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AVANT-PROPOS

Au seuil ce cette rédaction qui étale succinctement le déroulement de notre stage,


nous devons nécessairement nous acquitter d’un précieux devoir en remerciant tous ceux qui ont
d’une manière ou d’une autre, favorisé sa réalisation.

A ce titre, nous rendons grâce à Jéhovah Dieu tout puissant de nous avoir soutenu
durant des moments tant difficiles que des joies vaincues tout au long de ce cursus de premier
cycle (graduat) au sein de la faculté des sciences agronomiques de l’université pédagogique
nationale, UPN en sigle.

C’est avec un cœur remplie de joie que nous exprimons notre profonde gratitude
aux autorités académiques, professeurs, chefs de travaux et assistants de l’UPN en générale et
ceux de la faculté des sciences Agronomiques en particulier, car grâce à eux que nous avions pu
puisés une bonne formation durant notre parcours au sein de notre alma mater, l’UPN.

Nous présentons notre sincère reconnaissance aux dirigeants et personnel de la


ferme RAMA, particulièrement la coordinatrice : maman ZOZO KINKUNGU qui a acceptée
sans retours notre demande et donc, nous a permis de faire notre stage au sein de sa ferme. Nous
n’allons pas oublier l’Ir. Lambert le Vice-Coordinateur et nos encadreurs, à l’instar de l’Ir.
NSIMBA David et les chefs départementaux : l’Ir. GUY KANEYA en Agriculture, Dr. Franck
DIAWA à la porcherie et l’Ir Bertin MBWENGE, pour l’hospitalité, la disponibilité, dévouement
et votre encadrement combien bénéfique à notre égard.

Nous ne pouvons tourner cette page sans penser à notre très chère sœur Jolie
KALAMUNGENGA MATSIETO qui ne cesse de nous soutenir afin de parachever notre
formation. Le bon Dieu daignera te combler de ses bienfaits et t’assiste à chaque instant de la vie.

Nos remerciements s’adressent aussi à notre Papa KASOBAKO Nicolas et notre


Maman MAYAYA Honorine qui ont ouvrés pour notre réussite de par votre amour, votre soutien
inconditionnel, vos sacrifices, votre assistance et votre présence dans notre vie.

Merci infiniment à vous mamans MAYAYA TENDA, MAYAYA Beatrice,


MAYAYA NDONGO pour votre apport quotidien sans lequel tout effort intellectuel et de
n’importe quelle nature se voue à un échec.
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Nos amis, NGBOKOLI Bonheur, GBASIA Robert, MANDI Osée, WEMBO,


MASUBU KANZO Tatiana, ISABELLE MUNDJO, EDICOM Minerve, MUKANGA Deborah,
MODESTE Opelele, LOHATENONGO, MUS’HARAMINA Astrid, BRUNO, AKATSHI
LOHENDA Tyna … trouverons ici l’expression de notre reconnaissance.

Avant de clore cette rubrique, nous complimenterons nos frères et sœurs, cousins
et cousines, neveux et nièces : KABEYA JK, Olivier KALA, soumission KALA, Sarah
NIUMBA, Rachel MAMBU, Sulamite IZIKA, Rubain KANGU, Veddry, Clary, KALA
Mardochée, Bénis KALA, Anaëlle, Benoitte, myrte, Cédric KIAKU, MWANZA Timothée,
Myriam, Lydie LUZOLO… pour votre réconfort à chaque étape de notre vie.

Que tous ceux qui ne sont pas explicitement cités ici mais qui se basculent l’espace
avec le sang dans notre cœur, veuillez bien accepter nos remercîments. Vous êtes tellement
nombreux, qu’il y aura toujours des omis faute de temps et d’espace.
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INTRODUCTION

L’université institution par excellence pour la formation de l’élite intellectuelle


d’un pays, poursuit un objectif échelonné sur deux optiques : celle de la formation des
conducteurs d’hommes et celle des concepteurs. Pour se faire, elle allie son enseignement
théorique à la pratique sur le terrain.

C’est ainsi que la faculté des sciences agronomiques de l’université pédagogique


nationale (F.S.A/UPN) organise chaque année, et, ce faisant suite à la volonté du législateur, un
stage d’un mois pour le premier cycle (graduat) afin de permettre aux étudiants de mettre en
pratique les théories apprises à la réalité sur le terrain.

Quant à nous, notre choix a été porté sur la ferme RAMA. Ce choix en faveur
d’une ferme s’est avère impérieux dans la mesure où nous inappliqué non seulement de la
pratique mais aussi et surtout comment vivre le monde rural avec les paysans où nous sommes
appelés de travailler.

Outre l’introduction et la conclusion notre rapport comporte deux chapitres dont la


première brosse brièvement la présentation de la ferme (localisation, historique, objectif,
administration ainsi que les départements) et le second d’attarde tant soit peu, à la description des
activités ou tâches accomplies pendant, le stage. On y trouvera aussi les difficultés rencontrées et
les recommandations.
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CHAPITRE PREMIER PRESENTATION DE LIEU DE STAGE

I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE

Dans la commune de Maluku, au plateau des BATEKE (Maluku 2), dans le groupement
Mongata à 3 km du groupement Mbankana et du camp militaire SOGEA, dans le village impu, à
2 km de la route nationale N°2 et à 150 km au nord Est de la ville province de Kinshasa est située
la ferme RAMA propriété de l’ASBL (ONGD LESA MUSUMA)

I.2. HISTORIQUE

Depuis sa création en 2010, année de l’achat du site de 85.33 hectares devant l’abriter une
ferme appartenant à l’ASBL LESA MUSUMU présidé par l’ancienne épouse regretté Augustin
KATUMBA MWANKE, Mme ZOZO MUBI qui avec l’équipe qu’elle coordonne, s’étaient entre
autre spécialisés en porcherie, l’agrumiculture des clémentiniers, mais surtout dans la pisciculture
car, des rares fermes existantes dans cette région, très peu avaient des étangs a nombre important.
Nous entendons par là supérieur à 3.

Arrivé le 12 mars 2012, que son vice coordonnateur, l’Ir Lambert débutât avec des études
de faisabilité avec des villageois sur le comportement de la rivière LUKWILU traversant la
vallée, en vue de la dévier pour ainsi construire les 23 étangs présents dans la ferme.

Hormis les 48 000 dollars déboursés pour l’achat du terrain devant abriter la ferme, et à la
suite la topographie peu favorable du site c’est-à-dire : une vallée peu large, les arbres, textures
sablo-argileux du sol etc…, 300 000 dollars additionnels ont été nécessaires à l’exécution des
travaux de dessouchement, à la construction des digues et des nouveaux canaux d’amener d’eau
ainsi que à payer la main d’œuvre. Ce, durant les 2 années de construction de ces 23 étangs de
barrage dont la surface moyenne est de 10.43 ares.

Arrivé en 2013, ceux-ci vont recevoir les premiers alevins achetés à Lubumbashi, tandis
que la porcherie a débuté avec 15 males dont un seul géniteur de 40 femelles, quand à l’unité de
production agricole, l’agrumiculture de clémentinier en 2018, les vergers (des manguiers) en
2019. Il est notable de signaler qu’en 2017, la ferme possédait un poulailler qui n’a pu que 2 ans
durant, et elle a poursuivi sa diversification avec la capriculture et l’aviculture, de manière
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expérimentale, ainsi que l’établissement d’une palmerais de la variété Tenera (de palmiers nains)
en 2020.

I.3. EXCEPTION DE LA FERME

La réjouissance d’une grande renommée du ferme RAMA dans la zone est dû aux raisons
suivant :

-Le nombre ainsi que la taille des étangs qu’elle possède.

-La culture des agrumes principalement du clémentinier.

I .4. FINANCEMENT

Jusque-là, la ferme RAMA fonctionne par autofinancement (sur fond propre) et ne possède pas
de partenaires externes.

I.5. OBJECTIF DE LA FERME

Depuis sa genèse, a ce jours la ferme a qu’une vocation : commerciale ou lucrative. De ce


fait, elle s’implique en vue de l’obtention d’une production en quantité et qualité supérieure, dans
de meilleures conditions économiques, de manière d’une part à couvrir tous ses besoins internes
de fonctionnement, d’autre part, contribuer à la sécurité alimentaire des populations, surtout
celles de MALUKU et ses environs.

I.6. ORGANITION ADMINISTRATIVE DE LA FERME

Compte tenu de sa superficie de 85.33 hectares, la ferme RAMA est à ce jours repartie
qu’en trois départements. Comme nous le présente la figure ci-dessous, la ferme et
hiérarchiquement composée d’un coordonnateur(président) secondé par un vice coordonnateur,
en suite viennent les chefs des projets et logistiques, après, les chefs des départements enfin, les
différents ouvriers salariés qui sont permanents et des journaliers :
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1.7. ORGANIGRAMME DE LA FERME

Coordonnatrice :
Maman ZOZO MUDI

Vice Coordonnateur :
Ir
Lambert KIKUNGU

Chef des projets et logistiques


Ir. Guy KABEYA

Porcherie : Pisciculture : Ir. Agriculture : Ir Service :


Dr. Franc Bertin BITARA . Guy KABEYA VENTE
MBIRWA

Agents
salaries et
journaliers
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NB : l’agriculture, la pisciculture, la porcherie ainsi que les autres types d’élevages présent dans
la ferme mais dites non commerciales (canards, caprins) qui font les trois départements sont sous
la coordination de l’ingénieur KABEYA Guy, qui est le responsable permanent.

I.8 PRESENTATION DES DEPARTEMENTS

L’ASBL /ONGD LESA MUSUMA ont débuté ses activités vers l’année 2013.

Comme suit se présente les départements au sein de la ferme :

I.8.1 Département de la pisciculture

Un ingénieur phytotechnicien qui s’est aussi spécialisé dans le domaine piscicole au nom
de MBWENGE Bertin qui supervise ce département.

Ce département compte à la totalité 23 étangs dont la profondeur varie autour de 2m et un lac


naturel de 2 hectares environs. Appart étendu de 2.4 hectares occupés par les étangs, il possède 2
locaux réservés à l’habitation du personnels et un dépôt ou sont conservés les produits
pharmaceutiques, alimentaires ainsi que certains outils de service.

NB : compte tenu du rapprochement de la nappe phréatique avec la prédominance sableuse du


sol avec lequel ont été construits les étangs y occasionne un important lessivage et une forte
perméabilité. Ce qui rend inapproprié ce site à la pisciculture du sol.

Le 23 étang qui constitue le nombre total dans ce site, tous sont des étangs de barrage, dans
lesquels on retrouve une espèce hybride et 3 espèces des poissons provenant de LUBUMBASHI.
Il s’agit de :

1. Le clarias(ngolo) : il se nourrit des poissons mais aussi des aliments qu’on lui fournit. Son
ventre est coloré en blanc.

2. Tilapia micromis : est un poisson carnivore (il se nourrit essentiellement des petits poissons),
caractérisé par la présence de 6 barres de chaque côté, donc est un poisson policier, utile dans le
contrôle de la densité.
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3. Tilapia nilotica : est un poisson qui a un duré de vie de 10 ans. Dans de conditions
appropriées il peut peser 1500 grammes à mois, il n’est pas carnivore, il se nourrit que des
aliments qu’on lui apporte. Grace à sa facilité à se reproduit et son meilleur rendement il devient
un poisson facile à élever dans des étangs de la région tropicale.

Après 6 à 8 mois de la mise en charge des alevins que la pêche intervienne. Ce pendant
pour éviter le nanisme dû aux certaines carences, il est recommandé de procéder avant ces délais,
à 2 ou 3 pêches dites de contrôle. Suite au taux d’oxygène de l’eau de la profondeur et du type de
l’étang (de reproduction, de pré-grossissement …) et de l’espèce piscicole à élever (tilapia :
jusqu’à 10 alevins / m2, clarias : jusqu’à 50 alevins /m2) que dépend la mise en charge de ces
poissons. Pour la production, de manière à avoir 2 poissons par m2, mais 4 femelles pour un mâle
dans une superficie de 2.5 m2 est le sexe ration, pour qu’il y ait la bonne reproduction.

RAMA dispose 3 catégories d’étangs à savoir :

➢ Les étangs de reproduction : on met les mâles et les femelles pour qu’ils se reproduisent.

➢ Les étangs de pré- grossissement : ou l’on met les alevins pour qu’ils se croisent, ainsi la
préparation au sexage intervienne dès qu’ils atteints 3 à 4 grammes.

➢ Les étangs de production ou de grossissement : dans lesquels l’on met les alevins ayant
pris de la taille, soumis à une alimentation appropriée au gain de poids rapide provenant des
étangs de pré-grossissement.
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Le tableau 1 ci-dessous contient les noms et la superficie des étangs

N° Noms des étangs Superficies (ares)


01 Lambert 44.60
02 Joseph 17.50
03 Rama 17.00
04 Palmier 16.32
05 Bracongo 15.00
06 Surprise 13.50
07 Celé 12.90
08 La référence 12.50
09 Paradis 12.47
10 A.K.M 11.92
11 Martin 11.31
12 Vickie 11.31
13 Ex celé 10.50
14 Mazembe 10.32
15 Moshe 10.14
16 Zaïko 7.60
17 Mabanga 6.72
18 Nguma 5.5
19 Jacynth 5.32
20 Lessa musuma 4.62
21 Dieu merci 2.0
22 2016 1.75
23 Espoir 1.20
Total 2.4 Ha
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I.8.2. Département de l’agriculture

Est un département qui est composé de 5 personnes dont l’Ir. NSIMBA David étant
consultant de l’Ir. KABEYA Guy, qui est le chef du département, Mr. KEFER lui qui est le chef
d’équipe et travaux, et de 2 ouvriers : MALI Djo et Grace

Cette unité, actuellement compte beaucoup de spéculations reparties sur plus au moins 7 hectares
de la manière suivante :

❖ Verger de clémentinier (Citrus clementina) qui occupe près de 2 hectares, var Cs/35 réparti
en deux blocs (A et B) il a été mis en place depuis le mois de juin 2017, soit une densité d’au
moins 788 plantes, semés aux écartements de 5 m x 5 m.
❖ La culture d’avocatier (Percea americana L.) semés aux écartements de 10 m x 10 m
compte tenu des autres espèces élevées à la ferme dont les caprins, la majorité de planté ont été
broutées, infecté par leurs salives, conséquence : Nécrose de plusieurs pieds.
❖ La culture de palmier à huile (Elaïs guineesis L.) est un jeune palmerais de la variété tenera
(palmier nains) de 15 mois semées aux de 7 m x 7 m sur 50 ares (5000m2) d’un terrain de 6 %
environs de la pente.
❖ La culture du manguier (Manguifera indica L.) cette culture occupe 1 hectare, d‘une Var
d’origine Togolaise. Les plants sont distants de 10 m en tous sens, planté en culture pure et en
ligne, environ 140m du bloc secondaire (bloc B) des clémentiniers.
❖ La culture de manioc (manihot glaziovii) cette culture occupe 2 hectares, se trouvant
environ 1 km de la culture du verger de clémentinier, mais celle-ci est abandonnée car aucun
effort fournis jusqu’à lors pour son entretien.
❖ Le cachimantier ou cœur de bœuf (Anonna reticulata L.)
Cette occupe une petite espace de 1800m2, semé aux écartements de 5m x 5m.
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I.8.3 Département de la porcherie

Dans la ferme RAMA, le département de la porcherie est l’un de département le plus


anciens.
Le docteur DIAWA François le supervise, suivi d’un technicien MUKE et 4 ouvriers dont : Mr
Solvant, Mr MBUTA, Mr Clovis et Mr David. Ce département comprend 2 bâtiments :
• Le premier à 75 m de longs et 7m de large soit 525 m2 nommé AGA qui constitue
42 loges numérotés dont 6 d’engraissements, 26 normales et 10 maternités.il s’y
trouve aussi 2 dépôts d’aliments, une pharmacie et une chambre pour les
vétérinaires.
• Le deuxième résulte l’ancien poulailler abandonné en 2018 qui mesure… qu’on
appelle Joseph constitue 16 loges numérotés dont 5 d’engraissements, et 11
normales. Il s’y trouve encore 2 dépôts d’aliments, une pharmacie et un local
réservé à l’habitation du personnel.

Le 2 porcheries compte plus au moins … bêtes de multiples races porcines qui sont : Durock,
piétrain, land races et l’hybride(F1) de large white, cette dernière est la plus rustique du milieu
et dont la plupart sont des hybrides de premières espèces (F1). Il y avait des porcelets sevrés,
quelques bêtes gestantes et celles ayant mis bas.

NB : tous ces départements sont alimentés en électricité par des panneaux solaires (au moins 2
pour chaque département). En eaux, grâce soit à des citernes de 5000littres connectées aux
collecteurs d’eaux des pluies et de forage, envie de l’exécution des travaux d’entretien de
bâtiment et alimentation de bétails. Soit encore, directement aux eaux de pluies servant entre
autre en agriculture. Enfin, les eaux de la nappe phréatique et celles de la rivière LUKWILU sont
particulièrement utiles pour les étangs.
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CHAPITRE DEUXIEME : ACTIVITES (TACHES) ACOMPLIES


PENDANT LE STAGE

Ce chapitre étale d’une manière sommaire et chronologique toute les opérations agricoles
que nous avons eu à exécuter, tout en indiquant les départements concernés.

Arrivé sur le lieu de stage lundi le 30 aout 2021, nous étions chaleureusement reçus par le chef de
site l’Ir KABEYA Guy ainsi que l’un de personnel HUGUES.

Etant donné que notre arrivé était déjà la nuit, ce n’est la journée suivante mardi 31 aout
2021 avait été concencrée à une visite guidée de tous les départements, sous la conduite de notre
encadreur local et chef de département de l’agriculture, l’Ir Guy KABEYA, pour la prise de
contact avec les personnels dans leurs unités de productions respectives dans lesquels nous étions
appelés a travaillé.

Le stage a bien débuté le mercredi 01 septembre 2021 à 8 heure jusqu’à mardi le 28


septembre à 10 heure juste.

II .1 AFFECTATION DANS LES DEPARTEMENTS

Pour ce qui est de notre affectation dans les départements, nous avions tous suivis
essentiellement le même chronogramme tout au long de notre séjour. Caractérisé par notre
fréquente présence au sein du département de l’agriculture, suite à plusieurs raisons, à l’instar de
l’indisponibilité des superviseurs des autres départements, l’urgence et importance au niveau de
travail en agriculture supérieur à la main d’œuvre salariée. De ce fait nous avions travaillé
simultanément dans tous le 3 départements.

Ainsi notre affectation a été faite de la manière suivante :

Département de l’agriculture du mercredi le 01 septembre 2021, jeudi le 02


septembre 2021, samedi le 04 septembre 2021, jeudi le 16 septembre 2021,
vendredi 17 septembre, samedi 18 septembre, lundi 20 septembre, mardi 21
septembre, mercredi 22 septembre 2021, jeudi 23 septembre 2021, vendredi 24
septembre 2021, lundi 27 septembre 2021, et mardi 28 septembre 2021.
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▪ Département de la porcherie du vendredi le 03 septembre 2021, jeudi 09


septembre 2021, mardi 14 septembre 2021, et samedi le 18 septembre.
▪ Département de la pisciculture du lundi le 06 septembre 2021, mardi 07
septembre 2021, mercredi 08 septembre 2021, vendredi 10 septembre 2021,
samedi 11 septembre 2021, lundi 13 septembre 2021 et mercredi 15 septembre
2021.

NB : Hors mis ce 3 départements, la ferme possède en autre l’élevage de caprins, l’élevage de


canards, l’élevage de pintades dans une phase pilote c’est-à-dire expérimentale récréatif ou
agronomique…, au sein desquels nous n’avions pas eu le temps de travaillé.

II. 2. HORAIRE DE TRAVAIL

Au point de vie temps de travail le stage se déroulait de la manière suivante :

- A 8 h 00 : le travail commence pour tous stagiaire et tous ouvriers de la ferme.


- De 12 h 00 à 12 h 59 : la pause pour tout le monde
- A 13 h 00 : reprise du travail
- A 15 h 00 : fin du travail pour tous stagiaire et tous ouvriers de la ferme.

II. 3. ACTIVITES REALISEES DANS LES DEPARTEMENTS

II. 3. 1. Activités réalisées dans le département de l’agriculture

Quoi que disposant de près de 7 spéculations sous cultures confer le point I.8.2, seules dans
4 que nous avions travaillé. Il s’agit de celle de clémentinier, d’avocatier, de manguier et le
cachimantier ou cœur de bœuf.

Activité réalisé :

a) Au verger de clémentinier (Citrus clementina L)


- Pulvérisation
- Lutte mécanique
- Arrosage
- Egourmandage
- Phytosanitation
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- Déboisement
- Epandage d’engrais
- Sarclage
- Regarnissage.

C’est un verger de 2 hectares constitué de 788 plants de clémentinier écartés de 5m en tous sens
répartir en deux blocs.

II.3.1.1. Pulvérisation

C’est une opération qui consiste à couvrir une plante ou son feuillage d’une bouillie
phytosanitaire.

Matériels utilisés

Pour 12 plants de clémentinier


▪ Pulvérisateur (15 l d’eau) : utiliser comme matériel d’application pour la solution
▪ Acarius (50ml) : l’association de l’insecticide et acaricide pour lutter contre le
cochenille (australe)
▪ Fongipro (30g) : c’est un fongicide pour lutter contre les champignons et les
bactéries
▪ Balance de précision : pour mesurer les doses des produits

II.3.1.2. Lutte Mécanique

C’est une opération qui consiste à frotter et détruire manuellement les pontes et les nus de
cochenille dans les arbres de clémentinier

Matériel utilisé

▪ Frottoir

II.3.1.3. Arrosage : c’est une opération qui consiste à apporter les quantités d’eau nécessaire à
la bonne croissance de clémentinier

Matériel utilisé

▪ Tuyau
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▪ Bidon
▪ Seau

II.3.1.4 Egourmandage

C’est une opération agricole qui consiste à enlever les branches gourmandes, les jeunes pousses
improductives, présentant une croissance végétative rapide (excessive). Elles apparaissent
fréquemment à la base de la tige, en dessous de la première ramification. Cette opération permet
aux branches fructifères (Branch blastes) de bénéficier au mieux, des nutriments nécessaires pour
leurs croissances, à l’abri de la compétition des branches gourmandes.

Matériels utilisés

▪ Le sécateur à manche : pour la coupe oblique des branches malades, mortes etc…
▪ Le baume cicatrisant : pour recouvrir la partie blessée, et prévenir les attaques des micro-
organismes

II.3.1.5 Phytosanitation

C’est une opération qui consiste à couper le branches séchés, branches attaquées par des insectes
afin d’éviter la nécrose

Matériels utilisés

▪ Le sécateur à manche : pour la coupe oblique des branches malades, mortes etc…
▪ Le baume cicatrisant : pour recouvrir la partie blessée, et prévenir les attaques des micro-
organismes

II.3.1.6. Déboisement

C’est une opération qui consiste à couper les stiques

Matériel utilisé

▪ Machette

II.3.1.7. Epandage d’engrais : c’est une technique agricole consistant à éprendre l’engrais
au tour d’un pied de clémentinier
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Matériels utilisés

▪ Urée (110g) : engrais azotée pour la croissance végétative de branche fructifères


▪ Houe : pour ouvrir les sillons
▪ Mesurette
▪ Seau

II.3.1.8. Sarclage : cette opération consiste e enlever les mauvaises herbes qui envahissent
une culture, à partir de leurs racines, l’opportunité de cette opération résulte du fait que :

-les adventices concurrencent les plantes cultivées pour l’eau et la nourriture

-ils peuvent héberger les insectes nuisibles et ravageurs des cultures

Matériel utilisé

▪ Houe

II.3.1.9. Regarnissage

C’est opération consiste à combler les vides en apportant les nouveaux plants en remplacements
d’autre qui n’ont pas résister.

II.3.2. Activités Réalisées dans le département de la porcherie

Au sein de cette unité de production nous avions travaillé : le 30/septembre/2021, le


14/septembre/2021, le 18/septembre/2021. Avec 3séances de travail, nous avions effectué des
activités telles que :

2.3.2.1. Hygiène

Malgré la réputation malsaine du porc, il est impérieux de ternir quotidiennement la


propreté de son environnement. Comme l’essentiel des activités dans ce département, nous
l’avions effectué le 03/09/02121, cette hygiène a consisté à l’entretient du bâtiment, des loges.
Etant le premier aliment en porcherie, l’eau se montre de même primordial dans cet entretien. Il
permet aux bêtes de rester dans des loges saines et en bonne santé.
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- Hygiène du bâtiment : elle se tient chaque jour, au moment de l’entretient des loges. Il
commence à l’entrée de la porcherie où se trouve un pédiluve contenant une solution
acaride et..., et se poursuit par le nettoyage du couloir de service.
- Hygiène des loges : elle intervient avant d’apporter une nouvelle ration, et a consisté à
nettoyer les loges dans lesquelles se trouvent les bêtes en y évacuant les excréments et
déchets dans les mangeoires vers l’extérieur, vider et renouveler l’eau dans les abreuvoirs.

Matériels utilisés

▪ La pelle
▪ La brouette
▪ La raclette
▪ Les seaux

2.3.2.2. Préparation d’aliment des bêtes

L’alimentation est un facteur limitant de l’élevage, peut représenter jusqu’à 80% du budget
d’un élevage soucieux d’une production en qualité et qualité supérieure. Elle contribue en plus, à
l’immunité animale face aux maladies.

Cette opération quotidienne s’est effectué qu’une fois par jours (à 12h), faute des moyens.
Nous avions commencé par la préparation de l’aliment de formule variable en fonction de l’âge et
l’état de besoin des bêtes. La ration a été apportée collectivement dans chaque loge
proportionnellement aux nombre et l’âge des bêtes, de manière à apporter 3kg de ration aux
adultes et 2kg aux porcelets sevrés. A ceux qui ont 3 jours, on veillera à y ajouter du fer pour
prévenir la maladie appelée « crise de la troisième semaine ».

Pour l’engraissement, plusieurs ingrédients ont intervenu lors de la préparation de la ration,


tels que : le son de maïs, tourteaux palmistes (ou de fois son de riz), des biscuits, les déchets de
chenilles, la poudre de poissons, du lait cassé, la mélasse, du sel, la poudre calcaire, et qui seront
mélangés avec de soja, chenilles mélasse, etc. Il n’y avait pas eu des bêtes soumis à une
alimentation de dégraissement. Dans ce cas on donnerait une ration riche en herbe.

L’eau de besoin doit être journalièrement renouvelée dans les abreuvoirs.


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VALEUR ALIMENTAIRE DE LA RATION

Les différents céréales apportés (maïs et blé), et la mélasse, sont des aliments énergétiques,
riche en amidon et saccharose. Ils représentent (maïs) jusqu’à 70% de la ration, le soja (appelé
viande végétale), le poudre de chenille et de poisson apportent des protéines nécessaires à la
croissance animale, le sel notamment à la saveur de l’aliment, poudre calcaire, à lutter contre le
cannibalisme maternel.

LA PROFILAXIE SANITAIRE

Malgré la qualité de la ration en porcherie, il est indispensable de la soutenir par des


interventions vétérinaires tant préventives que curatives des maladies comme la brucellose (une
maladie avortive),la diarrhée, les gales, blessures, vers, et infections, consistant en
l’administration des vaccins, des antibiotiques (l’antibiothérapie) tels que le sulfate
333,l’oxytetra, la pénicilline, la gentamicine, le lévamisol 100 (un vermifuge) ; le glucortin,
atropine (contre la surdose) etc., auxquels on associe généralement aux vitamines, aux doses de
1cc/10kg chacun, notamment pour les porcelets âgés de 3 semaines, aussi appelés à recevoir
mensuellement des vermifuges.

Nous avions au cours de notre stage, eu à effectuer d’autre opération zootechnique tels
qu’abordées dans les points suivants :

2.3.2.3. La castration :

C’est une opération qui consiste à enlever les gonades males, afin de produire une viande
de meilleure qualité et d’avantager une croissance rapide chez l’animal. Pour sa réalisation, on
procède respectivement par les étapes suivantes :

• La préparation des matériels de travail,


• Le choix du sujet : il doit être en bon pied c’est à dire pas chétif,
• Faire la contention de la bête : pour la maitriser
• Raser les poils sur les bourses,
• Inciser de chaque côté des bourses,
• Faire une compression testiculaire,
• Couper la gaine vaginale de chaque bourse,
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• Pincer avec la pince hémostatique pour refouler le sang,


• Couper le cordon testiculaire,
• Reprendre l’opération pour le second testicule,
• Désinfecter la blessure grâce à, l’alcool iode et enfin,
• Faire une injection antibiothérapie associée à une vitamine.

Elle est dite non sanglante lorsqu’on neutralise les gonades sans leurs expulsions par la rupture du
cordon testiculaire grâce à la pince de birbiso.

2.3.2.4. Le déparasitage interne des bêtes :

C’est une opération effectuée mensuellement. Elle consiste à injecter aux porcs un
vermifuge (pour notre cas le levamisol était utilisé) auquel on a associé la vitamine : intro vit. On
« tire au renard » les porcs et surélevé les jambes des porcelets pour la contention et une injection
intramusculaire. Les doses sont de 1/2cc leva -100+1cc de vitamine pour les jeunes porcelets,
pour les adultes, 1cc/100kg +1cc de vitamine.

Il vise à tuer les parasites internes portés par l’animal. Il est vital de respecter les doses car une
erreur de dose conduira à la mort, surtout pour les porcelets. La seringue est l’instrument qui nous
a permis d’injecter à la bête la solution.

2.3.2.5. Le sevrage

Il consiste à séparer définitivement les porcelets de leur mère. Il a lieu normalement à 2 mois
après mise bas, même 28 jours si les porcelets ont une bonne taille et si leur alimentation est
respectée. La matrice quitte alors le secteur de la maternité pour aller au secteur d’engraissement,
pendant que les porcelets sevrés resteront pour un moment en suivant une alimentation capable
pour les besoins de croissance.
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2.3.3. Activités réalisées dans le département de la pisciculture

Au département de la pisciculture, le lundi 06 septembre 2021, mardi le 07 septembre 2021,


mercredi le 08 septembre 2021, vendredi le 10 septembre 2021, samedi le 11 septembre 2021,
lundi 13 septembre 2021, mercredi le 15 septembre 2021, nous étions avec l’Ir. Lambert,
concepteur des étangs de la ferme, une séance de travail sur les aspects théoriques et historiques
relatifs à la construction des étangs de barrage existants dans la ferme. Cependant, les autres jours
nous étions avec Mr HUGUES ainsi que PASTA pour la supervision et d’autres points théoriques
contribuant à la réussite de cette filière avant de passer aux activités pratiques. Les notions de
texture de sols adaptés à la pisciculture, aux lessivages des étangs, aux sens observateur exigé à
l’agronome, de la densité de chaque mise en charge ainsi que l’association des poissons ont été
abordées durant la séance théorique.

Après, il s’en est suivie des activités suivantes que nous avions eu le plaisir d’apprendre le
fonctionnement et d’effectuer. Il s’agit de :

2.3.3.1. L’entretien des digues :

Nous avions eu à couper superficiellement toutes les herbes qui poussaient sur les digues
des étangs, en vue les rendre propres et faciliter les passages pour diverses opérations aussi
d’éviter les prédateurs.

Le matériel qui nous a permis d’effectuer ce travail était le coupe-coupe.

2.3.3.2. La fertilisation des étangs :

Elle consiste à apporter les fumiers dans les étangs en vue de favoriser la production des
zooplanctons. Pour notre cas, nous avions utilisé un sac de lisier de porc pour un étang.

NB : autre activité :

Hormis le temps passé dans les trois départements de la ferme RAMA, en date du dimanche 05
septembre 2021 il y a eu « feu de brousse » d’une source inconnue dont nous avions parvenus à
éteindre avec beaucoup de peine.
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RESPECTIVES D’AVENIR

Trouver des organismes qui pourrons la subventionner et l’accompagner tant


logistiquement qu’avec leur expertise est l’espérance de la ferme à l’avenir. Par ailleurs, la mise
en place d’un réseau de travail avec les fermes voisines, visant à relever ensemble des défis qui
leur sont commun.

DIFFICULTES RENCONTREES ET STRATEGIES POUR LES SURMONTER


Au cours de notre séjour de stage, nous nous sommes en effet confrontes à
plusieurs difficultés. Il a s’agit notamment :

- L’impartition de la route relient la numéro 2 et le site de stage rendant onéreux nos


déplacements. Pour la surmonter, nous nous vu contraint de constamment évacuer les
excès de sables et d’autres objets obstruant le passage des véhicules.
- Le manque des outils champêtres (les semoirs, herses etc…) allongeant la durée des
travaux agricoles délicats, ainsi que l’insuffisance des ustensiles et couvert pour les
stagiaires. C’est pourquoi nous avions anticipativement opte à en acheter quelques-uns.
- Les attaques d’insectes nuisibles tels que celle d’abeilles, de fourmis, de moustique etc…
ainsi que la visite des serpents contre lesquelles il nous a été utile de constamment nous
munir d’une tenue appropriée composée de bottes, combinaisons, survêt) durant et après
le travail, et limiter des siestes à l’extérieur.
- Un faible volume de main d’œuvre augmentant considérablement la durée d’exécution
des travaux, et la récurrence des maladies dans le chez aussi bien des ouvriers que des
stagiaires. C’est pour cette raison que nous avions dans l’espace et dans le temps, organisé
nos travaux. Le repos après administration des antipaludéens ou antipyrétiques s’est
montré efficace, quand surgissait les symptômes de malaria et autre anomalie.
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RECOMMANDATIONS

Il découle de plusieurs observations faites que l’orientation des investissements vers l’ajout
d’autres outils de travail de façon à améliorer les techniques rencontrés sur terrain, est
souhaitable.

Premièrement, dans les unités zootechniques, il s’agit précisément de l’achat des matériels
tels que des compotiers, ou seront collectes et conserves plus efficacement tous les fumiers, au
lieu qu’il soit exposé sur le sol. Des mélangeurs des aliments, réduisant le temps de préparation
des aliments tout en les rationalisant d’avantage.

Deuxièmes, mécaniser les sarclages ainsi que les semis par l’acquisition des herses, des
semoirs mécaniques et des tondeuses d’herbes utiles dans l’entretient des digues et l’entretient de
la ferme.

Pour l’amélioration du stage, au niveau de la ferme, améliorer les conditions de travail,


équiper les dortoirs de manière à ce que les stagiaires apprennent dans de bonnes conditions. Au
niveau de l’université, organiser un atelier porte ouverte avec d’autres plus récentes qui
existeraient de manière à en ressortir des avantages et désavantages éventuels, nous semble être
important.

Quant aux cours tels que (ityologie limnologie et pisciculture, l’agriculture générale,
systématique des plantes, microbiologie, zootechnie et pyrotechnique générales, etc. …) Qui ont
trait avec le stage, la mise d’un accent particulier par la multiplication des séances pratique durant
les cours, contribuera efficacement dans notre apprentissage en stage.
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CONCLUSION

Un mois durant, soit du 01 Septembre au 30 Septembre 2021, période au cours de laquelle nous
nous sommes attelés et efforcés de remplir des tâches auxquelles nous avons été préalablement
initiés au sein de la ferme Rama.

Somme toute à la fin de notre stage, nous nous sommes d’avantage rapproché de tout travail
agricole et nous avons eu à mettre en pratique les diverses notions théoriques d’agronomie
apprises pendant notre tout premier cycle de formation à l’université.
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TABLE DE MATIERES

AVANT PROPOS.....................................................................................................1
INTRODUCTION .....................................................................................................3
CHAPITRE I PRESENTATION DU LIEU DE STAGE..........................................4
1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE.......................................................................4
1.2. HISTORIQUE.....................................................................................................4
1.3. EXCEPTION DE LA FERME............................................................................5
1.4. FINANCEMENTS..............................................................................................5
1.5. OBJECTIF DE LA FERME................................................................................5
1.6. ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE LA FERME................................5
1.7 ORGANIGRAMME............................................................................................6
1.8. PRESENTATION DES DEPARTEMENTS......................................................7
1.8.1. Département des piscicultures..........................................................................7
1.8.2. Département de l’agriculture............................................................................10
1.8.3. Département de la porcherie............................................................................11
CHAPITRE II ACTIVITE (TACHE) ACCOMPLIS PENDANT LE STAGE.......12
II.1. AFFECTATION DANS LES DEPARTEMENTS..........................................12
II.2. HORAIRE DE TRAVAIL................................................................................13
II.3. ACTIVITE REALISE DANS LES DEPARTEMENTS..................................13
II.3.1. ACTIVITE REALISE DANS LES DEPARTEMENTS DE
L’AGRICULTURE..................................................................................................13
II.3.1.1. Pulvérisation...............................................................................................14
II.3.1.2. Lutte mécanique..........................................................................................14
II.3.1.3. Arrosage......................................................................................................14
II.3.1.4. Egourmandage.............................................................................................15
II.3.1.5. Phytosanitation............................................................................................15
II.3.1.6. Déboisements..............................................................................................15
II.3.1.7. Epandage d’engrais.....................................................................................15
II.3.1.8. Sarclage.......................................................................................................16
II.3.1.9. Régarnisage.................................................................................................16
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II.3.2. Activités réalisées dans les départements de la porcherie.............................16


II.3.2.1. Hygiène.......................................................................................................17
II.3.2.2. Préparation d’aliment des bêtes..................................................................17
II.3.2.3. Castration....................................................................................................18
II.3.2.4. Déparasitage des bêtes................................................................................19
II.3.2.5. Le sevrage...................................................................................................19
II.3.3. Activités réalisées dans les départements de la pisciculture..........................20
II.3.3.1. L’entretien des digues.................................................................................20
II.3.3.2. Fertilisation des étangs................................................................................20
DIFFICULTES RENCONTRER ET STRATEGIE POUR LES SURMONTER…21
RECOMMANDATION............................................................................................22
CONCLUSION.........................................................................................................23
TABLE DES MATIERES .......................................................................................24

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