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Un inhibiteur de corrosion est un produit destiné à réduire l'exposition de l'acier pour
limiter sa corrosion
Corrosion des Armatures : Un Défi dans le Génie Civil
Introduction
La corrosion des armatures est un problème majeur dans le domaine du génie civil, en particulier
dans les structures en béton armé. Ce phénomène menace la durabilité et la sécurité des
infrastructures, ce qui nécessite une attention particulière de la part des ingénieurs et des chercheurs.
Cette présentation se concentrera sur les aspects clés de la corrosion des armatures, ses causes, ses
effets et les stratégies de prévention.
La corrosion des armatures représente un défi majeur pour l'industrie du génie civil, mais avec une
compréhension approfondie des mécanismes de corrosion et l'application de techniques de
prévention appropriées, il est possible de prolonger la durée de vie des structures et d'assurer leur
sécurité et leur durabilité à long terme. Les efforts de recherche et d'innovation continus sont
essentiels pour relever ce défi et garantir des infrastructures résilientes pour les générations futures.
Vous
l'orogine exterieur de 1corrosion d'armature
ChatGPT
ChatGPT
La corrosion des armatures dans les structures en béton armé peut avoir des origines externes,
principalement dues à l'exposition à des agents environnementaux corrosifs. Voici quelques-unes des
principales sources externes de corrosion des armatures :
1. Exposition à l'humidité : L'eau est l'un des principaux déclencheurs de la corrosion des
armatures. Lorsque l'eau pénètre dans le béton, elle transporte des ions chlorure et d'autres
substances corrosives qui peuvent attaquer les armatures métalliques.
2. Présence de chlorures : Les chlorures, souvent présents dans les environnements marins ou
dans les régions où des sels de déneigement sont utilisés, sont extrêmement corrosifs pour
les armatures en acier. Ils peuvent pénétrer dans le béton par capillarité et accélérer le
processus de corrosion.
3. Dioxyde de carbone (CO2) : Le dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère peut
également contribuer à la corrosion des armatures en formant des carbonates acides dans le
béton, ce qui abaisse le pH et favorise la dissolution de la passivation des armatures.
4. Pollution atmosphérique : Les agents polluants atmosphériques tels que les oxydes de
soufre et d'azote peuvent réagir avec l'eau pour former des acides qui attaquent le béton et
exposent les armatures à la corrosion.
5. Conditions climatiques : Les conditions climatiques extrêmes telles que le gel-dégel peuvent
causer des fissures dans le béton, permettant ainsi à l'eau et aux agents corrosifs de pénétrer
plus facilement jusqu'aux armatures.
6. Activités industrielles : Les structures situées à proximité d'installations industrielles peuvent
être exposées à des émissions chimiques corrosives qui accélèrent la corrosion des armatures.
Il est crucial de prendre en compte ces facteurs externes lors de la conception, de la construction et
de l'entretien des structures en béton armé afin de mettre en œuvre des mesures de protection
appropriées contre la corrosion des armatures. Cela peut inclure l'utilisation de béton de qualité,
l'application de revêtements protecteurs sur les armatures, la conception de systèmes de drainage
efficaces pour évacuer l'eau et la mise en place de programmes réguliers d'inspection et de
maintenance pour détecter et traiter les signes précoces de corrosion.
Vous
origine intérieure de corrosion d'armature
ChatGPT
ChatGPT
La corrosion des armatures peut également avoir des origines internes, liées à des défauts de
conception, de construction ou à des matériaux de mauvaise qualité. Voici quelques-unes des
principales sources internes de corrosion des armatures :
1. Inclusion de défauts dans le béton : Des fissures ou des vides dans le béton peuvent
permettre à l'eau, aux chlorures et à d'autres agents corrosifs de pénétrer plus facilement
jusqu'aux armatures, accélérant ainsi le processus de corrosion.
2. Manque de couverture adéquate : Lorsque les armatures ne sont pas correctement
enrobées de béton, elles sont plus exposées aux agents corrosifs, ce qui augmente le risque
de corrosion. Une couverture inadéquate peut résulter d'erreurs de construction ou de
modifications apportées après la construction initiale de la structure.
3. Utilisation de matériaux de mauvaise qualité : Des armatures de mauvaise qualité ou mal
protégées contre la corrosion peuvent être plus sujettes à la corrosion. De même, l'utilisation
de béton contenant des agrégats réactifs ou des adjuvants corrosifs peut également accélérer
le processus de corrosion.
4. Interactions électrochimiques : Des interactions électrochimiques entre différents matériaux
utilisés dans la structure, tels que l'acier, le béton et d'autres métaux présents dans
l'environnement de la structure, peuvent favoriser la corrosion des armatures.
5. Contact avec des matériaux corrosifs : La présence de matériaux corrosifs à proximité des
armatures, tels que des produits chimiques utilisés dans les processus industriels ou des eaux
usées contenant des composés corrosifs, peut accélérer la corrosion.
6. Conditions de confinement : Dans certaines situations, comme les structures enterrées ou
les zones à faible ventilation, les conditions de confinement peuvent favoriser la
concentration des agents corrosifs, augmentant ainsi le risque de corrosion des armatures.
Il est essentiel de prendre en compte ces facteurs internes lors de la conception, de la construction et
de l'entretien des structures en béton armé afin de réduire les risques de corrosion des armatures.
Cela peut impliquer l'utilisation de matériaux de haute qualité, la mise en œuvre de pratiques de
construction appropriées pour assurer une couverture adéquate des armatures, et la réalisation
d'inspections régulières pour détecter tout signe précoce de corrosion et y remédier rapidement.
La durabilité des ouvrages en béton armé dépend de leur comportement face aux
conditions climatiques et environnementales qui existent dans les milieux où ils sont
construits. Ces ouvrages sont souvent exposés à de nombreuses agressions physico-
chimiques auxquelles ils doivent résister afin de remplir de façon satisfaisante pendant
leur période d'utilisation, toutes les fonctions pour lesquelles ils ont été
conçus. Lorsqu'ils ne peuvent résister à ces agressions, des désordres dont le
plus fréquent est la corrosion des armatures apparaissent dans le béton de ces
structures. Ces désordres sont généralement dus à des défauts de conception, à une
mauvaise mise en œuvre ou à des causes accidentelles ; ils hypothèquent la durabilité,
la résistance et la stabilité des ouvrages et peuvent entraîner leur dégradation, leur
ruine.
Les phénomènes de corrosion des armatures sont les plus fréquents d’entre eux,
et sont susceptibles d’obliger à des réparations importantes donc coûteuses.
Dans les bétons, la corrosion des armatures peut être initiée par les facteurs distincts :
La carbonatation du béton d'enrobage au contact du CO2 atmosphérique.
L’enrobage :
La Prévention :
Les structures en béton armé sont conçues et réalisées pour une durée de service qui
est définie par le concepteur et maîtrisée par le constructeur. Pendant cette durée, la
structure ne doit pas se dégrader à un point tel qu'elle ne remplit plus ses fonctions.
La dégradation du béton armé est surtout due à la corrosion des armatures. Il convient
de rappeler le mécanisme de cette dégradation : les armatures se corrodent lorsqu'elles
sont en contact avec une forte quantité d'agents agressifs.
Les facteurs les plus importants qui entraînent la corrosion des armatures sont
l’enrobage et la qualité du béton, ainsi que l’agressivité de l’environnement. La
meilleure protection des aciers dans le béton est assurée par la conception de
l’ouvrage, la formulation et la mise en œuvre de son béton.
Conclusion
Les bétons armés sont au contact d’un milieu naturel : atmosphère, eaux ou sols. Ces
milieux contiennent souvent des produits qui sont agressifs. Mais les agents qui sont à
l’origine de la corrosion des armatures sont surtout le dioxyde de carbone et les
chlorures. Le dioxyde de carbone CO2 pénètre sous forme gazeux dans le béton. Il
provoque une réaction, dite de carbonatation, avec l’eau interstitielle. Le front de
carbonatation avance progressivement à partir du parement. Il transforme les
hydroxydes [surtout, la chaux Ca(OH)2] en carbonate (CaCO3) et abaisse le pH de
la solution interstitielle de 13 jusqu’à environ 9. Ceci dégrade la passivation des
armatures. Les chlorures dissous dans l’eau (eau de mer, sels de déverglaçage, etc.)
pénètrent à partir de la surface du béton.
Comparativement, la corrosion due aux chlorures est plus dangereuse que celle
due à la carbonatation à cause de son développement rapide et le risque de rupture
soudaine pour le cas des environnements sévères. Les principaux facteurs
environnementaux mis en cause sont les chlorures provenant de l’eau de mer ou de
l’air marin et l’utilisation de sels fondants pour le déverglaçage des routes.
Pour cela, pour avoir une meilleure durabilité, il faut respecter les normes de la
construction. Mais n’oublie pas que, quel que soit il y a un problème toujours
derrière il y a des solutions.
Notions de classes d'exposition
Accueil
2. Bétons
3. Contexte normatif
Mars 2017
PATRICK GUIRAUD
Index
Thématiques
Bétons
Le maître d’ouvrage doit définir les actions dues à l’environnement auxquelles le béton de
l'ouvrage ou de chaque partie d'ouvrage va être exposé pendant la durée d’utilisation de la
structure, en application de l’Eurocode 2, de la norme NF EN 206/CN et du fascicule 65 du
CCTG (pour les ouvrages de Génie Civil).
Prescrire un béton durable nécessite donc d’apprécier, dès sa conception, l’ensemble des
contraintes environnementales et les agressions et attaques potentielles qu’il aura à subir pendant
toute sa durée d’utilisation.
Si plusieurs classes d’exposition sont spécifiées pour un même béton, il doit respecter toutes les
exigences prévues pour chaque classe d’exposition.
Nota : En France, la désignation des classes d’exposition doit être suivie du sigle (F) car leur
définition a été adaptée au contexte climatique et géographique français.
Nota : Les actions dues à l’environnement correspondent à des actions physiques et chimiques
auxquelles le béton est exposé, qui entraînent des effets sur le béton et les armatures et qui ne
sont pas considérées comme des charges pour la conception de la structure.
de déterminer l’enrobage nécessaire pour assurer la durabilité « cmin,dur » (NF EN 1992 section
4)
de définir la valeur limite de l’ouverture maximale calculée des fissures
(NF EN 1992 section 7)
de déterminer la résistance minimale du béton de la partie d’ouvrage considérée (NF EN
1992 annexe E)
Chaque béton d’une partie d’ouvrage peut être soumis pendant sa durée d’utilisation à plusieurs
actions environnementales.
Il convient donc, pour chaque partie d’ouvrage ayant une cohérence constructive de déterminer la
combinaison des classes d’exposition pour prendre en compte avec précision l’ensemble des
actions environnementales auxquelles est soumis chaque béton.
À lire aussi
Classes d’exposition en génie civil et norme NF EN 206+A2/CN : 2022
La norme NF EN 206/CN complète ces dispositions par des valeurs limites applicables en France
et rend celles-ci normatives dans quatre tableaux (NA.F.1 à NA.F.4).
Les exigences relatives à chaque classe d’exposition doivent être spécifiées en termes de :
Le béton doit respecter toutes les valeurs limites applicables pour la composition et les propriétés
du béton pour chaque classe d’exposition et donc la sélection des plus sévères exigences et
spécifications.
Carte de gel
Note : cette carte des zones de gel/dégel en France a été établie suivant un classement en trois
catégories (gel faible, gel modéré, gel sévère) à partir de données statistiques de stations
météorologiques de Météo France couvrant le territoire national.
Carte de salage
salage « peu fréquent » : n < 10 (n étant la moyenne annuelle du nombre de jours de salage
estimée sur les 10 dernières années)
Salage « fréquent »: 10 ≤ n < 30
Salage « très fréquent » n ≥ 30
Nota : Selon les parties d’ouvrage c’est le salage de la voie franchie et/ou celui de la
voie portée qui est à considérer.
Sauf spécification particulière notamment fondée sur l’état de saturation en eau du béton (par
exemple surface horizontale ou non), les classes d’exposition XF1, XF2, XF3 et XF4 sont
indiquées dans la carte donnant les zones de gel et dans le Tableau NA.1.
Nota : Les classes XF2 et XF4 couvrent les risques de corrosion liées aux chlorures véhiculés par
les sels de déverglaçage (Il n’y a pas de besoin de recourir à des classes XD).
Pour les classes XF2, XF3, XF4, l’utilisation des essais de performances (XP P 18-424 ou XP P
18-425 ) et le respect des seuils associés peuvent se substituer aux obligations concernant la
teneur en air.
Les bétons soumis à la classe d’exposition XF2 peuvent être formulés de deux façons :
Tous les ouvrages situés à proximité des côtes ou les structures marines sont donc concernées par
ce type d'actions environnementales.
en XS1 : les éléments de structures, non en contact avec l’eau de mer et non exposés aux
embruns mais directement exposés à l’air salin (ce sont des éléments situés à moins de 1 km
de la côte)
en XS2 : les éléments de structures marines immergés en permanence
en XS3 : les éléments de structures marines en zone de marnage et/ou exposés aux embruns
(ce sont en général ceux situés à moins de 100 m de la côte)
Les éléments en béton non armé situés, en zone de marnage et/ou exposés aux embruns (ce sont
en général ceux situés à moins de 100 m de la côte) sont à classer en XA1 pour prendre en
compte l’agressivité chimique de l’eau de mer.
Nota : en cas de conditions particulières (telles que la topographie), les distances précitées
pourront être portées à 5 km pour la classe XS1 et à 500 m pour la classe XS3.
Les classes XC1 à XC4 prennent en compte l’exposition du béton à l’air et à l’humidité en
distinguant le degré d’humidité de l’environnement et l’alternance d’humidité et de séchage.
faible si l’environnement est toujours sec ou toujours humide (classes XC1 et XC2)
forte s’il y a alternance d’humidité et de séchage (classes XC3 et XC4)
(2) Une peinture ou un simple enduit ne constitue pas une protection suffisante. Seuls peuvent
être pris en compte les revêtements adhérents justifiés vis-à-vis de la pénétration des agents
agressifs pendant la durée d’utilisation de projet
en XD1 : Les surfaces modérément humides exposées à des chlorures transportés par voie
aérienne
en XD2 : les piscines ou les parties exposées aux eaux industrielles et contenant des
chlorures
en XD3 : les parties d’ouvrages soumises à des projections fréquentes et très fréquentes et
contenant des chlorures, et sous réserve d’absence de revêtement d’étanchéité assurant la
protection du béton. C’est le cas notamment des parties supérieures des dalles et rampes de
parcs de stationnements de véhicules ne comportant pas de revêtement pouvant assurer la
protection du béton pendant la durée de vie du projet.
Les classes XF2 et XF4 couvrent les risques de corrosion liés aux chlorures véhiculés par les sels
de déverglaçage et il n’est donc pas nécessaire de leur combiner les classes XD pour s’en
prémunir.
Attaques chimiques
Lorsque le béton est au contact d’un sol naturel, des eaux de surfaces ou des eaux souterraines, il
peut faire l’objet, selon le niveau d’agressivité du sol et des eaux, à l’une des classes : XA1, XA2
et XA3 correspondant respectivement à des environnements à faible, modérée ou forte agressivité
chimique.
Le tableau 2 de la norme NF EN 206/CN définit les valeurs limites correspondant aux attaques
chimiques des sols naturels (SO42-, acidité) et des eaux de surfaces et souterraines (SO42-, pH, CO2,
NH4+, Mg2+).
Une analyse chimique détaillée doit être fournie par le maître d’ouvrage (sol et eau, le cas
échéant incidences de l’exploitation)
Nota : Les réactions chimiques internes ne sont pas traitées par cette classe, mais font appel aux
méthodologies nationales :
NOTE : Pour les environnements agressifs dans les milieux industriels, une étude spécifique est
nécessaire pour déterminer l’exposition du béton.
À lire aussi
.
Description
1. Description du phénomène
La corrosion désigne le phénomène de dégradation de l’état d’un matériau, notamment par une pollution
environnementale chimique et/ou biologique. Dans le cas des bétons, la corrosion désigne la dégradation du
béton mais elle peut aussi désigner celle des matériaux intégrés au béton lorsqu’il est armé ou fibré (notamment
des fibres métalliques).
La corrosion des bétons est la conséquence de nombreux mécanismes parmi lesquels notamment :
D’expositions courantes :
o X0 : Pas d’agression,
o XC : Agression par Carbonatation,
o XF : Agression par le Froid,
D’expositions particulières :
o XS : Agression par des Sels marins,
o XD : Agression par des sels Divers,
o XA : Agression par des Attaques chimiques (Type d'agression qui concerne plus particulièrement le
domaine des Sites et Sols Pollués).
Les ions chlorures contenus dans l’eau de mer et dans les sels de déverglaçage pénètrent à partir de la surface
du béton jusqu’à l’armature. Les ions Cl- vont réagir avec la chaux (Ca(OH)2) présente dans le béton, pour
former un sel de CaCl2 soluble dans l’eau. La perméabilité du béton va augmenter, ce qui aggrave le
phénomène. Les ions chlorures peuvent également réagir avec les aluminates de calcium contenus dans certains
bétons, pour former des aluminates de chlore, semblables à l’ettringite gonflante. Enfin, en cas de succession de
cycles de mouillage et séchage du béton, une cristallisation de sels peut se produire dans les pores du béton. La
pression produite par les cristaux est plus importante que la force de tension du béton, engendrant des fissures
dans le béton.
2. Solutions envisageables
Il est rarement possible de supprimer la source d’ions chlorures (naturellement présents dans les eaux ou dans
les régions où une grande quantité de sel de déverglaçage est utilisée). Les solutions suivantes peuvent être
envisagées :
a. L’application d’un revêtement protecteur sur les parties à protéger
Soit un revêtement ou équipement (par exemple pieux tubés) épais (plastique ou métallique. Dans ce
dernier cas, l’épaisseur pourra être calculée en fonction de la durée de vie recherchée et de la vitesse de
corrosion du métal).
Soit de produits hydrophobes. Cela consiste à introduire dans les pores du béton, un produit qui empêche
l’adsorption et la pénétration de l’eau par capillarité,
Soit de minéralisateurs obturateurs de capillaires. Ils sont mélangés au béton à l’état liquide et vont
diminuer la taille des pores du ciment durci,
Soit d’inhibiteurs de corrosion. Introduits par imprégnation du béton durci, les inhibiteurs de corrosion
ralentissent la vitesse de corrosion des armatures,
En complément des solutions présentées dans le paragraphe précédent, il peut être envisagé les solutions
suivantes :
c. Modifier le béton
Dans ce cas, des adjuvants chlorés sont généralement ajoutés au ciment pour augmenter sa résistance à
l’attaque des chlorures.
d. Augmenter l’épaisseur de béton
Il peut également être envisagé de créer une couche de béton sacrificielle à l’extérieur de la paroi.
L’épaisseur de cette couche devra être suffisante pour assurer une protection tout au long de la vie du
bâtiment.
Recommandations post-installation
Produits d’imprégnation : Contrôler la composition du béton au moment de la fabrication.
Revêtements :
Dimensionnement
Faire appel à une société spécialisée.
Résultats et conclusions
1. Bibliographie
BRGM (Août 2014)
Guide relatif aux mesures constructives utilisables dans le domaine des SSP
Leprond H., Lion F., Colombano S. avec la collaboration de Windholtz J.(2014)
Rapport final BRGM/RP-63675-FR,172p., 26 fig., 19 tabl., 5 ann.
http://ssp-infoterre.brgm.fr/guide-relatif-aux-mesures-constructives
http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-63675-FR.pdf
Dierkens M. (2011)
Principales agressions et attaques du béton
Présentation du 15 novembre 2011
https://fr.scribd.com/document/364533421/1-Principales-Agressions-Et-Attaques-Du-Beton-Dierkens
NF EN 206+A1 (Novembre 2016)
Béton - Spécification, performances, production et conformité
https://www.boutique.afnor.org/norme/nf-en-206a1/beton-specification-performances-production-et-
conformite/article/918602/fa188531
Sommaire
Principe
Description
Recommandations post-installation
Dimensionnement
Résultats et conclusions