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1) Néo-moderniste
2) Maitres à penser des années 1980
3) Post-modernisme
4) Remarques sur l'articulation et la
succession des écoles ou courants en
théorie des organisations
TITRE(NÉO-
MODERNISTE)
1) L’analyse sociologique
2) L’Économie des
organisations
3) L'analyse politique
4) L’analyse symbolique
1) L’ANALYSE
SOCIOLOGIQUE (2)
A) La théorie institutionnelle/ou néo-
institutionnelle (Selznick, Meyer, paul
Dimaggio, walter w power)
B) L’Écologie des populations (Mikael
Hannan, John Frieman, Howard Aldrick)
(L'écologie est l'étude des relations entre les
plantes, les animaux et leur environnement
physique et biologique.)
A) LA THÉORIE
INSTITUTIONNELLE
Cette théorie examine les liens
entre l’environnement
institutionnel et l’organisation
en mettant l’accent sur les
valeurs et la légitimité
Philip Selznick est le père fondateur
de cette théorie.
Il observa que les organisations
s’adaptent non seulement aux
contraintes internes mais également
aux valeurs de la société externe.
(lois, attentes sociales et culturelles)
Les organisations ne requièrent pas
seulement des matières premières,
du capital, du travail, des
connaissances et des équipements,
elles dépendent aussi du
consentement de la société dans
laquelle elles évoluent.
Ex: Embargo économique, apartheid
en Afrique du Sud (peuvent tuer
certaines organisations)
Une contribution théorique
importante de cette approche est
l’ajout de la légitimité sociale à la
liste des input.
Les organisations qui obtiennent la
légitimité de leur environnement ont
plus de ressources et augmentent,
par conséquent leur chance de survie
à long terme.
LE COURANT DE
L'ÉCOLOGIE DES
POPULATIONS
Origines liées à la biologie
(travaux de Darwin sur la
sélection naturelle)
- Une interrogation : pourquoi
y a-t-il autant d'organisation ?
- Réponse classique : certaines
entreprises changent,
s'adaptent
Ce n'est pas le plus fort des
espèces qui survivent, ni les
plus intelligents, mais les plus
sensibles au changement.
Charles Darwin
Naturaliste britannique
1809-1882
10
De façon générale cette théorie
essaye d’expliquer comment
l’environnement contraint les
organisations. (voila pourquoi il y
a différents groupes
d’organisations)
Les idées concernant les
processus:
de variation,
de sélection,
et de reconnaissance constituent
la base de la théorie de l’écologie des
populations
LES IDÉES REPRÉSENTENT 3
PROCESSUS
ÉVOLUTIONNISTES
1) La variation se produit par
l’innovation entrepreneuriale
au sein d’une population
d’organisations.
2) Les nouvelles organisations ainsi
formées fournissent un large choix
pour l’environnement qui la
sélectionne sur base de leurs
aptitudes (les organisations qui
satisfont au mieux les besoins et les
exigences de l’environnement)
3) la reconnaissance équivaut à la
survie. Les organisations
sélectionnées sont retirées de la
population par une restriction
dans l’approvisionnement des
ressources qui mène:
Soit à un déclin organisationnel
Soit à leur mort
Soit à une fuite vers d’autres
ressources
L’écologie des populations suppose
que les organisations dépendent de
leur environnement pour les
ressources qu’elles utilisent. (ce qui
est contraire à la théorie de la
dépendance)
Les théoriciens de l’écologie de
populations font l’hypothèse que les
organisations se partagent un
ensemble de ressources
interdépendantes et concurrentes et
que les modèles d’interdépendance
qu’elles adoptent au sein du groupe
(appelé population) affectent la
survie et la prospérité de leurs
membres pris individuellement.
Elle est basée sur l’hypothèse que les
organisations sont en concurrence pour leur
survie
Son intérêt principal est d’expliquer la manière
dont les processus évolutionnistes donnent
naissance à tous les types variés d’organisations
que nous voyons autour de nous aujourd'hui.
(une version organisationnelle de la théorie
darwinienne de la survie)
RÉPONSE ORIGINALE
D’ALDRICH
Des organisations de la
population disparaissent,
d'autres sont crées avec des
caractéristiques différentes
(sélection) -> c'est le principe de
la sélection naturelle de Darwin
appliqué aux entreprises
2) L’ÉCONOMIE DES
ORGANISATIONS (2)
A) La théorie de l’Agence
B) La Théorie des coûts de
transactions
En économie, on étudie
l'ensemble des arrangements
institutionnels permettant la
mise en œuvre de la production
et l'échange de biens et de
services.
Dans un sens plus restreint,
l'économie des organisations
consiste dans l'étude de
l'organisation comme entité
économique spécifique,
l'entreprise étant l'organisation
analysée de manière privilégiée.
FONDEMENTS DE LA
THÉORIE DE L’AGENCE
1) L’entreprise est considérée comme un
ensemble d’individus ayant des relations
contractuelles. Elle est un système de contrats
libres entre agents égaux
2) La relation d’agence est une relation entre un
principal et un agent. Elle concerne donc toute
relation entre deux entités, généralement des
individus dans laquelle la situation de l’un
(principal) dépend de l’action de l’autre (l’agent)
3) la théorie de l’agence met
généralement l’accent sur les
liens entre les actionnaires
(principaux) et les gestionnaires
(agents)
4) le principal et l’agent n’ont
pas les mêmes intérêts. De plus
entre les deux il y a généralement
asymétrie d’informations
5) les coûts d’agence
comportent trois éléments
Les dépenses de
surveillance et d’incitation
Les coûts d’obligation
Les coûts de perte
résiduelle
6) pour limiter les coûts
d’agence, les principaux
disposent de leur autorité, de
mécanismes de contrôle et
d’incitatifs financiers.
7)les coûts d’agence sont les
coûts que supportent les deux
parties pour mettre en place des
systèmes d’obligation et de
contrôle.
8) la théorie de l’agence est
utilisée pour comprendre le rôle
des conseils d’administration et
pour étudier les systèmes de
récompenses des gestionnaires de
haut-niveau.
THÉORIE DES
COÛTS DE Coarse, Olivier E,
TRANSACTIONS
LES FONDEMENTS DE LA THÉORIE
DES COÛTS DE TRANSACTION
1) les économies de marché se
caractérisent par la coexistence de deux
modes distincts de coordination des
échanges:
le marché
et la hiérarchie
L’entreprise choisit la hiérarchie au
lieu du marché à cause des coûts
de transactions.
DÉFINITIONS
le mouvement des « relations humaines » est souvent
présenté comme venant s'opposer à la théorie classique.
En fait, il s'agit davantage d'une relation de
complémentarité dans la mesure où les représentants de
ce mouvement ne s'opposent pas véritablement aux
principes d'organisation des théoriciens classiques mais
viennent en souligner l'incomplétude et proposent des
compléments en attirant l'attention des organisateurs
sur la nécessaire prise en compte des besoins de
reconnaissance des personnels en situation de travail.
CERTAINES ÉCOLES PARAISSENT EN OPPOSITION PLUS OU MOINS TRANCHÉE, PAR EXEMPLE : (SUITE)