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RAPORT DE STAGE DE KASOBAKO BANDUKISI Michée
RAPORT DE STAGE DE KASOBAKO BANDUKISI Michée
AVANT-PROPOS
A ce titre, nous rendons grâce à Jéhovah Dieu tout puissant de nous avoir soutenu
durant des moments tant difficiles que des joies vaincues tout au long de ce cursus de premier
cycle (graduat) au sein de la faculté des sciences agronomiques de l’université pédagogique
nationale, UPN en sigle.
C’est avec un cœur remplie de joie que nous exprimons notre profonde gratitude
aux autorités académiques, professeurs, chefs de travaux et assistants de l’UPN en générale et
ceux de la faculté des sciences Agronomiques en particulier, car grâce à eux que nous avions pu
puisés une bonne formation durant notre parcours au sein de notre alma mater, l’UPN.
Nous ne pouvons tourner cette page sans penser à notre très chère sœur Jolie
KALAMUNGENGA MATSIETO qui ne cesse de nous soutenir afin de parachever notre
formation. Le bon Dieu daignera te combler de ses bienfaits et t’assiste à chaque instant de la vie.
Avant de clore cette rubrique, nous complimenterons nos frères et sœurs, cousins
et cousines, neveux et nièces : KABEYA JK, Olivier KALA, soumission KALA, Sarah
NIUMBA, Rachel MAMBU, Sulamite IZIKA, Rubain KANGU, Veddry, Clary, KALA
Mardochée, Bénis KALA, Anaëlle, Benoitte, myrte, Cédric KIAKU, MWANZA Timothée,
Myriam, Lydie LUZOLO… pour votre réconfort à chaque étape de notre vie.
Que tous ceux qui ne sont pas explicitement cités ici mais qui se basculent l’espace
avec le sang dans notre cœur, veuillez bien accepter nos remercîments. Vous êtes tellement
nombreux, qu’il y aura toujours des omis faute de temps et d’espace.
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INTRODUCTION
Quant à nous, notre choix a été porté sur la ferme RAMA. Ce choix en faveur
d’une ferme s’est avère impérieux dans la mesure où nous inappliqué non seulement de la
pratique mais aussi et surtout comment vivre le monde rural avec les paysans où nous sommes
appelés de travailler.
Dans la commune de Maluku, au plateau des BATEKE (Maluku 2), dans le groupement
Mongata à 3 km du groupement Mbankana et du camp militaire SOGEA, dans le village impu, à
2 km de la route nationale N°2 et à 150 km au nord Est de la ville province de Kinshasa est située
la ferme RAMA propriété de l’ASBL (ONGD LESA MUSUMA)
I.2. HISTORIQUE
Depuis sa création en 2010, année de l’achat du site de 85.33 hectares devant l’abriter une
ferme appartenant à l’ASBL LESA MUSUMU présidé par l’ancienne épouse regretté Augustin
KATUMBA MWANKE, Mme ZOZO MUBI qui avec l’équipe qu’elle coordonne, s’étaient entre
autre spécialisés en porcherie, l’agrumiculture des clémentiniers, mais surtout dans la pisciculture
car, des rares fermes existantes dans cette région, très peu avaient des étangs a nombre important.
Nous entendons par là supérieur à 3.
Arrivé le 12 mars 2012, que son vice coordonnateur, l’Ir Lambert débutât avec des études
de faisabilité avec des villageois sur le comportement de la rivière LUKWILU traversant la
vallée, en vue de la dévier pour ainsi construire les 23 étangs présents dans la ferme.
Hormis les 48 000 dollars déboursés pour l’achat du terrain devant abriter la ferme, et à la
suite la topographie peu favorable du site c’est-à-dire : une vallée peu large, les arbres, textures
sablo-argileux du sol etc…, 300 000 dollars additionnels ont été nécessaires à l’exécution des
travaux de dessouchement, à la construction des digues et des nouveaux canaux d’amener d’eau
ainsi que à payer la main d’œuvre. Ce, durant les 2 années de construction de ces 23 étangs de
barrage dont la surface moyenne est de 10.43 ares.
Arrivé en 2013, ceux-ci vont recevoir les premiers alevins achetés à Lubumbashi, tandis
que la porcherie a débuté avec 15 males dont un seul géniteur de 40 femelles, quand à l’unité de
production agricole, l’agrumiculture de clémentinier en 2018, les vergers (des manguiers) en
2019. Il est notable de signaler qu’en 2017, la ferme possédait un poulailler qui n’a pu que 2 ans
durant, et elle a poursuivi sa diversification avec la capriculture et l’aviculture, de manière
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expérimentale, ainsi que l’établissement d’une palmerais de la variété Tenera (de palmiers nains)
en 2020.
La réjouissance d’une grande renommée du ferme RAMA dans la zone est dû aux raisons
suivant :
I .4. FINANCEMENT
Jusque-là, la ferme RAMA fonctionne par autofinancement (sur fond propre) et ne possède pas
de partenaires externes.
Compte tenu de sa superficie de 85.33 hectares, la ferme RAMA est à ce jours repartie
qu’en trois départements. Comme nous le présente la figure ci-dessous, la ferme et
hiérarchiquement composée d’un coordonnateur(président) secondé par un vice coordonnateur,
en suite viennent les chefs des projets et logistiques, après, les chefs des départements enfin, les
différents ouvriers salariés qui sont permanents et des journaliers :
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Coordonnatrice :
Maman ZOZO MUDI
Vice Coordonnateur :
Ir
Lambert KIKUNGU
Agents
salaries et
journaliers
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NB : l’agriculture, la pisciculture, la porcherie ainsi que les autres types d’élevages présent dans
la ferme mais dites non commerciales (canards, caprins) qui font les trois départements sont sous
la coordination de l’ingénieur KABEYA Guy, qui est le responsable permanent.
L’ASBL /ONGD LESA MUSUMA ont débuté ses activités vers l’année 2013.
Un ingénieur phytotechnicien qui s’est aussi spécialisé dans le domaine piscicole au nom
de MBWENGE Bertin qui supervise ce département.
Le 23 étang qui constitue le nombre total dans ce site, tous sont des étangs de barrage, dans
lesquels on retrouve une espèce hybride et 3 espèces des poissons provenant de LUBUMBASHI.
Il s’agit de :
1. Le clarias(ngolo) : il se nourrit des poissons mais aussi des aliments qu’on lui fournit. Son
ventre est coloré en blanc.
2. Tilapia micromis : est un poisson carnivore (il se nourrit essentiellement des petits poissons),
caractérisé par la présence de 6 barres de chaque côté, donc est un poisson policier, utile dans le
contrôle de la densité.
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3. Tilapia nilotica : est un poisson qui a un duré de vie de 10 ans. Dans de conditions
appropriées il peut peser 1500 grammes à mois, il n’est pas carnivore, il se nourrit que des
aliments qu’on lui apporte. Grace à sa facilité à se reproduit et son meilleur rendement il devient
un poisson facile à élever dans des étangs de la région tropicale.
Après 6 à 8 mois de la mise en charge des alevins que la pêche intervienne. Ce pendant
pour éviter le nanisme dû aux certaines carences, il est recommandé de procéder avant ces délais,
à 2 ou 3 pêches dites de contrôle. Suite au taux d’oxygène de l’eau de la profondeur et du type de
l’étang (de reproduction, de pré-grossissement …) et de l’espèce piscicole à élever (tilapia :
jusqu’à 10 alevins / m2, clarias : jusqu’à 50 alevins /m2) que dépend la mise en charge de ces
poissons. Pour la production, de manière à avoir 2 poissons par m2, mais 4 femelles pour un mâle
dans une superficie de 2.5 m2 est le sexe ration, pour qu’il y ait la bonne reproduction.
➢ Les étangs de reproduction : on met les mâles et les femelles pour qu’ils se reproduisent.
➢ Les étangs de pré- grossissement : ou l’on met les alevins pour qu’ils se croisent, ainsi la
préparation au sexage intervienne dès qu’ils atteints 3 à 4 grammes.
➢ Les étangs de production ou de grossissement : dans lesquels l’on met les alevins ayant
pris de la taille, soumis à une alimentation appropriée au gain de poids rapide provenant des
étangs de pré-grossissement.
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Est un département qui est composé de 5 personnes dont l’Ir. NSIMBA David étant
consultant de l’Ir. KABEYA Guy, qui est le chef du département, Mr. KEFER lui qui est le chef
d’équipe et travaux, et de 2 ouvriers : MALI Djo et Grace
Cette unité, actuellement compte beaucoup de spéculations reparties sur plus au moins 7 hectares
de la manière suivante :
❖ Verger de clémentinier (Citrus clementina) qui occupe près de 2 hectares, var Cs/35 réparti
en deux blocs (A et B) il a été mis en place depuis le mois de juin 2017, soit une densité d’au
moins 788 plantes, semés aux écartements de 5 m x 5 m.
❖ La culture d’avocatier (Percea americana L.) semés aux écartements de 10 m x 10 m
compte tenu des autres espèces élevées à la ferme dont les caprins, la majorité de planté ont été
broutées, infecté par leurs salives, conséquence : Nécrose de plusieurs pieds.
❖ La culture de palmier à huile (Elaïs guineesis L.) est un jeune palmerais de la variété tenera
(palmier nains) de 15 mois semées aux de 7 m x 7 m sur 50 ares (5000m2) d’un terrain de 6 %
environs de la pente.
❖ La culture du manguier (Manguifera indica L.) cette culture occupe 1 hectare, d‘une Var
d’origine Togolaise. Les plants sont distants de 10 m en tous sens, planté en culture pure et en
ligne, environ 140m du bloc secondaire (bloc B) des clémentiniers.
❖ La culture de manioc (manihot glaziovii) cette culture occupe 2 hectares, se trouvant
environ 1 km de la culture du verger de clémentinier, mais celle-ci est abandonnée car aucun
effort fournis jusqu’à lors pour son entretien.
❖ Le cachimantier ou cœur de bœuf (Anonna reticulata L.)
Cette occupe une petite espace de 1800m2, semé aux écartements de 5m x 5m.
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Le 2 porcheries compte plus au moins … bêtes de multiples races porcines qui sont : Durock,
piétrain, land races et l’hybride(F1) de large white, cette dernière est la plus rustique du milieu
et dont la plupart sont des hybrides de premières espèces (F1). Il y avait des porcelets sevrés,
quelques bêtes gestantes et celles ayant mis bas.
NB : tous ces départements sont alimentés en électricité par des panneaux solaires (au moins 2
pour chaque département). En eaux, grâce soit à des citernes de 5000littres connectées aux
collecteurs d’eaux des pluies et de forage, envie de l’exécution des travaux d’entretien de
bâtiment et alimentation de bétails. Soit encore, directement aux eaux de pluies servant entre
autre en agriculture. Enfin, les eaux de la nappe phréatique et celles de la rivière LUKWILU sont
particulièrement utiles pour les étangs.
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Ce chapitre étale d’une manière sommaire et chronologique toute les opérations agricoles
que nous avons eu à exécuter, tout en indiquant les départements concernés.
Arrivé sur le lieu de stage lundi le 30 aout 2021, nous étions chaleureusement reçus par le chef de
site l’Ir KABEYA Guy ainsi que l’un de personnel HUGUES.
Etant donné que notre arrivé était déjà la nuit, ce n’est la journée suivante mardi 31 aout
2021 avait été concencrée à une visite guidée de tous les départements, sous la conduite de notre
encadreur local et chef de département de l’agriculture, l’Ir Guy KABEYA, pour la prise de
contact avec les personnels dans leurs unités de productions respectives dans lesquels nous étions
appelés a travaillé.
Pour ce qui est de notre affectation dans les départements, nous avions tous suivis
essentiellement le même chronogramme tout au long de notre séjour. Caractérisé par notre
fréquente présence au sein du département de l’agriculture, suite à plusieurs raisons, à l’instar de
l’indisponibilité des superviseurs des autres départements, l’urgence et importance au niveau de
travail en agriculture supérieur à la main d’œuvre salariée. De ce fait nous avions travaillé
simultanément dans tous le 3 départements.
Quoi que disposant de près de 7 spéculations sous cultures confer le point I.8.2, seules dans
4 que nous avions travaillé. Il s’agit de celle de clémentinier, d’avocatier, de manguier et le
cachimantier ou cœur de bœuf.
Activité réalisé :
- Déboisement
- Epandage d’engrais
- Sarclage
- Regarnissage.
C’est un verger de 2 hectares constitué de 788 plants de clémentinier écartés de 5m en tous sens
répartir en deux blocs.
II.3.1.1. Pulvérisation
C’est une opération qui consiste à couvrir une plante ou son feuillage d’une bouillie
phytosanitaire.
Matériels utilisés
C’est une opération qui consiste à frotter et détruire manuellement les pontes et les nus de
cochenille dans les arbres de clémentinier
Matériel utilisé
▪ Frottoir
II.3.1.3. Arrosage : c’est une opération qui consiste à apporter les quantités d’eau nécessaire à
la bonne croissance de clémentinier
Matériel utilisé
▪ Tuyau
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▪ Bidon
▪ Seau
II.3.1.4 Egourmandage
C’est une opération agricole qui consiste à enlever les branches gourmandes, les jeunes pousses
improductives, présentant une croissance végétative rapide (excessive). Elles apparaissent
fréquemment à la base de la tige, en dessous de la première ramification. Cette opération permet
aux branches fructifères (Branch blastes) de bénéficier au mieux, des nutriments nécessaires pour
leurs croissances, à l’abri de la compétition des branches gourmandes.
Matériels utilisés
▪ Le sécateur à manche : pour la coupe oblique des branches malades, mortes etc…
▪ Le baume cicatrisant : pour recouvrir la partie blessée, et prévenir les attaques des micro-
organismes
II.3.1.5 Phytosanitation
C’est une opération qui consiste à couper le branches séchés, branches attaquées par des insectes
afin d’éviter la nécrose
Matériels utilisés
▪ Le sécateur à manche : pour la coupe oblique des branches malades, mortes etc…
▪ Le baume cicatrisant : pour recouvrir la partie blessée, et prévenir les attaques des micro-
organismes
II.3.1.6. Déboisement
Matériel utilisé
▪ Machette
II.3.1.7. Epandage d’engrais : c’est une technique agricole consistant à éprendre l’engrais
au tour d’un pied de clémentinier
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Matériels utilisés
II.3.1.8. Sarclage : cette opération consiste e enlever les mauvaises herbes qui envahissent
une culture, à partir de leurs racines, l’opportunité de cette opération résulte du fait que :
Matériel utilisé
▪ Houe
II.3.1.9. Regarnissage
C’est opération consiste à combler les vides en apportant les nouveaux plants en remplacements
d’autre qui n’ont pas résister.
2.3.2.1. Hygiène
- Hygiène du bâtiment : elle se tient chaque jour, au moment de l’entretient des loges. Il
commence à l’entrée de la porcherie où se trouve un pédiluve contenant une solution
acaride et..., et se poursuit par le nettoyage du couloir de service.
- Hygiène des loges : elle intervient avant d’apporter une nouvelle ration, et a consisté à
nettoyer les loges dans lesquelles se trouvent les bêtes en y évacuant les excréments et
déchets dans les mangeoires vers l’extérieur, vider et renouveler l’eau dans les abreuvoirs.
Matériels utilisés
▪ La pelle
▪ La brouette
▪ La raclette
▪ Les seaux
L’alimentation est un facteur limitant de l’élevage, peut représenter jusqu’à 80% du budget
d’un élevage soucieux d’une production en qualité et qualité supérieure. Elle contribue en plus, à
l’immunité animale face aux maladies.
Cette opération quotidienne s’est effectué qu’une fois par jours (à 12h), faute des moyens.
Nous avions commencé par la préparation de l’aliment de formule variable en fonction de l’âge et
l’état de besoin des bêtes. La ration a été apportée collectivement dans chaque loge
proportionnellement aux nombre et l’âge des bêtes, de manière à apporter 3kg de ration aux
adultes et 2kg aux porcelets sevrés. A ceux qui ont 3 jours, on veillera à y ajouter du fer pour
prévenir la maladie appelée « crise de la troisième semaine ».
Les différents céréales apportés (maïs et blé), et la mélasse, sont des aliments énergétiques,
riche en amidon et saccharose. Ils représentent (maïs) jusqu’à 70% de la ration, le soja (appelé
viande végétale), le poudre de chenille et de poisson apportent des protéines nécessaires à la
croissance animale, le sel notamment à la saveur de l’aliment, poudre calcaire, à lutter contre le
cannibalisme maternel.
LA PROFILAXIE SANITAIRE
Nous avions au cours de notre stage, eu à effectuer d’autre opération zootechnique tels
qu’abordées dans les points suivants :
2.3.2.3. La castration :
C’est une opération qui consiste à enlever les gonades males, afin de produire une viande
de meilleure qualité et d’avantager une croissance rapide chez l’animal. Pour sa réalisation, on
procède respectivement par les étapes suivantes :
Elle est dite non sanglante lorsqu’on neutralise les gonades sans leurs expulsions par la rupture du
cordon testiculaire grâce à la pince de birbiso.
C’est une opération effectuée mensuellement. Elle consiste à injecter aux porcs un
vermifuge (pour notre cas le levamisol était utilisé) auquel on a associé la vitamine : intro vit. On
« tire au renard » les porcs et surélevé les jambes des porcelets pour la contention et une injection
intramusculaire. Les doses sont de 1/2cc leva -100+1cc de vitamine pour les jeunes porcelets,
pour les adultes, 1cc/100kg +1cc de vitamine.
Il vise à tuer les parasites internes portés par l’animal. Il est vital de respecter les doses car une
erreur de dose conduira à la mort, surtout pour les porcelets. La seringue est l’instrument qui nous
a permis d’injecter à la bête la solution.
2.3.2.5. Le sevrage
Il consiste à séparer définitivement les porcelets de leur mère. Il a lieu normalement à 2 mois
après mise bas, même 28 jours si les porcelets ont une bonne taille et si leur alimentation est
respectée. La matrice quitte alors le secteur de la maternité pour aller au secteur d’engraissement,
pendant que les porcelets sevrés resteront pour un moment en suivant une alimentation capable
pour les besoins de croissance.
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Après, il s’en est suivie des activités suivantes que nous avions eu le plaisir d’apprendre le
fonctionnement et d’effectuer. Il s’agit de :
Nous avions eu à couper superficiellement toutes les herbes qui poussaient sur les digues
des étangs, en vue les rendre propres et faciliter les passages pour diverses opérations aussi
d’éviter les prédateurs.
Elle consiste à apporter les fumiers dans les étangs en vue de favoriser la production des
zooplanctons. Pour notre cas, nous avions utilisé un sac de lisier de porc pour un étang.
NB : autre activité :
Hormis le temps passé dans les trois départements de la ferme RAMA, en date du dimanche 05
septembre 2021 il y a eu « feu de brousse » d’une source inconnue dont nous avions parvenus à
éteindre avec beaucoup de peine.
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RESPECTIVES D’AVENIR
RECOMMANDATIONS
Il découle de plusieurs observations faites que l’orientation des investissements vers l’ajout
d’autres outils de travail de façon à améliorer les techniques rencontrés sur terrain, est
souhaitable.
Premièrement, dans les unités zootechniques, il s’agit précisément de l’achat des matériels
tels que des compotiers, ou seront collectes et conserves plus efficacement tous les fumiers, au
lieu qu’il soit exposé sur le sol. Des mélangeurs des aliments, réduisant le temps de préparation
des aliments tout en les rationalisant d’avantage.
Deuxièmes, mécaniser les sarclages ainsi que les semis par l’acquisition des herses, des
semoirs mécaniques et des tondeuses d’herbes utiles dans l’entretient des digues et l’entretient de
la ferme.
Quant aux cours tels que (ityologie limnologie et pisciculture, l’agriculture générale,
systématique des plantes, microbiologie, zootechnie et pyrotechnique générales, etc. …) Qui ont
trait avec le stage, la mise d’un accent particulier par la multiplication des séances pratique durant
les cours, contribuera efficacement dans notre apprentissage en stage.
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CONCLUSION
Un mois durant, soit du 01 Septembre au 30 Septembre 2021, période au cours de laquelle nous
nous sommes attelés et efforcés de remplir des tâches auxquelles nous avons été préalablement
initiés au sein de la ferme Rama.
Somme toute à la fin de notre stage, nous nous sommes d’avantage rapproché de tout travail
agricole et nous avons eu à mettre en pratique les diverses notions théoriques d’agronomie
apprises pendant notre tout premier cycle de formation à l’université.
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TABLE DE MATIERES
AVANT PROPOS.....................................................................................................1
INTRODUCTION .....................................................................................................3
CHAPITRE I PRESENTATION DU LIEU DE STAGE..........................................4
1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE.......................................................................4
1.2. HISTORIQUE.....................................................................................................4
1.3. EXCEPTION DE LA FERME............................................................................5
1.4. FINANCEMENTS..............................................................................................5
1.5. OBJECTIF DE LA FERME................................................................................5
1.6. ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE LA FERME................................5
1.7 ORGANIGRAMME............................................................................................6
1.8. PRESENTATION DES DEPARTEMENTS......................................................7
1.8.1. Département des piscicultures..........................................................................7
1.8.2. Département de l’agriculture............................................................................10
1.8.3. Département de la porcherie............................................................................11
CHAPITRE II ACTIVITE (TACHE) ACCOMPLIS PENDANT LE STAGE.......12
II.1. AFFECTATION DANS LES DEPARTEMENTS..........................................12
II.2. HORAIRE DE TRAVAIL................................................................................13
II.3. ACTIVITE REALISE DANS LES DEPARTEMENTS..................................13
II.3.1. ACTIVITE REALISE DANS LES DEPARTEMENTS DE
L’AGRICULTURE..................................................................................................13
II.3.1.1. Pulvérisation...............................................................................................14
II.3.1.2. Lutte mécanique..........................................................................................14
II.3.1.3. Arrosage......................................................................................................14
II.3.1.4. Egourmandage.............................................................................................15
II.3.1.5. Phytosanitation............................................................................................15
II.3.1.6. Déboisements..............................................................................................15
II.3.1.7. Epandage d’engrais.....................................................................................15
II.3.1.8. Sarclage.......................................................................................................16
II.3.1.9. Régarnisage.................................................................................................16
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