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Les avantages de

personnels
Présenté par : El HAJJAMI fatiha
BELMAZOUZI Safae
ARIF ALLAH Ayoub

Encadré par : Mr MAIMOUN


INTRODUCTION
S OM MAI R E

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Définition des
avantages du Les types
personnel d’avantage
LES METHODES DE
VALORISATION ET DE
personnel
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COMPTABILISATION
RETENUES PAR LA NORME
IAS 19

Cas pratique
L’historique de l’IAS 19:
IAS 19 a été publiée par l’IASB en février 1998. Cependant, cette norme a fait l'objet
de plusieurs amendements, dont certains ont été adoptés au niveau de l'Union
européenne.

Le 16 juin 2011, l’IASB a publié les amendements portant sur la comptabilisation des


régimes à prestations définies développée dans la norme IAS 19 « Avantages du
personnel » qui, en conséquence, a fait l’objet d’une nouvelle version. Cette nouvelle
version a été adoptée par l'Union Européenne le 5 juin 2012 par le règlement
n° 475/2012 . Elle constitue obligatoirement la nouvelle version applicable pour les
exercices ouverts à compter du 1er janvier 2013 .
DEFINITION DES AVANTAGES DU
PERSONNEL

Les avantages du personnel représentent «


toutes formes de contrepartie donnée par une
entreprise au titre des services rendus par son
personnel »
Ces avantages peuvent résulter :

•d’accords formalisés entre l’entreprise et certains


membres du personnel , des groupes de salariés ou de
l’ensemble du personnel ;
•de dispositions légales ou d’accords de branche
•de l’usage qui donne lieu à une obligation implicite de
l’entreprise.
LES METHODES DE VALORISATION ET DE
COMPTABILISATION RETENUES PAR LA NORME
IAS 19
Elles dépendent alors du type d’avantage octroyé. La norme en distingue
quatre :

 Les avantages du personnel à court terme ;


 Les avantages postérieurs à l’emploi ;
 Les indemnités de fin de contrat de travail ;
 Les autres avantages à long terme.
Les avantages à court terme :
Ils désignent les avantages dus intégralement dans les 12 mois qui suivent la fin de
l’exercice au cours duquel les services correspondants ont été rendus.
Ils comprennent les salaires, les rémunérations, les cotisations, les congés payés et la
maladie, les primes et les avantages non monétaires consentis aux salariés en activité.
Selon IAS 19, les avantages à court terme sont généralement évalués sans
actualisation et comptabilisés immédiatement en contrepartie des services rendus
Les avantages postérieurs à l’emploi sont les avantages du
personnel qui sont payables après la fin de l’emploi. Il s’agit notamment
des pensions et autres prestations de retraite, assurance-vie et assistance
médicale postérieures à l’emploi.
Deux catégories d’avantages postérieurs à l’emploi coexistent, les régimes à
cotisations définies et les régimes à prestations définies. Ces deux régimes
ont des incidences comptables très différentes.
Le régime à cotisations définies est celui par lequel l’entreprise verse des
cotisations définies à une entité distincte en charge de servir les avantages
postérieurs à l’emploi.
À contrario, dans les régimes à prestations définies, l’entreprise s’engage à
assurer les prestations convenues à son personnel en activité ou retraité
assumant ainsi les risques actuariels et de placement.
Les indemnités de fin de contrat de travail : sont les
prestations versées par l’entreprise à un membre du personnel qui
quitte l’entreprise avant l’âge normal de départ en retraite du fait
de l’entreprise ou de son propre fait.
 Une entreprise doit comptabiliser les indemnités de fin de
contrat de travail au passif et en charges si et seulement si elle
est manifestement engagée :
• à mettre fin à l’emploi d’un ou plusieurs membres du personnel
avant l’âge normal de mise à la retraite ; ou
• à octroyer des indemnités de fin de contrat de travail à la suite
d’une offre faite pour encourager les départs volontaires.
Autres avantages à long terme :
Cette catégorie regroupe tous les avantages du personnel qui ne
sont pas dans les trois autres catégories. On y trouve, en
particulier :
 les avantages liés à l’ancienneté
 les rémunérations différées ou payables douze mois ou plus
après la fin de l’exercice en cours ;
 les indemnités d’incapacité et les absences de longue durée.
Les indemnités de cessation D’emploi :
sont les avantages du personnel fournis en contrepartie de la
cessation d’emploi d’un membre du personnel résultant :

soit de la décision de l’entité de mettre fin à l’emploi du


membre du personnel avant l’âge normal de départ en retraite;
soit de la décision du membre du personnel d’accepter une
offre d’indemnités en échange de la cessation de son emploi.
LES METHODES DE VALORISATION ET DE
COMPTABILISATION RETENUES PAR LA NORME IAS 19 :

1 « unités de crédit projetées » Cette méthode, parfois aussi


appelée méthode de « répartition des prestations au prorata des années
de service », consiste à prendre en compte l’obligation générée au titre
des droits acquis mais évaluée sur les bases des prestations futures. La
valeur actualisée des obligations de l’entreprise doit être alors
provisionnée à hauteur des droits acquis par chaque salarié à la date
d’évaluation, par application de la formule d’attribution des droits définie
par le régime. Par exemple, l’évaluation des droits sera réalisée sur la
base du salaire final si celui-ci sert de base de calcul pour les prestations..
2 Le traitement des écarts actuariels
L’évaluation actuarielle d’un engagement suppose la projection probabilisée tant de la
population pouvant bénéficier des prestations que du coût de celles-ci pour l’entreprise à la
date à laquelle elles interviendront.
Ces projections passent nécessairement par la modélisation statistique des différents
phénomènes démographiques (mortalité, turnover) mais également financiers (taux
d’actualisation) et économiques (niveaux futurs de salaires, coûts médicaux futurs). La
reconnaissance immédiate de ces écarts actuariels en résultat peut engendrer une certaine
volatilité. Afin de temporiser ces effets, la norme IAS 19 a prévu deux méthodes de
comptabilisation alternatives :
• la méthode du « Corridor » qui permet d’amortir une partie de ces écarts actuariels (fraction
qui excède 10 % du montant de la PBO ou des actifs du régime s’ils sont supérieurs) ;
• la méthode dite « SoRIE » qui permet de comptabiliser l’ensemble des écarts actuariels
directement en capitaux propres.
Le traitement des écarts actuariels:

La reconnaissance immédiate de ces écarts actuariels en


résultat peut engendrer une certaine volatilité. Afin de
temporiser ces effets, la norme IAS 19 a prévu deux
méthodes de comptabilisation alternatives :
•la méthode du « Corridor » qui permet
d’amortir une partie de ces écarts actuariels .

•la méthode dite SORIE qui permet de


comptabiliser l’ensemble des écarts actuariels
directement en capitaux propres.
 Que puis-je attendre du Exporter ou transférer - Cas
transfert de technologie pratiques :
sur le long terme ?
EXEMPLE : Une entreprise française a conçu
 Quelle collaboration à long terme peut-on bâtir avec et fabrique un équipement de laboratoire
le partenaire au-delà du transfert de technologie très spécialisé. Les performances de cet
initial équipement sont très supérieures à celles de
 Quelles retombées économiques sont envisageables tous les appareils concurrents dans le
en termes d’image de l’entreprise, de patrimoine, de monde, ce qui conduit l’entreprise à vendre
pérennité… ce produit avec une marge considérable. Par
 Quelles retombées technologiques sont envisageables ailleurs, le marché mondial pour cet
grâce au licencié équipement représente moins d’une
 Mon entreprise peut-elle reproduire l’opération de centaine de laboratoires. Dans ce cas,
transfert sur d’autres pays l’exportation constitue certainement le
meilleur moyen de servir la totalité du
marché mondial.
 Quelles options de transfert ?
ETAPE 2 : Savoir transférer sa technologie

ELÉMENTS
POUVANT FAIRE
L’OBJET D’UN
TRANSFERT ELÉMENTS À NE
PAS TRANSFÉRER
Etape 4 - Recherche de partenaires • Quels marchés doit-il servir ?
• Quelle force sur le marché ce futur partenaire
doit-il représenter ?
• De quel réseau de distribution doit-il disposer ?
• Dans quel domaine technique doit-il évoluer ?
Définition du • Quelles technologies particulières doit-il
profil-type maîtriser ?
• De quelles compétences particulières doit-il
disposer ?
• A quelles sources de matières premières doit-il
avoir accès ?
• De quel type d’équipements de production doit-
Préparation il disposer ?
d’une offre de • Quels doivent être ses disponibilités
licence financières ?
Etape 5 - le Contrat :

Les règles de la collaboration prévue entre


l’émetteur de la technologie et son licencié
doivent impérativement être formalisées
dans un contrat Le contrat de transfert de technologie
(contrat de licence) devra donc :
• L’opération porte ici sur des biens
immatériels, beaucoup plus difficiles à • Définir clairement les biens
définir qu’un bien matériel immatériels

• Un transfert de technologie suppose un


partenariat de longue durée • Fixer les règles applicables tout au
long de la collaboration
ETAPE 6 - Réalisation concrète du transfert de
technologie

 Transférer les données

 Vérifier la bonne réception par le licencié

 Accompagner le licencié sur la durée

 Envisager et gérer l’après-contrat


1-3. les avantages du TIT

Pour le pourvoyeur

• Revenu résiduel 
•Lancement sur le
marché 
•Autre revenu 
Pour l’utilisateur
•Revenu
supplémentaire 
•Nouvelle direction
•Avantage compétitif 
1-4. Les inconvénients du TIT

Pour l’utilisateur
•Problèmes techniques
potentiels 
•Pression du
pourvoyeur 
Pour le pourvoyeur

•Performance médiocre
• Perte de contrôle 
•Pratique restrictives 
Le TIT et l’innovation

Le concept d’innovation et de transfert de technologie sont


fortement liés. On peut dire qu’un transfert de technologie
aboutit généralement à une ou plusieurs innovations,
puisqu’il s’agit d’introduire des idées nouvelles dans
l’Entreprise réceptrice qui peut aboutir au développement
d’une technologie qui lui est propre.
Le TIT et l’innovation

Cette appropriation peut se faire selon trois manieres :

 Achat "clés en mains" auprès d'un partenaire qui


possède et maitrise déjà la technologie.
 Embauche d'hommes qui la maîtrisent
 Acquisition des connaissances et du savoir-faire de
base, auprès de laboratoires publics de recherche ou
de sociétés d'ingénierie
Exemple de la chine :

La chine affiche sa volonté


d’aller plus loin que L’aviation
régional en annonçant le
premier vol du C919 en 2014,
qui espère prendre un tiers
du marché aéronautique ,
soit autant que la part visée
par air bus et Boeing
T HAN K S FO R WAT C H I N
G

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