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1) Les ménages sont des clients de G7, consommant ses services de transport. Les taxis affiliés
versent une redevance, tandis que les VTC, concurrents, stimulent l'amélioration des services
de G7. Les fédérations de taxis défendent les intérêts de la profession. Les banques
fournissent des services financiers à G7. L'État fournit les infrastructures nécessaires, impose
des taxes et élabore des lois régulant le secteur. Les concurrents étrangers, comme Uber,
développent des modèles alternatifs en France.
2) Les taxis considèrent les VTC comme une concurrence déloyale car ilsl contournent le
monopole de la maraude des taxis en utilisant des applications pour réserver des courses.
Selon le droit, la concurrence déloyale implique l'usage de pratiques contraires aux règles et
aux usages, causant un préjudice. Les taxis estiment que l'utilisation des applications par les
VTC nuit à leur activité, car cela attire moins de clients vers eux, malgré le coût élevé de leurs
licences. Les taxis jugent donc que les VTC nuisent à leur entreprise en violant les règles
établies.
3) PESTEL
Facteurs externes Impacts
5) Problème de droit
Les chauffeurs VTC travaillent pour des plateformes de réservation telles qu’Uber en tant
qu'indépendants, mais certains demandent la requalification de leur contrat de partenariat
en contrat de travail, arguant qu'ils se trouvent dans un rapport de subordination.
La question est de savoir si la relation entre les chauffeurs VTC et les plateformes de
réservation constitue un contrat de partenariat indépendant ou un contrat de travail salarié.
La Cour de cassation a conclu que la relation entre les chauffeurs VTC et les plateformes de
réservation présente des éléments caractéristiques d'un lien de subordination, notamment
en ce qui concerne le contrôle exercé par les plateformes sur l'acceptation des courses. Par
conséquent, la nature de cette relation tend à être considérée comme salarié-employeur, ce
qui pourrait conduire à la requalification des contrats de partenariat en contrats de travail.
Parties Impacts
Meilleur service et expérience client enrichie grâce à des options telles que le choix du véhicule et le
Clients paiement via smartphone.
Augmentation des impôts versés par G7 en cas de bénéfices accrus, ainsi que la création d'emplois
État pour accompagner le développement de l'entreprise.
9) Problème juridique :
La question est de savoir si l'application mobile des Taxis G7 peut bénéficier de la protection au titre
des droits d'auteur en tant que logiciel, conformément à la législation sur la propriété intellectuelle.
L'application mobile des Taxis G7, étant considérée comme un logiciel, peut être protégée par le
droit d'auteur selon le Code de la propriété intellectuelle. Cependant, pour cela, elle doit être
originale et l'entreprise doit être en mesure de prouver la date de sa création en cas de litige. Les
droits moraux sur l'œuvre reviennent au salarié ayant participé à sa création, tandis que les droits
patrimoniaux sont attribués à l'employeur.