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LE RÔLE DE

L’INCERTITUDE
DANS LA THÉORIE
DU CHÔMAGE
KEYNS

Préparée par: ABIR


AJAJ
SALMA BKHIT
Plan
I. Introduction
II. La relation salaire/emploi chez Glustoff et Keynes.
III. Le rôle de l’incertitude dans la théorie du chômage
involontaire.
1. Prix conventionnels, salaire et chômage.
2. Pourquoi Keynes a-t-il considéré comme fixe le salaire
nominal ?
IV. Conclusion
I. Introduction

La plupart des la logique de J.Cartelier


économistes qui (1996) appuyée par le
Le but de Keynes
réclament modèle de
dans la théorie
l’approche Glustoff(1958), « générale est de
keynésienne « l’incertitude » ne montrer que le
radicale » voient permet pas de capitalisme Or, il existe un
présenter des résultats engendre du écart entre celle-
dans de chômage chômage de ci et la théorie de
l’incertitude le involontaire manière Glustoff.
concept d’équilibre. Cette chronique même
principal de la que la structure
dernière repose sur de l’économie est
théorie générale l’existence entre concurrentielle
et des essais entrepreneurs et
ultérieurs. salariés.
II. La relation salaire/emploi chez Glustoff et Keynes
Keynes formule un postulat d’asymétrie entre entrepreneurs et salariés en rejetons le
second postulat classique : Le lien salaire/emploi est différent, il dit qu’une variation
de salaire ne peut résorber le chômage compte tenu la demande effective reste
inchangée ce qui aboutit à un escamotage de problème.

la rigidité de salaires a pour effet d’arrêter l’absorption du chômage involontaire ce qui


rend inactive la fonction d’offre de travail.

la réduction des salaires nominaux qui s’accompagne d’une baisse des prix et des
transferts dans la répartition des revenus nominaux fera baisser la courbe de
préférence pour la liquidité relative et propension à consommer et l’efficacité
marginale de capital.
Une baisse de prix consécutive à celle de taux de salaire accroit l’offre
réelle de monnaie sur le marché de monnaie ce qui provient à diminuer
le taux d’intérêt, relance l’investissement, la production et l’emploi.

Selon Keynes, la baisse de salaire n’a pas un effet approprie sur


l’investissement que si aucune diminution nouvelle n’est attendre.

Dans la théorie de chômage involontaire de Keynes, l’incertitude n’apparait


pas comme une hypothèse stérile
III. Le rôle de l’incertitude dans la théorie du chômage
involontaire
Dans le modèle de Glustoff, l’existence d’un équilibre keynésien se traduit dans un
modèle d’équilibre général inter temporel en concurrence parfaite, et le taux de salaire
monétaire est borné vers le bas.

1.Prix conventionnels, salaire et chômage

La demonstration de Glustoff est. incomplete car sa construction théorique n’est pas


temporaire qu’il existe donc une relation entre prix futures et prix courant

Selon Keynes, l’investissement dépend de 2 variables : la valeur estimée du capital d’une


part et le taux d’intérêt attendu et constaté d’autre part. Une fois l’investissement est
réalisé, la pmc, le montant de revenu, le niveau d’emploi sont déterminés
Sur le marché boursier, une baisse de salaire
nominale=<diminue les prix des actions =< la demande
actif risqué diminue de sorte que le taux d’intérêt ne varie
pas.

2.Pourquoi Keynes a-t-il considéré comme fixe le


salaire nominal ?

L’analyse précédente du rôle de l’incertitude n’invite que Keynes fixe le taux de salaire et
autres couts de facteurs. Alors, il ne pouvait pas analyser les conséquences de flexibilité du
salaire avant d’avoir exposé sa théorie de la détermination du prix de monnaie, de capital, des
titres et des niveaux général des prix. Le cadre d’incertitude radicale peut être posé pour
expliquer que la chômage involontaire aurait perdu sa force théorique .
IV. Conclusion

 L’incertitude ne joue pas le rôle qui lui attribuent les post keynésiens
dans leur théorie de chômage, elle ne constitue pas une origine de
chômage mais détermine le lien entre variation de salaire et de
volume d’emploi.
 Keynes accorde une importance pour l’incertitude, son projet de
recherche reste ouvert

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