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L’INCERTITUDE
DANS LA THÉORIE
DU CHÔMAGE
KEYNS
la réduction des salaires nominaux qui s’accompagne d’une baisse des prix et des
transferts dans la répartition des revenus nominaux fera baisser la courbe de
préférence pour la liquidité relative et propension à consommer et l’efficacité
marginale de capital.
Une baisse de prix consécutive à celle de taux de salaire accroit l’offre
réelle de monnaie sur le marché de monnaie ce qui provient à diminuer
le taux d’intérêt, relance l’investissement, la production et l’emploi.
L’analyse précédente du rôle de l’incertitude n’invite que Keynes fixe le taux de salaire et
autres couts de facteurs. Alors, il ne pouvait pas analyser les conséquences de flexibilité du
salaire avant d’avoir exposé sa théorie de la détermination du prix de monnaie, de capital, des
titres et des niveaux général des prix. Le cadre d’incertitude radicale peut être posé pour
expliquer que la chômage involontaire aurait perdu sa force théorique .
IV. Conclusion
L’incertitude ne joue pas le rôle qui lui attribuent les post keynésiens
dans leur théorie de chômage, elle ne constitue pas une origine de
chômage mais détermine le lien entre variation de salaire et de
volume d’emploi.
Keynes accorde une importance pour l’incertitude, son projet de
recherche reste ouvert