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Resume 4 La Propriete Intellectuelle Et Le Droit Des Entreprises en Difficulte
Resume 4 La Propriete Intellectuelle Et Le Droit Des Entreprises en Difficulte
INTRODUCTION
Intellectuelle
entreprises en difficulté
CONCLUSION
Introduction :
Le Maroc, en tant qu'économie émergente et plaque tournante régionale, connaît une
croissance dynamique de son secteur entrepreneurial, portée par l'innovation et la créativité.
Dans ce contexte, la propriété intellectuelle revêt une importance stratégique, tant pour les
entreprises locales que pour les investisseurs étrangers, en garantissant la protection et la
valorisation des inventions, des marques, des œuvres artistiques et des savoir-faire.
Cependant, le chemin vers le succès commercial n'est pas sans obstacles, et de
nombreuses entreprises marocaines sont confrontées à des défis financiers et opérationnels qui
menacent leur survie. Les raisons peuvent être diverses, allant de la concurrence accrue sur le
marché à des problèmes de gestion ou à des chocs économiques externes. Dans ces moments
de crise, la législation sur les entreprises en difficulté offre des outils juridiques pour la
restructuration, le redressement ou la liquidation des entreprises, dans le but de maximiser la
préservation de la valeur des actifs et de protéger les intérêts des parties prenantes.
Ainsi, cette étude vise à explorer les interactions entre la propriété intellectuelle et le
droit des entreprises en difficulté au Maroc, en examinant les défis, les opportunités et les
meilleures pratiques pour les entreprises confrontées à ces deux dimensions complexes. En
analysant les cadres juridiques, les jurisprudences et les cas pratiques, nous chercherons à
comprendre comment concilier la protection des actifs immatériels avec les impératifs de
gestion des entreprises en période de crise, afin de favoriser un environnement propice à
l'innovation, à la croissance et à la durabilité économique au Maroc1.
La problématique concernant ce sujet réside dans la tension entre la protection des
actifs immatériels des entreprises, tels que les brevets, les marques et les droits d'auteur, et les
impératifs de prévention ou de curative lorsqu'une entreprise rencontre des difficultés
financières. Cette tension soulève une problématique importante et quelques questions
dérivées :
Comment concilier la protection des droits de propriété intellectuelle avec les
besoins de survie et de redressement des entreprises en difficulté au Maroc ?
Quels sont les défis spécifiques auxquels sont confrontées les entreprises marocaines
en matière de propriété intellectuelle lorsqu'elles traversent des difficultés financières ?
Quelles sont les meilleures pratiques et les solutions juridiques pour protéger les droits
de propriété intellectuelle des entreprises en difficulté au Maroc ?
Pour répondre à cette problématique, on va d’abord traiter le droit des entreprises en
difficulté (partie I), après on va passer pour traiter les défis et le traitement de ces droits par
les entreprises en difficulté ( partie II).
1
BOUAZIZ, M. (2005). Etude des entreprises en difficulté et leur redressement stratégique : Cas des petites et
moyennes entreprises au Maroc, thèse de doctorat en sciences économiques, faculté des sciences juridiques,
économiques et sociales, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah, Fès.p54
2
PARTIE II : la propriété intellectuelle et les entreprises en
difficultés
Dans l'univers économique complexe, les entreprises, qu'elles soient établies depuis
longtemps ou en phase de démarrage, sont confrontées à des périodes de difficulté, souvent
amplifiées par des défis financiers, opérationnels, ou des bouleversements du marché. Au
cœur de ces défis, la propriété intellectuelle (PI) émerge comme un actif stratégique, détenant
le pouvoir de stimuler l'innovation, de forger une identité distinctive sur le marché et
d'accroître la compétitivité. Cependant, lorsque l'entreprise se retrouve dans l'œil de la
tempête, la gestion de ces actifs immatériels devient un dilemme majeur.
L’entreprise en difficulté se trouve devant deux solutions stratégiques, la décision de
garder ou d'abandonner les droits de propriété intellectuelle. C’est un choix difficile,
complexe et dépend de divers facteurs spécifiques à chaque entreprise. Elle nécessite une
évaluation approfondie des avantages à court et à long terme, des coûts associés et de la
contribution de la PI à la valeur globale de l'entreprise. Une approche équilibrée, tenant
compte des enjeux financiers immédiats et des perspectives à long terme, est essentielle pour
guider cette décision stratégique cruciale.
Dans certains cas, l'abandon des droits de propriété intellectuelle peut être considéré
comme une option réaliste, influencée par des considérations pragmatiques comme :
- la réduction des coûts significatifs de ces droits pour alléger sa charge financière,
pour permettre à l'entreprise de concentrer ses ressources sur ses activités essentielles. Cette
stratégie peut permettre de rationaliser les opérations et de se concentrer sur des secteurs
d'activité plus rentables, tout en abandonnant des actifs moins critiques.
- Évitement de litiges coûteux auxquels sujette la propriété intellectuelle, qui peuvent
être coûteux. En abandonnant certains droits, l'entreprise peut éviter des conflits judiciaires
longs et onéreux, se concentrant ainsi sur la résolution de ses problèmes financiers.
- ou encore, les procédures administratives liées à la propriété intellectuelle exigent du
temps et des efforts. En abandonnant certains droits, l'entreprise peut simplifier sa structure
administrative et alléger la charge de travail de ses équipes.
En revanche, l’entreprise en difficulté peut s’orienter vers la décision cruciale de
préserver les droits de propriété intellectuelle en dépit des obstacles pour :
- Préserver la compétitivité à long terme, parce que maintenir ces droits permet à
l'entreprise de préserver sa capacité à innover et à rester compétitive à long terme, même dans
des périodes difficiles.
- valorisation de l’actif, en la préservant, l'entreprise conserve une source potentielle
de revenus, que ce soit par le biais de licences, de partenariats ou de ventes, contribuant ainsi
à sa valorisation globale.
- aussi, les droits de propriété intellectuelle peuvent jouer un rôle crucial dans une
stratégie de reprise. En les maintenant, l'entreprise peut se positionner de manière plus
avantageuse pour attirer des investisseurs ou des partenaires stratégiques lors de futurs
processus de restructuration.
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Section 1 : Les Défis des Entreprises en Difficulté en Matière
de Propriété Intellectuelle
La propriété intellectuelle joue un rôle fondamental dans la compétitivité et
l'innovation des entreprises modernes. Cependant, lorsque des entreprises font face à des
difficultés financières, la gestion de leurs droits de propriété intellectuelle devient un défi
majeur.
Les entreprises en difficulté se retrouvent confrontées donc à une série d'obstacles qui
impactent directement la gestion de leurs droits de propriété intellectuelle.
Dans cette partie, on va explorer ces défis spécifiques rencontrés par les entreprises en
difficulté en matière de propriété intellectuelle ainsi que le comportement des entreprises en
difficultés envers ces défis
Les litiges liés à la propriété intellectuelle peuvent constituer une menace significative
pour les entreprises en difficulté. Les coûts associés à la défense de ces droits, qu'il s'agisse de
brevets, de marques ou de droits d'auteur, peuvent aggraver la situation financière déjà fragile
de l'entreprise, laissant peu de place pour d'autres investissements essentiels. En effet, Les
entreprises en difficulté peuvent être perçues comme des cibles plus faciles par des
concurrents ou d'autres parties cherchant à contester leurs droits de propriété intellectuelle.
Les tiers pourraient être incités à lancer des attaques juridiques, telles que des actions
en nullité de brevets ou des oppositions de marques, en exploitant la vulnérabilité financière
de l'entreprise
Les litiges en matière de propriété intellectuelle sont souvent coûteux en raison des
honoraires d'avocats spécialisés, des frais de justice, des coûts d'expertise et des dépenses
liées à la collecte de preuves, les entreprises donc peuvent avoir du mal à supporter ces coûts,
ce qui les place parfois dans une position de négociation défavorable lors de litiges potentiels.
Aussi cette situation peut peuvent avoir des répercussions sur la réputation de
l’entreprise en difficulté vue que l'implication dans des affaires juridiques peut être perçue
négativement par les clients, les partenaires et les investisseurs, ce qui peut entraîner une perte
de confiance et de crédibilité. Même en cas de négociation, les entreprises en difficulté se
trouvent en situation moins avantageuse et les parties adverses pourraient exploiter la
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situation financière précaire de l'entreprise en exigeant des concessions plus importantes dans
le cadre d'un règlement à l'amiable.
En matière des coûts liés au règlement des litiges en cas des entreprises en difficulté,
on trouve souvent qu’elles essaient de minimiser les coûts juridiques en adoptant une stratégie
de défense moins agressive, compromettant ainsi leur capacité à protéger efficacement leurs
droits de propriété intellectuelle. Une telle stratégie de défense insuffisante peut conduire à
des résultats défavorables dans les procédures judiciaires, avec des conséquences
potentiellement graves pour les droits de propriété intellectuelle de l'entreprise.
Pour cela, et avant de s'engager dans des litiges en matière de propriété intellectuelle,
les entreprises en difficulté doivent évaluer soigneusement les coûts potentiels et les
avantages financiers associés à une action juridique, une analyse coûts-bénéfices approfondie
peut orienter la prise de décision quant à la poursuite ou à la défense d'une affaire en matière
de propriété intellectuelle, aussi elles doivent adopter des mesures préventives pour minimiser
les risques de litiges en propriété intellectuelle. Cela peut inclure une surveillance constante
de l'utilisation des droits, la mise en place de politiques de protection de ces droits.
Lorsque des entreprises rencontrent des difficultés, elles risquent de perdre des talents
clés et des collaborateurs détenant des connaissances sensibles. Cette fuite de compétences
peut entraîner une perte de contrôle sur les informations confidentielles et affaiblir davantage
les droits de propriété intellectuelle de l'entreprise. les employés talentueux et hautement
qualifiés peuvent être tentés de quitter l'entreprise à la recherche de meilleures opportunités.
Ces départs peuvent entraîner la perte de connaissances spécifiques, de compétences
techniques et de savoir-faire, réduisant ainsi la capacité de l'entreprise à innover et à maintenir
sa compétitivité pour sortir de cette situation.
En quittant l’entreprise, les employés peuvent emporter avec eux des informations
sensibles liées à la propriété intellectuelle, comme des secrets commerciaux, des données de
recherche, des plans de produits ou des stratégies de marketing. La fuite de ces informations
peut compromettre la confidentialité des actifs intellectuels et accroître le risque de
contrefaçon ou de concurrence déloyale.
Pour minimiser ce risque, l’entreprise en difficulté doit procéder à l’utilisation des
contrats de confidentialité et de non-concurrence pour protéger les informations sensibles et
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décourager les employés de divulguer des connaissances critiques à des concurrents
potentiels.
Les contraintes financières peuvent également entraîner une réduction des activités de
recherche et développement, compromettant ainsi la création de nouveaux actifs de PI. La
stagnation de l'innovation peut entraver la capacité de l'entreprise à rester compétitive à long
terme.
La Stagnation de l'Innovation et de la Recherche et Développement constitue un défi
majeur pour les entreprises en difficulté, avec des conséquences directes sur la propriété
intellectuelle et la compétitivité à long terme.
La réduction d’investissement en recherche et développement en période de difficulté
peut conduire à une diminution de la création de nouveaux produits, technologies ou
processus, mettant ainsi en péril la capacité de l'entreprise à rester compétitive. Les
consommateurs sont attirés par des produits et services innovants, et la stagnation peut
entraîner une désaffection de la clientèle.
Pour faire face à cette stagnation de l’innovation et de la recherche et développement,
l’entreprise en difficulté doit optimiser l'utilisation des ressources disponibles en identifiant
les domaines de recherche et développement les plus stratégiques et en concentrant les
investissements sur des projets à fort potentiel, explorer des collaborations avec d'autres
entreprises, des instituts de recherche ou des start-ups pour partager les coûts de recherche et
développement et bénéficier d'idées innovantes provenant de différentes sources, utiliser
stratégiquement les droits de la propriété intellectuelle existants comme levier dans les
négociations et les collaborations, en cherchant à maximiser la valeur des actifs de PI tout en
minimisant les coûts de développement et enfin, intégrer la recherche et développement de
manière étroite dans la stratégie globale de l'entreprise, reconnaissant l'innovation comme un
élément clé de la compétitivité et de la résilience à long terme.
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Dans le cadre d'une entreprise en difficulté, plusieurs considérations doivent être prises en
compte concernant la gestion et la préservation de ces droits.
Avant d'entreprendre toute action, il est impératif de réaliser une évaluation précise
des droits de propriété intellectuelle détenus par l'entreprise en difficulté. Cela comprend
l'identification des brevets, des marques déposées, des droits d'auteur, et d'autres actifs
immatériels. Une analyse approfondie permet de déterminer la valeur de ces actifs, ce qui peut
influencer les décisions stratégiques ultérieures.
Classiquement, on distingue deux grandes approches, l’approche dynamique fondée
sur la rentabilité des actifs et l’approche statique axée sur la valeur comptable 2. L’étude
relative à l’évaluation des droits de propriété intellectuelle lors de la cession de l’entreprise en
difficulté commande d’analyser en premier lieu l’hypothèse de la poursuite de l’activité,
complétée par celle de la cessation d’activité en second lieu.
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Elle s’est généralisée depuis ses prémices et constitue désormais la méthode de référence
applicable aux actifs intellectuels. Elle est d’ailleurs recommandée pour évaluer tous les droits
de propriété intellectuelle dont la valeur est contenue dans la faculté de faire naître un revenu.
5
bal Heliot. LES DROITS DE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE À L’ÉPREUVE DES PROCÉDURES COLLECTIVES. Droit.
AMU, 2014. P 258
6
Revue « Échanges », dossier « Évaluation et négociation d’entreprises », Évaluer une entreprise en difficulté,
n° 201, juin 2004
7
Il s’agit de l'évaluation de son actif et de son passif en partant des données comptables du bilan rectifiées La
rectification se fait e en fonction de : la valeur réelle de marché des différents éléments d'actifs, en général,
sousévalués par la règle comptable des coûts historiques, la politique d'amortissement et la non prise en
compte de l'inflation ;et côté passif, la prise en compte des engagements hors bilan et de l'impôt latent sur les
sociétés.
9
donc par la différence entre la valeur de réalisation de ses biens intellectuels d’une part, et la
valeur de ses dettes et coûts de liquidation, d’autre part.
8
Articles 56 ET 58 Loi n° 17-97 relative à la protection de la propriété industrielle (promulguée par
Dahir n° 1-00-91 du 9 Kaada 1420 (15 février 2000)), SECTION II DE LA TRANSMISSION ET DE
LA PERTE DES DROITS
9
Site officiel de l’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale OMPIC
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Cession de propriété intellectuelle : guide pratique, Deshoulières Avocats https://www.deshoulieres-
avocats.com/cession-de-propriete-intellectuelle-guide-pratique-2/#:~:text=La%20cession%20de%20propri
%C3%A9t%C3%A9%20intellectuelle%20est%20une%20op%C3%A9ration%20juridique.,diff%C3%A9rents
%20types%20de%20propri%C3%A9t%C3%A9%20intellectuelle.
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cédés ainsi qu’aux limites de la cession. Il doit également inclure des informations précises
sur la durée et les modalités de rémunération.
Pour aider l’entreprise à couvrir une partie de ces dettes, elle peut recourir à la licence
de ses droits de propriétés intellectuelle qu’elle détient.
11
Article 40 DE La loi n° 2-00 relative aux droits d'auteur et droits voisins (promulguée par Dahir n° 1-00-20 du
9 kaada 1420 (15 février 2000) )
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Article 42 La loi n° 2-00 relative aux droits d'auteur et droits voisins (promulguée par Dahir n° 1-00-20 du 9
kaada 1420 (15 février 2000) )
13
Me Marie Marcotte, Licence d’exploitation : définition et sécurisation, , spécialisée en droit des
affaires
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- Partielle : quand le propriétaire souhaite que le tiers exploite seulement une
partie de son œuvre, sa marque, son invention technique ou son design.
La licence partielle limite l’exploitation par le licencié de l’œuvre, de la marque, de
l’invention ou du design. Cette limite peut être géographique ou concerner un champ
d’application, par exemple. Dans tous les cas, il est extrêmement important que le propriétaire
et le licencié définissent très précisément le champ d’exploitation des droits de la propriété
intellectuelle.
- Exclusive : quand le propriétaire autorise l’exploitation de son œuvre, sa
marque, sa création technique ou son design à une seule personne.
Non-exclusive : quand le propriétaire s’octroie la possibilité de donner le même type
de licence à plusieurs personnes
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Conclusion
Dans un paysage économique en constante évolution, les entreprises font face à des
périodes de difficulté qui mettent à l'épreuve leur résilience et leur capacité d'adaptation. Au
intellectuelle, un ensemble d'actifs immatériels qui non seulement définissent l'identité d'une
Lorsque le navire de l'entreprise traverse des eaux agitées, la décision cruciale de préserver ou
profondément ancrée dans un équilibre complexe entre les impératifs à court terme et les
considérations à long terme. Choisir de maintenir ces droits, malgré les défis immédiats, est
un pari sur l'avenir, une affirmation que l'innovation et la compétitivité demeureront les piliers
de la survie et de la croissance. D'un autre côté, abandonner certains droits est un acte de
Chaque entreprise, avec sa propre dynamique, son marché et ses enjeux spécifiques,
doit naviguer avec précaution dans ce dilemme complexe. La décision, qu'elle penche vers la
préservation ou l'abandon, doit être le fruit d'une analyse approfondie, tenant compte des
avantages immédiats, des conséquences à long terme, et de l'impact sur la viabilité globale de
l'entreprise. En fin de compte, cette décision, prise dans l'adversité, est une étape cruciale qui
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