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CM : droit constitutionnel 1(theorie générale du droit

constitutionnel)
Introduction
La constitution = règle de droit importante, norme supérieur dans la hiérarchie
des normes. Elles est aussi singulière (une seule constitution), adopté a des
moments clés
= pacte fondateur par lequel une communauté établit les conditions
d’exercice du pouvoir politique. La façon dont le pays est globalement géré.
Il y a d’autre normes qui sont des sources importante du droit: lois,
engagements internationaux, règlement  chacun sa spécificité et chacune a
son importance
 Loi= norme élémentaire, fondamentale, adoptées par le parlement MAIS
aujourd’hui rabaissée dans la hiérarchie des normes, reste essentiel
Dans une démocratie, Parlement représente le peuple souverain.
 L’engagement international= norme importe car c’est le résultat d’accord
entre les états qui prennent des décisions internationales.
Prends plusieurs formes de traité internationaux : convention international,
accord internationaux , certains niveau dans la hiérarchisé des normes (au-
dessus de la loi.
 Règlement= règle édicté par des autorités non législatives mais
administrative (décret, arrêts ministériel…)= moins importante, place
inferieur a la loi dans la hiérarchie
 La coutume (règle coutumière) = règle très général et importante sous
l’ancien régime pour des raisons linguistiques (pas la même langue
partout) et les gens ne savait pas lire. Elle était que oral.

 Règle contractuelle : catégorie du CC, ne vas pas concurrencer les autres


normes elle est élémentaire (ex convention de vente lorsqu’on acheté
quelque chose car échange de consentement.

Ce qu’on trouve dans une constitution :


- Valeurs et principes de l’état
- Institution (président ou non, est ce qu’il y a un parlement, qui dirige, les
relations entre les état)

- Forme de l’état : relation entre l’état et les régions (plutôt parlé de


communauté infra-étatique) ( ex décentralisation de la France)

- Droits fondamentaux (considérer comme un élément essentiel) droit


élémentaire que les citoyens peuvent revendiquer et même opposer aux
pouvoirs publics (ex liberté d’expression, de se rassembler…), important
pour l’état de droit ( état ou les droit fondamentaux sont protégés par
des instances indépendantes)

touche tous les pays du monde de façon différente :


- La longueur varie : en Inde elle est longue alors que au EU plutôt courte.
- Son appellation varie selon ce qui parait important pour cette état
- la complexité change aussi
Royaume uni principalement une constitution coutumière, en plus d’une
constitution.

I/ Le concept de constitution
Pour comprendre la notion de constitution il faut comprendre d’autres notions
associées tel que l’Etat

Section 1 la valeur juridique de la constitution


A)constitution devenue une norme suprême
Au début, le droit était aussi import que les lois et était considéré comme un
droit politique. Certaines personnes continu de défendre que c’est un droit
politique car c’est un acte créateur (établir un nouvel Etat, ou change de
Régime)
Cette perception de la constitution a changé, elle est maintenant source
juridique avec une dimension symbolique forte selon les penseurs qui l’ont
rédigés à l’époque.
B) justifier la valeur supérieur de la constitution
Justification 1 : Cohérence d’un système normatif, dans ce système il faut qu’il
y ai une cohérence et une hiérarchie, avec une norme supère et que celle en
dessous respect la norme supère.
Justification 2 : pouvoir constituant, titulaire de la souveraineté (pouvoir
supérieur et qui ne peut être contredit) et la constitution est l’acte du
souverain, elle est donc incontestable et placé comme supérieur
Justification 3 : notion de compétence, toute autorité qui exerce une
compétence le fait parce qu’il a reçu cette compétence d’une autorité
supérieur. Il faut systématiquement remonter pour voir qui est supérieur MAIS
il faut bien s’arrêter un moment donc il y a une norme supérieur a tout =
constitution

Comment peut-on construit un droit internationale avec un droit


constitutionnel unique à chaque pays ?
Des logique différentes :
Un attachement à un droit international qui varie, qui est un droit qui s’est
construit progressives, parallèlement au droit national

A) La logique du droit international


Si on ne respecte pas les règles international et notamment les convention
internationale, la communauté international ne peut pas se réguler.
Les normes les plus importantes sont les convention international avec un
principe : Pacta sunt servanda (les conventions doivent être respectées), les
constitutions ne doivent pas être un obstacle pour l’exécution des convention
international.
Apres qu’un état ai ratifié a la convention internationale, les tribunaux doivent
écarter la constitution au profit du droit international (conventions)
Les deux derniers avis rendu affirme que, un engagement internationale ne
saurait faire obstacle à la constitution, un engagement international ne peut
prévaloir sur la constitution
Section 2, l’auteur de la constitution
Ecrire la constitution = pouvoir constituant (= le constituant)
Il peut intervenir a deux moments :
- lorsque la constitution est créé (ex : un référendum adopte une nouvelle
constitution on parle alors de pouvoir constituant originaire) = aspect
révolutionnaire
- modifier la constitution (= pouvoir constituant dérivé)

A) Le titulaire du pouvoir constituant originaire


Le titulaire = L’auteur de la constitution= titulaire de la souveraineté ( dans une
république c’est le peuple)
Pouvoir constituant originaire : utilisé pour changer de régime ou créer un
nouvel Etat
Le constituant originaire peut-il écrire ce qu’il veut ?  y’a-t-il une « supra
constitutionnalité » (au-dessus de la constitution)
Il est difficile de prévoir une constitution qui pénalise une certaine part de la
population, il y a bcq de règle et de principe qui ne font pas tous consensus.
Ex : Il parait impossible de rétablir la monarchie MAIS il n’y a pas consensus car
il y a tjrs des monarchies. Alors y’a-t-il une supra constitutionnalité ?
 on se met d’accord sur des droits fondamentaux qui sont définis d’une
façon différente selon les pays (IVG …)
constituant : C’est d’abord la protection d’un régime politique. D’un point de
vue juridique rien n’est interdit. Il fait ce qu’il veut car a la compétence de la
compétence (constituant)

B) Ceux qui rédige la constitution


Ceux qui dirige ne sont pas les même que ceux qui adopte (adopté par le
peuple) mais ça peut quand même l’être, elle n’est jamais rédigé par
l’ensemble des citoyens, on ne peut pas réunir l’ensemble des citoyens pour
rédiger le texte.
Ce sont ses représentant qui rédigent des possibilité :
- Assemblée : convention ; assemblée constituante
- gouvernement
Le modèle de la convention :
Nombre limité de rédacteurs, pour l’efficacité, ils arrivent plus facilement à se
mettre d’accord avec une grande liberté d’esprit, n’appartienne pas à des
parties politiques qui leur donne des directive qu’ils doivent nécessairement
respecter, les discutions sont secrètes
Ex : convention de Philadelphie (25 mais au 17 sept), avec des père fondateur
de la constitution américaine : Président par George Washington et 55
délégués dont James Madison.

2) Le modèle de l’assemblée constituante


Modèles différents cherche à faire en sorte que le peuple soit présent dans une
démocratie représentative
Ses membre sont élues pour leurs donner une légitimité démocratique, il faut
qu’il représente le peuple
En France, constitution de : 1791 ; 1848 ; 1871 ; 1945-46
Cette solution ces généralisé, quand il y a nouvelle constitution c’est souvent
rédigé par une assemblée constituante. Elle est légitime et compliqué, elle
comprends deux possibilités :
1/ confier a l’assemblée le soin de rédiger la constitution et de l’adopter car
elle représente le peuple (ce qui a été choisi pour la IIIe république)
Comme elle démocratique, il faut que les représentants se mettent d’accord, ce
qui compliqué. La constitution doit satisfaire tout le monde.
2/ faire en sorte que l’assemblé rédige une constitution, l’adopte et comme
nous sommes en république, il y a une ultime étape : Le référendum. Ca été le
cas pour la 4eme république. On a l’impression que le referendum est vraiment
légitime puisque le peuple a voté.

3) le modèle exécutif
Demande au gouvernement de rédiger une constitution, ce qui a été le cas en
1958 (les évènement d’Algérie fait basculer l’ancienne république, de gaulle
sera charge de créer une constitution. Avec a la suite un referendum), les
parties politique et le parlement sont exclues du processus. On vote alors plus
oui au personnage qu’a la constitution

4) constitution octroyé
Lorsque le monarque de droit divin accepte qu’il y ai une constitution
(1814)sous un cadre de changement historique.
C’est le modèle de l’assemblée constituante qui tend à s’imposer

II le pouvoir constituant dérivé


Les constitutions sont des pactes fondateurs qui devraient traverser les
époques, les siècles (ex : 1787 Constitution américaine très peu modifié)
On ressent en France le besoin de modifier la constitutions à intervalle
réguliers, si elle est stable, le droit lui est animé

A) Un pouvoir secondaire
Il n’est pas brute, derrière lui une procédure
Il intervient de façon secondaire puisqu’il modifie un texte préexistant
Dans une certaines mesures, il doit respecter l’ordre constitutionnel. Il ne
change pas de constitution, il cherche surtout à s’adapter. Il y a des règles de la
constitution à respecter pour la modifier.
Jusqu’où peut aller le pouvoir constituant dérivé ?
La solution a été d’Énoncer des règles qui ne peuvent pas être modifié, on parle
de closes d’éternité ( ex constitution allemande art 79)
En France on peut modifier sauf pour la nature du régime art 89 « le forme
républicaine du gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision »

B) Les constitutions souples et les constitutions rigides


Elles sont classées selon le degrés de contraint du pouvoir constituant dérivé
a) Le choix d’une souple

C’est une constitution qu’on peut modifié dans des conditions similaire à
celle des lois ordinaires.
Il y a des régimes qui font prévaloir que le parlement est le lieu
d’exercice de la souveraineté et dans ce type de régime, y’a pas de raison
qu’il y procédure particulière

En uk, il y a un roi une couronne et un pouvoir militaire qui est gouverné


a la fois par le roi.
Pour faire évoluer les lois, le parlement adopte sans contraintes
particulière
En France, on a connu ce type de régime avec un parlement souverain,
qui décidait de la revis stratégies lors des nouvelles constitution, on peut
avoir a l’idée qu’elle est provisoire ( ex 1875 on va réviser la constitution
rapidement avant les élections et on la rechargera après )

b) Les constitutions rigides


Elle ne peuvent pas être révise qu’avec une procédure bcp plus
contraignante pas de majorité parlementaire qui modifie de quelle veut
Il y a des règles
- Mode de scrutin obligation d’une majorité qualifié ( la constitution n’a
pas été révisé sous hollande et macron il n’avait pas la majorité qualifié)
- Organisation de référendum, ce n’est pas une obligation en France
- On peut dissoudre l’assemblé national pour la réviser dans certaines
constitutions
Pourquoi ?
- Le respect de la constitution pour qu’elle dure, stratégie électoral, pour
montrer une victoire lors des élections
il parait normal qu’on ne puisse facilement la changer
- Une œuvre constitutionnelle parfaite= un idéal, le bonheur des peuples
très rigides
- Les états fédéraux (Italie, Espagne ) complexes, logique constitutionnel
destine à protéger les états fédéré, elle résulte d’un pacte initial (anciens
états qui se sont regroupés) ces anciens états ont gardé le souvenir de
leur indépendance et veulent conserver leur autonomie. La constitution
a des garanties, elle ne doit pas être modifié sans la participation des
états fédéré

Une constitution rigide permet d’apporter la stabilité, la rigidité ne lui


permet pas de la faire évoluer, à chaque fois qu’un besoin apparait.

Le risque est important à ce que on décide de renoncer à la constitution


 ( les constitution de 1791 (on s’en sépare et du roi aussi), 1793
(époque de la terreur), 1795 ( coup d’état de Napoléon) et 1848 sont
des constitutions rigides
Celle de la Ve rep ce veut semi rigide, c’est Sarkozy qui l’a rénové pour la
dernière fois
Il faut la protéger, car il fut une époque où on s’y intéressait pas, car
personne ne l’interprétait ou la changeait

Section 3 : La protection de la constitution


I. L’interprétation de la constitution
La signification d’un texte n’est pas une évidence, et celle de la constitution
doit être trouver et interprété

A) La signification du texte constitutionnel


C’est un texte se sont des règles qui porte des prescription.

1. L’indétermination du sens du texte


Art 6 « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs » : Peut été sujet
d’interprétation car les texte dépendent du moment où il sont appliqué
Par exemple comment l’interpréter si le président qui sont deuxième mandat
deux mois à l’avance
Les constituionnalistes est un travail d’étude de texte
Elle fait un débat national notamment au US si on doit l’appliquer comme elle a
été rédiger en 1787 ou avec les problème actuelle.  question de l’évolution
du texte et de son sens.
Interprétation originel ( état d’esprit du rédacteur de la constitution et ce
qu’on voulut les pères fondateurs.
Interprétation dynamique (prends en considération les circonstance du
moment
Il est compliqué de connaitre les volonté des rédacteur à l’époque. On peut
rajouter des amendements pour adapter.
Exemple lois sur le ports d’arme au us, est ce que avant il l’aurait autorisé si il
avait su l’évolution des armes actuelles ?
Deuxième problème certaines question peuvent apparaitre avec le changement
des circonstances.
Il faut reconstruire certaines lois pour les mettre à jour.
La constitution est adapter par les juges mais aussi par des acteurs politique et
donc ne pas méconnaitre les stratégies de l’interprétation : ( le président va
comprendre le texte pour qu’il lui soit favorable).
La question de l’interprétation, celui qui joue le rôle le plus important c’est
l’interprète , et que finalement la signification de la constitution c’est
seulement ce que l’interprète en dit. Tant que le conseil constitutionnel ne
nous impose pas une interprétation.
Le juriste doit être convainquant et montrer que son interprétation est la
meilleure, il y a des méthodes :
- Il cherche à montrer que son interprétation est la seul interprétation
possible et c’est la sienne. = interprétation par analogie

- Il y a des dispositions qui sont clairs, il faut les interpréter de façon


littéral, il est évident que le texte doit être interpréter de cette manière
ex « nul ne peut être condamné à la peine de mort » art 66 =
interprétation par déduction
- Il y a des hypothèse qui ne sont pas dans la constitution. Il doit
extrapoler par rapport à plusieurs articles pour donner du sens.
Argument a contrario

- La règles spécial déroge a la règles général

- En droit constitutions, il n’est pas rare que pour justifier, on fasse référence
aux travaux préparatoires de la constitution et aux intentions des rédacteurs
du texte
Souvent utilisé, mais pose tout de même des problèmes : Il faut que les
textes ne soient pas trop anciens, que les travaux ne soient pas trop
consistants
En en 1958, la constitution est rédigée par le gouvernement, il n’y avait pas
de vraies travaux préparatoire puis il a été soumis du peuple
Il y a des constitutions qui sont très longue et très complexes, c’est peut
être voulu ?
La constitution peut avoir des éléments pour forcer l’interprète a
s’astreindre à une seule interprétation.
L’interprète ne se présente jamais comme étant le constituant.

B/ QUI est l’interprète de la constitution


Distinction entre les interprètes :

1. les interprètes authentique


c’est Hans Kelsen qui en a parlé dans sa théorie
il y a des interprétation qui sont officielles car elles sont énoncées par des
autorités qui pourront donc être imposer aux autres, elle est considérée
comme « valide »
Il y a deux catégories :
 les juges constitutionnel (conseil constitutionnel en France). Une instance
indépendante du pouvoir politique, donne une interprétation que sera
ensuite reconnu par l’ensemble des juridictions
 des acteurs politiques ( ex les présidents de la républiques, ils exercent
sans contrôle, sans limite, il peut supposer a d’autres autorités)

1962 : Révisons de la constitution, Charles de gaulles veut réviser la


constitution et ce sera le cas via art 11

2. l’interprète scientifique.
Spécialiser en droit et science, il dispose d’une légitimité qui lui permet
d’être entendu. Ils vont suivre une méthode rigoureuse juridiquement, qui
vont être écouter
Leur interprétation ne sera néanmoins jamais considérée comme valide car
c’est seulement les interprètes officiels, même si on l’écoute

II/la protection juridictionnel de la constitution


A) L’introduction du contrôle de constitutionnalité
La problématique porte sur la légitimité qu’un gouvernement
Loi est un texte adopté par le parlement (élu du peuple) qui exerce la
souveraineté du peuple donc adopte la loi qu’ils veulent.
Problème sur le statut de la loi, la loi était pendant longtemps un statut
incontestable soit parce qu’elle était l’expression de la souveraineté soit
parce que c’est l’expression de la raison à partir de la révolution
On ne peut admettre que le parlement puisse faire fausse route
Dans bcp de pays la loi a longtemps été la première source du droit. Des
exigences nouvelles sont apparues qui ont conduit un certain nombre d’état
à admettre le contrôle constitutionnel des lois.
Il y a 3exigences, ce pourquoi on a mis en place un contrôle, impératifs
supérieur :
- La fonction des états fédéraux
- La protection des droits fondamentaux
- La séparation des pouvoirs législatifs et exécutif
2 .Une cours constitutionnelle pour régir le fédéralisme
Un état fédéral réparti les compétences entre le niveau national et celui des
états fédérés qui bénéficie de compétences et autonomie qui leur sont
garanties par le C.
Cette répartition des compétences est discuté, il faut un arbitre pour gérer les
compétences de chacun =un juge constitutionnel= tous les états fédéraux
disposent de juridiction C.
1803, cour suprême fédéral des états unis
Marbury = lois fédérés invente le pouvoir de faire un contrôle de
constitutionnalité.

3. Cours constitutionnel pour protéger les lois fondamentaux


Préoccupation pas nouvelle, la grande étapes est l’après seconde guerre
 prise de conscience sur la dérive de la démocratie.
EX : le parti socialiste a remporter en Allemagne, changement de
mentalité. Le parti nazi étaient légitime car légitimité par les urnes
La lois peut opprimer des minorités, les allemands considèrent que ce n’était
plus possible. Ils créent une cours constitutionnel pour protéger les droits
fondamentaux.
CREATION DES COURS :
1er vague : 1945 Autriche ; 1948 Italie…
2ème vague 1976 Portugal ; 1978 Espagne
3ème vague 1986 Pologne ; 1990 Hongrie, 1991 Bulgarie, 1995 Russie…
un contrôle constitutionnel n’est pas évident, pour qu’un état soit effectif, il
faut que le juge soit réellement indépendant pour pouvoir s’opposer au
pouvoir politique pour défendre leurs droit fondamentaux

4. Une instance constitutionnelle pour pouvoir séparer les


pouvoirs législatif et exécutif
La France a des mécanismes pour défendre les droit des citoyens avec
l’affirmation de deux juridiction puissante : Cour de cassation et conseille
d’état
on a estimé que pas besoin de cour constitutionnelle
1958 : problème on veut mettre fin à la puissance du parlement, ce qui rend le
régime faible car 1er ministre et présidents sont faibles. On décide de prévoir un
domaine pour la loi pour le parlement et un domaine pour le règlement du
premier ministre
Pour arbitrer on décide de créer un conseil constitutionnel en 1958, chargé que
la lois respect le domaine du règlement, que les lois soient conformes à la
constitution. Les audiences QPC sont discutés toutes les semaines.

B) Les modèles de justices constitutionnel


Ce que l’on appelle modèle, dans certains états ont commencé par contrôler la
lois avant qu’elle soit appliquée.

1. Contrôle part voix d’action et par voie d’exception


Sur deux modèles
 modèle américain : ce modèle a inspiré le canada, argentine, japon, Corée
du sud …
Il permet facilement de contester la C, tout justiciables peut contester la
conformité de la loi a la C, devant n’importe quelle juridiction.

3grandes caractéristiques :
- cas d’exception d’inconstitutionnalité, dire que ce n’est pas conforme à
la constitution = demande d’incidence, moyen de défense, c’est une
demande qui se grief au procès
- contrôle a posteriori, après l’entrée en rigueur de la loi
- contrôle concret, il faut qu’il y ai un litige et se demander si la lois est
conforme à la constitution
Avantage lors d’un procès on peut réviser quelque chose

 modèle kesselien, contrôle par voix d’action


caractéristique : modèle ou le contrôle est réserver a une cour
constitutionnelle, contrôle concentré(seule une entité est chargé de vérifié
que la loi est conforme à la constitution),
- contrôle à priori (intervient immédiatement avant que la loi entre en
vigueur, hiérarchie des normes cohérentes et ceux le plus vite possible)
- contrôle abstrait pas nécessaire qu’il y ai un litige pour contester la loi.

Avantage : pas de soucie lors des procès car loi contrôle des leurs sortie

 beaucoup d’état mixte les deux modèles

- constitutionnalité contesté devant les tribunaux= inventer une


procédure qui permet aux instance qui a la monopole (cour
constitutionnelle
- renvoi à une cour constitutionnelle
- monopole de la cour constitutionnelle pour annuler la loi
En France on a pas abandonner le modèle kesselien mais on a adopté la QPC
Question : dans le cadre de ces trois modèle, est ce que le juge rends la
même décisions

2/ la portée de contrôle de constitutionnalité


Dans le cadre du modèle américain, le juge n’annule pas la loi qu’il juge
inconstitutionnelle, Annulation d’un acte consiste à le faire disparaitre, plus
d’effet pour le passé et supposé n’avoir jamais existé a lieu a posteriori.
Les juges peuvent se prononcer sur la loi. très attaché à la séparation des
pouvoirs exécutif et judiciaire
solution consiste pour le juge a écarter la loi dans le procès. Il faut tout de
même avoir une jurisprudence et que les autorité se mettent d’accord sur le
fait de l’inconstitutionnalité.
Niveau fédéral et fédéré = On peut faire remonter l’affaire a la cour
suprême . Elle fait la jurisprudence
Dans le modèle kesselien, si inconstitutionnalité, la loi est annulé, elle ne peut
pas produire d’effet. Le présidents ne peut pas promulguer la loi
Dans le modèle mixte= loi abroge, solution retenue dans le cadre de la QPC
un acte abrogé : peut plus produire d’effet pour l’avenir. En revanche ses
effet passé ne sont pas remis en cause ( pour ne pas créer de problème, un
vide juridique)
Chapitre 2 : Section 1 : Constitution et Etat
« pas de constitution sans Etat et d’Etat sans constitution »
La forme de l’état, mentionné dans la constitution (état fédéral, régional selon
le choix du constituant)
Def de l’état : George Burdeau « l’état est, au sens plein du terme, une idée.
N’ayant d’autre réalité que conceptuelle il n’existe que parce qu’il est pensé »
Quand on parle de l’état on parle d’une entité. Il n’y a pas de def officielle

A) La fonction de l’Etat
Importance de l’état depuis le XVe, le mot état est un concept depuis
longtemps
A partir du XVI, en France on a des guerres de religions donc volonté d’unifier la
communauté national et justifier le pouvoir du roi (l’institutionnalisé),
médiatiser le pouvoir
Il faut que le roi montre qu’il n’est pas le possesseur du pouvoir, il doit avoir un
pouvoir d’une autre nature, il faut donc créer une institution pour que le
pouvoir ne soit pas exercé à titre personnel mais le soit au nom d’une entité qui
soit une institution.
l’état joue un rôle important entre le pouvoir et les individues. Il faut que les
sujets du royaume accepte l’exercice du pouvoir = Pacification de la société,
médiatisation du pouvoir,
Ainsi exercer le pouvoir ne se fait pas au nom d’une personne, mais plutôt au
nom de l’intérêt général, on accepte donc plus facilement le pouvoir mis en
place. Met fin à la vengeance privée
Max weber « l’état dispose du monopole de la violence légitime », cette
violence est acceptée et elle est légitime.

B) Identification de l’Etat
3 critères :
- Un territoire = l’état n’est pas concevable sans territoire
L’état a besoin d’un espace ou d’un territoire pour domination politique
et juridique. Il faut que les prérogatives étatique soit exercé quelque
part, permet d’affirmer un peuple ; et ce peuple se considère comme
légitime de s’affirmer comme un peuple ( droit du sang et droit du sol
pour la nationalité)= crée un lien
Ex : le peuple Kurde réclame un territoire

- Une population, pas d’Etat sur un territoire sans population. Sur ce


territoire deux catégories de population : nationaux et étrangers

 Les nationaux : qualité pour participer à l’exercice de la souveraineté .


Def de la Nation: on prétend qu’il y a deux perceptions :

- objective (consiste à dire que la nation regroupe des individu qui ont des
caractéristiques comme le lieux de naissance, la langue, la religion,
l’origine ethnique qui les font appartenir a la nation)
- subjective (relativiser les critères par exemple la langue ne signifie pas
qu’on appartient à tel nation mais plutôt pour cette perception on a
appartient à une nation par rapport à ce que l’on ressens, sentiment de
solidarité)
Ernest Renan : « La nation est un vouloir vivre collectif », lorsqu’il
oppose les deux conception
suite à la guerre de 1870 ( guerre fr et all), l’all prends l’alsace et la
lorraine, fr veut récupérer les population car fr de cœur même si ils
parlent all sur un territoire all

Critique : les deux visions sont réductrices.


L’UE respecte l’identité national de ses membres

 L’étranger ne fait pas partie de la communauté politique national, ne


participe à l’exercice de la souveraineté national. Mais a des droits
fondamentaux car ces derniers sont liés à la personne humaine. Certains
état font distinctions entre les citoyens nationaux et locaux
- Une autorité souveraine : l’Etat sans domination sur un territoire et pas
de souveraineté sans état.
Il y a état si il y a un ordre juridique indépendant, que l’état maitrise le
droit sur son territoire, avoir le monopole sur la création du droit,
l’interprétation officielle des règles doit être assurée pas des instances
de l’état, monopole de la contrainte pour imposer le respect du droit.
Le territoire doit être indépendant (effective).

Qui peut affirmer ou nier qu’il y a un état ?


C’est la communauté international environ 200 états souverains (choix
stratégique, certain pays n’ont pas intérêt à ce que certains deviennent
des états )
Le Tibet, 1951 envahit par la chine donc perte de territoire, et la pop
chinoise se mélange = perte d’état

C) Personne morale
1. Def de personne moral
Une entité juridique mais qui ont la particularité d’être abstraite
Personne morale= rassemblement d’individus ( en principe, car cela peut être
une fondation qui est composé de bien), qui possède une personnalité
juridique distincte de celle des membres qui la composent
Deux catégories de personne morales :
- personnes morales de droit privé (particuliers qui se sont regrouper
pour créer une entité collective)
- personne public créée par des autorités politiques, on peut trouver les
collectivité territoriales et des établissements publics avec un fonction
particulière ( exemple l’université pour instruire, l’état)
Caractéristiques de personnes morales : abstraite mais quand même une
personne juridique (sujet de droit), ont des droit des obligations , soumise au
droit, n’as pas de duré de vie (état existe malgré le temps et les changements
de régimes), on peut avoir des engagement avec des personnes morales qui
sont les mêmes qu’avec une personne physique.

2. Personne moral est souveraine ?


L’état est une personne morale/souveraine. Personne morale sui generis
(unique en son genre) se caractérise par sa permanence.
Une personne souveraine n’est pas soumise au droit, pouvoir supérieur
incontestable = liberté total + il choisit ses compétences et les missions qu’il
veut assumer
L’état est souverain car il choisit ses compétence, il est la « compétence de la
compétence », on attends de lui certaine chose mais peut décider d’y renoncer
= la France a abandonner le franc pour l’euro
Souverain car il crée les lois mais il aussi soumis au droit, il doit le respecter, il
peut être condamné par ses propres tribunaux
L’état est aussi une entité qui exerce la souveraine, n’a pas de compétence
mais choisit ses compétence ce qui est une première difficulté
Souveraineté= pourvoir supérieur, incontestables
Ce qui doivent respecter le droit ce sont les organes de l’état, l’état n’est donc
pas soumis au droit. Les organes de l’état agisse au nom de l’état ainsi l’état
doit respecter le droit
Autre idée, l’état est souverain mais il s’est lui-même auto limité pour que le
droit soit respecté
L’état est donc une personne moral souveraine= oxymore c’est-à-dire
comporte des thermes contradictoires

II- La forme de l’Etat prévu par la constitution


L’ état simple (Etat unitaire) ; L’état complexe (état composé ;état fédéraux) ;
L’état régional (état hybride)

A) L’état unitaire = simple


Ne comporte qu’un ordre juridique. L’essentielle de l’état est exercé par des
instances nationales. Au niveau supérieur des normes, loi national et des
normes secondaire, au niveau locales.
On visait à unifier le droit et ou les normes supérieurs étaient posé au niveau
national.
A la révolution : grands changements mais pas de la formes de l’état = principe
d’indivisibilité de l’état, définit encore à nos jours la forme de l’état français.
Un système qui a une apparence d’efficacité mais qui doit sur le long therme
s’adapter car rencontre des difficultés.
Un système trop décentralisé ne peut pas fonctionner correctement. Quand
l’état a une tel dimension, le gouvernement et son gouvernement central sont
trop éloignées des territoires pour comprendre connaitre les besoins des
habitants. Les infos ne remontent pas suffisamment.
Quand les états sont très grands, il faut pour gérer une administration central
très importante en multipliant les services et les directions.
Cette administration devient difficile à gérer. Elle a donc tendance à voir un
fonctionnement technocratique, elle devient bureaucratique en se créant des
problèmes a elle-même. Elle perd en efficacité et devient couteuse
En France développement de créer de nouveaux organes :

1. La déconcentration
Consiste à avoir des agents de l’état dans les territoires. Préfet, directeur, un
système étatique qui reste unitaire, mais ou le pouvoir du gouvernement va
être en parti confié à des agents de l’état au niveau local.
Ces agents sont subordonnées au gouvernement. Ce système a été
réinventé après la révolution par Napoléon. Les intendants= préfets
Le gouvernement exerce un contrôle hiérarchique sur les autorités
déconcentrés, aucune autonomie. Par ailleurs les pouvoirs sont délégué et
peuvent être repris et les responsabilité peuvent toujours être supprimer ou
modifier, ils n’ont pas un droit acquis. C’est un système qui continu a
perduré et qui es toujours en place en France.
Problème c’est que les citoyens ne peuvent pas intervenir librement doivent
s’adresser à un représentant.

2. La décentralisation
les représentants sont ici des élus, modifie l’état unitaire.
Les collectivités reste sous l’autorité de l’état mais accède a une autonomie.
Un transfert de compétence exercer par les organes de l’état a des
collectivité local qui sont gérer par des autorités élues.
Caractéristiques:
- idée de démocratie locale= légitimité forte et opposable à l’état = les
compétences ont été transférés pas le parlement. Il décide qu’elle
compétence l’état garde. La loi peut récupérer les compétence délègue.

C’est la loi qui organise la décentralisation. Il n’y a pas d’énumération des


compétences à diviser. C’est la loi qui organise les collectivité. Elles n’ont
pas un droit a s’auto organiser.
Puisque c’est la loi qui organise on peut dire que les collectivité n’ont pas le
pouvoir législatif, administration peuvent seulement effectuer un pouvoir
secondaire = pouvoir réglementaire
en France les collectivités n’ont pas le pouvoir législatif parce qu’on est dans
un état unitaire, traditionnellement le pouvoir législatif est rapporter à la
souveraineté
Etat unitaire peut faire les deux, lorsqu’il se décentralise ne fait pas
disparaitre les déconcentration. Les collectivité sont contrôlé dans
un état décentralisé.

B) Etat fédéral = complexe


L’autonomie est une évidence, l’état a été conçue à partir d’une
regroupement de région et l’autonomie de ses régions a perduré. Ces
régions ont perdu leur identité au profit de l’identité fédéral.
en Europe : Allemagne, Autriche, Belgique, suisse
Amérique : états unis, canada, Mexique, argentine
Le fédéralisme ne doit pas être confondu avec une confédération

1. Distinction des deux notions


Confédération : regroupement d’états souverains et elle n’est pas
indépendant par rapport aux états puisqu’elle n’est pas un état malgré
quelle ai des organes de direction.
Les décisions doivent être prisent à l’unanimité, les états possèdent donc un
droit de veto
L’intérêt : respectueux de la souveraineté des états
L’inconvénient : créations d’une entité a faible utilité car elle ne peut pas
mettre en place de décision sans l’autorisation des états membres.
La confédération c’est la première étape avant la création d’un état fédéral.
Diff entre état fédéral et confédération état :
L’état fédéral dispose de la souveraineté et c’est le seul sujet de la
communauté international.
Les états fédéré ont perdu leur souveraineté ce ne sont plus des entités.
Ex états unis, un seul dirigeant Joe Biden et plusieurs états fédéré = autorité
au niveau national.
Dans un état fédéral il y a des compétences type régalienne ( réservée au
niveau national)
Les états fédérés ont rejoint un état sans disparaitre . Les états deviennent
fédéré pour être plus puissant, ou par besoin de protection, ou quand on a
des communauté très différente

2. principes qui régisse l’état fédéral


Autonomie, les état fédéré exercent leurs compétence en toute autonomie.
Ces compétences sont garantie pas la constitution. En cas de litige il y a un
arbitre et cette arbitre doit faire respecter la constitution, doit garantir leur
autonomie et éviter les rapport de force avec l’état fédéral
Chaque entité a son propre ordre juridique, on a un ordre juridique fédéral
et par état fédérés. Chaque états fédéré ont leurs constitution, et au sein de
chaque ordre juridique une structure étatique avec les trois organe
(3pouvoirs). Les états ont pas de président mais un gouverneur, une cours
suprême par Etats
Principe de participation, fait que les états fédéré ont été accepter par
l’état fédéral avec une contrepartie, les états fédéré participent au
fonctionnement de l’état fédéral. Au niveau fédéral, le pouvoir législatif
n’est pas fait indépendamment des états fédéré car généralement une
assemblé représente les états fédéré.
Il faut que cette constitution soit préservé et quelle puissent être modifiable
par l’Etat fédéré sans que les états fédéré soient consultés.
Souvent le principe de participation concerne aussi la modification de la
Constitution. Ex USA, il faut les ¾ des états fédéré pour changer les C.
Entre les deux on trouve des états non fédéraux mais qui ont une habitude
d’autonomie ou la décentralisation n’était pas obligatoire. Donc pas unitaire
ni fédéral.

C) Etat hybride = régional


Il est entre les deux Etats précédent, il ressemble aux deux. Pas fédéral car
les régions n’ont pas un ordre juridique complet, elle ont pas de constitution
mais elles ont toutefois un pouvoir législatif.
Ex des états comme l’Italie ou l’Espagne ont un pouvoir législatif par régions
plus ou moins important, mais ces régions n’ont pas de constitution.
Dans ces états régionaux les compétences des régions ne sont pas
identique, le degré d’autonomie des régions sont différentes, pas
d’uniformité institutionnelle.
Certains doivent s’adapter à certaines problématiques = ex de France avec
la Calédonie
Les relations entre l’état et les régions est en fonction de leur histoire, degré
d’autonomie ressentie pas les états, des réactions au niveau national,
chaque état a une forme qui lui est propre.
Une seule chose ne change pas, la souveraineté, la communauté
internationale ne se préoccupe pas du fonctionnement interne

Section 2 : constitution et souveraineté


Constitution= car c’est la souveraineté qui gère la constitutions donc norme
supérieur
Le peuple, constituant est titulaire de la souveraineté
Pouvoir de l’état l’emporte, sur celui des collectivités territoriales

I- définition de la souveraineté de l’état


A- origine de la souveraineté
organisation hiérarchique, fondée sur un lien personnel entre les membres
de la noblesse
dans le cadre de la féodalité fonctionne avec des contreparties, des liens de
fidélités, liens personnels entre les autorité
nouveau régime fondé sur la monarchie, pouvoir d’un seul , suppose qu’il ait
un pouvoir qui soit supérieur dans un cadre unitaire, pouvoir d’un seul,
incontestable = souveraineté principe de la fin du XVIème siècle pour
défendre la monarchie en période de trouble.
Jean Bodin, dans « les six livres de la république » cherche à définir le
régime idéal avec une préférence pour la monarchie. Admet avoir besoin
d’une puissance de commandement particulier efficace et légitime et que
pour que celui-ci s’impose il doit être incontestable et indivisible
La souveraineté avant l’état, on va chercher à institutionnaliser le pouvoir, le
roi n’est pas propriétaire de ce pouvoir, pas pour des raisons personnel, il le
fait au nom d’une entité abstraite. On exerce le pouvoir car on détient une
légitimité, il faut démontrer qu’il y a une communauté qui rassemble tous
les individus.

B- caractéristique de la souveraineté
un pouvoir : suprême, pouvoir parfait, incontestable, indivisible on le
partage pas, légitimité supposé.
 Pouvoir suprême : le souverain exerce un pouvoir supérieur, le souverain
est celui qui dispose d’un monopole pour l’édiction des règles juridique
supérieures qui est la constitution. Le contenu de ces règles est choisi par
le souverain, il n’est pas limiter dans son action.

 Pouvoir incontestable, le souverain n’a pas de conte à rendre et ne peut


être sanctionner pour ses décisions, il n’est pas responsable de ses actes, il
est délié des lois, il peut donc éditer des lois. Ne supporte pas les contres
pouvoirs et s’oppose à la séparation des pouvoirs. Puisque la nation est
souveraines ses décisions en son nom ne peuvent être contesté, ses
représentants adopte des lois incontestable. En France, pendant
longtemps pas de contrôle de la constitution au nom de la souveraineté

 Légitimité supposé (= porte sur l’impression d’une autorité à distinguer de


la légalité (=respect de la liberté des normes), c’est la CONFIANCE qu’on a
d’une personne ou d’une autorité), il faut accepter le pouvoir
incontestable. La question de la légitimité et la souveraineté est savoir si
on doit toujours obéir au souverain même si on a plus confiance en lui
« est ce qu’on a un droit de résistance à l’oppression ».

Il faut partir de l’idée que la légitimité est supposer et qu’il faut obéir au
souverain . ROUSSEAU, il faut un contrat social pour ne pas être en état de
nature, il propose pour que le souverain soit légitime que le souverain soit
collectif ( le peuple c’est nous, donc on va pas se faire de mal )

 pouvoir est indivisible, selon Jean Bodin car c’est une puissance de
commandement et pour qu’il soit efficace il faut nécessairement qu’un
seul titulaire de la souveraineté pour efficacité

A la Révolution, le souverain c’est la nation, on garde donc un souverain


La souveraineté = « souveraineté est une, indivisible, inaliénable et
imprescriptible », le titulaire de la souveraineté selon certain ne doit pas
être représenté par un gouvernement, on estime que le pouvoir est alors
émietté
Le souverain va maitriser un territoire grâce à des compétences régalienne

C- l’exercice de compétences.
1. Compétences régaliennes
Régalienne = se rapporte au roi, les compétence que le roi étaient le seul
à exercer. Plus simple, des compétences réserver à la souveraineté.

Pas de liste de compétence officielle sauf une, pouvoir normatif, pouvoir


de faire les loi, dans le but de réguler la société. = pouvoir supérieur,
législatif

Monopole de la loi est vraiment la compétence de la souveraineté, les


autres compétences sont aussi lié aux lois et aux règles

Aujourd’hui encore, le peuple est souverain et donc doit prendre des


décisions supérieur comme adopter la constitution par référendum.
La loi est différente du règlement car la loi est issue de la souveraineté
Pour qu’un état sois souverain il faut qu’il soit indépendant des autres
état :

- Le pouvoir judiciaire doit être exercé par le souverain, autorité organiser


et constituer par l’état mais si la justice est indépendante
- Tout ce qui concerne la défense ou la sécurité
- La monnaie, ce fut le cas en France jusqu’à 1992

Cette liste relève d’un constat à travers les époques, certaines compétences se
devaient d’être fait par le souverain.
Au XXème, on s’est rendu compte que toute les compétences sont essentielles
pour qu’un état soit souverain. L’armé, l’économie, la monnaie, la santé du
peuple, l’enseignement. Cependant les compétences régalienne évoluent
certaines deviennent moins importantes tel que la monnaie
2. Compétence de la compétence, le pouvoir de choisir sa compétence
Le titulaire de la souveraineté se donne lui-même ses compétences
La politique monétaire transféré a la commission européenne, c’est une choix
de l’état
L’état a décider de se développer sur le plan de l’environnement car c’est une
préoccupation essentielle, en adoptant une charte de l’environnement
Le souverain peut renoncer a ses compétence régalienne tout en restant un
état. L’état peut s’autolimiter mais reste il souverain ?
Certain estime que l’Etat serai en danger. En rejoignant un autre état souverain
peur de perdre le sentiment national. ( Jean Marie Lepen)
Il faut que la souveraineté exerce une vrai puissance sinon ca ne sert à rien.
On a tout de même le conseil constitutionnel qui peut intervenir et dire si c’est
conforme à la constitution.
 Il a été saisit par la président Mitterrand pour le traité de Maastricht pour
la monnaie (1992), pour rejoindre une citoyenneté européenne et prévois
la création de l’euro. Il va donc falloir faire une révision de la constitution
et donc consulter le conseille
9 avril 1992, la constitution dans sa décision « Maastricht 1 » estime que ce
traité n’est pas conventionnel a la constitution et qu’il faut soit réviser la
constitution ou ne être ratifier l’union européenne
Le 25 juin 1992, modification de la constitution, introduction du titre 15 qui
porte sur l’union européenne, consacre la participation de la France dans l’UE.
Les souverainistes sont inquiets, il défende la souveraineté de l’état. Ils vont
saisir le conseil constitutionnel en défendant que la loi ne respecte pas la
constitution car elle ne respecte pas la souveraineté qui devrait appartenir au
peuple. Ils ont peurs qu’on renonce a des compétences essentielles
Le conseille constitutionnel dans sa décision du 2 septembre 1992, a considéré
que le pouvoir constituant peut modifier la Constitution librement. Avec cette
décision la théorie de l’autolimitation est appliqué. Le souverain peut renoncer
à lui-même si il le désire.
Pour que la souveraineté soit efficace il est peut être préférable qu’elle soit
partagé pour qu’elle soit plus forte, exemple la monnaie peut être plus efficace
au niveau européen

D- la souveraineté des états peut-elle être partagé ?


réponse des théoriciens: NON, car c’est une puissance de commandement qui
serait affaiblit
sauf que les état ressentent le besoin de partager leur souveraineté, en
prenant des engagements internationaux , transfert des compétences a des
compétences internationaux ou a des régions en leur sein
1. Partage de la souveraineté avec l’UE ?
Est-ce que les états de l’UE partage leur souveraineté avec celle-ci ?
Oui et non, des arguments pour les deux.
NON : l’UE n’est pas un Etat par nature, c’est une organisation internationale
qui ressemble a un état.
La cour de justice de l’UE affirme que l’UE ne peut pas rejoindre la convention
européenne des droit de l’homme car seulement les états le peuvent.
Des compétences lui sont attribuées, elle ne peut pas les choisir = une
compétence d’attribution. La compétence de droit commun est celle des états
membres qui lui ont été attribué. L’UE n’exerce pas de compétences régalienne
à l’exception de la politique monétaire.
L’UE respecte les compétences des états membres.
Est-ce qu’il existe une nation européenne ?
d’après les traités la réponse est non, on se réfère plus à un peuple européen.
En sens contraire, il ne faut pas s’arrêter au compétence, une entité souveraine
est se qui dispose d’une puissance économique
L’activité économique au sein de l’union est en partit soumise à des règles
européennes parce que des compétences en la matière ont été transféré à
l’union. Il y a l’organisation du marché commun, des travailleurs, le droit de la
concurrence sous les règles de l’UE, des politique particulière pour l’agriculture
et la pêche.  La puissance économique est dépendante de règles prise en
commun.
Le droit européen prévoit que les règles européennes doivent prévaloir sur les
règles nationales = situation de dépendance
OUI : D’un point de vue juridique, les états restent souverain mais il y a une
volonté de mettre une part de la puissance étatique en commun pour être plus
forts ensemble.

2. Partage avec la nouvelle Calédonie ?


Relation compliqué entre l’Etat et ses région
France : état unitaire, les région on un pouvoir politique très limité
Sauf qu’il y a des régions dans des circonstances particulières. Comme la
Nouvelle Calédonie qui est très loin de la France métropolitaine.
 Sentiment d’indépendance très accentué dans les années 80
Débouche aux accords de Matignon (1988) et accords des Nouméa de mai
1998, qui prévoit une casi indépendance de la Calédonie
20 juillet 1998 nouvelle loi constitutionnelle qui rajoute le titre 13
« disposition transitoires relatives à la nouvelle- Calédonie », c’est-à-dire
que dès l’indépendance de la nouvelle Calédonie ce titre disparaitra, des compétences de
l’états seront transférer de façon définitive aux institutions de la nouvelle Calédonie, et ses
habitants auront la pleine souveraineté.
La constitution prévoit 3 référendums sur la question de cette indépendance
Loi organique du 19 mars 1999, sur la nouvelle Calédonie, lui accorde un pouvoir législatif,
elle peut adopter des lois du pays
La nouvelle Calédonie n’est pas un état, c’est une région française et les compétences
régaliennes ne sont pas appliquées à la nouvelle Calédonie Néanmoins, des compétences
essentielles transférés tel que l’accès au travail, le commerce, la protection social,
l’enseignement
Ce choix fait pour préparer l’indépendance de la nouvelle Calédonie
4 nov. 2018 : referendum négatif, ils ne veulent pas l’indépendance 56%
2eme : toujours non à 53 %
3eme : non à 96,5% mais pas de participation de tous (43% de votant), les indépendantiste
savaient qu’il allait perdre et ne sont pas aller voter
Macron a considéré que le processus était clos et donc reste française
Des négociations sur le statut encore en négociations, qui concerne aussi la corse et
d’autres entités.

II/ souveraineté dans l’état


la constitution mentionne qui a la souveraineté : un roi, un empereur, une entité collective
comme la nation ou ca peut être le peuple

A) Le titulaire désigné de la souveraineté


De manière contemporaine c’est la nation ou le peuple.
Or chez les constitutionnalistes des théories différentes

1. Distinction entre la nation et le peuple


Raymond Carré Malberg a opposé le peuple et la nation
Il présente ses notions par la différence de composition entre le peuple et la nation
Pour lui le peuple est une réunion d’individue. La plus simple a voir, comme une personne
réel. Réunion de citoyens comme personne physique. Le peuple peut se réunir. Problème,
il est constitué de volonté individuelles
Nation caractère abstrait, une entité abstrait, comprends la succession ininterrompue des
générations présente et futur
La souveraineté national appartient au peuple.
2. Conséquence historique
Les théories de la souveraineté national et de souveraineté populaire
Théorie de la souveraineté national : basé sur l’idee qu’il faut faire parler l’entité de
nation qui pourtant ne peut pas parler d’elle-même
Il faut que les représentant soient doué d’une grand raison et qu’ils aient des qualité
particulière.
C’est une théorie élitiste car être représentant et les choisir se sont des fonctions qui
implique des qualités particulières et qui ne sont pas donné a tout le monde
la souveraineté est une fonction et pas un droit
la souveraineté national répond à trois aspects :
- Le régime est toujours représentatif, pas de référendum uniquement représentatif
- L’institution la plus importante est le parlement
- Le suffrage peut être restreint, il pouvait être capacitaire qui limite le droit de vote
aux personnes cultivées et ou pouvait être censitaire (citoyenneté réservé aux
personnes les plus riches)
Les élues n’ont pas de compte à rendre aux citoyens sur leurs décisions car ils sont mieux
placé qu’eux pour exprimer la volonté de la nation. Le mandats impératif est prohibé
( mandat qui oblige les représentant a respecter leurs promesse de campagne)
Théorie de la souveraineté populaire : le souverain c’est le peuple, tel que le présente
jean jaque Rousseau Chaque citoyen possédaient une partielle de la souveraineté.
Le suffrages doit être universelle, tous les citoyens doivent pouvoir voter . Met en avant
la démocratie directe. Tous les citoyens peuvent choisir les lois, proposé les lois puis
contrôler les élus.

3. La traduction constitutionnelle de ces théories


Traduit fidèlement, les 2 constitutions
3sept 1791, constitution = début de la révolution, la souveraineté appartient à la nation,
régime représentatif et la nation a deux représentants, le corps législatif et le roi en mode
représentant de la nation. Le suffrage est censitaire, tous les français n’ont pas le droit
d’être citoyens.
Parmi les citoyens il y a les passif et actif :
- Passif, paye un impôts, un peu d’argent ( élise les représentants)
- Actif, beaucoup d’argent et ont des biens foncier ( son représentant)
Le mandat impératif est prohibé, les citoyens ne peuvent pas imposer au corps législatif
ou au roi.

Constitution montagnarde (24 juin 1793) : importante car première fois que la
république est proclamée, elle a marqué les esprits mais n’a pas été adopté.
La souveraineté réside dans le peuple, le suffrage censitaire est exclue et tous les
citoyens sont égaux pour participer. Les élus sont juste des porte-paroles et la
constitution essaye d’organiser la démocratie direct
Conception de l’assemblé primaire, le pays décomposé en assemblé par régions ainsi les
citoyens se réunissaient par assemblées.
leur rôle :
- choisir les députés du corps législatif.
- Contrôler ce que le corps législatif faisait.

1/10 des assemblées primaire s’opposent à une lois du corps législatif = un


référendum devait être organisé

Régimes orientés vers la souveraineté nationale :


- Constitution de l’an III du directoire (1795 à 1799)
- Charte constitutionnelle de (1830-1848)
- III e république (1875- 1970)
Régime orientés vers la souveraineté populaire :
- Régime de Napoléon ( 1799 à 1814)
- Régime de Napoléon III
- IIe république ( proclame le suffrage universel)
Les deux théories n’ont pas été appliqué.
Carré de Malberg= prof qui est élu par le parlement de la IIIème rep
Rédacteur de la constitution de 1946, veulent que ce soit le peuple qui a la souveraineté.
Débat en 1946, formule de compromis: « la souveraineté nationale appartient au peuple
français »
Au fil du temps l’entité qui a fini par s’imposer c’est le peuple. Le mot nation est utiliser
mais beaucoup moins. Ce qui ne veut pas dire que la théorie de la souveraineté
populaire est respecté.

B/ Le peuple composé de citoyens


Citoyens= membre de la communauté politique, tout le monde n’a pas la citoyenneté
Citoyenneté= participe à la vie publique et exerce des droits politiques. Dans les régimes
représentatifs, son rôle est de choisir des représentant qui vont prendre des décisions au
nom du souverain
Art 6 de la DDHC « la loi est la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir
personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation »
Il participe à la vie car membre de la communauté politique, il peut avoir d’autre utilité
comme dans le domaine judiciaire (jury d’assise).

1. Des qualité évolutives


Il y a plusieurs qualité : l’Age, le sexe, patrimoine, nationalité…
Les militaires ne pouvaient pas intervenir à la vie politique
- L’Age, il faut avoir 18 ans pour pouvoir voter et pour être élu. Lié à la capacité civile,
obtenue à la majorité. Corrélation entre capacité civil (être responsable de ses actes)
et citoyenneté
- Le sexe : le droit de vote des femmes relativement récent. 1848, instauration du
suffrage universel et ne concerne pas les femmes. Les femmes mariées n’avaient pas
la capacité juridique. La citoyenneté était liés à l’armé.

Depuis 1944, elle participe aux élections mais en très faible nombre malgré
l’autorisation. La loi doit prévoir des mécanisme de correction pour forcer l’évolution.
Loi constitutionnelle du 8 juillet 1999, a prévu la parité pour les scrutin de liste.
On ne pourras pas proposer une liste électoral si il n’y a pas autant d’homme que de
femme

On constate une modification des assemblé , notamment local devenu paritaire, les
conseils municipaux qui sont devenu paritaire. De même pour les élections
législatives

1999, on a décidé d’autoriser le législateur a corriger la législation, donc le droit de se


présenter, d’éligibilités, droit encadrer, on se présente si on en a envie et avec qui on
veut et la composition de la liste  la parité apparait alors comme une contrainte

B) Le patrimoine et imposition
Être citoyens  passe par le patrimoine, richesse attesté par l’impôts
Ces citoyens n’ont pas accès à l’info car ne savaient pas lire. Soit on lit les nouvelles soit on
se les fait rapporter (patron, maire…) . Ces sources sont limité donc en état de dépendance
attendre les infos des autres
On en déduis que le droit de vote est réserve a ceux qui peuvent lire puisque sinon c’est
juste la parole du rapporteur = suffrage censitaire, réserve le droit de vote au personnes
qui dispose d’un patrimoine et qui paye des impôts.
1791, on distingue les citoyens actifs et les citoyens passifs, les passifs ne paye pas
d’impôts et donc n’ont pas de responsabilité
1795, constituions maintient le suffrage censitaire
Napoléon restitue le suffrage universel
1814, suffrage censitaire est restauré et les montant pour voter deviennent extrêmement
élevé
Sous la restauration = 300 franc pour voter et 1000 pour se présenter
Charte de louis Phillip va baisser
Suffrage censitaire jusqu’à décret du 5 mars 1848, masculin de tout catégorie social repris
dans la constitution. 1homme= une voix sans condition autre.

1. La nationalité
Le droit de vote et d’éligibilité est réserver aux nationaux car font partis d’une
communauté politique national.
On considère que seul cette communauté peut prendre des décisions au nom de cette
communauté. Les étrangers qui n’en font pas partie n’ont pas accès à la citoyenneté.
En France, cette distinction est fait à l’art 3 de constitution. sont électeurs tous les
nationaux français, majeur et des deux sexes
Certains états ont donné le droit de vote municipal aux étranger : Irlande, suède,
Danemark… si on réside dans ce pays un certain temps
Dans d’autre pays accorde aussi sous réserve de réciprocité ( que les états accorde la
même chose pour les étranger issue de ce pays)= respect entre état.
Droit de vote des étrangers n’est jamais pour les élections national lié à la souveraineté
Il y a d’autres états qui n’accorde pas le droit de vote aux étrangers même municipal. (all,
Pologne…)
Citoyen de l’union s’ajoute à la citoyenne national et ne la remplace pas « est citoyen de
l’union toute personne ayant le nationalité d’une état membre »
Tous les ressortissants communautaires peuvent voter aux élection municipales quelques
soit leurs de lieux de résidences

2. Egalite des citoyens


DDHC « la loi doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous
les citoyens étant égaux à ses yeux… »
Les citoyens ne peuvent avoir de statut particulier sous prétexte qu’ils ne sont pas
singulier, ils sont donc indifférencié
Le juge constitutionnel défend les principe de citoyens avec une grand vigueur, ce qui
implique une révision de la constitution ou parfois une interprétation pragmatique du
principe d’égalité.
Conseil constitutionnel attaché au fait que les citoyens n’aient pas de droit particulier qui
vit sur une territoire particulier

A) Non reconnaissance d’un peuple corse


En droit international quand on reconnait l’existence d’un peuple, on lui reconnait le
droit de choisir sa situation
Le conseille constitution du 9 mai 1991 à refuser « le peuple français, composé de tous
les citoyens français sans distinction d’origine, de race ou de religion »

B) La non reconnaissance des minorités linguistiques


Charte européenne sur les langues régionales ou minoritaires contraire à la constitution
 protéger les minorités linguistique.
La France ne se sent pas concerné. En tout cas pas entièrement. La charter doit-elle être
ratifie ? (Ratifier pour l’adopter)
Chirac a signé seulement en 1999, il a saisi le conseil constitutionnel pour voir si la France
pouvais ratifier la charte et le conseil en 1999 15juin a répondu NON.
Lien entre langue national et régional va contre :
- indivisibilité de la république
- égalité devant la loi
- Unicité du peuple français
- utiliser les langues national dans les services publics
Puisqu’on peut pas ratifier la charte, alors on doit réviser la constitution. Il n’y a pas eu
d’empressement pour ratifier la charte et après établir une langue régional. Une langue
corse et des autres régions…

Titre II : le pouvoir objet de la constitution


Un pouvoir politique= pouvoir de domination sur la communauté nationale. La Constitution
va apporter des précisions sur la nature et l’organisation de ce pouvoir, elle le fait en
apportant trois types de précisions

Chapitre 1 Régime et forme du gouvernement


Constitution précise le type de gouvernement et explique si ce régime est celui d’une
république, d’une monarchie d’un empire

I/ République démocratique
A) La république = concept abstrait
La RES publica renvoi aux affaires public = affaire public et communauté publique, on
peut lui donner la définition de pouvoir du peuple
Le mot république a une signification orienté vers la nature du régime, à partir du 19 -
ème siècle, on cherche à défendre l’idée d’un pouvoir collectif qui s’oppose au pouvoir
concentré
On défend la république contre l’impérialisme et la monarchisme. On défend des valeurs
collectives que l’on va appeler républicaine que l’on va chercher à imposer

B) La démocratie
Le peuple exerce le pouvoir, il prend les décision en insistant sur l’égalité des citoyens avec
les même droits politiques
- Démocratie directive= Ideal, les citoyens prennent les décisions directement quand il
se ressemble
- Représentative = intervention de représentants, au nom des citoyens
- semi direct= un peu des deux, avec des représentant mais aussi des référendum
(suisse)
- participative= c’est de la démocratie représentative mais les représentants vont
consultés les représentants en essayant de légitimé la décision par la participation
des citoyens
Les citoyens sont alors maitres de leur destin
Pour une démocratie représentative, il faut des élections et que les élus ne saqua part pas le
pouvoir et que le pouvoir ne leur échappe pas sinon c’est une démocrature (démocratie et
dictature à la fois)
Il faut des garanties que les représentants ne garde pas le monopole du pouvoir, ce qui peux
être des garantie électoral (suffrage secret, que les élections soient libres) il faut aussi que
les citoyens disposent de droits et de libertés pour qu’il y ai une discussion au moment des
élections entre les citoyens. Dispose de la liberté d’opinion, liberté collective tel que réunion
et cela pour que le débat puisse avoir lieux = démocratie libéral.

II/ crise des démocraties


Le régime le plus naturel= la démocratie, le peuple choisit les lois qu’il se donne
La démocratie est un régime compliqué, vouloir faire ressortir la volonté général garde une
part de fiction ce qui est compliqué.
D’autres critiques tel que l’efficacités, en remettant en cause la démocratie on souligne que
l’autorité n’est pas assez représenté et puissant puisqu’il y a les discutions. Ce qui a conduit
à chaque fois à appeler une homme plus fort.
Démocratie = tendance à l’installation des élus autour du pouvoir, tendance à la
professionnalisation des élus, profiter du manque de connaissance du peuple pour
manipuler électeurs = encourage la démagogie
Critique aussi le populisme= se présenter comme étant le représentant du peuple mais en
remettant ses fautes sur une seule part de la société
Alexie de Tocqueville : était persuader que la démocratie allait s’imposer ( 19e), en analysant
le modèle américain, ce qui tient à une passion de l’égalité (tire la société vers le bas car on
s’attaque à tous ceux qui ont un privilège.
Il y a des critiques plus contemporaine : nos démocraties ont encouragé l’individualisme et le
problème c’est que les individues se replis sur eux même et ce qui importe c’est leur
bonheur individuel et on place au-dessus la défense de causes individuel plutôt que les
causes général  donc ne peut plus fonctionner correctement
SOLLUTION : les problèmes vont continuer et se sera toujours une fiction, tel que la
démocratie directe ( se réunissent et vote à main lever)

Chapitre 2 L’institution des autorités politiques


Section 1 : l’organisation et le fonctionnement des institutions
I/ l’objet institutionnel de la constitution (le contenu)
La constitutions crée les principaux pouvoir politique, elle institue les autorités politiques,
elle va prévoir leur mode de désignation et détermine leur compétence, doit désigner les
rapports, les relations entre les autorités une sorte de système dans lequel le pouvoir est
organiser et le fait en expliquant quelle sont les prérogatives de chacun

Paragraphe 2, l’objet institutionnel complété par d’autre normes


A) le renvoie des textes
beaucoup de texte relatif au fonctionnement des institutions qui n’ont pas de valeur
constitutionnelle car la constitution renvoie à des textes d’un niveau inférieur
en France, la constitution est complétée par des lois organiques adopté par des lois
ordinaires. Tel que le mode de scrutin pour les élections législatives est prévu par une loi
ordinaire. Ainsi que les règlements des assemblées parlementaire
pas tous écrit dans la Constitution car peuvent être rigides ou semi rigides, donc pas modifier
simplement = on prend le risque qu’on ne puisse pas la modifier
de plus la constitution doit pouvoir être facile termes technique, elle doit rester solennelle et
symbolique

B) complété par des coutumes constitutionnelles


coutumes = règles non écrite, considérées comme obligatoire, résultant d’une pratique
constante ou significative  UK
le droit constitutionnel laisse peu de place à la coutume
Aux USA= ce qui n’est pas interdit par la Constitution est autorisé
ex : les mandats de 4ans pas plus de 2 fois élus sinon accapare le pouvoir. Si, le président
demande que le 1er ministre démissionne, il est obligé, pourtant la Constitution ne prévoit
pas ce pouvoir au président
Dans les pays de traditions écrite, la coutume a une place très réduite

Section 2 : les modes d’accès au pouvoir


Constitution précise comment les autorité politique sont désignées, précises si elles sont élu
ou nommé (ex le 1er ministre est nommé)
Elles sont nommées par les membres qui ont été élus
Dans la constitution il y a deux question : suffrage direct ou indirect ; mode de scrutin
majoritaire ou proportionnel

Paragraphe 1 : suffrage direct ou indirect


Choix fait dans la constitution qui porte sur la légitimité des élues, ils peuvent être considère
par les pays car il donne de la légitimité à l’élu

A) légitimité de l’élu désigné de façon direct


le suffrage direct confère plus de légitimité aux élues désigné directement par les
citoyens car idée qu’il y a un choix et un liens direct. Dans certains pays on le favorise
pour les principale autorité
EX : en France 1958, pas prévu que le président soit un président direct avant élu par des
représentants du peuple mais en 1962, élu au suffrage universel direct
Député= élu au suffrage universel direct, les sénateur au suffrage universel indirect

B) légitimité de l’élu désigné indirectement (suffrage universel indirect)


légitimité moins affirmé, ce n’est pas systématique, lorsque certaines compétences lui
sont attribuer il peut avoir une forte légitimité
dans les collectivités territoriales = élu joue un rôle essentiel = le maire ou le président de
la région département. Elu au suffrage universel indirect = les citoyens élise des listes de
conseiller. Les listes élise leurs représentants. Cette élection indirect ne pénalise pas leur
légitimité car ils sont désignés dès le début lors de présentation des listes.
Aux USA, président élu au suffrage universel indirect pour respecter la nature fédéral des
états unis = leur ADN, doit être le présidents des ETAT unis, avec une représentation
marque des états
Toute l’organisation des choix des parties se fait dans le cadre fédéral. Chaque partit
(démocrate et républicain) va sélectionner son candidat. Et ce choix se fait au saint des
états fédérés. (élections primaire).
Etape 2, début novembre, ont appelle a voté et pour voter pour des grands électeurs qui
vont ensuite élire le président américain.
A l’issue des sélections les parties se réunissent et élise leur représentant. Les états n’ont
pas le même nombre de grand électeur. Si un état est important avec beaucoup de
population elle désigne plus de grands électeurs. Si un candidat gagne un état. Il gagne
tous les grands électeurs d’un même état. EX Californie 55 contre Montana 3.

Paragraphe 2 : le mode de scrutin


= modalité de l’élections et peut être définie comme étant un mode de calcul qui déclare
les candidats vainqueurs
Deux système : majoritaire ou proportionnel = le choix à des conséquences sur l’élection

A) scrutin majoritaire
1. Objectif
Simplicité, clarté, efficacité, mode de scrutin simple du mode calcule.
Candidats élu est celui qui a le plus de voix, il favorise l’existence de majorité au sein de
l’assemble et les principal formation politique
Les électeurs cherchent à voter utiles, voter pour quelqu’un qui a une chance d’être élu,
avec donc une plus grande formation politique  a la majorité
Question qui a bcp préoccuper les constitutionnaliste sur le régime français. Notre histoire
constitutionnel longue expérience du scrutin proportionnel. Sou la Vème on a favorise le
scrutin majoritaire à l’assemblée
Le problème c’est qu’il déforme l’opinion public. Défavorise les petit partit et sur valorise les
principales formations politiques

Chapitre 3 La constitution opposée à l’exercice abstraite du pouvoir.

Le mode de scrutin influence sur la légitimité des élus. (Scrutin majoritaire = des majorité
dans les élus)

Le mode de scrutin majoritaire a 1 ou 2 tours.

A 1 un tour = scrutin direct/ brutal. Car immédiatement la personne en tête est élu.

Tendance des électeurs de voter utile, pour influencer le plus les élections, en renonçant ses
convictions. = système à l’anglaise pour l’élection des députés, dans la chambre des
communes (2 camps au RU = conservatisme / travailliste).
A chaque élection l’un des deux parties l’emporter = système bipartisme

Distingue bien la majorité de l’opposition et donne un statue à l’opposition. La majorité et


l’opposition dialogue

Inconvénient = représentativité de la société. Les petit partis = peu représenté

Le mode de scrutin majoritaire à 2 tours =

l’avantage que les électeurs votent en fonction de leur préférence partisane au 1 er tour. Le
résultat n’est pas décisif car 2e tours après.

Au 2e tours on vote utile. Souvent de façon négative pour le candidat que l’on ne veut pas.

B La représentation proportionnel

On attribue un nombre de sièges qui correspond au pourcentage de voix obtenues. Fait avec
des listes. Si un partie à 25 des voix = il aura 25 % de sièges = équitable

Toute les formation politique ont une représentation = image fidèle du corps électoral, ne
fait pas disparaître les petits partis politiques. Mode de scrutin assure les carrières
politiques.

Inconvénient = objectif n’est pas de faire une majorité à l’assemblé. Rare qu’une majorité
l’emporte avec ce mode de scrutin. Souvent des majorité de coalition. 2 formations
politiques qui s’entende pour former une majorité et soutenir un gouvernement.

4e repu = scrutin proportionnelle sans majorité, il fallait établir des alliances (souvent
bancales) mais change de scrutin pour mettre fin a l’instabilité politique.

5e repu =scrutin majoritaire

D’autre choix de scrutin car possibilité de combiner

C La combinaison des modes de scrutins

Mode de scrutin mixte qui concerne les élections législatives en Allemagne. Vote à la fois
pour un député et aussi pour une liste. Les citoyens allemand ont une double voix.

1 choix pour un député avec un scrutin majoritaire a un tour ; 1 choix pour désigner une liste
à la proportionnelle

Majoritaire et proportionnelle. Ce qui compte c’est que tous les partie doivent être
représenter à la proportionnelle. Donc le nombre de députés varie et dépend du calcul du
scrutin.
A permis au CDU et SPD d’avoir la majorité avec des alliances. Depuis quelque années le
système connaît des problèmes comme tous les pays euro, permis la monté en puissance
des petit parties

Le mode de scrutin proportionnelle avec une prime majoritaire. La liste en tête, est plus de
siège. On peut lui donner immédiatement la majorité au sein du conseil. Rajouter 1/4 des
sièges. On peut aussi envisager que le mode de scrutin soit majoritaire ou proportionnel en
fonction de la taille de la circonscription.  éviter que le pouvoir confier au dirigeant soit
abusif.

Au 18e s quand les C sont élaboré, on cherche à entraver la monarchie absolue et protéger
les droits élémentaires des sujet (plus tard =citoyens) pour que les règle de droit ne leurs
soient pas défavorable.

Le constitutionnalisme au 18e s va chercher a limité le pouvoir politique en instaurant une


nouvelle forme de gouvernement. Conçu dans cette perspective, écrite pour graver dans le
marbres les limites au pouvoir. Pour opposer les pouvoirs du roi. Elles doivent consacrer et
garantir des droits. Et doivent séparer les pouvoirs pour qu’une autorité qui exerce un
pouvoir absolue.

Formule art 16 de la DDHC, « Toute société dans laquelle la garanti des droits n’est pas
assurée, ni la séparations des Pouvoirs déterminée n’a point de Constitution »

Section 1 : La garantie des Droits

Suppose que des droit soient inscrit dans la C, suppose aussi qu’il y ai des autorité chargé de
protéger ces droits

Paragraphe 1 : Une charte des droits et libertés.

Ses droit et liberté= droit fondamentaux, on peut leur porter atteintes Inscrit dans la C
( norme supérieur), pour permettre aux citoyens de garder une liberté face au pouvoir
politique. Ce sont eux qui ont le pouvoir suprême, ils donnent le pouvoir mais reste
souverain en contrepartie. Ce pouvoir institué ne doit jamais touché au droit inscrit dans la
C. Les droit et liberté ne sont pas neutre selon les partis politique.

Ils faut aussi des organes chargé de défendre les D fondamentaux. C’est une condition à
l’état de droit. (état ou les droit est libertés sont consacré dans une normes supérieure (C) et
protéger par des instances indépendantes du pouvoir politique)

Plusieurs catégories chargés de défendre les droit fondamentaux

- Le juge constitutionnelles, du Conseil constitutionnelle, il veille au maintien et


défense des droit et libertés.
- Le juge ordinaires chargé de défendre ses droits.
- Le juge judiciaire, art 66 « L’autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle,
assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi ».
- D’autres autorités indépendantes chargés de défendre ces droits et libertés.
- Le défenseur des droits « veille au respect des droits et libertés » par les
administrations (art 71-1 de la c), il a une grande liberté d’intervention. Autorité de
médiation. Avantage = il peut conseiller pour défendre les droits, peut intervenir
direct pour faire avancer un dossier.

Section 2 : La séparation des pouvoirs

Dès le 18e s, on ressent le besoin de légitimer le pouvoir. Les C organise la séparation des
pouvoirs.

Paragraphe 1 : définition du principe

Pour les philosophe, il faut séparer les 3 grandes fonctions = législative (faire la loi),
exécutive (appliquer la loi et administrer le pays), judiciaire (juger). Cet objectif important, ils
voulaient modérer le pouvoir, pas l’arrêt de tous liens entre pouvoirs.

Montesquieu = siècle des lumières, idée de séparer les pouvoirs. Dissocie, le législatif,
exécutif, le judiciaire pour lutter contre l’absolutisme. Pas pour viser le roi mais en générale
toute autorité politique. Réflexion négative sur la nature humaine. «Tout homme qui a du
pouvoir est tenté d’en abuser».

Autre citation « Tout serait perdu si le même homme, ou le même corps des principaux, ou
des nobles, ou du peuple, exerçaient, ces trois pouvoirs »

Il préconise « pour que l’on ne puisse pas abuser du pouvoir il faut que par la disposition des
choses le pouvoir arrête le pouvoir ». Chez Montesquieu volonté de modérer le pouvoir. Il
ne préconise pas une séparation rigoureuse ou une paralysie de l’état avec 3 pouvoirs
totalement indépendant sans relation entre eux. Il faut que l’exécutif est un lien pour que
l’exécutif accepte les lois. Le juge doit se contenter de faire appliquer la loi en toute
indépendance, mais nécessairement un lien entre 2 pouvoirs. La séparation doit modérer le
pouvoir et impliquer une collaboration entre eux.

John Locke = Il faut que la parlement exerce la fonction législative. Lui dissocie 3 pouvoirs,
Législatif exécutif et fédératif.

Paragraphe 2 : les modalités de la séparation des pouvoirs.

Les autorités, législative, exécutif et judicaires, doivent être indépendante les uns des autres
et doivent exercer des fonctions différentes et donc doivent être spécialisées

Il ne peut pas y avoir d’indépendance absolue entre les trois pouvoirs pour 2 raisons :

- Les fonctions se rapportes toute à la fonction législative (juge assure que la loi est
respecté, l’exécutif applique la loi)
- Un états avec trois pouvoirs trop indépendants, il risquerait la paralysie
 Carre de malberg : impossible indépendance des pouvoir

Régime politique : là ou il y a une séparation des pouvoirs, avec une indépendance plus ou
moins accentué. Les états s’organisent, certains prône la séparation, d’autre favorise
l’entraide

A) Le régime présidentiel

1. Les principes de la séparation des pouvoirs

Les trois pouvoirs sont indépendants, chaque pouvoir doit être spécialisé, et ont une
fonction prédéterminé

Le pouvoir législatif à l’initiative de la loi en discutant et votant la loi. L’exécutif se contente


d’exécuter la loi mais également d’administrer la loi

Le pouvoir judiciaire doit pouvoir trancher les litiges en tout indépendance, et doit se
contenter d’appliquer les loi sans en discuter

Pour qu’ils soient indépendant, ils doivent avoir leur propre légitimité politique, et ne
doivent pas se nommer les uns les autres ni se renverser

L’élection, le président est élue, les membre du gouvernement et les magistrats aussi

Question terminologique : Therme présidentiel donc le pouvoir le plus important devrait


être celui du président or les trois pouvoirs sont indépendants.

Dans certains pays, on élit les président au suffrage universel direct, mais ou la séparation
des pouvoirs n’est pas essentiellement visible. (distinction entre les deux types de régime)

Au milieux du XIXème, les concepts se discutent. Les états euro se calques sur le modèle du
R.U. Le parlement est un organe qui s’impose. Les pouvoirs sont organisés autour de cette
organe. Sauf que les constitutionnalistes se rende compte que les USA ne prennent pas le
même schéma, le président monte en puissance tel que le président Lincoln. Constat au
XIXème, accepte qu’un acteur ait plus de pouvoirs.

2. Modèle présidentiel américain

a) Les modalité de la séparation des pouvoirs

Séparation très accentué des pouvoir aux états unis qui se caractérise en 5points :

- Aucun pouvoir ne peux faire disparaitre l’autre, pas de capaciter de destruction ni


de neutraliser même quand la confiance est rompu entre les pouvoirs, le président
n’a pas de pouvoir de dissolution de la chambre des représentants et celle si ne peut
renverser l’exécutif
- Le président représente l’état et il est au singulier l’organe exécutif, il n’y a pas de
gouvernement à proprement parler mais plutôt un cabinet, il dirige l’administration
fédéral, une pyramide avec au sommet le président. Aux USA, on ne peut pas
renverser le président car sinon trop de désordre contre l’unité.
- Les membres du congrès ont seul l’initiative de la loi, le président ne maitrise pas
l’ordre du jour des assemblés. Le congrès détermine seul son calendrier. Aux USA,
chaque pouvoir a sa propre légitimité. Chaque pouvoir est élue avec des élections
distinctes = assure l’indépendance de chaque pouvoir
- Légitimité politique différente
- Le pouvoir judiciaire est indépendant, c’est un arbitre qui vérifie que la constitution
soit respecté ceux par la cour suprême qui est au sommet mais les juridiction le
peuvent aussi. Plan économique : il faut qu’il y ai des règles, sinon ça ne marche plus,
donc aux USA, très grande importance au droit et donc pouvoir judiciaire doit être
indépendant

Les rédacteurs de la Constitution américaine ont su imposer des mécanisme pour la


collaboration entre les pouvoirs.

Le modèle de référence est le RU, un président qui ressemble un roi, avec une séparation
des pouvoir  faire différemment tout en prenant le modèle RU comme modèle

b. Frein et contrepoids (5freins)

La constitution organise la séparation des pouvoirs et leur collaboration (checks and balance)

- Veto suspensif, à l’égard des lois qui sont votés par le congrès= nécessaire
collaboration car le congres discute avec le président pour savoir quel type de texte
pouvait être adopté sans le veto= collaboration entre les pouvoirs. Le congrès peut
passer outre le veto, mais il faut que un vote à la majorité des 2/3 des deux chambres
(chambres des représentants + Senat)= cela n’arrive jamais donc doit trouver un
accord avec le président ou abandonne un texte de loi.
- Le président a de nombreux amis dans les différentes chambres…Donc intérêt de
discuter les textes pour avancer. Les rédacteurs de la C ont dit que le président fait
un discours (« l’état de l’Union ») sur l’état des USA. Le président n’a pas le droit
d’entrer dans les bâtiments des autres pouvoirs.
- Rôle du Senat qui doit donner son accord sur des décision par exemple lorsque le
président à donner son autorisation à la ratification a des convention international
pour les 2/3 du Senat pour être accepté. Le Senat donne son accord en approuvant
les nominations du président. Le Senat a un droit de regard.
- Les juges contrôle la constitutionnalité des lois depuis l’arrêt Marbury et Madison
- Le respect du droit pénal (procédure d’impeachment), pour toute les personnes qui
ont une fonction publique (magistrats, membre de l’exécutif). Concerne toute
personne qui exerce une fonction public au niveau fédéral. Les fonctionnaires seront
destitué de leur charges pour mise en accusation ou corruption ou autre crime et
délit majeur.
2 étapes a la destitution :

- La mise en accusation, décidé a la majorité simple par la chambre des représentants


- Le jugement effectué par le sénat qui exceptionnellement est présider par le
président de la cour suprême des USA. Et décide ou non de la destitution. Plusieurs
président ont été destitué

Les 1er président= Andrew Johnson (1868) : manque de respect au sénat, mais pas destitué a
quelque voix près

2eme = Bill Clinton (1999) : il a été interrogé sur les relations intime avec sa stagiaire. Ou il a
menti.

Puis Donald Trump : 2019 : il aurait fait pression sur le président ukrainien cette procédure
n’a pas condamné ce président

Cette procédure doit être gagné car il faut la majorité des deux chambres, sinon acquitté et
n’a donc commis aucune faute.

Richard Nixon en 1974, démission car il sait que la procédure d’impeachment va aboutir.
Pour espionnage illégale

Dans tous les états se pose la question de savoir comment juger le chef de l’Etat, il assure la
continuité de l’état et est donc irresponsable politiquement quel que soit la nature du
régime.

Quand il existe une procédures, il existe toujours des discussions sur la nature de cette
procédure. Toujours une dimension politique car il faut une initiative politique pour
destituer le président.

 Brésil : procédures de destitution qui ressemble à celle américaine qui fait intervenir la
chambre des députés et le Senat qui peuvent destituer le président à condition de la
majorité des deux tiers. Cette procédure est institutionnel, dépend du délit de
responsabilité, le président peut être destitué par le Senat après accusation de la
chambre des député.

Si le président fait une faute, il faut reprendre la constitution de l’ancien président.

 En France, procédure de destitution, le parlement peut destituer le président FR par


une procédure ultime de destitution (« le président peut être destitué en cas de
manquement à ses devoirs » art 68, al 1)

B) Le régime parlementaire :

Le pouvoir législatif et exécutif ne sont pas indépendant, ils se contrôlent et collaborent.


Le parlement contrôle et le gouvernement doit rendre des comptes aux parlements. On
parle de responsabilité politique, le gouvernement est sous responsabilité politique. Le
régime parlementaire = le parlement au centre du régime.

1. Le modèle parlementaire inspiré de l’évolution du régime Britannique

Ce régime résulte d’un rapport de force, au 12e et 13e, combat contre l’omnipotence(le roi
essaye d’avoir trop de pouvoir) du roi.

Le roi étant obligé de faire des concessions et des autorités arrivent à côté du roi.

Ex = en 1215 le roi Jean-sans-Terre, dans la Magna Carta (Grande Charte), considère que la
lever des impôts doit se faire avec le consentement des vassaux. Où il faut les réunir dans
une assemblé = le grand conseil. Le régime parlementaire se forge au fil des siècles.

Au 17e , Bill of right (charte des droits) : des droits sont reconnues au sujet et opposée au
sujet.

Une coutume s’affirme au 18e, veut que le gouvernement soit soutenue par la majorité
parlementaire. Sinon il ne doit plus rester en place = rapport de force politique

A partir du 18e, le régime parlementaire se dessine comme on le connaît aujourd’hui

Le régime parlementaire est dualiste = responsable devant le parlement et devant le roi.

Puis mouvement de démocratisation. Et devient normal que le parlement deviennent


l’autorité principale = régime parlementaire moniste. Le roi est une autorité qui s’efface.

C’est la pratique britannique qui a modelé ce régime = ce régime en transformation


permanente. Ce modèle a inspiré bcp d’état européen. La référence c’est le modèle
britannique.

2. La répartition théorique des pouvoirs dans un régime parlementaire

A . Des moyens d’action réciproque

On accepte une répartition des pouvoirs mais pour la collaboration entre les pouvoirs, on
admet que chaque pouvoir (législatif et exécutif) peut intervenir dans les fonctions de l’autre
pouvoir. Ex = il naturelle que le gouvernement ai l’initiative de la loi, soit présent au sein du
parlement.

Les pouvoirs ne sont pas strictement spécialiser et les pouvoirs peuvent dévie de leur
champs d’action POUR collaborer.

Si il y a un désaccord politique, il y a une capacité mutuelle de faire disparaître l’autre, ce qui


les obliges à collaborer. Se traduit par une mention de censure pour renverser le
gouvernement. Et l’exécutif a aussi la possibilité de dissoudre l’assemblé. Quand le
parlement a une majorité à l’assemblé, il n’a pas de raison que les 2 s’attaque.

Ex = en France, majorité relative, le gouvernement peut à tout moment se faire dissoudre

Le moyen de dissolution est un moyen de pression

Les anglais, en 2011, « le Fixed-term », une lois adopté pour demander que les dissolution
soit fait selon certaine caractéristique mais abrogé cette année.

Parlementaire collaboration avec une majorité parlementaire et le gouvernement

B Les régimes parlementaires monistes ou dualistes

Il y a deux autorités au sommet du pouvoir exécutif =

-le chef de l’état (roi, président ...)

( raison historique → évolution du régime britannique qui a dessiner le régime


parlementaire, caractérise par la perte de pouvoir progressive du roi et l’apparition à côté de
lui du gouvernement, un cabinet qui s’est dissocié du roi est formé un Gouv, comme le
parlement est monté en puissance il a décidé de contrôler le Gouv. Puis il a voulu contrôler
le roi, donc il exige que les actes du roi soit contre signer par les ministres. LE gouvernement
a supporter la responsabilité politique du roi)

Dans tous les états il y a toujours une autorité qui assure sa continuité, sauf que dans un
régime parlementaire il peut y avoir une instabilité concernant les gouvernements. Donc il
faut quand même une autorité permanent pour nommer les gouvernement = besoin de 2
têtes = 1 institutionnelle = 1 politique contrôler par le parlement avec une durée de vie
courte.

- un chef du gouvernement (chancelier, 1er ministre…)

Historiquement les régimes parlementaires ont d’abord était dualiste, puis moniste. Pareil
pour la France dualiste sous la restauration sous louis Philippe.

Aujourd’hui régime parlementaire dualiste en Fr. Explication tient du générale de Gaulle.

En Angleterre, le gouvernement est responsable devant la majorité des chambres des


députés. Avec le mode de scrutin a 1 tours = toujours une majorité a la chambres des
communes. La tradition veut que le roi nomme comme 1er ministre le leader du parti qui a
gagner l’élection.

En 2017, changement de 1er ministre = David Cameron , Theresa May, Boris Johnson puis Liz
trusts, Rishi Susak
C. La tendance a la confusion politique des pouvoirs

Une tendance naturel à cause des scrutin. Comme le chef de l’exécutif est le chef du parti
qui a gagner les élections législatives, le parlement a tendance à soutenir
systématiquement la politique du gouvernement. Beaucoup d’interrogation sur la
séparation des pouvoir dans les régimes parlementaire. Un artifice qui couvre la personnalité
du gouvernement.

Il existe des pays ou le régime parlementaire ne fonctionnement pas car pas 2 grands partis
pour alterner les élections

3. La rationalisation du parlementarisme

Ce sont des solutions institutionnelles créer pour faire fonctionner le régime parlementaire

Idéal = majorité absolue ou une coalition avec une majorité … Mais quand il n’y a pas 2 grand
partis. Gouvernement de coalition qui manque de cohérence politique Des alliances entre
partie qui n’ont pas le même objectif… ces gouvernement ne fonctionnait pas car pas de
cohésion, donc pas de duré de vie des gouvernement.

III e repu = 94 gouvernement en 65 ans

IV e repu = 22 gouvernement en 12 ans

Crise ministérielle quand un gouvernement démissionne, où le gouvernement sortant reste


pour expliquer les affaire en cours mais ne prend plus de grande décisions sinon tract dans le
parlement pour former un nouveau gouvernement.

Dans certains pays le régime parlementaire n’est pas efficace (France), il faut le modifier
pour qu’il puisse fonctionner sans majorité.

Après la 2WW les allemand change aussi leur régime et cherche à rationaliser leur
parlementarisme. Consiste a donner au chef de l’exécutif des moyens juridiques qui lui
permette d’exercer durablement et efficacement le pouvoir. Des éléments dans la
constitution pour genre les parlementaire de renverser le parlement par exemple.

Ex = En all pour renverser le gouvernement, il faut déposer une motion de défiance


constructive, avant de renverser il faut que les parlementaire désigne un nouveau chef de
gouvernement pour éviter une crise ministérielle = assure la stabilité gouvernementale

ex = en fr, le 49-3, prévoit que le gouvernement peut organiser l’adoption d’un texte sans
vote, texte considéré comme adopté sauf si motion de censure voté.
Paragraphe 3 : Les régime sans séparations des pouvoir : l’exemple de la
Chine

Le droit constitutionnelle c’est construit pour protéger les citoyens des pouvoirs
omnipotents et séparer les pouvoirs…

Clivage entre l’occident et d’autre état sur le plans constitutionnelle. On peut admettre une
C sans séparations des pouvoirs et ne consacre pas les droit fondamentaux ?

La chine a une Constitution en vigueur depuis 1982, modifier plusieurs fois, surtout en 2018.
Où le président Xi Jiping a changer que le président peut se représenter a un 3 e mandat et
que le président peut être plus âge de 63 ans.

Le contenue de la C chinois est conforme car elle expose les institutions. Les droits
élémentaire sont inscrit dans la C.

Démocratie chinoise bof car pas d’état de droit. Une idée de la démocratie diff qu’en
occident ex =ils choisissent les personnes qui sont élue

Il y a un organe central de la république populaire du chine, le comité centrale réunis avec


200 membres, procède a la désignation de 3 organes dirigeant de la chine. D’abord le bureau
politique entre 19 et 2 (membres qui dirige le partie) et au sein de ce partie le comité
permanent du bureau politique (7 membres les plus important en chine), secrétaire générale
du parti.

Chine concentration du pouvoir, pas de séparation des pouvoirs


la France est un régime parlementaire a hégémonie parlementaire. Même si il est a
hégémonie présidentiel. Il y a toujours des excès

titre 3 : Les régimes parlementaire de la 3e et 4e république


multiplication des essaies de constitution en France, on a teste la monarchie, la république,
empire… c’est aussi une malchance car chaque changement se fait en période de crise
(guerre, invasion, résolution, coup d’état). Il faut que le régime soit critiqué et affaiblit c’est-
à-dire incapable de faire face à une citation.
En France : 15 constitutions et 7 textes
A certain moment, une affirmation d’un pouvoir mais solution du moment, des personnages
clés (Napoléon…), il n’y a jamais eu de réel enthousiasme pour les constitutions choisit. En
Fr, la 1er constitution ne dure que 2 ans puis les suivants ne feront pas exception dans leur
duré.
Maurice HAURIOU, développe la théorie des cycles constitutionnels = 3 cycles
constitutionnels. Il explique que ce cycle est normal, comme un souffle. Car après un
pouvoir tumultueux, souvent un régime autoritaire qui s’affirme, puis une réaction
enfin un régime équilibré (démocratie)

On a cherché le régime mais la bascule se fait entre 1875 (III Rep) et 1946 (IV) car on entre
dans un régime parlementaire
La troisième rep est établit a partir de la constitution de 1875, à titre provisoire. Il fallait une
constitution mais très peu satisfaisante, personne n’était d’accord sur quelle régime il
voulait. Le paradoxe c’est que c’est le régime qui a le plus duré. Elle est paradoxale aussi, car
il n’y a pas de valeurs, principes mais plutôt de trois lois technique, rien sur la nature du
régime mise à part le terme « président » qui indique que l’on est pas en monarchie.

Section 1 : instauration du régime de la III rep


Paragraphe 1 : les acquis institutionnel du régime provisoire
Guerre de 1870, importante pour l’Allemagne qui s’affirme en tant que puissance militaire et
comme un état le plus fort.
Capitulation a Sedan pas Napoléon. La Fr perd l’alsace et la Mosel. En Fr, il n’y a plus de
gouvernement, en désordre. La question de l’instauration d’un nouveau régime se pose.
Il faut que le pays se réunissent et face des choix ? Le 8 février 1871, une assemblé national
est élus. Elle va devoir répondre a des difficultés :
- Administrer le pays (lever les impôts, rembourser les allemands après la guerre = très
chère)
- Adopter une nouvelle constitution (quelle régime ? monarchie, république), le pays
accepte une monarchie
- La commune de paris n’accepte pas l’instauration d’une monarchie = elle résiste, le
gouvernement a du se replier a Versailles

L’assemblé national doit rédiger et adopter une constitution = assemblé constituante, a


majorité monarchiste. Le problème c’est que les monarchiste sont divisé en deux camps :
- Ceux qui veulent un retour a l’ancienne monarchie de droit divin = les légitimistes
(ex : le comte de Chambord Henri d’Artois)
- Monarchie constitutionnel, le roi est un chef d’état mais pas un chef de
gouvernement. Il est responsable devant le parlement. (Le comte de Paris Phillipe
d’Orléans)= les orléanistes
il travaille avec les républicains qui veulent un parlement au détriment des légitimiste
le fait que l’on ne sache pas se que l’on veut et ces deux camps fait que ca ne va pas
fonctionner
en attendant, on va adopter des lois provisoire le temps qu’on se mette d’accord. Ces lois
vont perduré

Loi 1 : 31 aout 1871= le pouvoir confié à Adolphe Thiers (chef du pouvoir exécutif au titre de
président de la république et chef du gouvernement). Elle prévoit que l’assemblé national
contrôle le gouvernement.

Loi 2 : 13 mars 1873, toujours a titre provisoire, Adolphe Thiers s’impose à l’assemblé
national grâce a son charisme, ce qui agace les député. Ainsi on interdit au président de
pénétrer dans les assemblé si les sujets potes sur la politique intérieur et si elle porte sur les
affaire extérieur les député doivent l’écouter puis doit quitter l’assemblé avant que les
députés en débâtes.
En 16 juillet 1875, on précise que le président n’a plus le droit de pénétrer dans les
assemble, il communique que par des message écrit, ce qui se retrouve dans toute les
constitution et encore aujourd’hui
1873, loi adopté sur le septennat. Adolphe Thiers est poussé a la démission en croyant qu’il y
aurait personne pour le remplacer, ce qui est une erreur. Il est remplacé par le maréchal de
Mac Mahon (monarchiste), on réussit a se mettre d’accord. Va donner un mandat assez long
de 7ans. On va garder jusqu’à l’an 2000 ce septennat.
1874, on s’interroge sur le contenue de constitution et un vite a lieu en 1875. Henri Wallon
propose un amendement qui porte sur le nom du chef de l’été voté le 30 janvier 1875. C’est
les républicain qui l’emporte pour « président de la république ». Pour cette raison, la
république a été adopté a cette date.
Ce sera donc une constitution républicaine, cependant ils font des constitutions, ils sont
opposé a deux chambre (veulent pas sénat mais font cette concession).
La constitution va être adopté avec trois loi
- 24 février 1875, relative a l’organisation du sénat
- 25 février 1875, pour l’organisation des pouvoir publics
- 16juillet 1875, rapports des pouvoirs publics
C’est loi opérationnelle jusqu’en 1940, elle n’est pratiquement pas réviser, juste 3 fois :
- 1879, siège des institutions n’est plus a Versailles mais a paris
- 1889, on ne peut plus changer la forme du régime
- 1926, la caisse national doit être indépendante = inscrit dans la constitution

Tout tourne autour du président de la république et du parlement

A) Le parlement
Comprend deux chambre : des débuté et le Sénat

1. Le Sénat, équivalent de la chambre des paires


Elu au suffrage universel indirect ( par les députés et les représentants des collectivités
locales et par les maires des communes) pour 9ans. Ce renouvelant par tiers tous les trois
ans (cette règle perdure jusqu’en 2003)
Les sénateur on l’initiative des lois, elles peuvent être vote par les sénateur et les députés. La
constitution prévoit que les ministres sont responsables devant les chambre. Le
gouvernement peut être censure pas le sénat

2. Chambre des député


Elu au suffrage universel direct pour 4ans. On l’initiative des loi, vote les lois et contrôle le
gouvernement.= même pouvoir que le Sénat

B) L’exécutif
1. Le président de la république
Il n’est pas élu au suffrage universel direct ais plutôt par l’assemblé national qui regroupe la
chambre des député et le Sénat, a la majorité absolue.
Les assemblés ne peuvent pas censurer le président. Toutefois une possibilité prévu en cas
de haute trahison, la chambre des député peut mettre en accusation le président et le sénat
peut le juger. Cela n’a jamais été utilisé. Procédure repris jusqu’à la Vème rep.
Le président n’est pas responsable politiquement. Il a une fonction de représentation
importante, droit de dissolution de la chambre des député après l’avis du sénat, initiatives
des lois, assure leur exécution, dispose de la force armé, pouvoir de nomination des agents
d’état (fonctionnaire), choisit les ambassadeurs, peut convoquer les assemblée, peut ratifier
les traités. = ressemble a constitution actuelle Cependant les mandats des présidents ne se
passe pas très bien
2. Le gouvernement
On voit apparaitre de nouveaux therme tel que ministre. Il n’y a pas de président du conseil,
ni de premier ministre. On le voit comme un cabinet composer de collaborateur du
président. De plus en plus responsable devant les assemblé. La personne charger de diriger
le conseil des ministres va devenir le président du conseil et acquérir un pouvoir politique
Le gouvernement n’est pas dans la constitution.
Les lois constitutionnel de 1875, le parlement composé deux chambres avec les même
fonction (risque de blocage) + un président de la république a la tête de l’exécutif.
Le régime parlementaire est a priori dualiste, ou le gouvernement est responsable devant le
parlement et le chef d’état. C’est ce que défend Mac Mâchon
Crise institutionnelle le 16 mai 1877

Paragraphe 3 : le renoncement au régime parlementaire dualiste en 1877 a


1879
Dualiste : état qui dépend a la fois de l’exécutif et du pouvoir du parlement

A) Conséquence institutionnaliste
16 mai 1877, l’interprétation de la constitution va être modifier.
Le président doit diriger le gouvernement selon Mahon. Il doit choisir son gouvernement en
lui donnant des directives.
Mac mahon n’apprécie pas le comportement du président du conseil, Jule Simon (position
pas favorable au catholique). Donc le 16 mais 1877 Mac Mahon écrit un lettre de blâme du
comportement de Simon = crise car rapport de force entre les deux
16 mai 1877, Jule Simon démissionne et les 363 député explique que le régime
parlementaire doit être moniste, qui ne dépende que du parlement.
Mac mahon le prend mal et va dissoudre l’assemblée et la chambre des député le 25 juin
1877, des élections législatives sont organisé.
Les républicains gagne aux élections législative le 14 oct 1877, le régime est parlementaire
est moniste
Mac mahon décide de rester en fonction jusqu’en 1879les républicains gagne le sénat + la
chambre des députés

B) Les conséquences institutionnelles sur le parlementarisme


Jule Grévy annonce qu’il n’entrera jamais en lutte contre la volonté national= il n’utilisera
pas le droit de dissolution du parlement = tranquillité
Les régimes devient de souveraineté parlementaire moniste. La Constitution va être
réinterprété pour coller a ce nouveau régime. On y dit que le président doit être neutre car
irresponsable politiquement = réintégration favorable au parlement.
Le gouvernement accepte de faire une fonction symbolique. Sauf que certain se révolte=
Jean casimir Perier démissionne car ne pouvait rien faire) ; Alexandre Millerand démissionne
car n’arrive pas a se mettre d’accord avec le parlement

Section 2 : les dysfonctionnements de la 3e république


Le combat républicain, fait que le parlement arrive a légiféré. Mais après la guerre des
dysfonctionnement.
Le parlement moniste a connu deux difficultés

A) L’instabilité gouvernemental
Ne permet pas de mener une politique sur le long therme et donne l’impression au citoyen
que le pays n’est pas gouverné. Ce qui ne donne pas une bonne image du gouvernement.
Changement de gouvernement tout les 6 mois, cependant elle reste variable sait qu’elle est
destiné à disparaitre
Cette instabilité à la nature du régime et au mécanisme dans la constitution qui ont été
interprété en faveur du parlement.
Le parlementarisme moniste est totalement déséquilibré. La chambre des députés contrôle
le gouvernement, peut le renverser. Mais il a été décidé politiquement de ne plus utiliser le
droit de dissolution (motion de censure, dissolution) = asymétrique
Le sénat a aussi le droit de renverser le gouvernement. En France, les deux assemblées
peuvent renverser le gouvernement (réaliser que 9 fois), c’est une pression pour le
gouvernement.
Le gouvernement s’assure que l’assemblé le soutient avec un vote (risquer),
sous la troisième rep la confiance s’acquière de façon différente, des que la confiance
disparait le gouvernement doit démissionner :
- Interpellation : un parlementaire demande des explications au gouvernement (si le
vote est négatif le G doit démissionner
- Vote de confiance demandé par un ministre, si pas voté le gouvernement doit
démissionner
- Démission d’un ministre , sous la troisième beaucoup de gouvernement de coalition,
sans cohérence, des membres décident de partir et si plusieurs démissionne le
gouvernement ne peut plus tenir il doit se dissoudre.
Si l’on veut relativiser l’instabilité : il y a une forme de stabilité dans la constitution de la
classe politique qui compose les gouvernement. Au sein de la chambre des député il y a des
personnages politiques qui s’impose, des hommes forts, qui vont être présent dans les
gouvernement ce qui assure une certaine stabilité et continuité.
Dans un régime de souveraineté parlementaire = les pays est conduis pas l’assemblé qui
exerce un réel pouvoir. Les commissions de l’assemblée et du sénat travaille étroitement
avec les ministres. Ces personnalités ont une forme de stabilité institutionnelle entre les
postes ministérielle et les postes du parlement = pour cela que la 3e tient aussi longtemps
Dans les années 20 et 30, les citoyens ne supporte plus l’instabilité gouvernemental. Donne
l’impression que le parlement joue avec les gouvernements, les années 20 subit une crise
financière et les années trente le totalitarisme allemand.
De plus les programmes politique ne sont exposé pas aux citoyens

B) La difficulté à légiférer
Paradoxe, le parlement est souverain car a la compétence de la compétence, il est
autonome, pourtant le parlement a du mal a légiférer, car pas de majorité et de programme
politique ni législatif.
Au début des années 20, il faut accepter des mesures impopulaires et enrayant la
dégradation des finances publiques et les parlementaires n’ont pas envie de faire des lois qui
déplaise aux électeurs (veulent garder leur bonne image, en ne supprimant pas de post ou
plus d’impôts)
dès lors le parlementaire ne bouge pas, mais grâce au décret-loi= une procédure qui n’est
pas dans la constitution et qui consiste a laisser le gouvernement légiférer a la place du
parlement ; implique une autorisation du parlement. Donc le parlement donne se droit pour
que le gouvernement fasse des lois= il se débarrasse des lois dur et impopulaire.
Le parlement ratifie le texte et donc le décret devient une lois. Le gouvernement qui passe
les lois dur devient impopulaire et démissionne = une procédure curieuse car le texte de loi
sont d’abord réglementaire puis législatif (même idée que les ordonnances). Ce procédé
n’est pas prévu par la constitution de 1875. Il n’y a pas de juge constitutionnelle donc pas
d’opposition a ces textes.
Ce procédé apparait a la fin de la 1er guerre mondial, loi du 10 fev 1918 qui autorise les
décret lois (exceptionnellement pendant la guerre), le décret lois réapparait dans les années
20 et devient très courante jusqu’aux années 30. Dérive totale de l’utilisation des décret lois
= le parlement n’exerce pas comme il se doit ses compétences

Paragraphe 2 : les réactions (mécontentement général)


A) L’antiparlementarisme
Un mal durant les années 20, 30. C’est un rejet de la classe politique que la 4 e et 5e
république va connaitre. Considéré comme incompétence parlementaire. Les législateurs se
succèdent mais lassitude se crée avec des réactions violentes.
Malhonnêteté car les parlementaire touche de l’argent, ce qui est nouveau,
professionnalisme des parlementaire, il n’exerce plus qu’une seul fonction. Les parties
politiques se forment dans les années 90. Les parlementaires font carrières en politique.
Critique des parlementaire de se faire de l’argent.
GRANDE AFFAIRE : affaire STAVISKY, qui est un escroc, devait être jugé mais procès reculé 19
fois car conflit d’intérêt avec un ministre. Avant son arrestation, il s’est suicidé. A partir des
années 30, il y a des ligues qui combattent les classes politiques fracturés. Ils sont pour une
unité politique, de façon violente, souvent d’extrême droite.
Le 6 fev 1934, assemblé de 30 000 personnes pour s’attaquer au chambre des députés. Mais
pas de victoire des ligues. Pas de coup d’état. Illustre la lassitude des sociétés.

La classe politiquer essaye de sauver ce régime. Certains acteurs vont vouloirs renforcer
l’exécutif

B) Le slogan du révisionnisme constitutionnel


c’est un mouvement, qui révise la constitution, pour le changement et réforme de l’état.
Il visait a renforcer l’exécutif.
Des personnage voulait un équilibre entre l’exécutif et le législatif en voulant le droit de
dissolution : André Tardieu ; Gaston Doumergue ; Alexandre Millerand
Ils ont faire naitre le débat d’idée cependant ca n’a pas aboutit
Alexandre Millerand (président de la république) va demander de réviser la constitution et
dans la perspective des élection législative, il va participer en soutenant le gouvernement
sortant
Il tient un discours a Evreux, ou il défend la constitution et le gouvernement en place= échec
le gouvernement entrant ne veut plus entendre parler de lui
Il démissionne en 1924, la troisième république perdure jusqu’à 1940
Apres l’Allemagne est dans le nord de la France, le gouvernement doit choisir de résister ou
armistice avec défaite de la France
Lors de cette décision = 2camps, Paul renaud président Mais démissionne et le camps
minoritaire. Camps majoritaire investit le maréchal Pétain
Le 10 juillet 1940, le parlement donne tout pouvoir au gouvernement, sous Pétain. Le
maréchal écrit et adopte une nouvelle constitution.
Cette constitution devrait conserver les droit de la famille, travail et patrie
Ordonnance de 1944 rétablit la légalité de la république, annule le gouvernement de Vichy.
Les autorités vont s’adresser au français pour leur dire que ce qui c’était passe ne concernait
pas les institutions républicaines. Donc demande au français par référendum (21 octobre
1945) si l’on veut le retour a la troisième.

Chapitre II : la 4eme république


21 octobre 1945 Des élections législatives sont organisés et le même jour le référendum en
demandant si l’assemblé qu’il sont en train d’élire soit constituante pour adopter une
nouvelle constitution.
Si il vote oui, deuxième question sur l’organisation provisoire.
Les français votent oui aux deux question.
Une assemblé constituant est adopté, elle débat et adopte une constitution. La constitution
ressemble beaucoup a la troisième donc les citoyen vont voter non.
5 mois plus tard, on élit une nouvelle assemblé constituant qui apporte beaucoup de
modifications. Qui ressemble beaucoup toujours a la 3eme, il vont voter oui mais pas avec
beaucoup d’enthousiasme, pas très forte légitimité, ce qui va poser problème.
De gaulle le 16 juin 19, va expliquer qu’il faut un président de la république qui préside et
que le gouvernement soit indépendant.
La date d’une loi est celle de sa promulgation = acte par lequel le chef de l’état constate
l’existence de la loi. La promulgation est au sommet de passage entre le législatif et
l’exécutif. Pour la constitution c’est pareil.
Cette constitution voté a eu l’ambition que le régime parlementaire fonctionne mieux mais
que les défauts de la 3e sont revenues instabilité gouvernemental et problème pour légiférer

Section 1 : Un régime parlementaire renouvelé


Paragraphe 1 : les institutions renouvelé, Centré sur deux organe
A) Le parlement
Il change. On va repenser au bicaméralisme et que au sein du parlement, i n’y ai qu’un seul
interlocuteur.
Il y a toujours deux assemblé
- Chambre des députés devient l’assemblée national élu au suffrage universel direct
pour 5ans, vote la loi et contrôle le gouvernement = institution la plus importante
- Le sénat devient Conseil de la république, suffrage universel indirect comme sous la
troisième, il ne peut plus renverser le gouvernement et surtout dans le cadre de la
procédure législatif il ne vote pas la loi il donne des avis. Et l’assemblé national doit
reprendre la loi

B) L’exécutif = gouvernement
On va renforcer l’exécutif mais pas celui du président qui a une fonction symbolique, pas un
rôle politique direct, supposé être neutre
Vincent auriol et René Coty vont accepter leur fonction de représentation dans leur
septennat. Le président élue par le parlement
Le chef du gouvernement = chef du conseil (1er ministre) censé dépendre que de lui.
Le président du conseil a le pouvoir réglementaire
Le conseil des ministres dispose du droit de dissolution.
Les rédacteurs de la constitution sont conscient qu’il faut revoir le parlement sinon risque de
refaire la même chose que la 3eme

Paragraphe 2 : les leçon de la troisième république


Les décrets lois sont interdit, l’assemblée national vote seule la loi et ne peut pas déléguer
ce pouvoir.
La dissolutions est discuter certain pense que le président peut dissoudre l’autre pense
qu’on est dans une république dont pas pour le président. On établit une procédure, durant
les 18 premier mois, pas le droit a la dissolution après les élections législative
Passé ces 18 mois une seconde période de 18 moi, il faudra deux crise institutionnel,
ministériel pour dissoudre l‘assemblé et que 2 gouvernement soit renverser. Dissolution, il
faut que ce soit essentiel.
Sur l’investiture = acceptation du gouvernement par l’assemblé dans les régime
parlementaire classique, on veut plus de compromis donc seul le président du conseil est
investi par l’assemblé national puis il choisit les membres de son gouvernements. Les
parlementaire ne peut plus interpeler le gouvernement.
Le gouvernement ne peut être renverser que pas une motion de censure voté à la majorité
absolue et celui-ci ne peut poser de question de confiance, seul le gouvernement représente
le président du conseil peut poser la question de confiance avec la majorité absolue.
Section 2 : la réapparitions des disfonctionnements
On retrouver les deux problèmes : instabilité gouvernemental et difficulté a légiférer
Paragraphe 1 : instabilité gouvernemental
22 gouvernements en 12 ans, ils ne sont pas mener à durer, chaque gouvernement fait face
a des crises ministériels. Une vision de l’assemblé toujours aussi négative, n’arrive pas a
avoir une majorité, stratégie politique. Il y a des attitudes et stratégie qui expliques cette
instabilité
- L’investiture, l’assemblé ne doit investir que 1 personnes mais rapport de force ou la
parlement exige que le gouvernement soit validé par l’assemblé = une double
investiture. 1 fois pour le gouvernement et une 1 fois pour le premier ministre
Le président du conseil présente donc son gouvernement a l’assemblé
Le gouvernement considère qu’il ne peut rester en place si un vote de défiance est voté à
leurs encontre même si ce vote n’ pas lieux à la majorité absolue.
Mécanisme réinterprété et colle avec les pratiques de la troisième république
Le droit d dissolution est paralyse car pas de majorité absolue. Sauf qu’en 1955, dissolution
de l’assemblé car en 18 mois deux renversement du gouvernement
Sous la quatrième république on a retenue le scrutin proportionnel dans le cadre
départemental.
Election de 1956, partie communiste plus important, il ne participe plus au gouvernement
car dans le cade de la guerre froide avec URSS, on voit les communistes comme des traiter
donc systématiquement dans l’opposition. Dur de trouver une majorité.
Populisme = les Elite gouverne mal
Des gouvernements d’alliances, pas de coalitions (sinon accords sur un programme
communs)

Paragraphe 2 : l’autolimitation législatif


Retour déguisé des décret-loi
Le parlement par l’absence de majorité et décision difficile donc difficile à légiférer. Va
essayer que le gouvernement prennent des décisions a sa place
Loi André marie du 17 aout 1948, va contourner la difficulté des décrets loi, on en a besoin
mais il sont interdit.
- D’abord sur la loi cadre, en rendant des principes généraux et renvoie a des acte
réglementaire (gouvernement) le soins d’appliquer quel régime, le législateur ne va
pas rendre de détail sur la législation si il faut augmenter les impôts ou autres
- Délégalisation de certaines matière, consiste pour le parlement a estimer que
certaines question ne relève pas de sa compétence
Il ne faut pas exagérer dans l’utilisation de ces procédé
La 4eme va perdurer jusqu’au 13 mais 1958, il sera présenté comme un mauvais régime qui
fonctionne comme la troisième.
Mais a tout de même permis de rebâtir l’état, donc a tout de même fonctionné, avec un
travail considérable. Des reformes sur l’organisations de l’état, relances de l’état, reconstruit
le pays.
On décide de se réconcilier avec l’Allemagne, traité européen tel que l’accord du charbon et
de l’acier.
25 mais 1957, traite sur la communauté économique européen, qui ne sera pas remis en
cause par la suite.
Elle a cherche a se réforme a sa fin avec des projets de loi constitutionnel qui sont discuté tel
que par Felix gaillard, 1958, pour renforcer l’exécutif et le rendre plus stable. On essaye de
sauver la 4 -ème
Mais ce qui fu fatale se fut la décolonisation. Tel que en Algérie ce qui mène a une
négotionation avec le FLN, des attentats, insurecituation de guerre civil et une angoisse de la
population.
1 évènement fait basculer : une insurrection le 13 mais 1958, prendre d’assaut le
gouvernement à Alger, comité de salut publique crée (organe révolutionnaire) de la part des
partisan de l’Algérie française. Deux jours plus tard de gaulle dt qu’il peut assurer les pouvoir
de la république.
Peur que ce mouvement s’étale, ce fut le cas en corse = de gaulle se présente comme le
sauveteur et apporte une nouvelle constitution

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