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CHAPITRE 5 :

Imagerie par Résonance Magnétique


(IRM)
Cours pour 2ème année Génie Biomédicale
Présenté par:
Dr. HACINI Meriem
@mail: mhacini@gmail.com
Université Frères Mentouri Constantine 1
Département d’électronique
IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (IRM)

IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE L’IRM


▪ IRM signifie imagerie par résonance magnétique.
▪ L’imagerie par résonance magnétique est l’une des techniques les plus récentes et
les plus puissantes qui fait entrer en résonance les noyaux atomiques identiques
comme les protons, afin de pouvoir étudier certains tissus de l’organisme dans
différents plans de l’espace.
▪ Elle est inoffensive, et ne libère aucun rayon (contrairement au scanner).
▪ L’IRM permet d’obtenir une image de haute résolution de l’intérieur du corps
humain.
▪ Elle est principalement consacrée à l’étude du système nerveux (cerveau et
moelle épinière), des muscles, du cœur et des tumeurs.
IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (IRM)

Historique
▪ L’IRM a été développée à partir de la seconde moitié du XXe siècle
▪ Block est Purcell sont à l’origine de la découverte du phénomène de Résonance Magnétique Nucléaire
(RMN) en 1946 initialement utilisé en chimie et physique.
▪ Cette découverte donne lieux aux premières applications de la RMN come la spectroscopie, dans les
laboratoires de chimie et de biochimie.
▪ Publication de Damadian en 1971 mettant en évidence les différences observées entre les tissus sains et
cancéreux en RMN.
▪ Paul Lauterbur, chimiste et professeur à la State University of New York, a introduit les gradients au
champ magnétique. Ces gradients ont permis de déterminer l’origine des ondes radio et de créer des
images en deux dimensions (1973).
▪ Les premières images du corps humain rapportées dans la littérature datent de 1977 (Damadian, 1977).
▪ En 1980, on obtient les premières images de tête et d’abdomen
▪ En 2003, Lauterbur et Mansfield obtiennent conjointement un prix Nobel de médecine pour leurs
découvertes sur l’IRM.
IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (IRM)

Historique

Figure . Schéma breveté de l’IRM


(Damadian, 1974)
IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (IRM)

A QUOI SERT L'IRM ?


▪ L'IRM étudie avec une grande précision de nombreux organes tels que le cerveau, la
colonne vertébrale, les articulations et les tissus mous.
▪ Elle est d'une grande utilité lorsqu'une analyse très fine est nécessaire et que certaines
lésions ne sont pas visibles sur les radiographies standards, l' échographie ou le scanner.
▪ Elle permet de faire des images en coupes dans différents plans et de reconstruire en
trois dimension la structure analysée.
▪ Elle recherche :
• Au niveau du cerveau : des lésions infectieuses ou inflammatoires, des anomalies des
vaisseaux, ainsi que des tumeurs;
• Au niveau de la colonne vertébrale : des hernies discales;
• Au niveau des articulations: des lésions ligamentaires ou méniscales.
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AUTRES D’ UTILISATIONS DE L’IRM


L’IRM n’est pas uniquement utilisée pour étudier la morphologie
des organes. Il est possible de suivre le fonctionnement du cerveau
(IRM fonctionnelle), de connaitre l’organisation tissulaire (IRM de
diffusion), de supprimer le signal de la graisse pour optimiser
certaines images. D’autre techniques révèlent les flux es liquides et
sont en particulier utilisées pour l’étude des vaisseaux.
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L’IRM fonctionnelle cérébrales, IRM f


▪ Permet de visualiser les zones du cerveau sollicitées par la lecture, la parole,
la réflexion,…
▪ Lors de cette activation les neurones ont besoin d’énergie fournie par le
glucose dans le sang et par l’oxygène apporté par l’hémoglobine.
▪ Lorsqu’une zone du cerveau augmente son activité, un afflux de sang
oxygéné parvient aux cellules actives.
▪ L’oxygène se décharge de son oxygène, ce qui perturbe localement le champ
magnétique. Cette modulation du signal est mesurée en IRM Fonctionnelle.
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MODES D’ UTILISATIONS DE L’IRM

Figure . Images IRMf issues d’une étude


comparant les réseaux corticaux
impliqués dans l’exécution motrice de
mouvements de doigts sur des touches de
piano par des pianistes professionnels et
des non-pianistes
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L’IRM de diffusion, IRM D


▪ Cette technique s’appuie sur l’observation de la
mobilité des molécules d’eau à l’intérieur des Ce type d'IRM peut être utilisée
cellules. • Pour détecter une ischémie
▪ Prisonnières à l’intérieur des cellules ces cérébrale et un infarctus du
molécules se déplacent de façon aléatoire. myocarde précoces
▪ Dans le cas des cellules nerveuses, les fibre • Pour détecter une lésion de la
longues (axones) gainées de myéline prolongent substance blanche du cerveau
les corps cellulaires • Pour déterminer le stade de
▪ De ce fait les molécules d’eau, leur diffusion, n’est diverses tumeurs comme le
pas isotrope, mais orienté dans le sens de la fibre cancer du poumon non–à-
petites-cellules
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L’Angio-IRM et la cholangio-IRM
▪ L’angio –IRM est utilisée pour mettre en évidence des
anomalies des artères: fistules, sténoses, anévrismes et
artérite…
▪ Les artères cérébrales, cervicales, rénales, iliaques,
pulmonaires et l’aorte sont les plus étudiées par cette
technique
▪ L’ angio IRM utilise des séquences en échos de
gradient ultra-rapides combinées à une injection de
chélate de godalium.
▪ D’autres séquences permettent de visualiser les fluides
en mouvement sans injection de marqueur.
▪ Elle permet également d’étudier les voies biliaires et
pancréatiques de manière non invasive, technique de
cholangio-IRM
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L’ IRM Cardiaque
▪ L’IRM cardiaque permet de visualiser les structures et le
fonctionnement du cœur, de ses calcules et de ses
principales veines et artères.
▪ Permet de fournir des images dynamiques avec une très
haute résolution et notamment de repérer précisément
les zones souffrant d’manque d’oxygène.
▪ L’IRM acquiert des images diagnostiques dans n’importe
quel plan anatomique déterminé par l’opérateur, ce qui
permet une imagerie adapté à l’anatomie complexe du
cœur.
▪ Une caractéristique déterminant de l’IRM C est la finesse
de caractérisation des tissus pour détecter les pathologie
du myocarde.
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L’ IRM Cardiaque
▪ Schématiquement, on utilise les séquences de
pondération T1 soit pour rechercher la présence de
graisse soit combinées à l’injection de gadolinium pour
détecter la fibrose myocardique; les séquences en
pondération T2 permettent de diagnostiquer l’œdème
myocardique
▪ Il est utilisée pour la détection d’anomalies dans les
artères coronaires, l’évaluation du cœur, le diagnostic et le
suivi après correction chirurgicale de malformations
cardiaque congénitales, le diagnostique et la
caractérisation de tumeurs situées dans le thorax…
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L’IRM Paramétrique
▪ On mesure la perméabilité des vaisseau capillaire
d’un tissu.
▪ Des séquences particulières d’excitation des protons
permettent de suivre l’ évolution de l’intensité du
signal après injection d’un produit de contraste
paramagnétique.
▪ Cette méthode est prometteuse en cancérologie pour
déterminer si une tumeur est cancéreuse, mais reste
utilisé de façon très marginale compte tenu du haut
niveau technique nécessaire
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PRINCIPE DE L’IRM
❑ Mesurer les propriétés magnétiques des tissus biologiques pour
recueillir des renseignements morphologiques et biologiques.
❑ L’IRM repose sur l’action simultanée de 3 phénomènes:
▪ Un champ magnétique principale 𝜷𝟎 constant et intense
▪ Une impulsion radiofréquence (= ondes radio de durée brève)
▪ Des gradients de champs magnétique (beaucoup plus faible
que 𝜷𝟎)
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DIFFERENTES COMPOSANTES
Un système d’imagerie par résonance magnétique nucléaire est constitué principalement des éléments suivants :

1.L’aiment
2.l’antenne de radiofréquence
3. Le système informatique
4.La cage de Faraday
5.Le tunnel
6.Le lit d’examen
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MÉCANISME D’ACTION DE L’IRM

Figure . Structure interne d’un


appareil IRM
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Fonctionnement de la machine
1. Le tunnel de l’aimant
▪ Le patient est soumis à trois champs,
✓ un champs magnétique statique
✓ Un champ magnétique variable dans l’espace
✓ Et un champs électrique radiofréquence
▪ L’appareil IRM comporte un tunnel d’environ 60 à 45 cm de diamètre dans lequel glisse le lit du patient
▪ L’organe a examiner est positionné au centre du tunnel.
▪ Le tunnel est éclairé, ventilé et équipé de moyens de communication avec le personnel soignant
▪ Le tunnel renferme les différents aimants et bobines qui génèrent et reçoivent les champs
magnétiques,
▪ Les appareils les plus récents, a champs ouvert, sont adaptés aux personnes claustrophobes ou en
surpoids
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Fonctionnement de la machine
GÉOMÉTRIE D’ AIMANT Champ Ouvert

Excitent 2 types d’IRM selon la géométrie ❑ L'IRM « ouverte » est apparue après l'IRM fermée
d’aiment : ❑ Il est apparue pour les individus qui ne
Champ fermé : pouvaient pas bénéficier de ce type d'imagerie
en géométrie fermée :
▪ les individus obèses
2 1,60 m
▪ les individus claustrophobes
Mètres
▪ Les enfants
▪ Les femmes enceintes
60 cm 75 cm
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Fonctionnement de la machine
2. Le champ magnétique statique B0
▪ Le champ magnétique statique, B0, qui oriente les protons parallèlement aux lignes de champ
est générer par un aimant.
▪ Ce champ est toujours présent dans la salle, même en dehors des examens
▪ Le champ magnétique doit avoir une intensité élevée afin d’optimiser le rapport signal sur
bruit.
▪ L’intensité du champ doit être constante et la plus homogène possible.
▪ Trois types d’aimants disponibles sur le marché répondent à ces critères;
✓ l’aimant permanent
✓ L’ aimant résistif et
✓ L’aimant supraconducteur maintenant le plus répondu
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2. Le champ magnétique statique B0


1. Aimant permanent
▪ Une structure ferromagnétique produit un champ magnétique permanent dans
consommation d’énergie.
▪ Ces aimants sont plus légers depuis l’utilisation d’alliage à base de terres rares (bores-
néodyme –fer)
▪ Il demeure économiquement difficile d’obtenir un champ magnétique supérieur a 0.4
T, l’aimant pèse 13tonnes.
▪ L’aimant permanent ne généré pas de courant de Foucault, sa fiabilité est remarquable
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2. Le champ magnétique statique B0


2. Aimant résistif
▪ Cet aimant est constitué d’un bobinage parcouru par un courant électrique, ce qui
produit un champ magnétique en son centre.
▪ La fabrication est peu couteuse.
▪ Le dispositif ne nécessité pas e liquide de refroidissement, contrairement aux aimants
supraconducteurs.
▪ Le champ magnétique atteint ne dépasse pas 0.5 T, est très sensible aux variations de
température, présente des inhomogénéités, mais peut être annulé en quelques
secondes en coupant le courant dans le bobinage.
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2. Le champ magnétique statique B0


3. Aimant Supraconducteur
▪ C’est le type d’aimant le plus répondu
▪ Il utilise le principe de la supraconductivité
▪ Certains métaux et alliages perdent leur résistivité à des températures proches du zéro absolu,
▪ L’aimant supraconducteur utilisé en IRM est constitué d’un bobinage de niobium-titane (Nb-Ti) baigné
constamment dans de l’ hélium liquide à -269 °C.
▪ La résistance électrique est nulle, ce qui permet d’obtenir des champs magnétiques très élevés, de
l’ordre de 3T.
▪ Une enveloppe de cuivre est prévue pour dissiper l’échauffement accidentel qui peut se produire en cas
de perte accidentelle de la supraconductivité ( si l’ hélium liquide passe de l’état liquide à l’état gazeux,
la bobine redevient résistive et peut s’endommager par effet joule).
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2. Le champ magnétique statique B0


4. Correcteurs de champ magnétique
▪ Les correcteurs de champs magnétique sont des dispositifs qui servent à rétablir
l’homogénéité du champs magnétique principal B0.
▪ Les correcteurs passifs sont des plaques ferromagnétiques qui permettent de régler le
champs magnétique si la perturbation identifiée est stable.
▪ Les correcteurs actifs sont des bobines résistives ou supraconductrices, parcourues
par un courant électrique, qui effectuent une compensation automatique chaque fois
que le champ magnétique devient hétérogène.
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2. Le champ magnétique statique B0


TYPES AIMANT
c. Aimant permanent
b. Aimant
supraconducteur

a. Aimant résistif
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3. Champ variable, sélection des plans de coupe


▪ La localisation spatiale des atomes à étudier est obtenue en ajoutant un
gradient directionnel au champ magnétique statique principale, B0
▪ Une variation linéaire de B0 est réalisée le long d’une direction de
l’espace.
▪ La fréquence de résonance des différents protons varie conformément à
l’équation de Larmor: la résonance des noyaux d’ hydrogène dépend de leur
position, tous les protons ne sont pas excités
▪ Seuls les signaux provenant de zones présélectionnées sont recueillis lors
de la relaxation.
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3. Champ variable, sélection des plans de coupe


▪ La localisation est effectuée en utilisant des techniques sophistiquées de
traitement de données (algorithmes de transformée de Fourrier rapide)
▪ Il est ainsi possible de choisir une épaisseur et un plan de coupe à
analyser.
▪ La variation du champ magnétique B0 est obtenue par trois paires de
bobines parcourues par un courant continu orientées selon les trois axes
de l’espace: axe droite-gauche (X), axe avant –arrière (Y), axe haut –bas
(Z).
▪ Ce champ est présent uniquement pendant l’examen.
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MÉCANISME D’ACTION DE L’IRM


Il s'agit de trois bobines métalliques enfermées dans
un cylindre en fibres de verre et placées autour du
tunnel de l'aimant. On les nomme respectivement :
bobine X, bobine Y et bobine Z

Figure . Gradients selon les 3 axes X, Y et Z, permettant


d’obtenir des images en 3D
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4. Le champ magnétique radiofréquence


▪ Les antennes sont capables de produire et/ou capter le champ magnétique
radiofréquence
▪ Pour exciter les protons, un champ est émis sous forme d’impulsions pendant l’examen.
▪ Afin que ce champ de faible puissance ne soit pas perturbé par des émissions
électromagnétiques extérieures, le dispositif d’IRM est installé dans une salle d’examen
protégée (cage de Faraday)
▪ Les antennes, bobinages de cuivre de formes variables, peuvent être classées selon leur
géométrie (volumique et surfacique), selon leur mode de fonctionnement (émettrice et
réceptrice ou uniquement réceptrice), selon la méthode d’association de leurs différents
éléments.
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4. Le champ magnétique radiofréquence


▪ Antennes volumiques
✓ C’est une antenne au centre de laquelle on positionne l’ élément à examiner
✓ L’antennes émettrices-réceptrice est un bobinage cylindrique qui émet le signal
radiofréquence d’excitation et recoit la réponse des protons au moment de la restitution de
l’énergie
✓ La dénomination des antennes émettrices-réceptrices dépend de leur diamètre et de leur
utilisation: antenne corps de 65 cm de diamètre intégré au tunnel de l'aimant, antenne tête,
antenne genou… de plus petits diamètres
✓ L’ antenne uniquement réceptrice est constituée d’éléments récepteurs plats connectés en
réseau autour d’une structure cylindrique; c’est l’antenne émettrice corps intégrée à l’appareil
qui permet d’accroitre le signal radiofréquence
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4. Le champ magnétique radiofréquence


▪ Antennes surfaciques
✓ Est une antenne plane positionnée au contact de la région à explorer.
✓ Elle est réceptrice simple et recoit le signal restitué par les protons; c’est
l’antenne corps intégrée au tunnel qui émet mes impulsion
radiofréquence
✓ La zone d’examen est limitée si l’antenne est utilisée seule.
✓ L’association de plusieurs antennes permet d’accroitre le champ
d’exploration
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L’Image en IRM Anatomique


▪ Principe
✓ L’imagerie par résonance magnétique, IRM, est une application médicale RMN
✓ Après excitation, lors de la relaxation, les protons reviennent à leur originel en restituent l’énergie
fournie sous forme d’un signal RMN.
✓ Le traitement des données permet de localiser précisément l’origine spatiale du signal émis.
✓ A partir de ce couple signal- localisation, il est possible d’obtenir une véritable cartographie des protons
et reconstruire une image de la région étudiée,

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