Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
M /L ARIBOU
Le Principe du travail à la chaîne c’est que les produits circulent sur une chaîne
de montage devant une file d'ouvriers fixés sur des poteaux. Cette approche
développe davantage les aspects mécaniques des méthodes de travail dans
lesquelles les travailleurs n'apparaissent que comme de simples prolongements
des machines.
Henri Ford considérait ses salariés comme ses premiers clients potentiels et
en doublant les salaires par l’instauration d’une rémunération de cinq dollars
1
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
prennat en conciderations la pyramide des besoins élaboré par maslow qui represente
la hiérarchie des besoins qui interprète la théorie de la motivation basée à partir
des observations réalisées dans les années 1940 McGregor a développé dans les années
1960 deux théories en fonction de ce que les responsables de société (managers)
supposent des motivations de leurs collaborateurs.
2
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
L’influence sociale ou la pression sociale est l'influence exercée par un groupe sur cha
cun de ses membres aboutissant à lui imposer ses normes dominantes en matière d'attit
ude et de comportement.
Cette influence entraine la modification des attitudes, croyances, opinions d'un individ
u ou d'un groupe suite au contact avec un autre individu ou groupe. On distingue classi
quement trois types d'influence sociale : le conformisme, la soumission à l'autorité, l'in
novation.
5. l’école de contingence
Cette théorie trouve son origine dans le débat sur les apports des théoriciens de l'école
classique (Taylor, Fayol, Weber, etc.), qui affirmaient qu'il existe des méthodes
universellement variables pour toutes les formes d'organisation et qu'indépendamment
de le statut de l'organisation. Organisation ou sa position, il n'y a qu'une seule façon de
s'organiser, supérieure à toute autre : "one best way"
L'une des thèses centrales de l'école de la contingence est que les facteurs
environnementaux rendent les structures organisationnelles contingentes.
Contrairement au taylorisme, qui s'embarque dans une quête normative d'une bonne
organisation « en soi », Henri Mintzberg, un des principaux partisans de l'école
contingente, soutient que les structures ne sont pas mécaniques ou déterministes, mais
qu'elles prétendent être liées à la nature de l'organisation. Environnement. La structure
dépend également des objectifs fixés par les dirigeants. Par conséquent, les
mécanismes de régulation interne d'une organisation doivent être aussi divers que les
environnements auxquels elle doit faire face.
Deux concepts émergent : l'adaptation, qui décrit la relation entre une entreprise et son
environnement, et la cohérence, qui décrit le fonctionnement interne d'une
organisation.
3
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
6. l’école sociotechnique
L'école sociotechnique propose une nouvelle approche de l'organisation qui se base sur
plusieurs principes dont on note :
Développée dans les années 1970 par Michel Crozier et Erhard Freiberg, elle est la
théorie centrale de la sociologie des organisations développée dans le cadre de
l'analyse stratégique.
Crozier et Friedberg soutiennent qu'il ne faut pas se concentrer sur les fonctions des
acteurs et des sous-systèmes au sein d'une organisation, mais plutôt sur les stratégies
individuelles des acteurs. Surtout, il est important de suivre systématiquement les
régularités de comportement qui doivent être réinterprétées dans le cadre du Strategic
Actor Model., qui sont liées aux ressources dont disposent les acteurs et aux relations
dans lesquelles ils s'inscrivent. Le concept de stratégie renvoie donc à différentes
dimensions.
Les acteurs agissent pour améliorer leur capacité à agir et/ou créer une gamme
d'actions. Les plans des acteurs sont rarement clairs et cohérents, mais leurs actions ne
sont jamais idiotes. Il a toujours une signification intérieure. Tout comportement
humain est actif en ce qu'il est le résultat d'un choix. De plus, les actions des acteurs
4
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
s'adaptent aux actions possibles des autres selon les moyens dont ils disposent. Ainsi,
la capacité d'action d'un acteur repose sur quatre hypothèses :
L'organisation est une structure contingente qui peut ou non avoir été très différente.
Les acteurs sont relativement libres. Il peut faire sa part et déroger aux règles de la
société. Il y a une différence entre les objectifs organisationnels et les objectifs
personnels. Pour atteindre leurs objectifs, les acteurs effectuent des calculs dans une
rationalité limitée (Herbert Simon a introduit ce concept).
en bref il faut chercher à l’intérieur de l’entreprise des ressource mal exploiter et leurs
former pour les rendre stratégique ,rare, ont une valeurs au sein de marché , non
substituables et inimitables.
8. la régulation sociale
Selon JEAN REYNAUD Les interactions créent des règles qui permettent la
communication sociale et l'échange, la coopération et le conflit, l'arbitrage et le
compromis Il n'y a pas de règles stables dans les organisations, mais il peut y avoir
stabilité sous certaines conditions. La théorie de la régulation sociale explique la
création de règles générales et permanentes a travers trois concepts fondamentaux
notamment le conflit dont c’est une manière d’expression d’un mécontentement qui
n’a pu se régler autrement que par ce mode d’expression .C’est un mode « normal » de
fonctionnement, puisque chaque acteur est porteur d’une rationalité qu’il tente de faire
admettre aux autres pour agir sur leurs comportements.
9. l’innovation sociale
5
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
L'innovation, dans son sens le plus large, peut désigner tout changement délibérément
introduit dans l'économie par des acteurs dans le but et à la suite d'une utilisation plus
efficace ou plus satisfaisante des ressources
L'expérience se déroule en deux phases : dans la première, la tâche proposée consiste à
juger la couleur et l'intensité lumineuse de six diapositives bleues. Les groupes expéri
mentaux sont composés de quatre sujets naïfs et deux « compères ». Tout le monde do
nne sa réponse à tour de rôle et à haute voix. Les « compères » répondent soit en positi
on 1 et 2 soit en position 1 et 4 et donnent systématiquement une mauvaise réponse po
ur la couleur : « vert » au lieu de « bleu ». Les groupes contrôle sont quant à eux comp
osés de six sujets « naïfs » qui donnent leurs réponses par écrit. Dans la situation expér
imentale, les participants se rallient à la mauvaise réponse donnée par les « compères »
dans 8,25 % des cas contre 0,25 % dans les groupes contrôle. Dans la deuxième phase,
les mêmes participants que lors de la première phase reçoivent pour tâche de juger la c
ouleur de pastilles plus ou moins bleues ou plus ou moins vertes. Les résultats montren
t alors que dans la situation expérimentale, le seuil de détection du vert était plus faible
que dans le groupe contrôle.
Nous constatons que l'innovation est associée à des processus d'influence minoritaire,
contrairement à la conformité précédemment étudiée, qui correspond à des processus
d'influence majoritaire. Ce sont, en somme, des "cohérences" internes (ou
interpersonnelles : une personne semble sûre de ce qu'elle dit) et sociales (ou
interpersonnelles : les groupes minoritaires sont fixes). Le bon sens véhicule l'idée que
quelques individus ne peuvent influencer l'écrasante majorité. La psychologie sociale
montre exactement le contraire : l'effet de majorité (conformité) est temporaire. Bien
qu'elle implique des changements superficiels (je suis l'opinion du groupe dans
6
Hasnae EDDAHBI Mr. M /L ARIBOU
certaines situations), l'influence des minorités peut avoir des effets plus profonds,
rampants et durables, conduisant à des transformations monstrueuses (tout commence
par une méditation partagée : « Mais ces gens ont répété le même chose d'une manière
très autoritaire au cours des années, il doit y avoir une part de vérité dans ce qu'ils
disent.
10.théorie de connaissance
Le père fondateur de cette théorie est Spener en 1996 qui selon lui les connaissances se
divisent en deux explicite ou autrement dit tous ce qui est codifié et implicite ou tous
ce qui est tacite encré dans les cerveaux La connaissance individuelle explicite est dite
« consciente » car elle relève de la prise de conscience et de l’acceptation par
l’individu des caractéristiques de ce qu’il est de ce qu’il sait.
La connaissance « objectivée » représente par exemple la connaissance scientifique :
établie et reconnue par une large communauté. Au niveau de l’entreprise, cette
connaissance représente les règles établies, les bases de données, les procédures.., etc.
La connaissance « automatique » représente la connaissance individuelle tacite.
La connaissance « collective » est une connaissance sociale qui n’a pas nécessairement
de contenant, elles s’expriment par exemple au travers de réseaux. Ce sont les
connaissances qui se développent en parallèle de la structure formelle. Le transfert
interne de connaissances a pour objectif de transmettre un savoir local à l’ensemble de
l’entreprise. Il permet ainsi de faciliter la coordination en définissant une base
commune de savoirs