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Co n fo r mé me n t à la lo i n °8 2 -0 0 1 d u 7 j a n v ier 1 9 8 2 s ur le d ro it d ’a ut e ur, to u te
rep ro d uct io n p ar ti el le o u to ta le d u co nt e n u d e c e s up p o r t o u vra g e – p a r q ue lq ue mo ye n
q ue ce so it es t fo r me l le me n t i nte rd i te.
DOM BUSINESS
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0. INTRODUCTION
0.2. Approche
La méthode pédagogique utilisée est celle dite active. Elle est inductive et
déductive et se présente sous forme expositive et interrogative, avec des
études des cas pour clore les différents chapitres, en vue de transmettre des
connaissances et un savoir-faire en impliquant les étudiants à la formation.
CHAPITRE I
DEFINITIONS ET CONCEPTS
1.2. Le Management
d'organisations, dans les secteurs les plus variés ; des formations universitaires
existent en management public, en management culturel, en management
sportif... Même la vie privée n'échappe pas à cette emprise, puisqu'on parle de
manager sa vie professionnelle ou bien les études de ses enfants.
1.2.1 Définitions
Or, comme tout ce qui touche à l'humain, le management ne peut être une
science exacte, il reste dans le domaine du probable, de la statistique.
Le management, un art
a. Rôles interpersonnels
Symbole (figurehead):
Leader:
Le manager est la personne qui guide toutes les activités des
subordonnées et les motive.
Agent de liaison:
Le manager crée et entretient des contacts aussi bien avec son
environnement interne qu'externe, pour le meilleur fonctionnement de
l'entreprise.
b. Rôles informationnels
Diffuseur (disseminator):
Le manager diffuse et transmet les informations collectées de
l'extérieur ou par ses subordonnées aux membres de l'organisation.
Porte-parole (spokesman):
Le manager transmet l'information sur le plan de l'organisation à
l'extérieur, au conseil d'administration et autre.
c. Rôles décisionnels
Le manager joue le rôle principal dans l'élaboration de son système de
prise de décisions. Il y a quatre rôles qui décrivent le manager dans cette
optique décisionnelle.
Entrepreneur (improver/changer):
Le manager cherche des opportunités et initie de nouveaux projets à
l'organisation.
Négociateur (negociator) :
Il représente l'organisation dans les grandes négociations. La négociation
est l’une des obligations de la profession de manager ; elle peut être
quelquefois routinière mais ne peut en aucun cas être esquivée. C'est une
CHAPITRE II
QUELQUES DEVELOPPEMENTS UTILES SUR L’ENTREPRISE
- Son but :
Qui est l'essence même de son existence, sa raison d'être et qui est
souvent confondu avec la nature du bien ou service qu'elle produit.
- La recherche du profit:
Une entreprise ne peut exister que si elle crée de la valeur ajoutée du fait
même de sa fonction de transformation.
Mais limiter l'entreprise en tant que telle à sa simple expression
économique, c'est faire l'impasse sur un certain nombre d'aspects qui rendent
d'autant plus complexe la définition même de l'entreprise. Car celle-ci est aussi :
Par son action, une entreprise agit et réagit à son environnement via
notamment les externalités qu'elle produit (pollution, création d'emplois...). Elle
change donc constamment pour s'adapter aux évolutions de la sphère
économique, sociale, juridique... dans laquelle elle évolue.
Qui est le reflet des individus qui la composent et qui poursuivent eux-
mêmes des objectifs parfois différents de l'entreprise elle-même. L'entreprise
est alors au cœur des conflits sociaux, le lieu de cristallisation des problèmes
plus généraux de la société.
Définition du système :
Derrière cette définition se cache en fait une approche reposant sur 4 concepts
fondamentaux :
Cette approche se traduit par des effets qui éloignent l'entreprise de son
objectif premier défini par le courant classique :
W.J. Baumol avance alors l’idée que les managers recherchent avant tout
la maximisation du chiffre d’affaires au détriment de la maximisation du profit.
C'est une entité juridique autonome, pouvant passer des contrats avec
ses employés, fournisseurs, distributeurs et clients.
C'est une entité administrative c'est-à-dire dotée d'une équipe de
managers pour assurer la coordination d'un ensemble de tâches
spécialisées.
C'est une collection d'actifs, de compétences et de capacités,
d'équipements et de capitaux.
Ces facteurs couvrent des domaines assez vastes. D'une part, il s'agit de
l'environnement géographique de l'entreprise (climat, qualité de
l'environnement, proximité d'une zone urbaine...) qui peut avoir une influence
sur la stratégie d'une entreprise (installation), de l'ensemble des
infrastructures logistiques (proximité d'un aéroport, d'un port ou d'une
desserte routière...) et enfin de la situation démographique globale d'une nation
(la structure par âges de la population n'est pas neutre d'un point de vue
économique).
2.5.1 Direction
2.5.2 Production
2.5.3 Commerciale
2.5.4 Etudes
CHAPITRE III
LES FONDEMENTS HISTORIQUES DU MANAGEMENT
Dans son ouvrage intitulé, « La Richesse des Nations » (1776), connu pour
sa grande contribution à la doctrine économique classique, Adam Smith
démontre également les bénéfices économiques que la division du travail peut
apporter aux entreprises et à la Société.
Taylor s'est rendu compte que les ouvriers produisent en dessous de leur
potentialité naturelle pour deux raisons : la multiplicité des méthodes
d'exécuter la même tâche et le sabotage.
Il distingue deux types de sabotage : naturel et systématique.
Le sabotage naturel est lié à la nature même de l'homme, à sa
paresse naturelle et congénitale : l'homme n'aime pas travailler.
Le sabotage systématique est un sabotage concerté : les ouvriers
s'entendent pour ralentir, geler le rythme de travail.
Trois faits sont à la base du sabotage concerté :
- Henry GANTT
Pas de méthode unique, la plus efficace pour exécuter une tâche :
l'efficacité de la méthode est tributaire des éléments et des
circonstances de la tâche ;
Dénonce le caractère déshumanisant de l'Organisation Scientifique du
Travail (OST) qui traite l'homme comme une machine, comme un outil ;
désapprouve la division du travail établie par Taylor ; pour lui, l'ouvrier
doit avoir la liberté de contribuer à l'amélioration du travail ;
propose un salaire journalier fixe augmenté des primes pour les meilleurs
travailleurs, en lieu et place d'une rémunération à la pièce ;
met au point un graphique qui porte son nom et établit les corrélations
entre paramètres ou éléments : « le diagramme de Gantt ».
3.2.2 Henri FAYOL
En outre, Fayol énumère une liste de 14 principes qui doivent guider les
managers :
Weber cherche à savoir pourquoi les gens obéissent-ils à ceux qui ont de
l'autorité sur eux. Dans cette analyse, il distingue trois types d'autorité :
l'autorité traditionnelle, l'autorité charismatique et l'autorité formelle ou
positionnelle.
L'école des relations humaines est une réaction aux idées de l'école
classique qui met l'accent sur la structure et les méthodes de travail comme
facteurs déterminant de la productivité. Cette école laisse peu d'espace à
l'homme considéré comme un outil, l'outil humain, à entretenir au même titre
que l'outil machine.
L'école des relations humaines met l'accent sur l'homme, dans sa double
dimension personnelle (individu) et sociale (membre d'un groupe) comme le
principal déterminant de la productivité.
Les tenants des relations humaines estiment qu'avant d'être un employé,
l'homme est avant tout membre d'un groupe : son comportement au travail et
ses motivations sont largement influencés par le groupe. Ses besoins sont
d'abord des besoins sociaux d'appartenance et d'identification au groupe.
Pour satisfaire l'homme, il faut satisfaire les besoins sociaux de son
groupe. Le pionnier de cette vision, c'est Elton MAYO.
Pour les tenants de cette tendance, l'homme n'éprouve pas que des
besoins sociaux. Il ne vient pas au travail juste pour vivre la vie de groupe. Il a
Inputs Outputs
E Transformation E (= environnement)
Intrants Extrants
- l'entropie négative : processus par lequel toute chose tend vers sa fin
(naissance, croissance, mort) ;
- le feed-back ou la retro-action ;
- l'équilibre dynamique et non statique entre les intrants et les extrants,
un équilibre qualitatif et non quantitatif ;
- la différenciation : une tendance à une grande spécialisation et à une
multitude de rôles : l'implication de plusieurs personnes où chacune
exécute une tâche spécifique ;
- l'équifinalité : le fait que dans les systèmes ouverts, les organisations
n'ont pas une seule stratégie pour atteindre leurs objectifs.
feedback
CHAPITRE IV.
LE PROCESSUS MANAGERIAL
Pour y arriver, le manager, qui est chargé de cette tâche, crée des sous
systèmes de gestion :
4.1 Généralités
- Ressources
Financières
Décision Mission
- Ressources
physiques et
La structure L’animation
matières
premières
Organisation Direction
ILLUSTRATION
Humanisation Viabilité et
croissance de
Souci de la personne et l’Entreprise
de l’Association
Caractère humain des
Organisations
africaines
Viabilité et
Rationalisation croissance de
l’Association
Une gestion efficace et efficiente est celle qui est fondée sur la
raison et la rationalité, où la rationalisation des méthodes de travail génère une
concentration guidée, et l'humanisation du cadre du travail suscite la solidarité,
la confiance et la motivation du personnel, et où, en conséquence, la performance
est élevée et l'esprit coopératif satisfaisant.
Le cycle gestionnaire
PLANIFICATION
I
ORGANISATION
CONTROLE
IV DECISION II
V
DIRECTION
III
I. LA PLANIFICATION
Mission
Objectifs
Le Plan
Programme
Activités
II
L’ORGANISATION Définition des
problèmes
III
LA DIRECTION
LA DECISION
Animation V
L’Exécution
Motivation
IV LE CONTROLE
Evaluation Résultats
L’Amélioration
Comparaison avec les
objectifs
Rétroaction
a. Concepts de base
- why ? ou pour quoi faire ? Quel est le but visé ou la raison d'être ?
- what? ou quoi faire ? Quelles sont les activités à même pour atteindre le
but?
- who ? ou qui ? Il s'agit ici des ressources humaines à impliquer dans
l'atteinte du but?
- where ? Où ? Précisez le lieu et les locaux. Il s'agit de la localisation des
actions :
- when? Quand ? C’est une référence au délai de réalisation ;
- how ? Comment ? Quelles sont les stratégies à mettre en œuvre pour
réaliser les programmes et atteindre les résultats ?
b. Eléments de la planification
Le but (mission)
C'est la raison d'être de l'institution, la raison qui justifie la création de
l'institution. Le but est général et permanent bien qu'il puisse connaître une
évolution à travers le temps.
L'objectif
C'est le résultat à atteindre. Par rapport au but qui est général, l'objectif
doit être concret, mesurable, quantifiable dans la mesure du possible et inscrit
dans le temps.
La procédure
C'est un plan qui établit d'avance l'ordre chronologique des étapes
nécessaires pour effectuer une tâche donnée.
La méthode
C'est une façon efficace d'accomplir une étape à l'intérieur d'une
procédure. Exemple : la méthode de préparation d'un chèque.
Le standard
Un indicateur qui sert de norme d'évaluation du rendement d'un agent ou
d'un service.
Exemples :
- traiter 20 dossiers par jour
- entretenir 2 Kms de route de desserte agricole par jour par cantonnier.
Le programme
C'est un plan de réalisation qui englobe les objectifs, les politiques, les
procédures, les budgets et les standards ou normes d'évaluation.
Exemple : un programme de production agricole, un programme de formation.
Elle vise donc à décrire concrètement les activités qui devront être
réalisées pour actualiser les programmes.
Types de Planification
OPERATION-
NELLE 1 an Vivre le Déroulement des
quotidien activités
Le Management stratégique
Missions
Analyse Ei Analyse Ee
- forces - Opportunités
- faiblesses - menaces
Révision des
Missions et objectifs
Formulation des
Stratégies
Programmation des
activités
Mise en oeuvre
feebback
Evaluation Résultats
Ee
Missions
Planification
Exécution
Contrôle
Impulsion Organisation
(Direction)
Chef Subordonné
4.2.2 L'organisation
Types d'organisation
La division du travail
Le découpage
c. Le Processus de structuration
Découpage
par produit
Poste Télécom CCP
par fonction
Découpage
Pers. Tech. Com. Adm& Pers. Tech. Com. Adm& Pers. Tech. Com. Adm&
Fin Fin Fin
Supermarché
Approv Ventes A.F Approv Ventes A.F Approv Ventes A.F Approv Ventes A.F
General Motors
Cecand Magasin
Particuliers Entreprises
Dépôt / Cantines
Coca-Cola
GECAMINES
Découpage matriciel
Bureau d’Etudes
Projet 2
Projet 3
Chantier
Mikonga
National 1
Av. Kasa-
vubu
e. Centralisation et décentralisation
A B
La supervision directe
A B
1. Sommet stratégique
2
5.Techno-
élément 4. personnel
structure
fonctionnel
médian
3. Centre opérationnel
h. La description de poste
le titre
le rôle général : description synthétique du poste indiquant le but
poursuivi ;
les relations : nature et niveaux des liens à l'intérieur et à l'extérieur ;
les activités et responsabilités : l'énumération des tâches principales.
les compétences requises pour exécuter le poste
La description de poste n'est pas un remède miracle qui guérit tous les
problèmes, mais constitue un mécanisme offrant des avantages tant pour
l'employé que pour l'organisation.
4.2.3 La Direction
a. La motivation
Motivation et besoin : Définition
Edgard SCHEIN
- L'être social
- L'être psychologique
Adaptation au travail
Les croyances que les Chefs (gestionnaires) ont sur les hommes
influencent aussi leur façon de les gérer et de les motiver, leur style de gestion.
DOUGLAS McGREGOR distingue deux types de gestionnaires : le gestionnaire X
et le gestionnaire Y.
5 Besoin de réalisation
4 Besoin d'estime
3 Besoin d'appartenance
2 Besoin de sécurité
1 Besoins physiologiques
Maslow Alderfer
Alderfer
identifie 3 catégories de besoins ;
2 m 00
1 m 50
1m
En dehors des besoins physiologiques qui sont communs à tout être humain,
Mcclelland identifie trois catégories de besoins : les besoins d'accomplissement,
de pouvoir et d'affiliation.
Selon lui :
- les besoins ne sont pas de mêmes niveaux et ne se manifestent pas de la
même façon chez tous les individus ;
- les besoins n'interviennent pas suivant un ordre hiérarchique quelconque ;
- les besoins sont tributaires de notre background, de l'environnement
socioculturel et de l'expérience à laquelle l'individu a été exposé. Le fils
d'un roi ou d'un chef traditionnel est dominé par le besoin de pouvoir ; le
fils d'un Ministre ou d'un Commerçant veut réussir comme son père
Auto-accomplissement Accomplissement
Croissance Motivation
Estime / Ego
Pouvoir
Appartenance Relation
Subsistance
Physiologiques
Chris ARGYRIS
BOLMAN et DEAL
BOLMAN et DEAL proposent un certain nombre de stratégies
susceptibles de conduire l'individu au succès psychologique. Ils citent notamment
le management participatif, l'enrichissement des tâches, la création des équipes
autonomes de travail, l'instauration de la démocratie organisationnelle et le
développement organisationnel.
Les théories des attentes mises au point par Vroom, Lawler et Porter
essaient d'établir un lien entre les variables dynamiques qui affectent le
comportement de l'individu. Pour Vroom, l'individu n'est prêt à fournir un effort
que s'il est sûr que l'effort conduit à une performance et que la performance
aboutit à un résultat désiré qu'on appellerait récompense. Et c'est ce rapport
entre l'effort et le résultat qui constitue la principale source de la motivation
humaine ;
Retro-action feed-back
Mais, il sied de retenir avec Lawler et Porter que l'effort ne conduit pas
automatiquement à la performance, tout comme la récompense est multiforme et
ne conduit pas toujours à la satisfaction.
Pour ces deux auteurs, l'individu ne peut fournir un effort que s'il est
convaincu de la probabilité que l'effort conduit à la performance, la performance
conduit à la récompense, la récompense conduit à la satisfaction est réelle.
En d'autres termes, LAWLER et PORTER estiment que :
Capacité
perçue E P volonté intrinsèque Equitable
perçue P R E P R S
perception extrinsèque
perçue R=Equit
feedback
Apports A apports B
gains A gains de B
Equité justice
Il conclut que les êtres humains ont toujours tendance à répéter toute
activité qui leur procure une récompense heureuse ou positive et à supprimer
toute celle qui leur cause des ennuis.
b. Le changement
C'est le passage d'un état, d'une situation à une autre. Le changement est
important parce qu'il menace l'existence du groupe de l'intérieur comme de
l'extérieur. Et lorsqu'il n'est pas bien géré, il conduit à des dysfonctionnements
et des résistances.
- l'agression et l'agressivité ;
- la régression, la résignation et la démobilisation ;
- l'absentéisme ;
- la demande de transfert ;
- la baisse de productivité.
Causes de la résistance au changement
- Le dialogue, la négociation ;
- l'introduction du changement lentement, étape par étape, et de
façon expérimentale ;
- une bonne gestion des symboles ;
- des compensations matérielles lorsque la résistance est due à des
facteurs économiques ;
- la formation.
- la consultation ;
- l'induction ou l'introduction du changement ;
- la cérémonie ;
- la légitimation ;
- bâtir le changement sur le passé.
c. Le conflit
Définition
Typologie
d. Le leadership
Définition
Parmi ces qualités ou traits de caractère qui distinguent les leaders des
non leaders, on peut citer :
Les personnes
considérations
relation humaines,
etc.
Orientations
0
Ils distinguent :
Robert MCMURRY
(1,9) (9,9)
(5,5)
(1,1) (9,1)
Le Chef
le besoin d’indépendance
problèmes
L’environnement
Le subordonné
Commandement
L’organisation
b. L'exercice de contrôle
L'autocontrôle
Le contrôle interne
C'est la vérification qui est effectué par des unités propres à un service
en vue de déterminer la conformité du comportement du service et des agents
aux ordres, aux textes juridiques, aux programmes et procédures établies, aux
objectifs assignés.
Le contrôle externe
L'audit managérial
II s'exprime sous forme de pression par les lobbies locaux, des groupes
organisés, indépendants et capables d'obliger les hauts cadres des entreprises
ou de l'Administration à pouvoir jouer leur rôle de responsables du bien-être
collectif.
du social,
de la santé,
de l'environnement,
de l'humanitaire,
de la culture,
du tourisme et des loisirs
celui du droit,
celui de l'économie et
celui de la gestion.
5.3 Evolution :
Par ailleurs,
5.5 Utilité
Ainsi, il faut :
Compte tenu des enjeux que cela représente pour les collectivités, un
véritable professionnalisme s'est mis en place.
On parle désormais K d'ingénierie du partenariat » pour désigner la capacité à K
mettre des acteurs ensemble ».
5.7.1 Historique
l'État protecteur,
l'État régulateur,
l'État généreux,
l'État mécène)
l'État Actionnaire
l'État Entrepreneur
mais pas l'État providentiel
Identité :
- de la collectivité: un nom pour l'État, des symboles (drapeau, hymne,)
- de la communauté : sentiment d'appartenance, adhésion, patriotisme
- une langue, une culture, une mémoire collective
Ordre : paix civile, sécurité intérieure
Règle : sécurité par les règles, stabilité
Libertés collectives : association, réunion, expression, droit de vote,
consentir l'impôt, décentralisation et autonomies régionales, droit des
communautés ethniques ou culturelles
Libertés des individus : liberté de mouvement, de parole, de pensée,
secret individuel...
Fraternité : solidarité en cas d'accident, maladie, pauvreté...
Égalité des droits, chances, ressources, refus des discriminations
Prospérité : survie et confort matériel
Satisfaction des besoins et attentes des citoyens mais aussi des
institutions
d. Le contrôle et la qualité :
Les relations entre l'administration et les usagers sont au coeur des réformes.
e. L’évaluation :
L'analyse de l'efficacité de l'action publique permet d'apprécier les
effets réels de la décision publique au regard des intentions et des objectifs.
La mise en place d'indicateurs de performance est devenue indispensable pour un
management moderne et réactif des politiques publiques.
OUVRAGES
0. INTRODUCTION .............................................................................................................. 1
CHAPITRE I ............................................................................................................................ 5
DEFINITIONS ET CONCEPTS .......................................................................................... 5
1.1. Notions d’organisation .................................................................................................... 5
1.2. Le Management................................................................................................................ 5
1.2.1 Définitions ...................................................................................................................... 6
1.2.2 Le management Art ou Science ? ............................................................................. 7
1.2.3 Les Rôles du Manager .................................................................................................. 8
1.2.4 Portrait du manager ................................................................................................... 10
1.2.5 Guide d'or éthique pour le Manager .......................................................................11
CHAPITRE II ........................................................................................................................ 12
QUELQUES DEVELOPPEMENTS UTILES SUR L’ENTREPRISE ............................. 12
2.1. La notion d’entreprise .................................................................................................. 12
2.2. Classification des entreprises .................................. Erreur ! Signet non défini.
2.3 Les différentes approches de l’entreprise ............................................................. 14
2.3.1 L’approche néo-classique de l’entreprise .............................................................. 14
2.3.2 L’entreprise : une « boîte noire » centrée sur un seul objectif ..................... 14
2.3. L’approche systémique de .......................................................................................... 15
2.3.4 L’approche « managériale » de l’entreprise ......................................................... 17
2.3.5 L’approche K behavioriste » de .............................................................................. 17
2.4 Environnement de l’entreprise ................................................................................... 19
2.4.1 Les facteurs géographiques et démographiques : .............................................. 19
2.4.2 Les facteurs socioculturels : .................................................................................. 19
2.4.3 Les facteurs juridiques et institutionnels : ........................................................ 19
2.4.4 Les facteurs technologiques : ................................................................................ 20
2.4.5 Les facteurs concurrentiels : ................................................................................ 20
2.4.6 Les facteurs sociaux : ............................................................................................. 20
2.4.7 Les facteurs économiques : .................................................................................... 20