fluorescence X
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Spectrométrie de
fluorescence X
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• La méthode se base sur le bombardement de
la surface de l’échantillon par les
rayonnements X. ces derniers provoquent
une ionisation des différents atomes
constituant l’échantillon. Elle consiste à la
réorganisation des électrons quand un
électron d’une couche extérieure remplace un
électron expulsé le schéma représentant ce
phénomène a été élaboré par Kossel
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L'ionisation est l'action qui consiste à enlever ou ajouter des
charges à un atome ou une molécule. L'atome — ou la molécule —
perdant ou gagnant des charges n'est plus neutre électriquement. Il
est alors appelé ion
.
Les applications sont nombreuses :
•décontamination alimentaire
•modifications des plastiques
•stérilisation des matériels médicaux
•étude des matériaux
•propulsion spatiale, etc.
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• Le changement d’orbite de cet électron entraîne une variation
de son énergie et ce dernier a pour conséquence la production
d’une radiation X dite fluorescence.
• Dans le cas d’un mélange d’atomes, le rayonnement produit
sera polychromatique
• Le rayonnement est analysé ensuite par un monochromateur
• La longueur du rayonnement varie dans de larges limites et
dépend de l’excitation de l’élément
• Schéma de rayonnement
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Schéma de rayonnement
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• Dans le cas d’étude des matériaux
cristallins, afin de supprimer les effets de
structure, on fondera les échantillons et
les étalons avec la tetra borate de lituim
LiB4O7,
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Organigramme de la fabrication automatique des crus
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Schéma simplifié de la sonde de Casting
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Principe de la sonde de Castaing
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• Principe de l'analyse
• Source de rayons X
• On utilise :
• soit un tube à rayons X, type tube de Coolidge,
• soit, pour les appareils portables, une source radioactive
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Tube de Coolidge
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• Expression des résultats
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• Par exemple, le fer peut être présenté sous la
forme de fer pur Fe, ou d'oxyde de fer : wustite
FeO, hématite Fe2O3, magnétite Fe3O4, mais aussi
sulfure : pyrrhotite FeS, marcassite FeS2, ou
encore sulfate : sulfate ferreux FeSO4, sulfate
ferrique Fe2(SO4)3…
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•Lorsqu 'on bombarde de la matière avec des rayons
X, cette dernière ré émet de l'énergie sous la forme,
entre autres, de rayons X ; c'est la fluorescence X.
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Schéma de la microsonde de
Castaing
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La loi de Bragg est la loi régissant la diffraction des ondes
électromagnétiques par un cristal. Elle fut découverte par Sir
William Henry Bragg et William Lawrence Bragg vers 1915.
Cette loi établit un lien entre la distance séparant les atomes
d'un cristal et les angles sous lesquels sont principalement
diffractés des rayons X envoyés sur le cristal.
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la condition d'obtention d'un maximum d'intensité
s'écrit donc:
2 × d × sin θ = n × λ
• Loi de Bragg :
• Pour que que les particules incidentes en phase soient
également en phase lors de leur diffraction sur des plans
parallèles numérotés de 0 à m
• Il faut que la longueur (AM+MB) soit un multiplicateur de la
longueur d’onde l . Il en est de même pour m(AM+MB) =n
D’où n l =2 d sin
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• Si des rayons X de longueur d’onde l émis par l’échantillon ont
un angle d’incidence qui satisfait à la condition de diffraction
du cristal monochromateur, il seront aussitôt réfléchis et
détectés
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La diffraction des rayons X
• La diffraction des rayons X est utilisée pour déterminer
l’orientation d’un cristal dans un repère donné, c’est le cas
du cliché LAUE.
• PRINCIPE
• Il existe deux types de diffraction
• - en retour (1)
• - en transmission (2)
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La méthode de Laue est historiquement la première
méthode de diffraction de rayons X. Elle fut mise en
œuvre pour la première fois en 1912 par Walther
Friedrich et Paul Knipping , sur les idées de Max
von Laue .
La méthode de Laue fut utilisée pour la
détermination de structures cristallines, avant d'être
remplacée pour cela par des techniques plus précises
ou plus commodes. Facilement disponible en
laboratoire, la méthode de Laue reste encore
largement utilisée pour orienter les monocristaux
suivant une direction cristallographique particulière
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Principe général de la diffraction de
Laue
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Calcul de l’angle de diffraction en RX
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Rappel géométrique d’une projection stéréographique
l'.tg
2
l tg2
R
arctg(l / R)
l'.tg[ ]
4
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Les sources utilisé pour les clichés LAUE sont des sources
polychromatiques du type anticathode. Les longueurs d’onde
émises couvrent un spectre bien défini
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Méthodes des poudres ( de Debye-Scherrer)
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Schéma de la méthode de de Debye-Scherrer
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Dépouillement d’un cliché DEBYE-SCHERRER
1
4R
l2dsin
d l
2sin( 1 )
4R
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• Le film ainsi exposé est donc marqué par une
multitude d’arcs de cercle symétriques par
rapport au centre et d’espacement l1, l2…..
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Méthode diffractométrique de l’analyse de phase
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Le spectre est obtenu sous forme de courbe et se caractérise
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Quels sont les domaines d’utilisation ?
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• 5. Détermination du coefficient de dilatation thermique (Kd)
• ( On peut fixer ou enregistrer les variations de Kd ou les
variations de l’angle ); pendant le T.T les distances réticulaires
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• 7. Étude des types de solutions solides
• On peut enregistrer la variation de la distance réticulaire en
fonction de la concentration des atomes
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• 8. Essai de réactivité des matières premières et des mélanges
crus
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• 9. Analyse qualitative
I1 K1.X 1 I2 K2.X 2
1. 1 2.2
I: intensité
: masse volumique d’un élément
X : concentration
: coefficient massique d’absorption du minéral à doser
I1 X1 K
I2 X 2
Le rapport des intensités est proportionnel aux concentration des deux
éléments à analyser
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La précision de l’analyse quantitative de phase varie varie
dans des limites de 2 à 5%
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Quelques exemples de diffractogrammes
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Diffractogramme de la composition contenant 30 % de laitier et 70 % de
ciment dans la composition d’un béton cellulaire autoclavé à base de L.G
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Diffractogramme de la composition contenant 40 % de laitier et 60 % de ciment dans
la composition d’un béton cellulaire autoclavé à base de L.G
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Diffractogramme de la composition contenant 50 % de laitier et 50 % de ciment dans la
composition d’un béton cellulaire autoclavé à base de L.G
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