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Résultats :
n = 21
I. Confiance avant de commencer une rétrocession 100% des participants estiment
II. Aisance avec le logiciel avoir besoin d’un outil pour les aider
III. Capacité à dispenser un MDS/ATU/stupéfiant dans leur activité de rétrocession
IV. Capacité à intercepter une erreur/interaction médicamenteuse/contre indication
V. Aisance avec l’aspect réglementaire 100% des participants ont senti
VI. Capacité à expliquer le traitement au patient et à lui donner des conseils un bénéfice dans leur activité de
VII. Capacité à prendre du temps pour donner des conseils aux patients rétrocession avec ce carnet
Discussion :
• Différence significative entre la moyenne « avant carnet » et « après carnet » pour les 7 variables étudiées (p<0.05),
avec une évolution favorable du SEP.
Confirme le besoin d’un outil pour améliorer la mise à disposition d’informations ciblées sur les médicaments
rétrocédables afin d’optimiser leur dispensation.
• Les intervenants se sentent plus à l’aise dans leur activité de rétrocession et plus à même d’intercepter les erreurs
médicamenteuses. Ils prennent plus de temps pour expliquer le traitement aux patients et leur donner des conseils.
Sécurisation de la dispensation et optimisation de la prise en charge des patients
• Limites : on ne peut éliminer un potentiel biais de désirabilité social dans les réponses.
Conclusion :
• Après un mois d’utilisation de l’outil sans aucune formation associée, le SEP est amélioré.
• Optimisation de la sécurité, de la capacité à valider une ordonnance et à intercepter une erreur.
• Diminution du temps de recherche d’information, augmentation du temps accordé aux conseils pour les patients.
Prochaine étape : l’utiliser comme outil de formation continue (simulation, serious game, e-learning).
15èmes Rencontres Convergences Santé Hôpital – Nantes, les 22, 23, 24 et 25 septembre 2020