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École Nationale d’Ingénieurs

De Monastir Département Génie


Énergétique

Four et chaudière

Conception et calcul des chaudière:foyer et circulation

Élaboré par:
CHEMINGUI IMEN

LABIDI HAJER

02/01/21 conception et calcul des chaudière 1


Conception et calcul des
chaudière
foyer et circulation

Détermination du foyer

Circulation du fluide chauffé

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Détermination du foyer

Circulation du fluide chauffé

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Détermination du foyer

Rôle du foyer
Conception générale
Calculs
Échanges dans le foyer: flux
thermiques sur les paroi

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Rôle du foyer

Le rôle essentiel du foyer est d’assurer la


combustion dans des conditions correctes, c’est-à-
dire :
— avec sécurité,
— avec un bon rendement,
— avec un minimum d’entretien,
— avec parfois la possibilité d’utiliser soit
séparément, soit ensemble, plusieurs combustibles .

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Conception générale

 Dimensions du foyer

 Construction des parois

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Dimensions du foyer

La taille et les dimensions du


foyer sont fortement liées au
type de combustible.
les principales dimensions du
foyer sont liées aux
caractéristiques suivantes :
— la teneur en matières
volatiles du charbon, en
relation directe avec son
aptitude à brûler plus ou moins
vite ;
— les finesses, reliées au
temps de combustion et, par
prise en compte du temps de
séjour, à la teneur en imbrûlés
résiduels ;
—la distance entre les
brûleurs eux mêmes et
l’obstacle le plus proche est
imposée par le choix des
puissance calorifique ;

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Construction des parois

Les écrans qui forment l’enveloppe refroidie du foyer sont conçus


pour être étanches côté fumées et, de ce fait, constitués de tubes
reliés entre eux soit par un dépôt de soudure, soit par des ailettes
soudées.
Le diamètre de ces tubes doit être convenablement choisi pour
assurer un débit de circulation capable de faire face, sans créer de
surchauffe locale, au flux de chaleur important qui existe dans la
zone des brûleurs.
l’épaisseur des tubes dépend de pression et des diamètres.

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Calculs

Détermination de la chaleur introduite

Bilan de répartition à l’intérieur du foyer

Bilan d’échange

Transfert thermique

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Détermination de la chaleur introduite

Le combustible peut être introduit :


— en chauffe directe
— en chauffe indirecte sous forme sèche
— ou parfois (chauffe semi-directe)
La chaleur introduite par le combustible est
calculée soit sur la base PCS, soit sur la base
PCI, en même temps que le combustible, on
introduit de l’air à une température choisie pour
faciliter l’allumage et pour maximiser les gains
d’énergie.

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Bilan de répartition à l’intérieur du
foyer

La chaleur introduite dans le


foyer va, après combustion, se
diviser en :
— chaleur transférée au fluide
chauffé directement par les
parois (écrans et échangeurs
directement exposés) ;
— chaleur évacuée par les fumées
à la sortie du foyer ;
— chaleur perdue vers l’extérieur
par les parois calorifugées du
foyer (souvent négligeable, de
l’ordre de 0,2 %).

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Bilan d’échange

On trouve deux méthodes de


détermination des
températures
- considérer l’ensemble du
foyer comme une zone unique
à température uniforme, et de
rechercher l’équilibre
thermique correspondant à
cette température ;
- diviser le foyer en plusieurs
zones, et à définir pour
chacune d’elles une
température,

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Transfert thermique

Que ce soit pour le calcul d’un foyer complet considéré comme


une seule zone ou pour le calcul d’un cube élémentaire intégré à
l’intérieur du foyer, il est indispensable de définir ou de pouvoir
calculer :
— la composition des produits de la combustion (teneur en CO2 ,
en vapeur d’eau) ;
— les capacités thermiques massiques des produits de la combustion ;
— le coefficient d’émissivité du rayonnement de la particule en
cours de combustion, ou l’émissivité du volume gazeux correspondant;
— le coefficient d’absorptivité des parois du foyer, absorptivité variable
suivant qu’elles restent propres, avec l’apparence d’un métal, ou qu’elles
sont recouvertes d’une couche plus ou moins fine de dépôts cendreux ;la
température des parois froides, réceptrices du rayonnement.

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Échanges dans le foyer :
flux thermiques sur les parois
— pour le profil vertical représentant la
valeur des flux à différents niveaux, le
maximum de flux se trouve en général
au niveau du plan supérieur des
brûleurs;
— dans un plan horizontal, le flux est de 30
% inférieur au flux moyen au
voisinage des angles ; il est de 15 à 20
% supérieur au flux moyen dans la
zone centrale, maximal au centre sauf
pour la combustion tangentielle de
charbon où le flux maximal est
légèrement décalé par suite de la
rotation imposée à la flamme.

Profil vertical de chaleur absorbée

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Détermination du foyer

Circulation du fluide chauffé

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Circulation du fluide chauffé

Rôle de la circulation
Modes de circulation
Réservoirs. Séparateurs
Calculs de circulation

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Rôle de la circulation

Formation de la vapeur

Transmission de chaleur : température de paroi

Effets sur la conception et la construction

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Formation de la vapeur

• La formation de la vapeur dans les chaudières s’effectue suivant


deux processus: selon que la pression est inférieure ou supérieure
à la pression critique de l’eau (221 bar).
• Au contact de la paroi interne du tube chauffé par l’extérieur il y a
progressivement formation locale de bulles (zone de nucléation)
• Par concéquent
— les bulles, une fois détachées, se déplacent avec l’eau en
circulation;
— le contact eau/paroi est localement rétabli ;
— le volume de la vapeur est créé et par suite le titre en vapeur x de
l’émulsion augmentent progressivement le long du parcours
chauffé.

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Transmission de chaleur : température de paroi

Au cours de l’évolution du fluide chauffé à l’intérieur d’un tube, on peut


distinguer quatre zones.

_ Dans la zone I, l’eau s’échauffe ; le coefficient d’échange avec la paroi


dépend de la vitesse de l’eau dans le tube.
_ Dans la zone II, l’eau est arrivée à la température de saturation, donc
apparition de bulles de vapeur sur la paroi interne.
_ On entre dans la zone III avec un film non continu, la température de la
paroi interne du tube oscillant ainsi entre deux valeurs extrêmes.
_ Si l’on continue à augmenter le flux calorifique (zone IV : ébullition par
film). La température de la paroi interne se stabilise également et continue
ensuite à augmenter régulièrement en fonction du flux calorifique.

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Écoulement eau-vapeur dans un tube vertical

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Effets sur la conception et la construction

Il résulte des observations


précédentes :
• Nécessité d’une vitesse de
circulation suffisante pour
avoir un coefficient d’échange
correct
• Distribution de l’eau dans les
tubes et collecte de l’émulsion
à la sortie étudiées pour éviter
les inégalités de répartition.
Écoulement avec et sans stratification
• Risques de stratification dans
pour une vaporisation dans un tube horizontal
les parcours horizontaux ou
peu inclinés.

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Coupe d’une chaudière
(70 t/h, 63 bar) à circuit chauffé descendant

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Modes de circulation

Circulation naturelle

Circulation assisttée par pompe

Circulation forcée

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Circulation naturelle:
Principe de fonctionnement
• L’eau provenant d’un réservoir placé
à la partie supérieure descend dans
des tubes non chauffés et remonte
dans des tubes vaporisant chauffés
(figure 15).
• La circulation est assurée par la
différence de poids entre deux
colonnes de fluide, l’une contenant
de l’eau, l’autre un mélange d’eau et
de vapeur.
• La circulation est relativement plus
active à basse puissance ; elle
s’amorce facilement lors du
démarrage dès l’instant qu’il y a
formation de vapeur (au-delà de 100
°C).

Schéma de principe d’une chaudière à circulation naturelle :


exemple de disposition des surfaces d’échange

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Circulation naturelle:
Caractéristiques

La circulation est d’autant meilleure que:


• la pression est plus basse
• les sections de passage sont plus grandes,
lorsque la pression est faible
• la zone de chauffe est située en partie basse des
écrans
• le sous-refroidissement est plus élevé puisqu’il
accroît le poids de la colonne froide

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Circulation assistée par pompe:

• La circulation est assurée


grâce à une pompe de
circulation amenant l’eau
du réservoir au tubes de la
chaudière
• l’aspiration d’une pompe
de circulation est à la
pression de la chaudière.

Schéma de principe d’une chaudière à circulation


:exemple de disposition des surfaces d’échange

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Circulation assistée par pompe:

• Avantages
La pompe dans le circuit assure la maîtrise du débit et de la force
motrice ce qui permet de:
- réduire le diamètre des tubes
-assurer une circulation d’eau dans l’économiseur pour y éviter
la vaporisation dans la phase de démarrage
- d’accroître les vitesses de refroidissement

• Inconvénients
-Le prix de la pompe et les accessoires qu’elle requiert
-problèmes dus aux dilatations différentielles
-la nécessité d’assurer le refroidissement permanent de leurs
moteurs

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Circulation
forcée: Principe de fonctionnement

• une chaudière à circulation


forcée est constituée par un
ensemble de tubes
alimentés en parallèle,
dans lesquels l’eau est
successivement réchauffée
et vaporisée, puis la vapeur
est surchauffée (figure 19).
• La circulation de l’eau est
assurée par les pompes
Schéma de principe d’une chaudière à circulation
alimentaires forcée
pure : exemple de disposition des surfaces
d’échange

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Circulation forcée:

• Avantages:
-La circulation forcée, mettant en jeu des débits réduits et des
vitesses plus élevées qu’en circulation naturelle, requiert des
sections de passage plus faibles : économie de matière appréciable
-L’établissement de la circulation avant l’allumage des feux
garantit une mise en température plus rapidement homogène des
circuits.

• Inconvénients
-Il faut utiliser une eau très pure, totalement déminéralisée.
-Il est nécessaire de maîtriser l’instabilité intrinsèque des tubes
chauffés en augmentant la perte de charge globale des circuits
pour ajuster la répartition des débits entre des circuits
différemment chauffés.

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Réservoirs et Séparateurs

Réservoirs

Séparateurs

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Réservoirs
C’est un gros cylindres horizontal à
parois épaisses, appelés aussi ballons.
c’est l’endroit où s’effectuent :
• la séparation de l’eau et de la
vapeur contenues dans l’émulsion en
provenance des écrans et des
faisceaux vaporisateurs
• l’équilibrage des pressions
eau/vapeur et l’équilibrage des débits
eau/vapeur grâce au maintien d’un
plan d’eau
• l’introduction de l’eau
d’alimentation dans le système
évaporatoire
• la répartition correcte de l’eau
dans les tubes de descente, avec le
minimum d’entraînement de vapeur
• le stockage partiel ;
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Réservoirs:
Primage

• C’est la présence de gouttelettes d’eau entraînées


par la vapeur saturée sortant du réservoir.

• Le primage est très néfaste à cause de la chute des


caractéristiques vapeur et surtout à cause des sels
contenus dans l’eau entraînée, qui vont polluer le
réseau d’une chaudière à vapeur saturée

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Réservoirs:
Principe de séparation
On utilise, pour la séparation, la différence de masse volumique
entre l’eau et la vapeur.
Ce système met en jeu :
• la décantation: qui se produit normalement dans les parcours
horizontaux et qui est améliorée par la création de parcours
verticaux descendants
• la centrifugation: qui est une amélioration de la décantation,
surtout efficace pour la séparation primaire, c’est-à-dire
l’élimination des gouttes d’eau de grande dimension.
• l’agglutination sur des surfaces humides: obtenue en provoquant
des changements brusques de direction de la veine de vapeur qui
contient des gouttelettes d’eau. Par suite de leur inertie plus
grande, ces gouttelettes sont projetées contre les parois, captées
et maintenues sur les parois humides.

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Réservoirs:
Technique de séparation par centrifugation

Équipement de séparation de vapeur des chaudières


02/01/21 à des
conception et calcul circulation
chaudièrenaturelle, avec sécheurs à treillis 34
superposés
Réservoirs:

Technique de séparation par centrifugation

Équipement de séparation de vapeur


des chaudières à circulation
naturelle, avec sécheurs à treillis
superposés
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Réservoirs:
Maintien du niveau dans le réservoir

Il faut assurer le contrôle de la régulation du niveau d’eau


pour obtenir l’efficacité et la sécurité du dispositif:

• En évitant un niveau très bas pour assurer la sécurité de


l’alimentation des écrans vaporisateur.

• Si le niveau est très haut les séparateur centrifuge ne


peuvent plus assurer leur fonction.

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Séparateurs

Le séparateur permet:

• la séparation eau/vapeur par centrifugation, mais le


primage peut s’élever à 1 ou 2 %

• le maintient d’un niveau d’eau, pour ajuster


correctement l’arrivée d’eau d’alimentation à la
demande de vapeur.

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Calculs de circulation

Circulation naturelle

Circulation assistée par pompe

Circulation forcée

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Calculs de circulation

• L’objectif du calcul est de s’assurer que les tubes du


système évaporatoire est correctement refroidi par le
fluide qui le parcourt

• Il faut donc déterminer :


— le débit par tube
— son titre en vapeur en différents points
— le flux de chaleur reçu localement

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Calculs de circulation:
Circulation naturelle

• Le réservoir reçoit un débit MV


d’eau alimentaire froide et
restitue un débit MV de vapeur
saturée, tandis que la
chaudière véhicule un débit
ME d’émulsion, contenant en
moyenne (1 + x )MV de
vapeur.
ME = NMV = N1 (1 + x ) MV
• Le rapport N est souvent
considéré comme le nombre
de circulations de la chaudière

Chaudière à circulation naturelle : débits mis en jeu


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Calculs de circulation:

• Répartition de la chaleur absorbée par les écrans:


le flux moyen par zone permet de calculer le titre en vapeur
et la vitesse dans les tubes

• Détermination du débit de circulation:


le calcul de circulation est effectué par itération. En
pratique, ces calculs très longs si sont toujours effectués
sur ordinateur.

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Calculs de circulation:
Circulation assistée par pompe

• Le calcul est mené de la même façon qu’en


circulation naturelle, la hauteur manométrique
donnée par les pompes venant s’ajouter à l’effet de
circulation naturelle.

• Il est possible d’admettre des pertes de charge plus


importantes dans les écrans vaporisateurs, donc des
diamètres plus petits.

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Calculs de circulation:
Circulation forcée

• L’étude de la circulation consiste à :


— rechercher la bonne répartition du fluide dans les tubes, pour
tenir compte des différences de tracé et d’absorption.
— vérifier que la température des tubes reste compatible avec la
nature de l’acier retenu de l’acier retenu.
— contrôler la stabilité du système et éviter des écarts trop
importants d’un tube à l’autre pour limiter les contraintes dans la
membrane entre tubes et ne pas provoquer la déformation des
écrans.
• Le calcul du coefficient d’échange interne doit se faire lui aussi par
itération vu l’influence de la température de la paroi interne sur ce
coefficient.

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Merci pour votre attention

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