité

Les limites de l'autorité peuvent se manifester de différentes manières, et voici


quelques exemples illustrant ces limites :

1. Résistance des employés : Un manager peut avoir une autorité formelle sur ses
employés, mais ces derniers peuvent résister à ses ordres s'ils ne sont pas
convaincus de leur légitimité ou de leur pertinence. Par exemple, un chef d'équipe
peut demander à ses employés de travailler tard le soir, mais ces derniers
pourraient refuser s'ils estiment que la demande est injustifiée.

2. Conflits interpersonnels : L'autorité d'un supérieur hiérarchique peut être


remise en question en cas de conflits personnels avec ses subordonnés. Par exemple,
si un manager a des relations tendues avec un employé en raison de différends
personnels, il pourrait avoir du mal à exercer son autorité de manière efficace.

3. Limites de compétence : Même si un manager a une autorité formelle sur ses


subordonnés, ces derniers peuvent remettre en question son autorité s'ils estiment
qu'il manque de compétences ou d'expertise dans un domaine spécifique. Par exemple,
un directeur financier pourrait avoir du mal à exercer son autorité sur son équipe
si ses compétences en matière de finance sont remises en question.

4. Culture organisationnelle : Dans certaines organisations, la culture


d'entreprise peut limiter l'autorité des managers. Par exemple, dans une entreprise
où la prise de décision est fortement centralisée, les managers de niveau inférieur
pourraient avoir peu de marge de manœuvre pour exercer leur autorité et prendre des
décisions autonomes.

5. Évolution des attentes des employés : Les attentes des employés envers
l'autorité ont évolué au fil du temps, et les managers doivent maintenant faire
preuve d'une autorité plus participative et collaborative. Les employés peuvent
remettre en question l'autorité d'un manager s'il adopte un style de leadership
autoritaire et peu inclusif.

En résumé, les limites de l'autorité peuvent être dues à la résistance des


employés, aux conflits interpersonnels, aux limites de compétence, à la culture
organisationnelle et à l'évolution des attentes des employés. Il est important pour
les managers de reconnaître ces limites et d'adapter leur approche pour exercer une
autorité efficace et respectueuse.

8) Quelles sont les conséquences pour effectif conscient sur l’impact de la gestion

Lorsque les membres d'une équipe ou d'une organisation sont conscients des limites
de l'autorité et de l'impact de la gestion, cela peut avoir plusieurs conséquences
positives et négatives sur l'efficacité et le bien-être de l'effectif. Voici
quelques-unes de ces conséquences :
1. Conscience des limites de l'autorité : Lorsque les membres de l'effectif sont
conscients des limites de l'autorité des managers, cela peut les aider à mieux
comprendre les processus de prise de décision et à accepter les décisions qui sont
prises. Cela peut également encourager une culture de respect mutuel et de
collaboration au sein de l'équipe.

2. Empowerment des employés : La conscience des limites de l'autorité peut


encourager les employés à prendre plus d'initiatives et à être plus autonomes dans
leur travail. Les employés peuvent se sentir plus responsables de leurs actions et
être plus motivés à contribuer positivement à l'équipe et à l'organisation.

3. Meilleure communication : Lorsque les membres de l'effectif comprennent les


limites de l'autorité et l'impact de la gestion, cela peut favoriser une
communication ouverte et transparente au sein de l'équipe. Les employés peuvent
être plus enclins à exprimer leurs idées, leurs préoccupations et leurs besoins, ce
qui peut améliorer la collaboration et la résolution des problèmes.

4. Résistance et conflits réduits : Une meilleure compréhension des limites de


l'autorité peut contribuer à réduire la résistance et les conflits au sein de
l'équipe. Les employés sont plus susceptibles d'accepter les décisions prises par
les managers s'ils comprennent les contraintes auxquelles ces derniers sont
confrontés.

5. Défiance et méfiance : Cependant, si les membres de l'effectif perçoivent que


les managers abusent de leur autorité ou ne tiennent pas compte des avis et des
contributions des employés, cela peut entraîner un sentiment de défiance et de
méfiance au sein de l'équipe. Cela peut nuire à la collaboration, à la motivation
et à la satisfaction au travail.

En conclusion, la conscience des limites de l'autorité et de l'impact de la gestion


peut avoir des conséquences variées sur l'efficacité et le bien-être de l'effectif.
Il est important pour les managers d'encourager une culture où ces limites sont
reconnues et comprises, tout en favorisant une communication ouverte, le respect
mutuel et la collaboration au sein de l'équipe.

9) Est-il possible qu’en entreprise ayant un bon rendement d’avoir une mauvaise
rentabilité

Oui, il est tout à fait possible pour une entreprise d'avoir un bon rendement
opérationnel tout en ayant une mauvaise rentabilité. Le rendement opérationnel
d'une entreprise fait référence à sa capacité à générer des revenus à partir de ses
activités principales, tandis que la rentabilité mesure la capacité de l'entreprise
à générer des bénéfices par rapport à ses coûts et à son investissement.

Il existe plusieurs raisons pour lesquelles une entreprise peut avoir un bon
rendement opérationnel mais une mauvaise rentabilité :

1. Coûts élevés : Même si une entreprise génère des revenus importants, si ses
coûts sont élevés, cela peut réduire sa rentabilité. Des coûts de production
élevés, des coûts de main-d'œuvre élevés ou des coûts liés à la logistique peuvent
réduire les bénéfices de l'entreprise.

2. Investissements importants : Une entreprise qui investit massivement dans de


nouveaux projets, des équipements coûteux ou des acquisitions peut voir sa
rentabilité diminuer à court terme, même si ces investissements peuvent être
bénéfiques à long terme.

3. Structure des coûts inefficace : Une entreprise dont la structure des coûts est
inefficace, avec des dépenses excessives dans certaines fonctions ou des processus
inefficaces, peut voir sa rentabilité affectée malgré un bon rendement
opérationnel.

4. Prix de vente trop bas : Si une entreprise fixe des prix de vente trop bas par
rapport à ses coûts, elle peut avoir du mal à maintenir sa rentabilité, même si
elle parvient à augmenter son chiffre d'affaires.

Il est important pour les entreprises de surveiller à la fois leur rendement


opérationnel et leur rentabilité pour s'assurer qu'elles sont financièrement saines
à long terme. Une bonne gestion des coûts, une analyse approfondie des
investissements et une optimisation de la structure des coûts peuvent contribuer à
améliorer la rentabilité d'une entreprise, même si son rendement opérationnel est
déjà bon.

10) Commenter les responsabilités pour exceller en gestion

Pour exceller en gestion, il est essentiel de comprendre et de mettre en pratique


un ensemble de responsabilités clés qui incombent aux gestionnaires. Voici
quelques-unes des responsabilités importantes pour exceller en gestion :

1. Planification stratégique : Les gestionnaires doivent être capables de définir


les objectifs à long terme de l'entreprise, élaborer des plans stratégiques pour
les atteindre et mettre en œuvre des tactiques pour y parvenir.

2. Organisation : Les gestionnaires doivent être capables de structurer


efficacement les ressources humaines, financières et matérielles de l'entreprise
pour atteindre les objectifs fixés.

3. Direction : Les gestionnaires doivent être capables d'inspirer, motiver et


guider leur équipe pour qu'elle atteigne ses objectifs et donne le meilleur d'elle-
même.

4. Contrôle : Les gestionnaires doivent surveiller les performances de


l'entreprise, identifier les écarts par rapport aux objectifs et prendre des
mesures correctives si nécessaire.

5. Communication : Les gestionnaires doivent être capables de communiquer


efficacement avec leur équipe, leurs supérieurs, leurs collègues et d'autres
parties prenantes pour assurer une compréhension claire des objectifs, des attentes
et des résultats.

6. Prise de décision : Les gestionnaires doivent être capables de prendre des


décisions éclairées et stratégiques en s'appuyant sur des données pertinentes, une
analyse approfondie et une compréhension des enjeux.

7. Gestion des conflits : Les gestionnaires doivent être capables de gérer les
conflits au sein de leur équipe ou entre les membres de l'équipe, en trouvant des
solutions constructives et en favorisant un environnement de travail harmonieux.

8. Développement des compétences : Les gestionnaires doivent être capables de


développer les compétences et les talents de leur équipe, en identifiant les
besoins en formation, en offrant des opportunités d'apprentissage et en
encourageant la croissance professionnelle.

En mettant en pratique ces responsabilités clés et en développant des compétences


en leadership, en communication, en résolution de problèmes et en prise de
décision, les gestionnaires peuvent exceller dans leur rôle et contribuer au succès
global de l'entreprise.
11) Quelles sont les précautions ou aptitudes à prendre dans l’analyse d’un
problème pour avoir des bonnes décisions

Pour prendre de bonnes décisions lors de l'analyse d'un problème, il est important
de suivre certaines précautions et d'avoir certaines aptitudes. Voici quelques
conseils pour vous aider à analyser un problème de manière efficace et à prendre
des décisions éclairées :

1. Définir clairement le problème : Avant de commencer l'analyse, assurez-vous de


bien comprendre et de définir clairement le problème à résoudre. Identifiez les
causes sous-jacentes du problème et délimitez-le de manière précise.

2. Collecter des données pertinentes : Rassemblez des données fiables et


pertinentes pour analyser le problème. Utilisez des sources variées et vérifiez la
fiabilité des informations que vous recueillez.

3. Analyser de manière critique : Appliquez une approche analytique et critique


pour examiner les données collectées. Identifiez les tendances, les corrélations et
les relations causales qui pourraient aider à comprendre le problème plus en
profondeur.

4. Penser de manière systémique : Considérez l'ensemble du système dans lequel le


problème survient, en tenant compte des interactions entre les différentes parties.
Évitez de vous limiter à des solutions superficielles qui pourraient ne pas
résoudre le problème de manière durable.

5. Impliquer les parties prenantes : Consultez les personnes concernées par le


problème, qu'il s'agisse de membres de l'équipe, de clients, de fournisseurs ou
d'autres parties prenantes. Leurs perspectives peuvent apporter des éclairages
précieux pour la prise de décision.

6. Évaluer les risques et les avantages : Évaluez les risques potentiels associés à
chaque solution envisagée, ainsi que les avantages attendus. Comparez les
différentes options en fonction de ces critères pour choisir la meilleure solution.

7. Prendre du recul : Prenez le temps de réfléchir à la situation et de prendre du


recul pour voir le problème sous un angle différent. Parfois, une pause peut vous
aider à trouver des solutions créatives ou à identifier des aspects du problème que
vous n'aviez pas pris en compte.

En suivant ces précautions et en développant vos compétences en analyse critique,


en pensée systémique et en prise de décision, vous serez mieux équipé pour analyser
efficacement un problème et prendre des décisions éclairées.

13) Commenter les critères d'une bonne gestion

Une bonne gestion repose sur plusieurs critères essentiels qui contribuent à
assurer le bon fonctionnement et la performance d'une organisation. Voici quelques
critères clés à prendre en compte pour évaluer la qualité de la gestion :

1. Vision stratégique : Une bonne gestion commence par une vision claire et
stratégique pour l'organisation. Les gestionnaires doivent avoir une compréhension
profonde des objectifs à long terme de l'entreprise et être capables de définir des
stratégies pour les atteindre.

2. Leadership efficace : Un bon leadership est crucial pour motiver les équipes,
favoriser l'innovation, prendre des décisions éclairées et inspirer la confiance.
Les leaders doivent être capables de guider, de mobiliser et d'encourager leurs
collaborateurs vers l'accomplissement des objectifs.
3. Gestion des ressources : Une gestion efficace des ressources (humaines,
financières, matérielles) est essentielle pour assurer la pérennité de
l'organisation. Cela implique d'optimiser l'utilisation des ressources disponibles,
de contrôler les coûts et d'allouer les ressources de manière judicieuse.

4. Communication transparente : Une communication ouverte, transparente et efficace


est un pilier de la bonne gestion. Les gestionnaires doivent être capables de
communiquer clairement les objectifs, les attentes et les informations importantes
à leurs équipes, ainsi qu'entre les différents niveaux hiérarchiques.

5. Gestion du changement : Dans un environnement en constante évolution, la


capacité à gérer le changement est cruciale. Les gestionnaires doivent être
flexibles, réactifs et capables d'anticiper et de s'adapter aux changements
internes et externes qui impactent l'organisation.

6. Orientation client : Une bonne gestion implique de placer le client au cœur des
préoccupations de l'organisation. Les gestionnaires doivent comprendre les besoins
et attentes des clients, et veiller à ce que les produits ou services proposés
répondent à leurs exigences.

7. Évaluation et amélioration continue : La capacité à évaluer régulièrement les


performances de l'organisation, à identifier les points forts et les axes
d'amélioration, et à mettre en place des actions correctives est essentielle pour
une gestion efficace.

En respectant ces critères et en les intégrant dans la pratique quotidienne de la


gestion, les organisations peuvent améliorer leur performance, renforcer leur
compétitivité et assurer leur succès à long terme.

14) Quels sont les point susceptibles d'écarter d'emblée la candidature de demande
d'emploi

Il existe plusieurs points qui peuvent écarter d'emblée une candidature lors d'une
demande d'emploi. Voici quelques-uns des critères les plus courants :

1. Manque de qualifications ou d'expérience requises : Si le candidat ne possède


pas les qualifications, les compétences ou l'expérience nécessaires pour le poste,
sa candidature peut être rejetée dès le départ.

2. CV mal structuré ou incomplet : Un CV mal rédigé, mal structuré ou incomplet


peut donner une mauvaise impression au recruteur et nuire à la candidature.

3. Lettre de motivation générique : Une lettre de motivation générique qui ne


montre pas d'intérêt spécifique pour le poste ou l'entreprise peut être perçue
comme un manque d'engagement de la part du candidat.

4. Fautes d'orthographe ou de grammaire : Des fautes d'orthographe ou de grammaire


dans le CV, la lettre de motivation ou tout autre document de candidature peuvent
être perçues comme un manque de professionnalisme et d'attention aux détails.

5. Incohérence entre le profil du candidat et les exigences du poste : Si le profil


du candidat ne correspond pas aux exigences du poste ou si ses motivations ne sont
pas en adéquation avec la culture de l'entreprise, sa candidature peut être
écartée.

6. Manque de professionnalisme : Tout comportement ou communication non


professionnel de la part du candidat, que ce soit lors de l'entretien d'embauche,
par e-mail ou par téléphone, peut dissuader les recruteurs de retenir sa
candidature.

7. Réputation en ligne négative : Une recherche en ligne sur le candidat qui révèle
des informations négatives ou inappropriées peut également être un motif
d'écartement de sa candidature.

Il est donc essentiel pour les candidats de soigner leur présentation, leur
communication et leur adéquation avec le poste pour maximiser leurs chances d'être
retenus lors d'une demande d'emploi.

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