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Dissertation juridique : le referundum est il démocratique

Durant le référundum du 29 mai 2005, les français rejeté à près de 55% l’adoption d’une constitution
européenne. Cependant en 2007, par voie parlementaire, est ratifié le traité de Lisbonne ignorant
alors le souhait du peuple exprimé deux ans plus tôt. Le réferundum est-il démocratique ?

Un réferundum est un vote direct de tous les électeurs d’un Etat ou d’une autorité locale qui se
décide sur une proposition de nature législative ou constitutionnelle . Ldes choix possibles étant soit
accéptés ou rejetés. Le référundum permet aux citoyens d’être questionner et de s’exprimes sur des
questions à la fois sociales et institutionnelles. La démocratie quant à elle est un régime dans lequel
le pouvoir est détenu par le peuple, principe de souveraineté, sans distinction.

Le référundum est-il un réel moyen d’expression et de pouvoir face aux dirigeants politiques de la
Vème République ?

Si le réferundum semble être un élément d’expression du peuple au cœur d’une démocratie


réprésentative et se rapproche de la démocratie directe (I), on ne peut nier qu’il se heurtes à divers
obstacles et semble plus en proie aux dirigeants qu’au peuple.

Plan :

I - Le référendum : un outil démocratique garanti et encadré en France

A - Le référendum tel qu’il est prévu par la Constitution de 58

1 - Les référendums constitutionnels/législatifs (art 89)

2 - Les référundums échelle locales (art 72-1 al 2) (ex corse, catalogne)

B - Un usage relativement limité sous la Vème République

1 - Les débuts prometteurs de la Vème République en matière de référendums (ex DG accord


d’evian)

2 - L’utilisation récente et marginale du référendum

Malgré une volonté démocratique et d’implication citoyenne dans la vie politique contemporaine, le
réferundum semble être une réalité marginale en proie des dirigeants en témoigne la ratification du
traité de Lisbonne en 2007 malgré le non énoncé dans le référundum de 2005.

II - Le référendum : un outil restant à l’initiative des dirigeants

A - Le refus du Référendum d’initiative citoyenne (RIC)


1 - L’initiative des dirigeants prévue par la Constitution (principalement à l’executif)

2 - Une demande légitime d’initiative citoyenne (la constitution laisse place au référundum et
les dirigeants raréfie cette tendance)

B - La mise en œuvre limitée du Référendum d’initiative partagée (RIP)

1- Initiative parlementaire
2- Qui n’a jamais aboutit

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