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I.

Introduction :
Issue de la restriction de Sonatrach, l’entreprise a été créée par décret
n°80-170 du 1er aout et mise en place le 1er janvier 1981. Par arête
ministériel du 31 décembre 1981 portant date d’effet de substitution de
l’Enterprise ENAFOR. Elle a repris l’ensemble des moyennes humaines,
matériel et infrastructure de la société ALFOR (filial de sonatrach et
sedco, société de forage américaine) ainsi que les appareils de forage
SONATRECH appartenant à ALFOR dans le cadre d’un contant
d’assistance de gestion.

I.1Historique :
1966: création de la base maintenance Laghouat relevant de la Région
transport ouest (mise en service de l’ouvrage oz1).

1988: création de la direction maintenance Laghouat (DMN) structurée


en 03 bases: Laghouat, Biskra ET haoud el Hamra.

2002: création de la direction maintenance Laghouat (DML) et


suppression des 03 bases.

*Coordinats: 33°47'3"N 2°52'15"E

I.2Présentation:
La direction maintenance de Laghouat(DML).situé dans la veille aile
industrielle de la ville de Laghouat, sis cité Essadikia, la ville de
Laghouat est à 400 km d’Alger, superficie de 09 hectares. A proximité
de sécurité ET de protection civile. Cette position lui confie l’avantage
des interventions rapide.

La DML a été créée suite à la décision N°01(R7)du 16 avril 1987 portant


organisation générale de la Sonatrach à membre ci modifiée par les
décisions A 001 .(RB) et A001(R5) de 04 juillet et 1er novembre 1998 et
la décision A367(RI) du 16 mai 1990 portant organisation de structure
chargée des activités liées au développement et è l’exploitation du réseau
du transport des hydrocarbures par canalisations.

I.3Les différentes Direction Générale de DML :


-service HSE.

-centre informatiques.

-département ADM/communication.

-département finances/juridique.

-département ART.

-Département méthodes/ordonnancement.

-département électricité.

-Départementopirations spéciales.

-département mécanique.

* Département Mécanique : il contenant 2 services :


1.1 Site mécanique RG (révision générale) intervient sur les machines
tournantes sur site (station pompage ou compression) soit pour une
révision générale ou partielle (Gazoducs ou oléoducs).

1.2 Atelier: assure


-montage des turbines.

-Fabrication, réparation.

Fabrication:Ce service que faire dans l’atelier usinage pour fabriquer


des pièces de rechange par commandes, l’atelier usinage possède des
machines de fabrication:

*Tour.
*Fraiseuses.

*Mortaiseuses.

*Scies mécanique.et Rectifieuses.

Réparation:Ce service qui faire dans atelier de réparation pour réparer


les pièces .rotors des turbines …..Pour traitement ET projection
thermique.

* Département électricité:
Cette section est responsable de toutes les opérations concernant
l'électricité (moteurs électriques, éclairage,reseauetc).
Le personnel de cette section exécute les travaux essentiels :

*Les travaux curatif :


C'est à dire les travaux effectués après la panne(le dépannage …….)

*Les travaux préventif:

C'est les travaux effectués systématiquement

1-1Inspection préventif :

- Test d'isolation des moteurs et des installations électriques.


- L'état des installations.
- Inspection d'éclairage (changement des lampes grillées).

1-2 Test de vibration (moteur) :


- Etat du roulement.
- Fixation du moteur (mal fixé).
c) Révision des moteurs :
- Changement des roulements.
- Nettoyage des pièces.
- Changement des joints, filtres et joints spi.

*Département méthodes/ordonnancement:
L'organisation du service de maintenance est basée essentiellement sur un
bureaude méthodes.
L'importance de ce dernier réside dans le fait qu'il comporte une basede
données complétés de tous les équipements des modules.

C'est les méthodes qui s'occupent de l'application de la G.M.A.O.


Primordial étant l'organisation des travaux de maintenance.
Le personnel du bureau des méthodes des services maintenance est
généralement
Composé de trois techniciens, chacun ayant une formation de base dans
l'une des
Spécialités mécanique, électromécanique ou instrumentation, pour qu'ils
puissent
Communiquer facilement avec le chef de section de la même spécialité.
qui sont attribués à chaque technicien préparateur sont :
- Mise à jour de l'état des machines.
- Elaboration et déclenchement des O.T (ordre de travail).
- Rédaction des rapports mensuels.
- Utilisation de la documentation.
- La mesure des vibrations et de bruits.
- La mesure des températures
I.4Les Activités Principales de La DML:
 Maintenance préventive et corrective des machines tournantes
principales de TRC (turbines à gaz, moteurs électriques. Pompes,
compresseurs, alternators,) ET de leur accessories.
 Rénovation de sous-ensembles et réparation d’éléments nobles de
machines tournantes (directrices ; corps de pompes…).
 Réalisation et/ou suivi des actions de maintenance méliorative des
machines (rétrofits de contrôle-commande, amélioration matériaux
ou conception…..).
 Contrôle ET étalonnage des soupapes de sureté.
 Analyze des défaillances.
 Etude ET réalisation des piquages en charge ET des opérations
stoppent sur les canalisations ET ouvrages concentrés.
 Tarage des soupapes de sureté gaz ET liquide.

I.5 Les missions de la Direction :


 La maintenance des niveaux 3.4 et 5 des équipements de l’activité.
 L’établissement des procédures et contrôle de la maintenance des
niveaux 1&2 des Equipment de l’activité en collaboration avec les
directions régionales.
 La réparation des pièces ET rénovation des organes des
équipements.
 La fabrication de la pièce ET rénovation des organes.
 La réhabilitation ET modernisation des équipements ET
installations industrielles de l’activité.
 La préparation ET réalisation des opérations spéciales.

II.1-Turbine à gaz :
Une turbine à gaz (dénomination historique, abrégée en TG), appelée
aussi turbine à combustion (TAC) ou parfois turbine à gaz de
combustion (dénomination la plus précise), est une machine tournante
thermodynamique appartenant à la famille des moteurs à combustion
interne dont le rôle est de produire :

 soit de l'énergie mécanique par l'entrainement en rotation


d'un arbre lui-même couplé à une machine industrielle ou à une hélice.
 ou bien de l'énergie cinétique par
détente des gaz en sortie de
turbine dans une tuyère.

II.2. Fonctionnement de
turbine a gaz :
II.2.1. Culotte d’admission :

La culotte d’admission en tôle d’acier mécano soudée constitué le


collecteur d’entrée de l’air atmosphérique. Utilisé comme carburant dans
la turbine à gaz. Placée a l’avant du générateur de gaz et raccordés a
l’agraine d’aspiration de la turbine d’un accouplement , celui-ci
raccordant la prise de mouvement avant du compresseur du générateur de
gaz avec un organe auxiliaire qui peut être le moteur de démarrage ou un
alternateur de servitude.

Les éléments constituant le générateur de gaz sont dans des carters


dont l’ensemble sport de base comprend demi-carters principaux à plan
joint horizontal.

-A l’intérieur :desquels sont montés de l’avant à l’arrière

 Les carters support du palier avant du compresseur.


 Les deux demi-carters de stator du compresseur.
 Les deux demi-carters support du palier arrière du compresseur.

-A l’extérieur :
 Le carter support du palier avant du compresseur.
 Les coudes d’alimentation et les carters des chambres de
combustion montés a la partie supérieure.
 Les deux demi-carters de distributeurs de la turbine d combustion à
l’arrière.

II.2.2.l’entrée d’air :

S’extrayant vers l’avant .il permet ainsi l’accès direct au palier


avant du compresseur du générateur de gaz :

Une enveloppe extérieure .tronconique muni latéralement de brides


destinées à recevoir les boitiers d’engrenages durs lesquelles sont montés
divers accessoires de la turbine.

Une enveloppe intérieure cylindrique dans laquelle se munie le


boitier d’engrenage dont le pignon central est en rotation a l’arbre avant
du compresseur de générateur de gaz.

Les tubes à flamme réalisés en alliage réfractaire équipés de culottes


primaire démontables.

Chaque chambre et équipé d’un injecteur placé dans l’axe du tube et


de l’ensemble des carters externes.

Le refroidissement de la paroi des tubes a flammes est assure par l’air


haute pression venant du compresseur. Circulant dans le canal annulaire
ménagé entre la paroi des tubes et celle des carters, et pénétrant par des
gaufrages au niveau des liaisons de chacun des éléments qui constituant
ces tubes, cet écoulement liminaire isole thermiquement la paroi interne
des tube de l’action du mélanges en combustion.

A pour objet de :

1. Fournir le turbomoteur avec la quantité demandée d’air, avec la


moindre perte de charge (pression totale) et avec le maximum
d’homogénéité de répartition de pression totale sur la section
d’entrée compresseur.
2. Filtrer l’air des contaminants solides : tels, le sel
3. Empêcher les objets étrangers solides d’entrer dans la turbine a gaz
ce qui pourrait endommager le compresseur et la turbine.
II.2.3.Manche a gaz :

La manche a gaz est collecteur monobloc en tôle réfractaire assurant le


transfert des gaz chauds sortant des tubes flammes, a l’entrés du
distributeur de la turbine haute pression.

Deux tubulaires de raccordement aux tubes à flammes. Un tore de


réparation des sur les aubes du premier étages distributeur (turbine
haute pression).

Le refroidissement de la paroi externe de la manche à gaz est


assuré par l’air venant des canaux périphérique de la chambre de
combustion.

II.3.le compresseur :
Les étages du compresseur axial sont munis d’aubages fixés sur les
disques par des ancrages en forme de queue d’aronde.les disques sont
centrés les uns par rapport aux autres est par les tirants le compresseur.

-Centrifuge est constitué par une autre et assemblés par de s


tirants le compresseur centrifuger est constitué par une roue monobloc.

- le rapport de pression étant élevé, il est nécessaire, pendant les


périodes de démarrage d’ajuster la quantité d’air traversant le
compresseur a la section de passage prévue pour le régime nominale
dans ce but .des soutirages d’air sont pratiqués sur le compresseur.

-Ces soutrages sont équipés de dispositifs automatiques qui les


ouvrent et les ferment suivant les besoins de la turbine pendant les
séquences de démarrages et d’arrêt.

- Le compresseur pour de comprimer l’air, c’est une condition pour


améliorer la stabilité de combustion et pour donner a la turbine la
possibilité physique d’extraire de l’énergie des produits de combustion.

- Le compresseur est normalement du type axial pour les grandes


unités (de puissance > 1000KW).pour les petites unités on utilise souvent
un compresseur centrifuge,
- Les compresseurs axiaux sont plus susceptibles de pompage
comparés aux compresseurs centrifuge .le pompage est un phénomène
d’instabilité.

-La compression d’air dans un compresseur axial se fait par


diffusion, c’est un processus au cours duquel l’énergie cinétique se
transforme en énergie potentielle de pression.

II.4. la chambre decombustion (c.c) :


-Ces chambres du types (à retour) sont alimentées par deux
conduites prélèvent l’air comprimé issu du compresseur. A la partie
supérieure du caisson formé par les carters du stator du compresseur et
la partie rivant des carters principaux du G.G chaque chambre comprend
essentiellement.

-Un support d’injecteur à combustible liquide faisant également


fonction d’injecteur à combustible gazeux.

-Un ensemble de carters extrêmes équipés d’un allumage.

Un tube à flamme.

-Le refroidissement des disques de la turbine, ainsi que celui des


pieds d’aubes.est assuré par l’air de fuite calibré du circuit de
refroidissement de la manche à gaz.la partie active des aubes étant
refroidie par conductibilité thermique et protégée du flux gazeux par la
couche laminaire formée par l’air de refroidissement des pieds d’aubes
centrifuge en partie de long de celle-ci.

-Le cc a pour but de chauffer l’air avant de la livrer à la turbine.


Le compresseur aspire l’air atmosphérique, le comprime a la pression
exigée et le dirige vers le (cc) ou le gaz est injecté et brulé.

II.5. turbine :
En vue d’améliorer le rendement du groupe mono arbre.il a été
procédé à des modifications de l’installation en scindant la turbine en
deux éléments suivant :

Une turbine pour entrainer le compresseur axial.

Une turbine motrice pour fournir la puissance au récepteur.


Les deux turbines montées sur deux arbres peuvent être disposées
le cas en série ou en parallèle .de telles installations sont dites « à deux
lignes d’arbre ». Et permettent de faire varier les caractéristiques de
marche des compresseurs ou de la turbine.

Un étage de turbine axiale est composé d’une grille d’aubes fixées


appelée distributeur (directrice) et d’une grille d’aubes mobile appelée
roue.

 Directrice :les directrices ont par conséquent pour rôle de


convertir l’énergie de chaleur et de pression en énergie cinétique,
puis de diriger cette énergie vers les aubes turbines. Sur la machine
on distingue deux types de directrices :
/ Tuyère première étage « directrice fixe ».
/Tuyère deuxième étage »directrice variable ».
 Roue de turbine : les aubes turbine transforment l’énergie
cinétique de la veine de gaz en énergie mécanique de rotation des
roues turbine. Cette énergie est employée pour entrainer le
compresseur axial et pour fournir une puissance de sortie utile.

On distingue 2 type turbine:

II.5.1. Turbine haute pression (T.H.P):


qui entraine le compresseur du générateur (gaz à deux étages a
écoulement axial).

-L’ensemble des deux disques de la turbine est monté en porte à faux


sur l’extremis arrière de l’arbre du compresseur et porte les aubes en
alliage réfractaire.ces dernières sont mises en plan en place sur les
disques dans ancrages en forme de (sapins).

-Les stators de la turbine. En deux éléments séparés par un plan de joint


vertical. Comportent une Enveloppe extérieure en acier coulé qui
constitué l’ensemble résistant dans lequel viennent se centré les annaux
intérieures en alliage réfractaire. Ceux-ci se délattent librement rare
rapport aux pièces résistantes et sont isolés de ces dernières. D’une part
du fait de l’existence d’un espace dans lequel circule un faible débit d’air
prélevé à la sortie du compresseur. D’autre part grâce à l’interposition
d’un isolant contre la paroi extérieure.
-Le rotor turbine H.P est équilibré indépendant du rotor
compresseur ceci permet l’interchangeabilité. En maintenance des
pièces sans contrainte de rééquilibrage au montage.

-A l’avant de cette enveloppe peut se fixer une prise de


mouvement auxiliaire .quatre bras radiaux profiles reliant ensemble
des deux enveloppes extérieure et intérieur.

- Dans les deus bras horizontaux passent les arbres de


transmission de mouvement entre le boitier central et les boitiers
d’engrenages latéraux.

II.5.1.1. L’ensemble de la turbine de puissance comprend


essentiellement :
T.B.P- la ligne d’arbre de la T.B.P

Les carters de l’ensemble la turbine B.P.le diffuseur.

II.5.1.2.Ligne d’arbre compresseur(T.H.P) :


L’ensemble mobile : compresseur-(T.H.B) repose sur deux paliers de
types hydrodynamiques, d’ont l’étanchéité est réalisé par bagues
flottantes.

De l’air prélevé dans la vanne du compresseur et acheminé par des


conduites internes à celui-ci assure l’alimentation des chambres de
pressurisation des paliers ainsi que leur refroidissement.

le palier avant est muni d’une rotule en deux demi-coquilles régulée


composant les dits alignements pouvant provenir de déformations
éventuelles des carters du compresseur, ce palier et équipée de bues à
patins axillants ;type(MITCHEL),équilibrant la r »sultane axial de
action aérodynamiques agissant ,sur le rotor la partie inferieur et le
partie supérieur l’ensemble est maintenu en place par le demi carter
supérieur du palier assemblé avec le demi carter inférieur dans un
plan de joint horizontal. Cette disposition donne à l’appui solide tout
en permettant une inspection facile.

Le palier arrière est situé entre le compresseur et la turbine


H.P c’est un palier lisse à coussinets régulés. Dont les carters supports
sont eux-mêmes montée à l’intérieur des carters supports de la ligne
d’arbre.

Les fuites d’air venant de la face arrière du compresseur ou


de la face avant de la turbine sont collectées sen même temps que les
fuites des labyrinthes des chambres de pressurisation des bagues
flottantes. Puis utilisés pour la climatisation des parois des carters des
stators des turbines H.P et puissance.

II.5.2.Turbine basse pression (T.B.P) :


elle comporte deux étages axial du type a réaction .l’ensemble de la
turbine monté en perte à feux à l’ana ut de l’arbre chargé de
transmettre la puissance utile à la machine réceptrice accouplée à la
turbine.des aubes mobiles. En alliage réfractaire sont Moses en place
sur disques par l’intermédiaire d’engrenage en forme de (sapins) les
deux disques sont assemblés de manière à constitués un ensemble qui
est fixé sur l’extrémité de l’arbre. A l’aide de quatre tirants. Le couple
moteur étant transmis à l’arbre par l’intermédiaire de quatre axes
traversant le corps de disques.

Le rotor de turbine basse pression est équilibrée indépendamment de


l’arbre.ce-ci permet l’interchangeabilité.

II.5.2.1.Ligne d’arbre de la turbine basse pression :

-le palier avant est équipé de deux demi-coussinets régulé dont


l’ensemble est maintenu en place dans sons logement par le montage
d’un chapeau sur le carter support.

-l’étanchéité arrière est équipée d’une rotule en deux demi-


coussinets régulée dont l’ensemble est maintenu en place dans ses
logements par le montage d’un chapeau sur le carter support.

- l’étanchéité à huile du palier avant cote. Turbine est assurée par


système a bague flottante.

- le palier arrière est équipé d’une rotule en deux demi coquilles


régulées les désalignements pouvant provenir de déformations
éventuelles du carter de l’ensemble de turbine libre. Sans que cela
entraine une action sur l’arbre de la turbine.
Le palier arrière est équipé de butés à patins axillants type (Michel)
destinées la résultante des actions des forces aérodynamique agissant
sur la turbine.

II.5.2.2. Carters de l’ensemble de turbine basse pression :

La ligne d’arbre de la turbine basse pression est montée à


l’intérieur d’un ensemble de carter comprenant.

Les carters internes .support de palier à plan de joint horizental.les


carters est muni de quatre bras radiaux assurant .pour l’intermédiaire de
tirants, la liaison avec les carters externes.

II.6. Canalisation d’échappement (c.e) :


Réduire l’énergie perdue dans l’échappement. Cela revient a dire
réduire l’énergie cinétique des gaz d’échappement par un diffuseur.
L’écoulement subsonique sortant de la turbine. Quand il passe dans une
section croissante va diminuer de vitesse et augmenter de pression.

La récupération de pression dans la (c.e) est équivalente a la


réduction de perte de pression totale a l’entrée d’air .tous aident à
améliorer le rendement global de l’unité augmenter la puissance de sortie
et améliorer la stabilité du compresseur vis-à-vis le décrochage ou le
pompage.

II.6.1.Culotte d’échappement :

La culotte d’échappement constitue le collecteur des gaz brules, cet


organe est placé à la sortie de la déformation de la turbine libre et sa bride
de sortie peut être orienté en toute position.

La culotte d’échappement est formée d’un ensemble mécano-soude


calorifuge.

II.7. Système de nettoyage et de lavage :


Suivant les conditions particulières des sites.la machine être suée
d’équipements permettant :

 Le nettoyage du compresseur au produit solide.


 Le lavage à l’eau du compresseur et des turbines.
II.8.Rendement :
Le rendement faible de la turbine à gaz (25 à 35 %) est dû au fait que,
comme dans un moteur à pistons, une partie de l'énergie fournie par le
combustible est nécessaire pour entraîner le compresseur et une autre
perdue sous forme de chaleur dans les gaz d'échappement. Il est possible
d'améliorer légèrement le rendement en augmentant latempérature dans la
chambre de combustion (plus de 1 200 °C) mais on se heurte au problème
de tenue des matériaux utilisés pour la réalisation de la partie turbine.
C'est en récupérant la chaleur des gaz d'échappement (chauffage,
production de vapeur…) que le rendement global de la machine peut
dépasser 50 %. On utilise alors la chaleur des gaz d'échappement (plus
de 500 degrés) pour produire de la vapeur dans une chaudière. Une autre
possibilité d'augmenter le rendement de la turbine est de réchauffer les
gaz en sortie des étages de compression (avant les chambres de
combustion) en les faisant passer dans un échangeur situé dans le flux des
gaz d'échappement.On arrive ainsi à se rapprocher des rendements
d'un moteur diesel semi-rapide. C'est par exemple le principe de
fonctionnement de la turbine WR21 de Rolls-Royce.

La vapeur produite est ensuite utilisée de deux manières :

*la centrale à cycle combiné où une turbine à vapeur complète la turbine


à gaz pour actionner un alternateur, le rendement global atteint alors 55 %
voire 61 % (en 2012) dans les dernières centrales à l'étude.
*la cogénération où la vapeur produite est utilisée dans un autre domaine
(papeterie…)
On fabrique des turbines à gaz de puissance unitaire allant de quelques
kilowatts à plusieurs centaines de mégawatts.
II.9.Application :
-tourner des compresseurs.
-tourner des pompes.
- tourner des alternateurs
II.9.1.Moteur :
Les industries pétrolière et gazière utilisent des turbines à gaz pour
entraîner des pompes pour les pipelines et des compresseurs pour les
gazoducs.
II.9.2.Production d'électricité :
La turbine à gaz de grande puissance (1> MW) est surtout utilisée pour
entraîner un alternateur et produire de l'électricité. Les infrastructures et
le génie civil nécessaires pour une centrale électrique équipée de turbines
à gaz sont réduits, ce qui permet d'installer en quelques mois une centrale
tout près du lieu d'utilisation de l'électricité (ville, usine) ou de la source
de combustible (port, forage, raffinerie…). Turbine et alternateur sont
acheminés sous formes de modules compacts et complets qu'il suffit
d'assembler et de raccorder aux réseaux dans des climats où la
température extérieure peut aller de -40 à +50 °C. Un des avantages des
centrales à turbine à gaz est le temps réduit pour le démarrage et la
production d'énergie ; le gestionnaire d'un réseau de distribution
électrique peut ainsi moduler facilement la capacité de production pour
s'adapter aux variations de la consommation, ou pour s'adapter à la
variation de production d'installations solaires (nuages) ou d'éoliennes
(chute du vent).
L'installation d'un groupe électrogène à turbine à gaz peut s'accompagner
d'une installation en cogénération, afin de récupérer les quantités
importantes d'énergie (environ50 à 65 % de l'énergie consommée)
contenues dans les gaz d'échappement. La principale application de ce
type consiste à injecter ces gaz, éventuellement après passage dans un
tunnel de post-combustion, dans une chaudière de récupération, avec
production d'eau chaude ou de vapeur.
II.10.Pompe centrifuge :
Une pompe centrifuge est une machine rotative qui pompe un liquide en
le forçant au travers d’une roue à aube ou d'une hélice appelée impulseur
(souvent nommée improprement turbine). C’est le type de pompe
industrielle le plus commun. Par l’effet de la rotation de l’impulseur, le
fluide pompé est aspiré axialement dans la pompe, puis accéléré
radialement, et enfin refoulé tangentiellement.

On appelle « corps de pompe » l’enveloppe extérieure de la machine.


C’est la partie fixe de la machine ou stator.
Le corps est constitué principalement de la « tubulure d’aspiration », de la
« volute », et de la « tubulure de refoulement ». La partie mobile ou rotor
est formée de l’impulseur (roue à aubes), monté sur un arbre .
Le rotor est actionné par une machine d’entraînement qui est le plus
souvent un moteur électrique ou thermique mais peut être également
une turbine.

vue de principe en coupe : 1a; 3; 5 : corps de pompe - 1b; diffuseur - 2;


impulseur - 4; garniture mécanique - 6; arbre
Comme l’arbre traverse le plus souvent la volute, il est nécessaire de
réaliser à cet endroit un dispositif assurant l’étanchéité globale. Ceci est
effectué à l’aide de deux types principaux d’accessoires : le presse-
étoupe et la garniture mécanique.
On appelle aubes les lamelles grossièrement radiales qui, à l’intérieur de
l’impulseur, canalisent le fluide de l’intérieur vers l’extérieur de la volute.
On appelle « flasques » les parois de l’impulseur qui enserrent les aubes.
(Les roues à deux flasques dites aussi impulseur fermé sont les plus
fréquentes. Il existe également des roues sans flasque, et des roues à une
seule flasque (impulseur ouvert ou semi-ouvert)).
II.10.1.Principe de fonctionnement :
Une pompe centrifuge accélère le fluide qui la traverse en lui
communiquant un mouvement de rotation, donc une certaine puissance
hydraulique.
Cette énergie hydraulique peut être vue comme la somme d’une énergie
cinétique déterminée par le mouvement liquide dans le tube et d’une
énergie potentielle stockée soit sous la forme d’un accroissement de
pression soit sous celle d'une augmentation de hauteur (théorème de
Bernoulli).
La puissance hydraulique fournie par la pompe est donnée par la relation :
Phydraulique = ρ g Q h

Courbe caractéristique
Dans laquelle :

 Phydraulique est exprimée en watts


 ρ est la masse volumique du liquide (kg/m3)
 g est l’accélération de pesanteur soit 9,81 m.s−2
 Q est le débit volumique du liquide exprimé en m3/s
 h est la hauteur manométrique de la pompe exprimée en mètres
colonne d'eau
La hauteur manométrique est la hauteur d’une colonne de liquide qui
déterminerait une pression statique égale à la pression de refoulement.
Le terme Q h est souvent appelé charge hydraulique.
La puissance mécanique à fournir à la machine est bien évidemment
toujours supérieure à la puissance hydraulique fournie au liquide et on
appelle rendement de la pompe le coefficient η de proportionnalité qui lie
ces deux paramètres.
On appelle puissance à l’arbre la puissance mécanique requise pour faire
fonctionner la pompe. On a donc la relation :
Phydraulique = η Pà l’arbre
II.10.2.Problèmes relatifs à l'utilisation de pompes
centrifuges :Les pompes centrifuges forment des dispositifs robustes.
À caractéristiques égales, elles présentent souvent un meilleur rendement,
et un fonctionnement plus régulier, sont plus fiables et moins bruyantes
que les machines alternatives. Elles sont davantage compatibles avec
l'utilisation de fluides chargés de particules solides. Enfin, leur plus
grande simplicité mécanique a tendance à les rendre meilleur marché.
C'est pourquoi ce type de machine est très largement utilisé, notamment
dans l'adduction d'eau, le transport d'hydrocarbures, l'industrie chimique,
etc...
Cependant, comme toutes les machines, elles font l'objet de problèmes
qui doivent être bien revus avant d'avoir recours à leur utilisation.
II.10.3.Cavitation :
Lors du pompage, le liquide situé à l'intérieur d'une pompe centrifuge ne
possède pas une pression uniforme. Il s'y trouve notamment des zones
présentant des dépressions plus ou moins accentuées.

Usure par cavitation d'un « impulseur » de pompe centrifuge


Lorsque le liquide pompé est suffisamment proche de son point
d'ébullition, il peut se produire que la pression en ces points tombe en
deçà de sa tension de vapeur, de sorte qu'il se forme dans la pompe des
bulles de vapeur. Lorsque ces bulles parviennent dans des zones où la
pression remonte, elles implosent soudainement. L'implosion est
accompagnée de bruit et, dans le cas où elle se produit au voisinage d'une
paroi, elle est susceptible d'y occasionner des dégâts mécaniques en
provoquant des microperforations du métal. Lorsque ce phénomène se
produit d'une manière suffisamment généralisée dans la masse du fluide,
on dit que la pompe « cavite ».
La cavitation est l'ennemi numéro un de la pompe centrifuge. C'est un
phénomène bruyant, qui peut détruire une machine en quelques minutes.
Pour y remédier, il faut qu'une pression suffisante soit toujours assurée à
l'aspiration de la pompe. Seul le constructeur de la machine est à même
de déterminer par des tests le caractère suffisant ou non de la hauteur
manométrique à l'aspiration. Cette caractéristique essentielle de la
machine s'appelle son NPSH (de l'anglais Net Positive Suction Head). On
l'appelle « NPSH requis » de la pompe, qui doit toujours être inférieur au
« NPSH disponible » de l'installation, qui dépend de la géométrie du
circuit, du fluide, du réservoir en amont, etc. Pour une pompe donnée, le
NPSH requis augmente avec le débit. Les constructeurs de machines
donnent les courbes de NPSH requis en complément des courbes
caractéristiques dont il a été fait mention plus haut.
II.11.Les Vibrations
Une vibration est un mouvement d'oscillation autour d'une position
d'équilibre stable ou d'une trajectoire moyenne. La vibration d'un système
peut être libre ou forcée.

II.11.1.Toute machine tournante vibre :

-la vibration dépend des conditions de fonctionnement (détection &


prévision) :

 Stable si la machine fonctionne normalement.


 Qualifiable et reproductible si l’environnement est le même
augment avec l’usure.
 Changeant radicalement avec l’apparition d’un défaut.

-chaque élément de la machine a sa fréquence caractéristique (diagnostic)

II.11.2. Maintenances des machines tournantes :


-contrôle : il correspond a une vérification de conformité par rapport a
des données préétablis suivie d’un jugement .le contrôle peut comporter
une activité d’information. Inclure une décision (acceptation, rejet,
ajournement) débouche comme la visite des opérations de maintenance
corrective.

-inspection : ce sont des activités de surveillance consistant relevé


périodiquement des anomalies et exécuter un réglage simple ne
nécessitant pas d’outillage spécifique.
II.12.Lavisite :
opération de surveillance qui donne le cadre de la maintenance
préventive systématique

II.12.1.Soupape de sécurité :

Une soupapede sûreté ou soupape de


sécurité est un dispositif de protection
contre les surpressions dans des ensembles
soumis à pression. Son fonctionnement est
proche de celui du clapet anti-retour utilisé
dans tout système où la circulation du
fluide ne devrait s'effectuer que dans un
sens comme dans un chauffe-eau solaire.

II.12.2.Intérêt :
On installe une soupape
de sécurité (appelée soupape de décharge sur les véhicules
à turbocompresseur) sur les réservoirs/tuyauteries de gaz/liquide pouvant
être soumis à des variations de pression, ainsi que sur des chaudières à
vapeur.

Par exemple, une soupape permet la sortie de la vapeur lorsque la


pression atteint un certain seuil dans un autocuiseur. Une petite bille
fermée par un ressort fait office de soupape de sûreté dans le cas où la
soupape tournante (celle qui siffle) serait bloquée. Le ressort est taré de
manière à libérer l'ouverture de la bille à une certaine valeur de pression
admissible par l'autocuiseur.
Les réservoirs de GPL des voitures et des camions comportent une
soupape de sécurité, afin d'éviter une explosion du réservoir en cas
d'incendie (le feu extérieur engendrant la montée en pression du GPL
dans son réservoir).
II.13 instrument de mécanique :
II.13.1.Pied à coulisse

Un pied à coulisse est


un instrument de mesure de
longueur composé
essentiellement de deux
parties coulissantes l'une par
rapport à l'autre.
Cet instrument est très utilisé
en mécanique, il permet de mesurer facilement les cotes extérieures d'une
pièce ou lediamètre d'un alésage.
Il est également utilisé pour mesurer les diamètres des arbres
(mécanique), avec une ouverture pouvant dépasser 1 m, suivant le type.
II.13.2. Micromètre :
Le micromètre, ou anciennement « palmer », est un instrument de
mesure de longueur. Sous sa forme courante, il est très utilisé en
mécanique pour mesurer des
épaisseurs, des diamètres de
portées cylindriques (micromètre
d'extérieur) ou des diamètres de
perçage ou d'alésage (micromètre
d'intérieur)…
De par sa conception, il est
moins sujet à déformation que le pied à coulisse, autre instrument
classique de mesure de longueur ; sa résolution est de l'ordre du
micromètre, alors que les constructeurs de pieds à coulisse se limitent,
eux, à un affichage au centième de mm, à cause, justement des
déformations, lors de la prise de mesures.
Conclusion
Dans le cadre d’un accord de coopération de Laghouat et la
DML, nous allons effectuer un stage pratique dans le but de :
-Prendre connaissance des activités de maintenance de la
DML.
-Se familiariser avec le monde de l’entreprise.et les systèmes
technique et leur maintenance, obtenir un diplôme de
l’expérience pour atteindre l’harmonie entre la pratique et la
théorie .aide par le travail afin de résoudre certains des
problèmes in situ par l’équipe de maintenance.
-L'entretien doit résider dans n'importe quelle entreprise
industrielle afin d'éviter toute détérioration ou de corrosion des
équipements industriels afin d'éviter des conséquences graves.

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