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MANDRY
N AU Fatine
MANAGEMENT Docteure en
Sciences de Gestion
ET
DIGITALISATIO Année
Universitaire :
N DES 2022/2023
ENTREPRISES
RÈGLES DE VIE PENDANT LA
SÉANCE DE COURS
• Téléphones mode vibreur dans le cartable / demander la permission en
cas d’urgence uniquement ou pendant un exercice collectif en cours
• Limite de retard
• Absences
• Respect mutuel
• Respect des deadlines
• Participation TRÈS souhaitable
• Rigolade et sérieux
• Propreté (laisser la classe propre à son prochain)
OBJECTIFS DU COURS
Initiation au management des organisations : Définition de la notion ‘management’ et
‘organisation’.
2. Le Comportement Organisationnel
• Le pouvoir VS le leadership
• Le travail en équipe
• La gestion des conflits
• La culture organisationnelle
PLAN DU COURS
CHAPITRE III : LA STRATEGIE
1. La démarches stratégique
2. Le diagnostique stratégique
3. Le déploiement de la stratégie
Le management est quelque chose qui se rapporte à des êtres humains. Sa tâche, son
devoir, c’est de rendre les hommes capables de produire un résultat commun, de donner
de l’efficacité à leurs capacités, et de faire en sorte que leurs points faibles n’aient pas
d’importance.
Peter Drucker (1989)
PREVOYANCE / COMMANDEME
COORDINATION
ANTICIPATION NT / PILOTAGE
RELATIONS
ENTRE DES VISION
CONTROLE
ETRES STRATEGIQUE
HUMAINS
Le management englobe toutes les dimensions de
l’entreprise tant stratégiques qu’opérationnelles :
Le management
Le management
opérationnel : concerne la
stratégique : concerne la
gestion des processus
gestion du marché en
internes : c’est une vision
adoptant une stratégie. Il
interne centrée sur
offre une vision externe
l’organisation (gestion du
de la gestion (long-terme).
day-to-day – court-terme).
LES COMPOSANTES DU MANAGEMENT
DÉFINITION DE L’ORGANISATION
La notion ‘Management’ et ‘Organisation’ sont deux notions intimement
associées en pratique et en théorie.
«Une organisation est un ensemble relativement stable d’acteurs tournés vers des
objectifs généraux communs et qui, en vue de leur réalisation, ait recourent à une
division du travail et à des modalités de coordination et de contrôle».
Henry Mintzberg (1982)
EVOLUTION DU MANAGEMENT
DANS L’ORGANISATION
Dans leur tentative de définir les organisations, les théoriciens ont mis l’accent
successivement sur différents aspects des relations entre l’individu et sa tâche.
Rapports entre
l’Homme et les
Relations des
conditions
Hommes au travail
physiques et
entre eux.
administratives de
son travail.
Rapports socio-
économiques et politiques
établis entre les travailleurs,
les organisations et le milieu
extérieur.
THÉORIES FONDATRICES : LES GRANDS
COURANTS DE PENSÉE DANS LES
SCIENCES DE L’ORGANISATION
Plusieurs théories du management ont surgi suite à la révolution industrielle et au fil des années
plusieurs écoles se sont succédées jusqu’à aujourd’hui pour proposer une vision
multidimensionnelle et dynamique des organisations. L’apport de chaque école était important et
contribuait à la constitution du cadre actuel de réflexion sur les problématiques de gestion.
L’école classique.
Les approches
sociologiques.
L’ÉCOLE CLASSIQUE – ORGANISATION
L’École Classique
SCIENTIFIQUE ET ADMINISTRATIVE DU
TRAVAIL (OST)
Vision mécaniste simple (Approche Rationnelle)
TAYLORISME ET FORDISME
La bureaucratie WEBERIENNE
LES 4 PRINCIPES DE LA VISION MÉCANISTE
MAYO McGREGOR
Elton Douglas
Les MASLOW
HERZBERG
principaux Abraham
Frederick
auteurs
LIKERT LEWIN
Rensis Kurt
L’ÉCOLE DES RELATIONS
HUMAINES
Ses trois grands principes :
• Le travail en groupe.
L’école des relations humaines
MASLOW ABRAHAM
Psychologie de la motivation par la pyramide des besoins :
Autonomie, responsabilité,…
Protection,…
Faim, soif,…
L’ÉCOLE DES RELATIONS
HUMAINES
MAYO George Elton
Emergence des variables psychosociologiques suite à l’étude de Mayo :
Le besoin de reconnaissance.
MAYO Elton
1880 – 1949 : Professeur et Le sentiment d’appartenance à un groupe.
chercheur en psychologie.
Les
principaux
auteurs
Former
SYNTHÈSE DES 4 STYLES DE
MANAGEMENT
L’école de la Contingence
La notion de contingence
WOODWARD
BURNS ET Joan LAWRENCE
STALKER ET LORCH
Les
principaux
auteurs
CHANDLER MINTZBERG
Alfred Henry
DÉFINITION DE LA STRUCTURE
ORGANISATIONNELLE
« La structure d'une organisation peut être définie comme la
somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre
tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination
nécessaire entre ces tâches. »
Structure et Dynamique des organisations, Mintzberg (1982)
L’école de la Contingence
BURNS ET STALKER
Facteur d’influence de la SO : CONDITION DE
L’ENVIRONNEMENT
CHANDLER Alferd
1918-2007 : Professeur de
management à Montréal
Centralisation du pouvoir de prise de décision
OBJECTIF ?
Identifier, classer, prévoir les évolutions pour réussir à s’adapter OU
réagir.
LES COMPOSANTES DE
L’ENVIRONNEMENT DE
L’ENTREPRISE
LES INTERACTIONS DES
ENTREPRISES ET DE LEUR
ENVIRONNEMENT
Quel est l’impact de l’entreprise sur l’environnement et vice-versa ?
+ Création d’emplois
+ Production de biens/services
Les 5S
Management visuel
EXEMPLES RÉELS D’INNOVATION
EN ORGANISATION
FORD Méthode de production Travail à la chaine VS gestion du juste à temps (JAT)
MARJANE Carte fidélité, réagencement des rayons, propreté et modernité, application mobile +
Livraison à domicile.
SIRI / BIXBIE IA
2. Le Comportement
Organisationnel
• Le pouvoir VS le leadership
• Le travail en équipe
• La gestion des conflits
• La culture organisationnelle
DÉFINITION DE LA
STRUCTURE
« La structure d’ une organisation peut être définie
comme la somme totale des moyens employés pour
diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite
assurer la coordination nécessaire entre ces tâches »
Le La
La taille La L’environ technolog
secteur
et l’âge stratégie nement ie
d’activité
L’école de la Contingence
BURNS ET STALKER
Facteur d’influence de la SO : CONDITION DE
L’ENVIRONNEMENT
Technologie de production en
Hiérarchie courte, personnel
grandes séries (voiture, pdt de
WOODWARD Joan productif nombreux.
1916-1971 : professeur de consommation)
sociologie industrielle
Structure souple, la hiérarchie est
Technologie à production unitaire
plus courte, le contrôle administratif
(Avion)
est le plus faible, réactivité requise
CHANDLER
ALFRED
STRATEGIE DE L’ORGANISATION
CHANDLER Alferd
1918-2007 : Professeur de
management à Montréal
Centralisation du pouvoir de prise de décision
MINTZBERG Henry
Universitaire canadien en
sciences de gestion
Structure Fonctionnelle
Structure Divisionnelle
Structure Matricielle
Les structures organisationnelles
LA STRUCTURE
HIÉRARCHIQUE (H. FAYOL)
PRINCIPE
La spécialisation de chaque responsable selon son type de compétence selon les principes
suivants :
- Les décisions sont prises par des responsables fonctionnelles
- Chaque tâche est menée par un ou plusieurs subordonnés
- Il n’y a pas d’unité de commandement au niveau de la gestion et du contrôle (La pluralité
de commandement)
LA STRUCTURE
FONCTIONNELLE
• Résoudre les problèmes et complexité de gestion
par des spécialistes
• Communication ascendante et descendante facile
+ • Le DG est en contact avec toutes les opérations
Relation de conseil
Relation de
hiérarchie
LA STRUCTURE
HIÉRARCHICO-
FONCTIONNELLE (STAFF &
LINE) • Possibilité de faire appel à des spécialistes
compétents.
• Aide à la prise de décisions stratégiques.
+ • Simplicité et séparation des responsables
- Ajustement mutuel : Les employés vont discuter ensemble afin de savoir qui
fait quoi (communication informelle).
- Supervision directe : Un individu qui distribue le travail et coordonne les
actions. Il donne les ordres et instructions (mode traditionnel).
- Standardisation des procédés : Une personne va indiquer comment on fait les
tâches, puis standardise ces taches (uniformisation des règles, méthodes de travail
formalisées). Taylor a fait de la standardisation un procédé.
Exemple : Industrie automobile.
- Standardisation des résultats : Ne va pas dire comment faire les tâches mais il
va demander le résultat des tâches. La mise en place des objectifs.
- Standardisations des qualifications : Standardisation des connaissances,
qualifications et formation générale. L’entreprise va mettre à disposition toutes
les connaissances nécessaires afin de pouvoir exécuter les tâches.
SYNTHÈSE
MODELE MECANIQUE MODELE ORGANIQUE
- Coordination centrale des efforts - Interdépendance des efforts
- Interactions standardisées dans des - Interactions nombreuses
postes bien définis - Capacités de traitement de
- Capacité de traitement de l’information élargies
l’information limitée - Tâches particulières et complexes -
- Tâches simples et répétitives Innovation et créativité
- Efficience de la production
LES FONCTIONS DE
L’ENTREPRISE
L'étude des fonctions de l'entreprise consiste à décomposer
l'activité globale en diverses séries d'opérations indispensables à la
vie de l'entreprise.
Facteurs
Humains et
Matériels
LES FONCTIONS DE L’ENTREPRISE
Afin de créer une valeur qui sera valorisée par ses clients,
l’entreprise passe par différentes étapes.
Ces étapes ont été synthétisées par Michael Porter (1989) dans le
concept de la chaîne de valeur.
LES FONCTIONS DE
L’ENTREPRISE
La Chaîne de Valeur (Michael Porter)
LES FONCTIONS DE
L’ENTREPRISE
La Chaîne de Valeur (Michael Porter)
• Le Pouvoir et le Leadership
• La culture organisationnelle
LE COMPORTEMENT
ORGANISATIONNEL c’est quoi ?
Autorité
Pouvoir
• Pouvoir de Coercition
• Pouvoir Légitime
• Pouvoir Expert
• Pouvoir Charismatique
Les types de Pouvoir
LE POUVOIR DE GRATIFICATION
Le pouvoir de gratification est celui qui permet
d’octroyer des faveurs économiques ou psychologiques
à des dirigés (pouvoir de récompense).
#
Le manager sait comment le faire de façon efficace et optimum
pour l’entreprise (performance et efficacité).
S = SIGNALER L'AVENIR
E = ENCOURAGER L'ENGAGEMENT
DES PERSONNES ET LES FAIRE
GRANDIR
R = RÉINVENTEZ SANS CESSE
V = VALORISER LES RÉSULTATS ET
LES RELATIONS
I = INCARNER LES VALEURS
R=RÉFLÉCHISSEZ TOUJOURS
LE LEADER N’UTILISE NI LES MENACES,
NI L’AUTORITÉ QUE LUI CONFÈRE SON
POSTE POUR MENER SON GROUPE.
Patron/Manager Leader
• Directif • À l’écoute
• Gestion de crise
• Gestion préventive
• Constante • Situationnel
MANAGE
Se concentre sur le long terme R Autorité d’influence informelle
Peu relationnel
LE LEADERSHIP
SITUATIONNEL
D’HERSEY ETTrès relationnel
Style BLANCHARD
Style Participatif
Persuasif
Le manager sollicite et
Le manager explique, détail
et donne du sens aux implique son équipe dans
objectifs à accomplir la prise de décision.
(comprendre la perspective).
Incompétent / Compétent /
Engagé
Très organisationnel Désengagé
Peu organisationne
Peu relationnel
LE CONCEPT DU
TRAVAIL EN ÉQUIPE
Qu’est-ce qu’une équipe ?
« Une équipe est un groupe de personnes interagissant afin de se donner ou
d’accomplir une cible commune, laquelle implique une répartition des tâches et la
convergence des efforts des membres de l’équipe ».
Philippe C. Abrami, professeur et directeur du Centre d’études de l’Université Concordia au Quebec
Sécurité : Atténuer le sentiment d’insécurité lié au sentiment de solitude. On se sent plus fort
et on doute moins.
Estime de soi : Valoriser sa propre image. Si vous trouvez que le groupe auquel vous
appartenez est valorisant à vos yeux.
Appartenance : Satisfaire son besoin d’appartenance via l’interaction régulière avec les
membres du groupe.
Tuckman (1965)
Les phases de formation d’un groupe
LE CYCLE DE FORMATION
D’UN GROUPE
Etape 1 Formation : Grande incertitude concernant le but, la structure et les leaders du
groupe. Vous faites parti d’un groupe de travail mais vous ne connaissez pas les personnes.
Grande incertitude dans le but et le leadership du groupe.
excités et optimistes
Fiers
anxieux / méfiants à propos du travail
plein d'attentes
Etape 2 Agitation : Emergence des conflits au sein du groupe. Quand vous êtes en
groupe, ça remet en cause l’individualité de chacun. Vous exprimez votre propre
individualité, vous avez envie d’avoir raison. Donc il y a des conflits au sein du groupe.
ont une attitude fluctuante
ils manifestent une résistance aux nouvelles approches
LE CYCLE DE FORMATION
D’UN GROUPE
Etape 3 Normalisation : Relations étroites entre les membres du groupe ; normalisation
et stabilisation du fonctionnement. Les personnes commencent à se rapprocher et à mieux
connaitre le fonctionnement des choses. Il y a donc une bonne stabilisation du
fonctionnement.
acceptation de l'équipe
capables d'exprimer des critiques constructives
soulagés
Les soft skills (ou compétences humaines ou savoirs comportementaux) désignent les aptitudes
personnelles qui démontrent un haut degré d’intelligence émotionnelle
COMPRENDRE LE
COMPORTEMENT DE
GROUPE
1. L’importance des rôles : description du poste, instructions du n+1…
• Rôle : Modèle de comportements attendus d’un individu qui occupe une place spécifique au sein d’une unité sociale.
2. Les normes : Niveau de rendement, ponctualité, taux d’absentéisme, code vestimentaire (ex : costume pour les banquiers) …
• Normes : Standards ou attentes qui sont acceptés et partagés par les membres d’un groupe. Solomon Asch et la conformité
de groupe
3. Statut : Facteur clé pour comprendre et prédire des comportements. Facteur de motivation et de conditionnement des
attitudes et comportements.
4. Taille du groupe : les petits groupes (5 à 7) réalisent plus vite les tâches et sont efficaces que les groupes de grande taille (10
et +). En revanche, s’il est question de résoudre des problèmes, les groupes importants l’emportent.
5. Cohésion de groupe : Mesure dans laquelle les membres d’un groupe ressentent un intérêt mutuel à être ensemble et
partagent les objectifs du groupe.
TRANSFORMER LES
GROUPES EN ÉQUIPE DE
TRAVAIL
Quel est le rôle du manager dans la gestion des
équipe ?
En ce qui concerne la fonction « production », plusieurs moyens
sont à la disposition du manager :
Laisser du temps pour que la confiance s’instaure entre les membres au fil des
échanges informels quotidiens ;
Avoir une écoute active autant pour la communication verbale et non verbale.
GESTION DES CONFLITS
Qu’est-ce qu’un conflit?
Un conflit est une divergence entre deux ou plusieurs personnes,
se caractérisant par des tensions, des émotions, des désaccords.
Les conflits peuvent avoir des conséquences néfastes sur
l'entreprise comme une baisse de la productivité, une perte de
temps, un turn-over important, un absentéisme élevé, une
détérioration du climat dans l'entreprise.
TYPE DE CONFLITS
CONFLITS D’IDEES
CONFLITS D’INTERETS
CONFLITS DE POSITIONS
CONFLITS DE GENERATIONS
Éviter Céder
DÉFINITION DE LA CULTURE
ORGANISATIONNELLE
La culture organisationnelle peut être généralement décrite comme un ensemble de
normes, de croyances, de principes et de façons de comportement qui confèrent à
chaque organisation un caractère distinctif (Brown, 1995).
Les valeurs
Les rituels
Les symbols
Les Tabous
LA TRADITION (MYTHES ET
HÉROS)
L’histoire de l’entreprise : M. Thévenet : « la culture se construit selon un
processus d’apprentissage, tout au long de l’histoire ». Il s’agit donc de
comprendre ses grandes phases d’évolution qui font référence à l’activité et
aux produits de l’entreprise, aux technologies utilisées, aux structures, aux
dirigeants, et aux stratégies employées.
Exemple : En 1984, le basket-ball devient le sport phare de la marque,
avec la signature du joueur Michael Jordan et la création de la Nike Air
Jordan.
Les créateurs de l’entreprise (ou Héros) : Les débuts de l’entreprise
représentent la première expérience et les premiers choix réalisés, ce qui fait
apparaître les convictions personnelles et les valeurs de l’entrepreneur.
VALEURS DE GOOGLE
1.Privilégiez l’utilisateur est le reste suivra
2.Mieux vaut faire une seule chose et la faire bien
3.Toujours plus vite
4.La démocratie sur le Web fonctionne
5.On peut avoir besoin de réponses à tout
moment
6.On peut gagner de l’argent sans vendre son
âme au diable
7.La masse d’informations continue de croître
8.Le besoin d’information ne connaît pas de
frontières
9.On peut être sérieux sans porter de cravate
10.On peut toujours faire mieux
LES RITUELS/RITES
Les rituels sont des activités systématiques et programmées dans
l’organisation. Ils ont pour fonction de développer le sentiment
d’appartenance, de donner de l’importance aux événements qui véhiculent les
valeurs pivots et de fixer la culture.
Concrètement, ils se manifestent dans les comportements, tant verbales que
gestuelles et s’expriment au travers de repas ou de célébrations particulières.
(Example :
Exemple : port du costume-cravate obligatoire sauf le vendredi
(« fridaywear »), pot de départ, célébrer les objectifs atteints, etc.).
LES SYMBOLES
Ils concernent la tenue vestimentaire, la signalétique, le mobilier, les logos,
slogan … Ils signifient explicitement de part des signes et des codes,
l’environnement et l’ambiance que véhicule l’entreprise et démontrent la
cohérence de la culture d’entreprise qui s’applique au sein de l’organisation.
LES TABOUS
Les tabous renvoient aux peurs de l'entreprise (une diversification hasardeuse,
l'échec d'un lancement de produit, certains concurrents redoutés...).
4 TYPES DE CULTURE
ORGANISATIONNELLE (CVF MODEL)
Cameron and Quinn (1999)
1. L’analyse stratégique
2. Le diagnostique
stratégique
3. Le déploiement de la
stratégie
LA STRATEGIE
• Qu’est-ce que le management
stratégique ?
• Pourquoi élaborer une stratégie ?
• Qu’est-ce qu’un avantage
concurrentiel ?
DÉFINITION DE LA STRATÉGIE
Analyse
Le diagnostic
stratégique
stratégique
Environnement
Capacité, intention
et culture
Choix Déploiement
stratégiques stratégique
Concurrence, orientations, Processus, organisation,
international, innovation, ressources, changement
alliance et pratique
Diagnostique Stratégique
Mise en œuvre de la
stratégie choisie
Stratégie de domination
par les coûts,
Différenciation, Déploiem
Epuration/Sophistication... ent
Choix stratégiqu
SWOT, PESTEL,
stratégiqu e
5 FORCES e
CONCURRENTIELLES...
Analyse
stratégiqu
e
LES NIVEAUX
D’ANALYSE
STRATÉGIQUE
2. Diagnostic externe :
L’environnement : Tous
1. Diagnostic les éléments extérieurs
interne : Forces susceptibles d’affecter
et faiblesses de l’activité de l’entreprise
l’entreprise et qui sont des
contraintes ou des
opportunités
Le macroenvironnement : influencent
Le microenvironnement : influencent
directement l’action de l’entreprise -
directement l’action de l’entreprise - Analyse concurrentielle par les 5 forces
Analyse concurrentielle par les 5 forces de de Porter Le macroenvironnement :
Porter influencent indirectement l’action de
l’entreprise – Analyse PESTEL
ANALYSE STRATÉGIQUE
Modèle stratégique LCAG, SWOT, BCG, McKinsey, etc.
Analyse de l’organisation Analyse des forces et faiblesses,
chaine de valeur (Porter M.)
Analyse de l’environnement Analyse PESTEL, analyse
concurrentielle
Analyse comparative étude Benchmarking, business model, etc.
LES MODÈLES D’ANALYSE STRATÉGIQUE
1) Le modèle LCAG
2) La matrice SWOT
3) Le modèle I. Ansoff
4) Le modèle PESTEL
1. Évaluation externe
• Menaces et opportunités
• identification des facteurs clés de succès.
2. Évaluation interne
• Forces et faiblesses
• Compétences distinctives