CONFERENCE IPESUP DU 19/11/22 Peut-on envisager le retour du phénomène des gilets jaunes ?

Choc représente 3 pourcents du PIB et qui s’accompagne de conséquences sociales. Est-ce qu’on
peut penser qu’il y a des éléments qui nous laisse penser à cette ampleur ? Dans une société comme
al notre marque par un chômage important, des inégalités on peut dire que la société est
étonnement calme. On pourrait voir des mouvements sociaux agités (or les gilets jaunes).

Citation d’Albert Camus : « Ce qui frappe le plus, en effet dans le monde ou nous vivons, c’est
d’abord, et en général, que la plupart des hommes s’offrent les croyants de toutes espèces sont
prives d’avenir. Il n’y a pas de vie valable sans projection sur l’avenir sans promesses de murissement
et de progrès. Vivre contre un mur, c’est la vie des chiens et bien, les hommes de ma génération et
de celle qui entrent dans les ateliers et les facultés ont vécu et vivent de plus en plus comme des
chiens. ». A travers cette citation on entend qu’aujourd’hui derrière la crise sanitaire, la crise sociale il
y a derrière ça et que déjà Camus avait perçu dans sa société c’est la crise de l’avenir. La catégorie du
temps opérant c’est l’avenir. Nos parents espèrent que demain soit meilleurs qu’hier pour nous
(trouver des moyens de résoudre les problèmes). Recherche de projet de futur (projet contre le
travail marchandises). Ainsi aujourd’hui nous sommes dans une crise de la temporalité (bloque entre
la crise et l’urgence ce qui travaillent profondément notre société)

Introduction :

Une grevé dans les raffineries, dans les transports, grevé dans les recherches médicales. Pourtant
rien ne semble encore s’agréger pour donner naissance à un mouvement sociale de l’ampleur des
gilets jaunes. N’oublions pas que le mouvement des gilets jaunes et nés dans un climat de grevé mais
le mouvement est né de manière inattendu ce mouvement spontané en apparence était dans le fond
bien structuré par les RS. Même s’il a échappé aux parties des syndicats. Il a suffi d’une anodine taxe
sur le diesel et des points de la CSG supplémentaire pour jeter dans la rue des milliers de français.
Pendant des longues semaines. La pandémie a rempli des fonctions inattendues seule de geler une
contestation sociale. La reprise économique plus importante que prévue après la pandémie a laisse
penser à une anémie sociale. Mais 2 évents sociales sont venus apparaître les cartes : la crise
énergétique qui représente un choc d’offre et de demande et qui représente un choc de 3 points de
PIB accompagné aussi d’une progression des prix perdu de vue depuis 37 ans en 1985. Nous
pourrions penser que la rencontre des mécontentements du monde salariale et aussi l’affirmation
d’actions écologistes coup de point devrait être les signes avant-gardistes d’une plus vaste
mouvement sociales (hypothèse). Attention à l’enchainement mécaniques qui laisserait croire à
l’instabilité du mouvement sociale (ce n’est pas parce qu’il y a une frustration que cela se transforme
directement en crise sociale). Par aller plus long dans la réflexion il est nécessaire d’être au courant
des mots que nous utilisons. Derrière le terme de mouvement sociale Éric Neveux entend que les
mouvements sociaux sont don c des actions concertés en faveur d’’intérêts ou de valeurs ou le
groupe mobilisé exprime son conflit avec un adversaire puissant dans un répertoire protestataire.
L’expression désigne l’existence d’une gamme de façon particulière d’exprimer al protestation
(manifestations, grèves, grèves de la faim, s’enchainer dans la rue…) Ce répertoire est variable selon
les sociétés et les époques.

- Charles Tyhi
- Albert O Hirshaman le triptyque : prise de parole, défection et loyauté
- L’histoire des mouvement sociaux
On observe certain élément intéressant c’est en face de croissance économie que la situation est si
importante puisqu’il fois la croissance revenu le différent groupe social cherche à récupérer les
efforts sociaux. Les 30 glorieuses ont été une période de forte inquiétude sur le pouvoir d’achat (ce
qui explique la présence de revendications en SMIC en 1970). EN 1968, en mai c’est un mouvement
d’ouvrier. (Dans un climat de guerre : guerre froide)

A partir des années 1980, une phase de croissance plus ralentit, la croise sociale était moins dense.
La crise a couté plus de 400 milliards d’euros.

I/ Des contres tendances à l’œuvre semble éloigné la relance d’un mouvement comme celui des
gilets jaunes (il ne s’agit pas de prend un exemple pour en faire des généralité)

A) Le rôle de l’état semble être le premier facteur qui pourrait empêcher le retour des gilets
jaunes
De la crise de la covid a l’instauration d’un bouclier tarifaires il semblerait que l’états
parvienne à limiter l’ampleur des relations en termes sociaux économies. En effet, l’Etat a
joue un rôle d’assureur en état ressort. C’est lui par une augmentation de la dette publique le
maintien du pouvoir d’achat par s’octroie d’un chômage partiel en assurant jusqu’à 40
pourcents des salaires des individus. Il a également aide les entreprises à hauteur de 400
milliards d’euros profitant des conditions favorables l’Etat a amorti le choc de la pandémie.
De la sorte, après la fin provisoire de la pandémie, les inquiétudes éco et Sos n’ont pas eut
lieu malgré une croissance faible la France a continue a développer bcp d’emplois. L’activité
éco a connu un rebond conséquent. Cette ouvre de l’Etat s’est poursuivi avec la crise
ukrainienne qui démarre en février 2022. Comme il n’était pas possible que le choc soit
assumé, l’état l’a assumé. Par ailleurs, l‘Etat a essayé de cible les ménages les plus
vulnérables pour les protéger du choc (la paix sociale semble alors s’acheter par la dette
publique).