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Présenté et soutenu publiquement le [Date] par
Mr Djidoula TAKO
Promotion [2020/2021]
DÉDICACE
Je dédie ce mémoire :
À mes très chers parents Feu KOUDJA Siméon et Mme
KOUDJA/NKWAYEP Lysette sans qui tout ceci ne serait possible.
REMERCIEMENTS
Avant tout je souhaite adresser mes sincères remerciements et témoigner mon infini gratitude
à:
Je remercie aussi les personnes dont les noms ne figurent pas qui m’ont aidé de près comme
de loin, pour leur soutien.
RÉSUMÉ
Le présent mémoire porte sur une étude d’ingénierie d’un bâtiment R+9 avec sous-sol et
mezzanine pour le compte de la Banque Sahélo-Saharienne pour l’Investissement et le
Commerce (BSIC). Cet immeuble est situé dans le quartier Nyèkonapoè, en bordure du
boulevard du 13 janvier, et entre les immeubles de l’UTB circulaire et de l’UAT.
L’étude de la fondation a été faite en tenant compte des critères économiques, de la stabilité et
la sécurité et enfin de la facilité l’exécution. Également une notice d’EIES a été établie ainsi
qu’une étude de sol a été menée par le Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux
Publics (LNBTP).
- 4HA20 1er lit, 4HA16 2nd lit et 4HA12 3ième lit en travée pour ce qui est de la poutre
continue étudiée de section 50*90 cm2,
- Ce qui est du poteau on a une section de 120*125 cm2 avec 4HA16 dans les angles,
20HA12 suivant le plus grand côte, 10HA12 suivant le plus petit côté, c’est ce qui en
est de quelques résultats en superstructure.
- Pour parler de ceux en infrastructure, suivant le rapport de l’étude de sol le système de
fondation est un radier : un radier dalle dont l’épaisseur est de 75 cm ferraillé en deux
nappes donc en nappe inférieure HA20 tous les 15 cm dans les deux directions et en
nappe supérieure HA16 tous les 15 cm dans les deux directions, pour le radier nervuré
obtenu l’épaisseur est de 40 cm et des nervures de sections 50*80 cm2.
ABSTRACT
This thesis concerns an engineering study of a R + 9 building with basement and mezzanine
on behalf of the Sahelo-Saharan Bank for Investment and Trade (BSIC). This building is
located in the Nyèkonapoè district, on the edge of Boulevard of January 13, and between the
UTB circular and UAT buildings.
The studies consisted of the design and sizing of the Reinforced Concrete structure with the
CYPECAD tool. We carried out the studies in strict compliance with the standards and
regulations in force (provisions provided for in the Special Technical Prescriptions).
Complied with the requirements of B.A.E.L. 91 rev. 99 (dimensioning of the reinforced
concrete framework), D.T.U 13.12 (calculation of the foundations). The study consists of
carrying out the calculation note of all structural and non-structural elements based on the
architectural plan. The sections of the various structural elements thus obtained will make it
possible to carry out the execution plans.
The study of the foundation was made taking into account economic criteria, stability and
security and finally ease of execution. Also, an ESIA notice was drawn up as well as a soil
study was carried out by the National Building and Public Works Laboratory (LNBTP).
- 4HA20 1st bed, 4HA16 2nd bed and 4HA12 3rd bed in span with regard to the
studied continuous beam of section 50 * 90 cm2,
- What is the post we have a section of 120 * 125 cm2 with 4HA16 in the corners,
20HA12 following the longest side, 10HA12 following the smallest side, this is what
is true of some results in superstructure.
- To talk about those in substructure, according to the report of the soil study the
foundation system is a raft: a slab base whose thickness is 75 cm scrapped in two
layers therefore in lower layer HA20 every 15 cm in both directions and in the upper
layer HA16 every 15 cm in both directions, for the ribbed raft obtained the thickness
is 40 cm and ribs of sections 50 * 80 cm2.
SOMMAIRE
DÉDICACE .................................................................................................................................. i
REMERCIEMENTS ................................................................................................................... ii
ABSTRACT ................................................................................................................................. iv
SOMMAIRE .................................................................................................................................1
INTRODUCTION ........................................................................................................................6
CHAPITRE Ⅱ : GENERALITES..............................................................................................17
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Étude Technique d’un Immeuble de Grande Hauteur (IGH) R+9 avec sous-sol pour le siège
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II.4 Chargements.......................................................................................................................... 19
II.4.1 Charges permanentes........................................................................................................................ 19
II.4.2 Charges d’exploitation ..................................................................................................................... 24
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BIBLIOGRAPHIE/WEBOGRAPHIE ......................................................................................48
ANNEXES ..................................................................................................................................50
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Étude Technique d’un Immeuble de Grande Hauteur (IGH) R+9 avec sous-sol pour le siège
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INTRODUCTION
Le Génie civil représente l'ensemble des techniques concernant les constructions civiles. Les
ingénieurs civils ou ingénieurs en génie civil s’occupent de la conception, de la réalisation, de
l’exploitation et de la réhabilitation d’ouvrages de construction et d’infrastructures dont ils
assurent la gestion afin de répondre aux besoins de la société, tout en assurant la sécurité du
public et la protection de l’environnement. Très variées, leurs réalisations se répartissent
principalement dans cinq grands domaines d’intervention : structures, géotechnique,
hydraulique, transport et environnement. Le domaine d'application du génie civil est très vaste
Dans ces différents domaines, quelle que soit sa spécialisation, le travail d'un ingénieur civil
repose sur deux concepts clés : l'évaluation des charges et la résistance des matériaux. En fait,
l'objectif premier est de combiner un ensemble de matériaux afin de résister à des charges pour
accomplir une fonction principale.
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Étude Technique d’un Immeuble de Grande Hauteur (IGH) R+9 avec sous-sol pour le siège
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C’est ainsi qu’en ce sens nous avons opté pour le thème dont l’intitulé est : Etude Technique
détaillée d’un Immeuble de Grande Hauteur (IGH) R+9 avec sous-sol pour le siège social de
la BSIC-Togo.
En suivant ces règles qu’un stage de trois (03) mois renouvelable 01 fois est accordé par le
cabinet SATA-AFRIQUE en vue d’élaborer des études pour la construction du dit immeuble
qui sera le siège social de la banque BSIC-Togo.
Construire a toujours été l’un des premiers soucis de l'homme et l'une de ses occupations
privilégiées. A ce jour, la construction connait un grand essor dans la plupart des pays et très
nombreux sont les professionnels qui se livrent à l’activité de bâtir dans le domaine du bâtiment
ou des travaux publics.
Cette étude dont ce présent mémoire traite aura pour objectifs : de réaliser les plans
d’exécutions à travers une étude technique de dimensionnement structural qui seront exécutées
sur le site ; de faire une étude du prix du gros œuvre en vue de savoir quel est le coût projet
pour la réalisation du gros œuvre ; de faire également une étude comparative des résultats par
rapport à ceux fournis par la bureau d’étude ; et nous permettre de nous familiariser avec les
logiciels de dessin et calcul structural.
Le présent mémoire est structuré en six (06) chapitres. Le chapitre 1 est consacré la
présentation générale du projet. Le chapitre 2 porte sur les bases de calcul nécessaire pour
mener à bien le projet et les différents types de charges considérées. L’étude structurale dont le
prédimensionnement et dimensionnement des éléments structuraux est présentée au chapitre 3.
Le chapitre 4 est destiné à l’étude de la fondation. Enfin, le chapitre 5 est consacré à l’étude
d’impact environnemental et social (EIES) du projet.
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SATA AFRIQUE est une Société à Responsabilité Limitée (S.A.R.L.) exerçant dans le
domaine de l’Architecture, l’Ingénierie, l’Urbanisme, l’Aménagement et du Design. Elle est
créée en 2005, suite à la restructuration de la société Afrique Archi. La société totalise ainsi
plus de vingt-six (26) ans d’expérience dans ses différents domaines de compétence.
Son siège social est basé à Ouagadougou, au BURKINA FASO et elle a des représentations
dans plusieurs pays d’Afrique à savoir :
• Bénin
• Burkina Faso
• Cameroun
• Cote d’ivoire
• Gambie
• Ghana
• Guinée Conakry
• Guinée Equatoriale
• Madagascar
• Mali
• Niger
• Nigeria
• République Centre Africaine
• Sénégal
• Tchad
• Togo
I.1.1 Missions
SATA AFRIQUE est spécialisé dans plusieurs Missions à savoir :
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I.1.2 Collaborateurs
L’équipe de SATA Afrique au Burkina Faso dispose d’une équipe diversifiée et est composée
de :
• 07 Architectes et urbanistes
• 12 Ingénieurs génie civil
• 15 Techniciens et projecteurs
• 07 Spécialistes collaborateurs
I.1.3 Partenaires
SATA AFRIQUE s’est hissé parmi les leaders dans son domaine et s’est entouré des
partenaires qui lui ont attribué sa confiance aux vues de ses performances et ses résultats. Nous
pouvons citer entre et autres :
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Etc.
I.1.4 Activités
• Architecture : Conception et construction de bâtiments et d’ouvrages relevant du
domaine de l’Architecture.
• Etudes techniques : Solutions techniques en bâtiments, calcul de structures,
aménagement – Réhabilitation (Aménagement de l’habitat rural, restauration
d’immeubles, de maisons individuelles).
• Décoration-Architecture d’intérieur : Conception et aménagement d’espaces intérieurs,
décoration, conception de motifs et de décors, agencement.
• Design : Conception de formes et d’objets pour le Mobilier, les Menuiseries, l’Industrie
et les monuments.
I.1.5 L’organigramme
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I.2.1 Contexte
Le projet de la BSIC Togo s’inscrit dans le cadre du projet de construction des sièges de BSIC
dans plusieurs pays d’Afrique de l’ouest et Centrale à savoir : le Burkina Faso, le Bénin, la
Côte d’ivoire, la Gambie, le Mali, le Sénégal et le Tchad.
Il est à signaler que les sièges BSIC des autres pays ci-haut cités sont constitués d’un Sous-sol,
le RDC, 01mezzanine et 05 étages ; Seul celui du Togo est un immeuble de grande hauteur
(IGH) ayant 09 étages soit 04 de plus que les autres.
Ce complexe immobilier, entièrement financé par la BSIC elle-même contribuera une fois de
plus à solidariser les relations entre les pays membre de la Communauté des Etats Sahélo-
Sahariens (CEN- SAD), une communauté qui regroupe 14 Etats et dont le Groupe BSIC est
présent dans tous les états.
Ce projet d’une telle envergure a été mené entièrement par l’architecte ZERBO Souleymane au
travers de son cabinet SATA AFRIQUE
I.2.2 Présentation du bâtiment
Le projet dans son ensemble est un IGH comportant de :
• Un sous-sol, un RDC, une mezzanine et neuf (9) étages destinés à abriter les bureaux de
la banque et des espaces locatifs (bâtiment principal) ;
• Deux (02) guérites ;
• Des locaux techniques pour abriter le poste de transformation électrique, le groupe
électrogène (GE), le tableau général de basse tension (TGBT) et le groupe de
surpression ;
• Des parkings intérieurs couverts et parkings extérieurs non couverts ;
• Une clôture avec portails,
• Voiries et réseaux divers.
Le sous-sol a une hauteur sous plancher de 4,85m et le niveau de la fondation finie est à -
4,45m/TN. La hauteur sous plancher du RDC au R+8 est de 3,5 m et celle du R+9 est de
4.10m.
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Notre étude se limitera au dimensionnement du bâtiment principal qui a une superficie au sol
Les différents plans de niveaux sont présentés en Annexe 1. La constitution architecturale et les
superficies des pièces sont résumées en Annexe 2 dans les Tableau 6 à
Tableau 12. La vue en 3D, plan de toiture et les différentes coupes et façades sont donnés en
Annexe 3.
I.3.1 Définition
La définition des immeubles de grande hauteur (IGH) dépend de la hauteur du plancher bas du
dernier niveau accessible de l’immeuble, cette hauteur étant prise par rapport au niveau du sol
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extérieur (le plus haut) pouvant être atteint par les engins des services publics de secours et de
lutte contre l’incendie. Est classé « IGH » tout immeuble pour lequel la hauteur dépasse :
Les règlements de sécurité incendie utilisés pour la conception de l’ouvrage sont les
suivants :
• Règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les immeubles
de grande hauteur, décret n°76/35 du 20 Février 1976.
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a. Sur la construction
La construction d’un IGH doit respecter les dispositions constructives prévues dans le
« Règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les immeubles de
grande hauteur, décret n°76/35 du 20 Février 1976 ». Il s’agit en autre de :
• L’emplacement : l’IGH se trouve à moins de 03km du centre de secours des pompiers
de la ville de Lomé est à proximité du site
• L’accessibilité par les engins de secours : la voie d’accès pompier est située à moins de
30 m de l’IGH
• La servitude et l’isolement : un espace de protection de 8m minimum est respecté entre
l’IGH et les constructions alentours (avoisinants, mitoyen et bâtiments annexes)
• Le compartimentage : l’immeuble est compartimenté pour éviter la propagation de
l’incendie en cas de sinistre ; Cela permettra par exemple en cas de sinistre à un niveau
donné, de faire évacuer les occupants vers les compartiments supérieurs ou inférieurs.
• Les matériaux de construction : l’utilisation des matériaux combustibles est limitée afin
de ne pas générer un incendie susceptible d’entraîner la destruction de la structure de
l’immeuble. (Limitation du potentiel calorifique de l’immobilier et du mobilier). Il est à
signaler que les caractéristiques et les fiches techniques des matériaux seront soumises
et validés par le bureau de contrôle technique.
• L’évacuation des occupants est assurée au moyen de 02 escaliers.
• Les détecteurs d’incendie doivent être implantés dans des zones identifiées par le
règlement
• La zone de diffusion de l’alarme doit être limitée à un seul compartiment
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NB : L’obligation de présence des agents de sécurité incendie a été réduite pour les IGH de la
catégorie W1.
Le service local de sécurité est tenu toutefois à des missions similaires, quel que soit le type de
IGH :
NB : Suite au degré coupe-feu (2h) exigé par les normes de sécurité incendie (dalle, poteau,
poutres, etc.) pour ce type de bâtiment, elles prévoient comme sections minimales :
Poteaux : type carré section de 30*30 cm2, type rectangulaire b=5*a avec a=16 cm minimum.
Dalles : l’épaisseur minimale y compris l’épaisseur de la chape et de son revêtement est de
11cm.
Poutres rectangulaires : l’épaisseur minimale considérée est de 24 cm si M=0 et de 17 cm si
M≥0,5 avec :
𝑀 = (𝑀𝑤 + 𝑀𝑒 )2 ∗ 𝑀𝑜 𝑜ù
∶ 𝑀0 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑠𝑜𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 , 𝑀𝑤 𝑒𝑡 𝑀𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑙𝑒𝑥𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖𝑠.
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Conclusion partielle
Dans ce chapitre, il a été question de faire une présentation de notre projet à travers la
présentation de la structure d’accueil, le contexte du projet, la présentation de notre édifice, les
dispositions prises en compte au regard de la sécurité incendie.
Le prochain chapitre sera consacré à la présentation des généralités sur les données de base et
hypothèses, les règlements et les normes qui seront utilisés dans notre étude.
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CHAPITRE Ⅱ : GENERALITES
Ce chapitre est destiné à présenter les aspects généraux sur les données de base et hypothèses,
les règlements et normes utilisés qui nous aideront par la suite dans notre travail pour le calcul
structural.
Nous avons adopté les hypothèses suivantes dans le cadre de notre projet :
La structure qui fait l’objet de notre étude sera en ossature, compte tenu de la méthode et de la
qualité de réalisation, la disponibilité des matériaux et la main d’œuvre sur place. Un système
en ossature est constitué des dalles, poutres, poteaux, semelles…
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𝟐
Dans le cas de fissuration préjudiciable : ̅̅̅̅
𝝈𝒔𝒕 = 𝒎𝒊𝒏 {𝟑 𝒇𝒆 ; 𝐦𝐚𝐱(𝟎, 𝟓 ∗ 𝒇𝒆 ; 𝟏𝟏𝟎√𝜼 ∗ 𝒇𝒕𝟐𝟖 )}
𝟐
Dans le cas de fissuration très préjudiciable : 𝝈𝒔𝒕 = 𝟎. 𝟖 ∗ 𝒎𝒊𝒏 {𝟑 𝒇𝒆 ; 𝐦𝐚𝐱(𝟎, 𝟓 ∗
̅̅̅̅
c. Le sol
• Contrainte admissible ̅̅̅̅̅
𝝈𝒔𝒐𝒍 = 𝟎, 𝟏𝟓 𝑴𝑷𝒂 ;
• Profondeur d’assise -4,45 m ;
NB : Nous avons ici le type de fissuration très préjudiciable (FTP) car milieu agressif et la
proximité avec la mer.
Un état limite est celui qui satisfait strictement aux conditions prévues sous l’effet des actions
(force, moment ou couples) qui agissent sur la structure ou sur l’un de ses éléments.
Les conditions sont : la stabilité, la résistance, la durabilité, les déformations (flèches) non
nuisibles pour satisfaire les fonctions techniques d’utilisation des structures et leur confort.
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II.4 Chargements
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Niveau sous-sol
Etanchéité 20 daN/ m²
Faux plafond 20 daN/ m²
Total 977 daN/ m²
Plancher terrasse inaccessible en dalle pleine de 20 cm
Poids propre de la dalle : 500 daN/ m²
Forme de pente 192 daN/ m²
Etanchéité 20 daN/ m²
Faux plafond 20 daN/ m²
Total 732 daN/ m²
Plancher terrasse inaccessible en dalle pleine de 25 cm
Poids propre de la dalle : 625 daN/ m²
Forme de pente 192 daN/ m²
Etanchéité 20 daN/ m²
Faux plafond 20 daN/ m²
Total 857 daN/ m²
Plancher courant en dalle pleine de 20 cm
Poids propre de la dalle : 500 daN/ m²
Revêtement (carrelage - épaisseur
120 daN/ m²
de mortier 5 cm)
Cloisons légères 75 daN/ m²
Faux plafond 20 daN/ m²
Total 715 daN/ m²
Plancher courant en en dalle pleine de 25 cm
Poids propre dalle 625 daN/ m²
Revêtement (carrelage - épaisseur
120 daN/ m²
de mortier 5 cm)
Cloisons légères 75 daN/ m²
Faux plafond 20 daN/ m²
Total 840 daN/ m²
Escaliers
Paillasse (dalle pleine de 15) 429 daN/ m²
Marches 181,5 daN/ m²
Revêtement 137 daN/ m²
Enduit sous face inférieure 46 daN/ m²
Total 793,5 daN/ m²
2
On retiendra la valeur de 800 daN/ m
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Mur en agglos creux de 20 avec enduit au mortier de ciment sur une face et carrelée
sur l'autre
Mur 405 daN/ m²
Enduit sur une face (18daN/m2/cm) 45 daN/ m²
Carreaux sur murs des halls (sur 1
50 daN/ m²
face)
Total 500 daN/ m²
Mur en agglos pleins de 20 avec enduit au mortier de ciment sur une face et carrelée
sur l'autre
Mur 494 daN/ m²
Enduit sur une face 30 daN/ m²
Carreaux sur murs des halls (sur 1
50 daN/ m²
face)
Total 574 daN/ m²
Mur en agglos creux de 20 avec enduit au mortier de ciment sur deux faces
Mur 405 daN/ m²
Enduit sur une face 90 daN/ m²
Total 495 daN/ m²
Mur en agglos creux de 15 avec enduit au mortier de ciment sur deux faces
Mur 210 daN/ m²
Enduit sur deux faces
90 daN/ m²
(18daN/m2/cm)
Total 300 daN/ m²
Mur en agglos creux de 10 avec enduit au mortier de ciment sur deux faces
Mur 140 daN/ m²
Enduit sur une face 90 daN/ m²
Total 200 daN/ m²
Acrotère (acrotère en maçonnerie
sont proscrite) ep. 10cm, hauteur 385 daN/ ml
1m, densité 2500daN/m2
Revêtements agrafés en alucobond 50 daN/ m²
Mur rideau en aluminium Vitré 50 daN/ m²
Désignation Charges
Calcul de la surface d'une demie-sphère (4*π*R^2)
/2 307,88
Rayon R (m) 7
Toit+ charpente métallique (kN/m2) 0,7
Poids (kN) 215,51
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Q (kN/m2) 1
Q (kN) 307,88
Charges sur les appuis (11)
G (kN) 19,59
Q (kN) 27,99
Hormis ses charges mentionnées dans le Tableau 1, nous avons également les charges de la
structure métallique en forme de dôme qui se repose sur le plancher haut du niveau R+4. Pour
ce faire nous avons estimés la charge qu’elle représente et la repartir sur des amorces (11) qui
font d’office d’appui de la structure. Elle sera prise comme charges ponctuelles sur les
différents planchers qui reprendront cette charge. Le Tableau 2 nous donne la charge ponctuelle
sur les différents appuis (amorces). Il montre les paramètres et les charges pris en compte dans
le calcul de la charge équivalente de la structure métallique qui repose sur le plancher R+4. Les
Figure 2 et Figure 3 illustrent les coupes du dôme métallique.
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Les charges d’exploitations prises en compte dans le cadre notre projet sont référencées dans le
Tableau 3. Les charges d’exploitations sont en kN/m2 des planchers/niveaux en fonction de
leurs type d’utilisation/catégorie.
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Conclusion partielle
Nous avons fait ressortir dans ce chapitre les aspects et les données, les normes et les
règlements qui nous permettrons de faire l’étude structurale, objet du prochain chapitre.
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Les murs dans ce bâtiment sont supposés non porteurs (ou de remplissage) et principalement
des cloisons. Cela impose le type de structure à adopter : le système plan libre. Le système
plan 1ibre désigne un bâtiment dont les planchers sont portés par des poutres transmettant à
leurs tours, leurs charges aux poteaux. Le cumul des charges supportées par les poteaux
constitue le chargement du radier et/ou semelles.
Le prédimensionnement se fait pour chaque type d’ouvrage afin de fixer des sections
indicatives pour la suite du dimensionnement du bâtiment [2].
III.1.1 Planchers
Nous optons pour ce type de dalle pour des raisons sécuritaires et aussi pour sa bonne
résistance au feu. L’épaisseur de la dalle dépend à la fois du sens de portée et de la tenue au
feu. Le panneau de dalle étudié ici est le plus chargé.
𝐿 6 𝐿𝑥
Sens de la portée :𝐿𝑥 = 11 = 0,54 ; ≥ 0.4 d’où la dalle repose sur les 04 côtés [2].
𝑦 𝐿𝑦
𝐿
Dalle continue : l’épaisseur doit respecter la condition ℎ0 ≥ 30𝑥 = 20 𝑐𝑚
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III.1.2 Poutres
a. Poutre continue
Le pré dimensionnement de la poutre continue se fait de la façon suivante :
Soit h = 60 cm.
NB : Après calcul cette section de poutre sera très petite pour reprendre les efforts qui arrivent
sur elle, et donnait de très grandes sections d’aciers. Pour être dans la marge économique que
de jouer sur l’augmentation des sections d’aciers qui sont très couteux et rares sur le marché
nous avons opter jouer sur la section de béton armé. On a obtenu une section de 50*90 cm2.
b. Poutre isostatique.
Le pré dimensionnement de la poutre isostatique se fait de la façon suivante :
𝐿 𝐿 ′ 950 950
≤ℎ≤ 𝑑 𝑜ù ≤ℎ≤ ↔ 63,33 𝑐𝑚 ≤ ℎ ≤ 95 𝑐𝑚
15 10 15 10
III.1.3 Poteaux
Pareillement que chez les poutres, les valeurs de prédimensionnement ont été revu.
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Pour notre élément le plus chargé nous avons une section de 150*125 cm2.
III.1.4 Escaliers
Ici nous allons nous concentrer sur un volée droit à titre illustratif.
Nous connaissons déjà le nombre de marche (n-1) qui est de soit le nombre de contre-marches
(n) vaut 12.
a. Sections géométriques
Il sera question de déterminer la hauteur de contre-marche h et la largeur de la marche g
respectant la formule de BLONDEL : 𝟎, 𝟔𝟎 ≤ 𝟐 ∗ 𝒉 + 𝒈 ≤ 𝟎, 𝟔𝟒
𝑙
(𝑛 − 1) ∗ 𝑔 = 𝑙 ↔ 𝑔 =
𝑛 − 1𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐻 = 𝐻𝑡 = 1,92 𝑚 𝑒𝑡
𝐻 2
𝑛∗ℎ = 𝐻 ↔ℎ =
𝑛
{ 𝐻𝑡 𝑙𝑎 ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑖𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 3,84 𝑚
Soit α= 28,07°.
Nous avons donc une épaisseur ep. de 20 cm. La Figure 4 présente un schéma géométrique de
l’escalier.
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Les voiles peuvent être définis comme des poteaux dont la longueur est supérieure ou égale à
quatre fois son épaisseur : 𝐿 = 4 ∗ 𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑟 𝑒 ≥ 15 𝑐𝑚
L'épaisseur (e) doit être déterminée en fonction de la hauteur libre de l'étage hl et des
ℎ𝑙 350
conditions de rigidité aux extrémités. On a donc :𝑒 ≥ 20 = = 17,5 𝑐𝑚
20
Pour être conforme aux plans architecturaux, nous retiendrons comme épaisseur des voiles
e=20cm. et e=25 cm.
Nous avons effectué la descente des charges à l’aide de l’outil professionnel CYPECAD qui
est l’un des sous-logiciel du logiciel CYPE. Notre superstructure est constituée de poteaux,
poutres, voiles, cloisons et planchers. Nous avons laissé le soin à l’outil de pré-dimensionner et
de générer les semelles correspondantes aux charges qu’elles reçoivent après les calculs. Nous
avons effectué la modélisation en se basant sur les méthodes suivantes.
• Paramétrage du logiciel
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Pour ce faire il faudra d’abord faire définir les niveaux et les cotes/hauteurs [Nouveau niveau]
Puis on fait appel au fond de plan.Dxf (fichier Auto CAD des différents plans de coffrages
dessinés) de chaque plancher que l’on attribuera aux différents niveaux respectifs [Editer fonds
de plan]
Par la suite on peut introduire nos différents poteaux et les différents paramètres qui leurs sont
liés [Nouveau poteau] et venir s’accrocher à chaque emplacement respectif sur le fond de plan.
Pour modéliser nos poutres ou soit la fondation on passe à la fenêtre [Entrée poutres]
Quel que soit le type de dalle la modélisation est pareil. Nous sélectionnons l’onglet [Plancher]
puis nous choisissons les caractéristiques de la dalle, le sens de portée parallèle à la poutre et
cliquons uniquement sur le panneau et il apparait.
• Modélisation du chargement
NB : les différentes charges ont été recensées plus haut dans les Tableau 1, Tableau 2, Tableau
3
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Le calcul dans son ensemble a été fait à l’aide de l’outil CYPECAD, mais ici il sera présenté
les différents les plus sollicités (chargés).
III.3.1 Planchers
Le plancher concerné est situé au plancher haut sous-sol au-dessus du parking. La dalle au-
dessus du parking est une dalle pleine d’épaisseur 20 cm et est constituée de trois panneaux
continues. Elle recevra la circulation des véhicules dont l’hypothèse de charge est de 1 t/m2 soit
10 kN/m2 comme charge d’exploitation à prendre en plus de son utilisation normale.
Nous considérons une bande de 1,00 m prise comme largeur et dont la hauteur sera l’épaisseur
de la dalle.
Pour les dalles continues, constituées de panneaux rectangulaires considérées comme encastrés
sur leurs bords, le calcul des moments de flexion s’effectue de la manière suivante :
Comme notre dalle vas subir des intempéries, les calculs seront faits en fissuration
préjudiciable. Nous avons donc comme valeurs selon l’état de calcul qui est l’ELS :
Remarque : Dans la réalité, les dalles en BA ne sont pas articulées sur leurs contours. Nous
prenons en compte un moment d’encastrement, qui permet de diminuer dans une certaine
mesure la valeur des moments en travée déterminés pour la dalle articulée [3].
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Les moments dans les panneaux sont pris égaux à ces moments « isostatiques » multipliés par
des coefficients forfaitaires.
III.3.2 Poutres
a. Poutre continue
La poutre continue située sur le fil Y56 au niveau du Plancher haut Sous-sol de section 50x90
cm2 est repartie sur 03 travées. Elle est la plus chargée.
Le règlement BAEL donne des méthodes de calcul simplifié qui s’applique à l’ELU et à l’ELS
pour le calcul des poutres de planchers : [2]
La méthode forfaitaire : pour les éléments de planchers supportant des charges d’exploitation
modérées.
La méthode de Caquot : pour les éléments de planchers supportant des charges d’exploitation
élevées.
La méthode dite de Caquot minorée : pour les éléments de planchers supportant des charges
d’exploitation modérées, quand les conditions applicables à la méthode forfaitaire ne sont pas
vérifiées.
Ces méthodes sont un excellent recours aux méthodes de la Résistance des matériaux (à
l’exemple de la méthode des trois moments) qui sont quelque fois très fastidieuses. Notons
toutefois que, compte tenu du caractère approximatif de ces méthodes, et de la complexité du
chargement qui est appliqué à la poutre, nous préfèrerons déterminer les valeurs des moments
en utilisant le logiciel CYPE.
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Le Tableau 4 présente le récapitulatif des moments à L’ELU et à l’ELS. Il présente les résultats
des sollicitations agissant sur cette poutre. Ces sollicitations sont utilisées pour effectuer le
calcul des aciers à disposer dans la poutre. Les détails de calcul sont présentés en Annexe 6.
Après calcul, on obtient des sections d’aciers : 4HA20 1er lit, 4HA16 2nd lit et 4HA12 3ième lit
en travée ; et sur les appuis 4HA20 1er lit, 4HA16 2nd lit et 4HA16 3ième lit. Les plans de
ferraillages sont joints en Annexe 6.
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b. Poutre isostatique
La poutre isostatique située sur le fil X26 au niveau du plancher haut sous-sol de section 30*80
cm2 est la plus chargée. Nous avons obtenu les valeurs des moments grâce au logiciel CYPE.
Les diagrammes des sollicitations obtenus sont présentés sur les Figure 7 et Figure 8.
Le Tableau 5 présente le récapitulatif des moments à L’ELU et à l’ELS. Ce tableau présente les
résultats des sollicitations agissant sur cette poutre permettra le calcul de celle-ci et son
obtention des sections d’aciers.
Les sections d’aciers obtenues sont récapitulées comme suit : 4HA16 1er lit et 4HA14 2nd lit en
travée ; et sur les appuis 4HA10 1er lit et 2HA10 2nd lit.
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III.3.3 Poteaux
Le poteau P50 de forme rectangulaire a une section de 150*125 cm2. IL située au niveau du
sous-sol et est le plus chargé.
La descente de charge sur CYPE nous donne une charge à L’ELU Nu = 17,52 MN.
III.3.4 Escaliers
Données récapitulatives de notre escalier calculé :
Les sections d’aciers obtenues sont récapitulées comme suit : 6HA14 en aciers principaux et
6HA8 en aciers de répartitions.
Après descente de charge nous avons une charge à l’ELU de 984 kN/ml et de 714,74 kN/ml
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Les sections d’aciers obtenues sont récapitulées comme suit : 2*6HA16 en transversale et
2*4HA12 en horizontale.
III.3.6 L’acrotère
L'acrotère est un élément secondaire non structural encastré au plancher terrasse, soumise à une
flexion composée due à un effort normal provoqué par son poids propre, et un moment
fléchissant provoqué par la main courante. Il forme un rebord suffisamment haut ou s'équipe
d'un garde-corps, dans le cas d'une terrasse accessible. L'acrotère doit avoir au minimum 15 cm
de hauteur pour permettre le relevé d’étanchéité. Il est dit « haut » ou « bas », selon qu'il
dépasse ou non 30 cm de hauteur.
Nous avons une charge permanente de 3,85kN/ml, une charge d’exploitation de 1 kN/ml et son
poids propre qui
est de 2,73 kN/ml.
La Figure 9 suivante
présente le schéma
de l’acrotère.
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Les sections d’aciers obtenues sont récapitulées comme suit : 4HA10 en transversale et 4HA6
en horizontale.
a. Joint de dilatation
Le béton est un matériau qui réagit aux variations de température ; en cas de fortes chaleurs il
se dilate, tandis que le froid le fait se rétracter.
Le joint de dilatation est celui qui va offrir au béton sa liberté de mouvement naturel, sans
risquer d’endommager la structure de l’édifice. Grâce au joint de dilatation, les différentes
parties d’un bâtiment peuvent se mouvoir indépendamment les unes des autres.
b. Joint de retrait
On réalise les joints de retrait à la scie mécanique, entre deux joints de dilatation. Ils facilitent
le retrait du béton (d’où le nom de joint de retrait), ce qui permet de contrôle l’emplacement et
les effets d’un potentiel phénomène de fissuration sur le bâtiment.
c. Joint de rupture
Lorsqu’une structure est constituée d’éléments de poids différents, ou qu’une autre y est
accolée, il peut survenir un phénomène de tassement différentiel. Celui-ci représente un risque
pour les fondations du bâtiment, qu’il convient de scinder à l’aide de joints de rupture.
d. Joint de construction
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Enfin, lors d’un arrêt prolongé du bétonnage au cours d’un chantier de construction, on réalise
des joints de construction sur les dalles de béton.
Selon la taille de la dalle béton et l’utilisation qui en sera faite dans le futur, il est possible
d’intégrer aux joints de construction des goujons. Ces barres d’acier vont venir consolider la
structure, en reprenant d’une part les efforts de cisaillement tout en permettant les mouvements
horizontaux.
NB : Pour ce projet les joints qui ont été utilisés sont le joint de dilation du fait de la grande
portée du bâtiment, il va offrir au béton sa liberté de mouvement naturel, sans risquer
d’endommager la structure de l’édifice, les différentes parties d’un bâtiment peuvent se
mouvoir indépendamment les unes des autres et le joint de rupture pour prévenir les
tassements différentiels des fondations. Ceux-ci sont engendrés par les forces verticales et
horizontales exercées sur les fondations et qui risquent de les fragiliser. [7][8].
Conclusion partielle
Il était question de ressortir dans ce chapitre, les dimensions des éléments structuraux en
superstructures par le prédimensionnement, puis de faire ressortir les sections d’aciers de ces
éléments. Nous présenterons ceux des éléments en infrastructure dans le prochain chapitre.
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Les essais réalisés ont pour but de déterminer les caractéristiques physiques des sols rencontrés
ainsi que leur capacité portante, afin de permettre au bureau d’étude technique de faire un choix
et le dimensionnement judicieux des fondations de l’immeuble à construire. Le terrain concerné
est un trapèze d’une superficie de 3 780 m2 environ. Il est situé dans le quartier Nyèkonapoè, en
bordure du boulevard du 13 janvier, et entre les immeubles de l’UTB circulaire et de l’UAT.
Comme résultats obtenus après la reconnaissance technique au travers de ses différents essais
on peut retenir :
• Les essais au pressiomètre ont montré un sol très compact à partir de 3m avec des
pressions limites supérieures à 20 bars soit 2 MPa. Ce sont des sols de catégories Ⅱ et
Ⅲ.
• Lors de l’exécution des sondages, la nappe phréatique a été rencontrée entre 1,60 m et
1,90 m, donc en moyenne à une profondeur de 1,75 m.
• Pour le calcul des fondations une contrainte admissible de 3,5 bars soit 0,35 MPa.
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Éventuellement, dans le cas de sous-sols utilisables (parking, garages, caves ...) ou en vue
d'obtenir un sous-sol étanche (cuvelage).
IV.2.2 Radier
Aux vues de ses critères de choix par rapport à notre projet notre choix se portera sur les
fondations superficielles de type radiers.
Un radier est une dalle plane, éventuellement nervurée, constituant l'ensemble des fondations
d'un bâtiment. Il s'étend sur toute la surface de l'ouvrage. Elle comporte parfois des débords
(consoles extérieures). Comme toute fondation, elle transmet les charges du bâtiment, sur
l’ensemble de sa surface, au sol. Les avantages de la semelle unique :
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Un radier est défini comme étant une fondation superficielle travaillant comme un plancher
renversé dont les appuis sont constitués par les poteaux de l’ossature et qui est soumis à la
réaction du sol diminuées du poids propre du radier [7].
Après calcul des sollicitations par le logiciel CYPE, on obtiendra comme sections d’aciers :
NB : Une vérification au poinçonnement a été fait grâce à l’aide du logiciel CYPECAD. Nous
présenterons en Annexe 12 un schéma des dispositions des aciers de poinçonnement crées sous
l’effet du poteau le plus chargé.
Les aciers de poinçonnement utilisés sont de type poutres et placés sur la nappe supérieure de la
dalle dans les deux sens pour lutter contre l’effet de poinçonnement.
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a. Les nervures
La base des nervures doit dépasser au moins la section des poteaux qu’elles coupent. On
choisira un base 50 cm contre une section de poteaux de 45*30 cm2.
Après calcul des sollicitations par le logiciel CYPE, on obtiendra comme sections d’aciers :
- Les nervures disposées dans le sens xx : 2*4HA14 en travée et 4HA14 1er lit,
4HA10 2nd lit en appui.
- Les nervures disposées dans le sens yy : 2*4HA12 1er lit, 4HA10 2nd lit en travée et
4HA10 1er lit, 4HA10 2nd lit en appui.
b. La paillasse
La paillasse (épaisseur 40 cm) est par sa nature un élément bidimensionnel et la distribution des
moments dans ces éléments particuliers ne relève pas de la théorie simplifiée de la RDM mais
plutôt d’une théorie beaucoup plus développée « la théorie des plaques et coque ».
Mais pour simplifier la chose nous pouvons assimiler une plaque et donc la paillasse du radier
comme une superposition de la poutre dans le sens x et y.
Après calcul des sollicitations par le logiciel CYPE, on obtiendra comme sections d’aciers :
Le voile est un élément structural de contreventement en béton armé coulés sur place soumis à
des forces verticales et des forces horizontales donc le ferraillage du voile consiste à déterminer
les armatures sous l’action des sollicitations verticales dues aux charges permanentes (G) et aux
surcharges d’exploitation(Q).
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L’épaisseur est déterminée en fonction de la hauteur libre d’étage (he) et des conditions de
rigidité aux extrémités.
4,85 4,85 4,85 4,85
𝑒 ≥ max ( ; ; )=
25 22 20 20
IV.5 Etanchéité
Le niveau du radier étant situé sous le niveau des plus hautes eaux connues de la nappe
phréatique, il faudra donc prévoir un système d’étanchéité au niveau du sous-sol (radier, mur
enterré). Cela peut s’obtenir de trois manières différentes :
• A l’aide d’un béton adjuvanté avec un hydrofuge de masse, la moins coûteuse des
solutions, mais attention aux reprises de bétonnage et aux fissures qui limitent l’usage
de cette solution,
• A l’aide d’un cuvelage par l’intérieur, relativement aisé à réaliser mais peu efficace (il
ne garantit pas des remontées capillaires dans les voiles périphériques),
• A l’aide d’un cuvelage par l’extérieur, efficace mais difficile à réaliser et coûteux.
Par ailleurs il faudra aussi prévoir une étanchéité dans les salles d’eau et les toitures. Une
douche est étanche lorsqu’elle bénéficie d’une protection à l’eau sous carrelage, y compris des
murs. L’étanchéité d’une toiture n’est pas une donnée à prendre à la légère, et le problème se
pose avec une acuité toute particulière pour les toitures-terrasses, qu’elles soient végétalisées
ou « accessibles ». Car étanchéiser une toiture ne se résume pas à appliquer un unique
revêtement sur la construction. Le processus doit être effectué en adéquation avec la structure,
l’élément porteur, la couche d’isolant, l’acrotère.
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Conclusion partielle
Ce chapitre qui était dédié à l’étude de la fondation a fait ressortir la notice de l’étude sol, les
critères de choix du type de fondation, son prédimensionnement et dimensionnement. Par
conséquent marque la fin de cette étude, mais sans toutefois oublier les avantages et
inconvénients de ce chantier lors de sa réalisation, on se doit donc de présenter une notice
d’EIES dans le prochain chapitre.
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C’est un outil utilisé par la norme ISO 14001 et pour faire une analyse du cycle de vie. L’EIE a
donc pour objectif principal de prévenir de nouvelles dégradations de l’environnement liées aux
activités humaines.
• Arroser la surface d’eau afin qu’elle soit visiblement humide ou qu’elle ait au moins
12% de teneur d’humidité du sol ;
• Limiter les vitesses des engins à moins de 25km/h ;
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Conclusion partielle
Parvenu au bout de ce chapitre qui était question de présenter les aspects positifs et négatifs de
la réalisation de ce chantier mais également les mesures de compensation et d’atténuation.
Nous allons présenter par la suite la conclusion générale.
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CONCLUSION GÉNÉRALE
En conclusion il était question d’effectuer une étude d’ingénierie d’un bâtiment R+9 avec sous-
sol. Cette étude s’est déroulée suivants des règles et des normes puis une étude structurale, dans
laquelle nous avons eu à effectuer la conception, le dimensionnement de quelques éléments
structuraux en infrastructure et en superstructure.
Le choix des méthodes et types de calculs (flexion simple – flexion composé – compression
simple…) est important pour la réalisation des plans d’exécution. Avant tout calcul, l’ingénieur
doit, en fonction des ouvrages et des sollicitations choisir les méthodes de calcul et faire des
hypothèses en fonction des réalités du site (FPP - FP - FTP). La modélisation et le
dimensionnement de la structure ont été menés principalement à l’aide du logiciel CYPE, pour
des multiples avantages comme (la précision, la capacité du calcul, ...) et la complexité de la
structure et des paramètres à prendre en compte. Ces résultats ont été utilisés pour les dessins
des plans de ferraillages en tenant compte des aspects techniques que financiers (avoir l’esprit
économique pour faire gagner de l’argent). Bien que le béton ait une bonne résistance à l’eau, il
peut être associé à des produits d’étanchéité respectant les normes internationales pour
renforcer la pérennité de l’ouvrage en fondation.
Ainsi nous avons obtenu après calcul des sections d’aciers : 4HA20 1er lit, 4HA16 2nd lit et
4HA12 3ième lit en travée pour ce qui est de la poutre continue étudiée, ce qui est du poteau
4HA16 dans les angles, 20HA12 suivant le plus grand côte, 10HA12 suivant le plus petit côté
c’est ce qui en est de quelques résultats en superstructure. Pour parler de ceux en infrastructure
on retiendra qu’on a obtenu pour le radier dalle une épaisseur de 75 cm ferraillé en deux nappes
donc en nappe inférieure HA20 tous les 15 cm dans les deux directions et en nappe supérieure
HA16 tous les 15 cm dans les deux directions, pour le radier nervuré on a obtenu une épaisseur
de 40 cm et des nervures de sections 50*80 cm2.
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BIBLIOGRAPHIE/WEBOGRAPHIE
[1] NEUFERT, E. (7è édition). « Les éléments des projets de construction ». Ed. DUNOD.
[5] THONIER, Henry. (Edition 1999 Tome 1) « Conception et calcul des structures de
bâtiment ».
[6] https://www.univ-chlef.dz/fgca/chapitre-2-fondations.pdf
[7] THONIER, Henry. (Edition 1999 Tome 2) « Conception et calcul des structures de
bâtiment ».
[8] H. RENAUD et J. LAMIRAULT. Les Editions FOUCHER (1993). « Béton armé – Guide
de calcul ».
[9] Ali BOUAFIA. Génie Civil. Conception et calcul des ouvrages géotechniques. « Cours et
Applications ».
[11] Samy, LEBELLE. (2005). « Eléments en béton armé selon le BAEL 91 additif 99 »,
Ouagadougou : EIER-ETSHER.
[12] M. PERCHAT « cours de béton armé ». Centre des hautes études de la construction
(CHEC) en France.
[13] J.P MOUGIN, Editions Eyrolles (1995), « Béton armé, BAEL 91 et DTU associé »
[14] F. PAYE « Cours de béton armé 2006 de l’école supérieure polytechnique (Sénégal) »
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ANNEXES
Annexe 1 : Plans de niveau ........................................................................................................... I
Annexe 2 : Constitution architecturale et superficies des pièces ................................................. X
Annexe 3 : Différentes Vues en coupe et plans architecturaux ................................................. XV
Annexe 4 : Plans de coffrage................................................................................................. XXIII
Annexe 5 : Notes de calculs et plan de ferraillage de la dalle .......................................... XXXVII
Annexe 6 : Notes de calculs et plan de ferraillage de la poutre continue.............................. XLIII
Annexe 7 : Notes de calculs et plan de ferraillage de la poutre isostatique ....................... XLVIII
Annexe 8 : Notes de calculs et plan de ferraillage du poteau ................................................... LII
Annexe 9 : Notes de calculs et plan de ferraillage de l’escalier ..............................................LVII
Annexe 10 : Notes de calculs et plan de ferraillage du voile de la cage d’ascenseur .............. LXI
Annexe 11 : Notes de calculs et plan de ferraillage de l’acrotère .......................................... LXV
Annexe 12 : Notes de calculs et plan de ferraillage du radier dalle ................................... LXVIII
Annexe 13 : Notes de calculs et plan de ferraillage radier nervuré........................................ LXX
Annexe 14 : Notes de calculs et plan de ferraillage du voile périphérique ..................... LXXXIII
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Nous allons calculer ce panneau (panneau de rive) en flexion simple comme une poutre de 1m
de large et de hauteur l’épaisseur de la dalle.
Dans le sens x
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.182 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟏𝟐𝟓, 𝟑 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒕𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
55,3 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑥 = ∗ 10^4
1
0.18 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
4-Espacement Sto.
L’espacement Sto est donné par la méthode forfaitaire suivante :𝑆𝑡𝑜 ≤ 𝑀𝑖𝑛[3 ∗ ℎ𝑜; 33 𝑐𝑚] =
𝑀𝑖𝑛⌈60; 33 𝑐𝑚⌉
Par ailleurs, compte tenu du cas de fissuration (préjudiciable), l’article A.4.5.33 stipule que
dans le cas des dalles et des voiles faisant au plus 40 cm d'épaisseur, l'écartement des
armatures d'une même nappe est au plus égal à la plus petite des deux valeurs 25 cm et 2 h (h
désignant l'épaisseur totale de l'élément). Ainsi 𝑆𝑡𝑜 ≤ 25 𝑐𝑚
On choisit donc Sto = 20 cm à raison de 6HA12 comme Aciers sur 1,00 m de base.
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.182 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟏𝟐𝟓, 𝟑 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑎𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒂𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒂𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
10,37 ∗ 10−3
𝐴𝑎𝑥 = ∗ 10^4
1
0.18 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
• Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Dans le sens y
Le moment sur appui intermédiaire : 0,4*Moy = 11,5 KN/ml (Moment max en appui)
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.182 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟏𝟐𝟓, 𝟑 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒚 1
𝑨𝒕𝒚 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
31,54 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑦 = ∗ 10^4
1
0.18 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
4-Espacement Sto.
L’espacement Sto est donné par la méthode forfaitaire suivante :𝑆𝑡𝑜 ≤ 𝑀𝑖𝑛[3 ∗ ℎ𝑜; 33 𝑐𝑚] =
𝑀𝑖𝑛⌈60; 33 𝑐𝑚⌉
Par ailleurs, compte tenu du cas de fissuration (préjudiciable), l’article A.4.5.33 stipule que
dans le cas des dalles et des voiles faisant au plus 40 cm d'épaisseur, l'écartement des
armatures d'une même nappe est au plus égal à la plus petite des deux valeurs 25 cm et 2 h (h
désignant l'épaisseur totale de l'élément). Ainsi 𝑆𝑡𝑜 ≤ 25 𝑐𝑚
On choisit donc Sto = 20 cm à raison de 4HA12 comme Aciers sur 1,00 m de base.
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.182 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟏𝟐𝟓, 𝟑 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑎𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒂𝒔𝒆𝒓𝒚 1
𝑨𝒂𝒚 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
11,5 ∗ 10−3
𝐴𝑎𝑦 = ∗ 10^4
1
0.18 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
• Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Condition de non
𝑓𝑡28 𝟏, 𝟗𝟗 𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
fragilité Astmin 𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒 Ok
(Astmin<Atx)
Calcul des armatures sur
appuis Aax
DANS LE SENS YY
Hypothèses de calcul :
Mtu = 0,64397 MN.m ; Mtser = 0,45936 MN.m ; Fc28 = 30 MPa ; Fe = 500 MPa ; b = 50 cm
; h = 90 cm ; d = 81 cm ; Fbu = 17 MPa ; Fsu = 434,78 MPa ; Ft28 = 2,4 MPa.
𝑀𝑡𝑢
𝜇𝜇 =
𝑏 ∗ 𝑑 2 ∗ 𝑓𝑏𝑢
AN: 𝝁𝝁 = 𝟎, 𝟏𝟏𝟓
Calcul de αu
AN : 𝜶𝒖 = 𝟎, 𝟏𝟓𝟒
𝑍𝑢 = 𝑑 ∗ (1 − 0,4𝛼𝑢 )
AN : 𝒁𝒖 = 𝟎, 𝟕𝟔 𝒎
𝑀𝑡𝑢
𝐴𝑠𝑡 =
𝑍𝑢 ∗ 𝑓𝑠𝑢
4. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Nous choisirons donc 4H20 1er lit, 4H16 2ième lit et 4H12 3ième lit pour un total de section :
25,13 cm2.
𝑀𝑎𝑝𝑝𝑢
𝜇𝜇 =
𝑏 ∗ 𝑑 2 ∗ 𝑓𝑏𝑢
AN : 𝝁𝝁 = 𝟎, 𝟏𝟏𝟒
Calcul de αu
AN : 𝜶𝒖 = 𝟎, 𝟏𝟓𝟐
𝑍𝑢 = 𝑑 ∗ (1 − 0,4𝛼𝑢 )
AN : 𝒁𝒖 = 𝟎, 𝟕𝟔 𝒎
𝑀𝑎𝑝𝑝𝑢
𝐴𝑠𝑡 =
𝑍𝑢 ∗ 𝑓𝑠𝑢
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Nous choisirons donc 4HA20 1er lit, 4HA16 2ième lit et 4HA16 3ième lit pour un total de
section : 28,65 cm2.
𝑉𝑢
𝜏𝑢 =
𝑏∗𝑑
AN: 𝜏𝑢 = 0,94 𝑀𝑃𝑎
ℎ 𝑏
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
900 500
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
ℎ 𝑏
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
Choix d’une section d’acier transversal. HA 8
900 500
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛
35 10
Si ℎ > 70 𝑐𝑚 , alors il faut prévoir des
ACIERS DE PEAU 2*(4H10)
aciers de peau
1. Hypothèses de calcul :
Mtu = 0,3 MN.m ; Mtser = 0,2 MN.m ; Fc28 = 30 MPa ; Fe = 500 MPa ; b = 30 cm ; h = 80
cm ; Fbu = 17 MPa ; Fsu = 434,78 MPa ; Ft28 = 2,4 MPa.
𝑀𝑢
𝜇𝜇 =
𝑏 ∗ 𝑑 2 ∗ 𝑓𝑏𝑢
AN : 𝝁𝝁 = 𝟎, 𝟏𝟏𝟑
Calcul de αu
AN : 𝜶𝒖 = 𝟎, 𝟏𝟓𝟏
𝑍𝑢 = 𝑑 ∗ (1 − 0,4𝛼𝑢 )
AN : 𝒁𝒖 = 𝟎, 𝟔𝟖 𝒎
𝑀𝑢
𝐴𝑠𝑡 =
𝑍𝑢 ∗ 𝑓𝑠𝑢
4. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
𝑉𝑢
𝜏𝑢 =
𝑏∗𝑑
𝑢 𝑉
AN: 𝜏𝑢 = 𝑏∗𝑑
ℎ 𝑏
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
800 300
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
0.9 ∗ 𝑓𝑠𝑢 ∗ 𝐴𝑡
𝑆𝑡0 ≤
(𝜏𝑢 − 0.3 ∗ 𝑓𝑡28 ) ∗ 𝑏
0.9∗𝑓𝑠𝑢 ∗𝐴𝑡
AN: 𝑆𝑡0 ≤ (𝜏
𝑢 −0.3∗𝑓𝑡28 )∗𝑏
1. Vérification.
𝐴𝑡 ∗ 𝑓𝑒
𝑆𝑡0 ≤
0.4 ∗ 𝑏
𝐴 ∗𝑓
𝑡 𝑒
AN: 𝑆𝑡0 ≤ 0.4∗𝑏
ℎ 𝑏
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛)
35 10
Choix d’une section d’acier transversal. HA 6
900 500
∅𝑡 ≤ 𝑀𝑖𝑛( ; ; ∅𝑙𝑚𝑖𝑛
35 10
Si ℎ > 70 𝑐𝑚 , alors il faut prévoir des
ACIERS DE PEAU 2*(5HA8)
aciers de peau
Dimensions du poteau : Grand côté du poteau b = 1,50 m ; Petit côté du poteau a = 1,25 m
Nu/2 appliqué. Avant 28 j ===> K= 1.2 =>> On remplace Fc28 par Fcj
II-RESULTATS
Longueur de flambement :
Coefficient d'élancement a :
Section théorique d'acier : Ath = [(Nu / a) - ((Br x Fc28) / 1.35)] x (1.15 / Fe) = -246,34 cm²
Diamètre des aciers transversaux : ϕt < (ϕl / 3) ; ϕt =5,33 mm donc un minimum de 6mm
Dispositions constructives
Armatures longitudinales :
Nombre de contremarches n : 23
Emmarchement : 1,47 m
II- SOLLICITATION
Moment fléchissant : Mu= 40 KN.m obtenu après le calcul des sollicitations par le logiciel
CYPE.
𝑀𝑡𝑢
𝜇𝜇 =
𝑏 ∗ 𝑑 2 ∗ 𝑓𝑏𝑢
AN: 𝝁𝝁 = 𝟎, 𝟎𝟖𝟏
Calcul de αu
AN : 𝜶𝒖 = 𝟎, 𝟏𝟎𝟓
𝑍𝑢 = 𝑑 ∗ (1 − 0,4𝛼𝑢 )
AN : 𝒁𝒖 = 𝟎, 𝟏𝟑 𝒎
𝑀𝑡𝑢
𝐴𝑠𝑡 =
𝑍𝑢 ∗ 𝑓𝑠𝑢
IV-ACIERS DE REPARTITIONS
𝐴𝑠𝑡
𝐴𝑠𝑡𝑟 =
4
𝐴𝑠𝑡
Astr 𝐴𝑠𝑡𝑟 = 𝟏, 𝟕𝟕 𝒄𝒎𝟐
4
Choix des aciers 1er lit 6HA8
Le calcul du voile se fera comme celui d’un poteau rectangulaire en compression. Nous allons
considérer une bande de 1m de largeur.
II-RESULTATS
Longueur de flambement :
Coefficient d'élancement a :
Section théorique d'acier : Ath = [(Nu / α) - ((Br x Fc28) / 1.35)] x (1.15 / Fe) = -22 cm²
2. 𝐴𝑠𝑣
𝐴𝑠ℎ ≥ max( ; 0,001 ∗ 𝑒)
3
AN : 𝑨𝒔𝒉 ≥ 𝟔, 𝟒 𝒄𝒎𝟐 /𝒎 nous aurons donc 2*4HA12 espacé de 25 cm.
vérifié
Choix d'une section commerciale Sections d’aciers verticaux 2*6HA16
2. 𝐴𝑠𝑣
𝐴𝑠ℎ ≥ max( ; 0,001 ∗ 𝑒) 𝟔, 𝟒 𝒄𝒎𝟐 /𝒎
Sections d’aciers horizontaux 3
Choix de la section 2*4HA12
II-LES SOLLICITATIONS
Donc la section est partiellement comprimée et l’état limite ultime n’est pas atteint, le %
minimum d’armature utiliser sera : 𝐴 = 4 𝑐𝑚2
𝑚𝑙
𝐴
𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 ; 0,2% ≤ ≤ 5%
𝐵
ℎ
Le moment fictif Mf 𝑀𝑢𝑓 = 𝑀𝑢 + 𝑁𝑢 ( − 𝑐) 10,65 kN.m
2
Pour la flexion composée avec section partiellement comprimée, on calcul en flexion simple avec un moment fictif
Muf
𝟎, 𝟎𝟗𝟖
𝑀𝑢 𝜇𝜇 < 0.392
Moment réduit ultime : 𝝁𝝁 𝜇𝜇 =
𝑏 ∗ 𝑑 2 ∗ 𝑓𝑏𝑢 Donc pas
d’aciers
comprimés.
Donc le calcul étant complexe avec l’entrée de plusieurs paramètres. On va laisser le soin de
présenter la méthode de calcul du logiciel et d’optimiser les sections d’aciers après calcul par
ce dernier.
Cette méthode de dimensionnement est une méthode numérique qui est celle de la
discrétisation.
En fait, le sol manifeste un comportement non linéaire prononcé trahissant ainsi toutes les
hypothèses de l’élasticité.
Tous ses aspects, représentants un handicap pour les méthodes analytiques, peuvent être pris
en compte lors d’un calcul la méthode des éléments finis ou de différences finies [9].
I-HYPOTHESE
Base : 50 cm largeur supérieure à celle du plus grand poteau qui est de 45 cm.
Pour ferrailler les nervures, on est tenu de déterminer le diagramme du moment de flexion le
long de ces dernières.
Dans le sens x
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = 2 ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 3 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = 2 ∗ 0.5 ∗ 0.452 ∗ 0.52 ∗ (1 − 3 ∗ 0.52) ∗ 18
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟑𝟗𝟏, 𝟕𝟐 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒕𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
80,36 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑥 = ∗ 10^4
1
0.45 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
𝑨𝒕𝒙 = 𝟖, 𝟔𝟒 𝒄𝒎𝟐
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟑𝟗𝟏, 𝟕𝟐 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑎𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒂𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒂𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
111,32 ∗ 10−3
𝐴𝑎𝑥 = ∗ 10^4
1
0.45 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
• Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Soit 4HA14 en 1er lit et 4HA10 en 2nd lit comme choix de section d’acier sur appui.
Dans le sens y
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = 2 ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 3 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = 2 ∗ 0,5 ∗ 0.452 ∗ 0.52 ∗ (1 − 3 ∗ 0.52) ∗ 18
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟑𝟗𝟏, 𝟕𝟐 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒕𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
20,78 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑥 = ∗ 10^4
1
0.45 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.452 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟑𝟗𝟏, 𝟕𝟐 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑎𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑 ′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒂𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒂𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
69,80 ∗ 10−3
𝐴𝑎𝑥 = ∗ 10^4
1
0.45 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
• Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
Soit 4HA10 1er lit et 4HA10 2nd lit comme choix de section d’acier.
tendus (Atx).
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 𝟖, 𝟔𝟒 𝒄𝒎𝟐
𝑨𝒕𝒙 𝑨𝒕𝒙 =
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 2*4HA14
Condition de non
𝑓𝑡28 𝟐, 𝟓 𝒄𝒎𝟐
fragilité Astmin 𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒 Ok
(Astmin<Atx)
Calcul des armatures sur
appuis Aax
DANS LE SENS YY
𝑴𝒂𝒔𝒆𝒓𝒚
𝑨𝒂𝒚 𝑨𝒂𝒚 = 𝟕, 𝟓 𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡
Condition de non
𝑓𝑡28 𝟐, 𝟓 𝒄𝒎𝟐
fragilité Astmin 𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒 Ok
(Astmin<Aty)
1er Lit 4HA10
Choix des sections
ième
2 Lit 4HA10
ETUDE DE LA PAILLASE
I-HYPOTHESE
Nous allons calculer ce panneau (panneau de rive) en flexion simple comme une poutre de 1m
de large et de hauteur l’épaisseur de la dalle.
𝐿𝑚𝑎𝑥
Epaisseur de la dalle : 40cm (prédimensionnement par la formule empirique 𝑒 = 𝐿∶
30
Comme notre dalle vas subir des intempéries, les calculs seront faits en fissuration
préjudiciable. Nous avons donc comme valeurs selon l’état de calcul qui est l’ELS :
Dans le sens x
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0,362 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟓𝟎𝟏, 𝟒 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒕𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
193,73 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑥 = ∗ 10^4
1
0.36 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
4-Espacement Sto.
L’espacement Sto est donné par la méthode forfaitaire suivante :𝑆𝑡𝑜 ≤ 𝑀𝑖𝑛[3 ∗ ℎ𝑜; 33 𝑐𝑚] =
𝑀𝑖𝑛⌈120; 33 𝑐𝑚⌉
Par ailleurs, compte tenu du cas de fissuration (préjudiciable), l’article A.4.5.33 stipule que
dans le cas des dalles et des voiles faisant au plus 40 cm d'épaisseur, l'écartement des
armatures d'une même nappe est au plus égal à la plus petite des deux valeurs 25 cm et 2 h (h
désignant l'épaisseur totale de l'élément). Ainsi 𝑆𝑡𝑜 ≤ 25 𝑐𝑚
On choisit donc Sto = 15 cm à raison de 7HA20 comme Aciers sur 1,00 m de base.
Dans le sens y
1 1 1 1
𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ d2 ∗ 𝛼𝑠𝑒𝑟 ∗ (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 ) σ𝑏𝑐 = ∗ 1 ∗ 0.362 ∗ 0.52 ∗ (1 − ∗ 0.52) ∗ 18
2 3 2 3
AN: 𝑴𝒔𝒆𝒓𝒃 = 𝟓𝟎𝟏, 𝟒 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍 𝑀𝑡𝑠𝑒𝑟𝑥 < 𝑀𝑟𝑠𝑒𝑟𝑏 𝑝𝑎𝑠 𝑑′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
𝑴𝒕𝒔𝒆𝒓𝒙 1
𝑨𝒕𝒙 = Z = d (1 − 𝛼𝑠𝑒𝑟 )
𝒁 ∗ σ𝑠𝑡 3
80,4 ∗ 10−3
𝐴𝑡𝑥 = ∗ 10^4
1
0.36 ∗ (1 − 3 ∗ 0,52) ∗ 250
3. Condition de non-frangibilité.
𝑓𝑡28
𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒
4-Espacement Sto.
L’espacement Sto est donné par la méthode forfaitaire suivante :𝑆𝑡𝑜 ≤ 𝑀𝑖𝑛[3 ∗ ℎ𝑜; 33 𝑐𝑚] =
𝑀𝑖𝑛⌈60; 33 𝑐𝑚⌉
Par ailleurs, compte tenu du cas de fissuration (préjudiciable), l’article A.4.5.33 stipule que
dans le cas des dalles et des voiles faisant au plus 40 cm d'épaisseur, l'écartement des
armatures d'une même nappe est au plus égal à la plus petite des deux valeurs 25 cm et 2 h (h
désignant l'épaisseur totale de l'élément). Ainsi 𝑆𝑡𝑜 ≤ 25 𝑐𝑚
On choisit donc Sto = 15 cm à raison de 4HA20 comme Aciers sur 1,00 m de base.
Condition de non
𝑓𝑡28 𝟏, 𝟗𝟗 𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
fragilité Astmin 𝐴𝑠𝑡𝑚𝑖𝑛 = 0.23 ∗ 𝑏 ∗ 𝑑 ∗
𝑓𝑒 Ok
(Astmin<Atx)
Calcul des armatures sur
appuis Aax
(Astmin<Aty)
Calcul des armatures sur
appuis Aay
1-Calcul du moment
On prend comme hypothèse pour le calcul des voiles ; un encastrement parfait au niveau du
massif des fondations et libre à l’autre côté.
2𝑃𝐻 1
𝑀𝑠𝑒𝑟 = 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑃 = ∗ ℎ2 ∗ (𝐺𝑑 ∗ 𝐾0 + 𝐺𝑤 )
9√3 2
Gd : Poids spécifique du remblai 18 KN/m3
2-L’effort normal
3-L’excentricité
𝑀
𝑒=
𝑁
AN : e= 0,17 m
𝑀𝑠𝑒𝑟 188,79
𝑒= = = 0,17 𝑚
𝑁𝑠𝑒𝑟 1090,33
𝒆 = 𝟎, 𝟏𝟕𝒎
𝑛𝜎
̅̅̅̅
𝑏𝑐 ∗ 𝑑 15 ∗ 18 ∗ 0.36
𝑦𝑟𝑏 = = = 0,2 𝑚
̅̅̅̅̅̅̅
𝑛∗𝜎 𝑏𝑐 + ̅̅̅̅
𝜎𝑠𝑡 15 ∗ 18 + 250
1 𝑦𝑟𝑏
𝑀𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ 𝑦𝑟𝑏 2 ∗ 𝛼𝑏𝑐 ∗ (d − )
2 3
𝑀𝑟𝑏 = 204 𝑘𝑁. 𝑚/𝑚𝑙 𝑀𝑟𝑏 > 𝑀𝑠𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑠 𝑑′ 𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑚é𝑠
204 ∗ 10−3
𝐴𝑉 =
0,2
(0,36 − 3 ) ∗ 250
L’effort normal N Valeur obtenue par l’étude sur le logiciel 1090,33 KN/ml
0,17 m
L’excentricité e 𝑀 On a donc e<4*h le calcul se
𝑒=
𝑁 fera donc en flexion composée.
CALCUL DES ACIERS
Moment réduit du 1 𝑦𝑟𝑏 𝟐𝟎𝟒 𝒌𝑵. 𝒎/𝒎𝒍
𝑀𝑟𝑏 = ∗ bo ∗ 𝑦𝑟𝑏 2 ∗ 𝛼𝑏𝑐 ∗ (d − ) Avec
2 3 𝑀𝑟𝑏 > 𝑀𝑠𝑒𝑟
𝟑, 𝟐 𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
Aciers verticaux 𝐴𝑉 𝑐𝑚2 /𝑚𝑙 ≥ 0.075𝑒1 (𝑐𝑚)
HA16
𝟒𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
Aciers horizontaux 𝐴𝐻 (𝑐𝑚2 )/𝑚𝑙) ≥ 0.10𝑒1 (𝑐𝑚)
HA12