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Exposé sur les nouvelles analyses keynésienne du cycle

Chapitre 1: généralité sur les Nouvelles analyses keynésienne du cycle


Le principe de la demande effective el le multiplicateur keynésienne
Selon Keynes la demande effective ou demande anticipé joue un rôle très important dans la
détermination de la quantité des produits ou les entreprises doivent offerts .
D'après la crise de surproduction de 1929 les analyses classiques et surtout celle de Say (la lois de
débouches ) l’offre ne crée pas la demande.
Donc selon Keynes les producteurs doivent faire une analyse anticipe efficace au marche des bien et
services et de travail afin de détermine la quantité ou il produit et le mettre au marche .
Les déterminants de le incitation investir
Pour Keynes quand un homme acheté un bien donc il participe a la hausse des recettes des
l'entreprises ou il offerte, ce qui stimule a produire plus, alors la consommation joue un rôle crucial a
la détermination et la stimulation de l'investissement.
La monnaie et l'incertitude
Traditionnellement on distingue trois fonction de la monnaie . Les classiques adoptent l'ide que la
monnaie est une intermédiaire d'échange donc ce est un voile il a aucune impacte sur l'économie
juste facilite les échanges . Mais les analyses keynésienne voient que la monnaie va être utilise
comme un réserve de richesse.C’est a dire que après la distinction de la revenu entre la
consommation et l'épargnes . Et la part destine a l'épargne va être prendre préférence par trois motif
: motif cde transaction , motif de précaution et motif de spéculation.
La théorie keynésienne de l'emploi
Au contraire aux analyse classique l'effet d'avoir un plein emploi il est facile pour eux, c'est a dire que
il y a 60 personne en situation de chômage et les entreprises capable de débauche que 30 donc pour
lutte contre le chômage, il faut diminue le salaire pour que au lieu de recrute 30 les entreprises
doivent recrût la totalité des personnes avec un salaire très bas .
Mais pour Keynes il a refuse cette théorie pour lui le salaire ne rigide pas a la baisse, soit il augmente
soit il restant constant, et pour atteindre le plein emploi il faut encourager l'investissement publique
et la consommation des ménages .
le chômage involontaire
le chômage est principalement lie a la demande insuffisante . Les salaire ne détermine pas le niveau
d’emploi (les classiques ). Au contraire c’est la baisse des salaires qui peu déprime l’emploi .Le
chômage est un conséquence de l’équilibre sous_emploi. .C’est-à-dire que l’insuffisance de la
demande qui réduite la production est l’emploi (déséquilibre sur le marché de travail ),alors qu’il y a
une équilibre sur le marché des biens et services (équilibre a un niveau plus faible ).
L’intervention de l’état
pour Keynes l’intervention de l’état devient très important pour lutter contre le chômage et
atteindre le plein emploi.Par la stimulation de l’investissement public et l’encouragement de la
consommation pour voir impacte positivement sur le niveau de la demande globale.
L’état selon Keynes doit intervenir par trois instruments majeur :
la politique budgétaire : par l’augmentation des dépenses public
la politique monétaire: agir sur le taux directeur
la politique fiscale: faire baisser les impôts
CHAPITRE 2 : Les critiques et les limites de la nouvelle analyse keynésienne
La critique de la politique budgétaire keynésienne
la critique de Milton Friedman de la politique budgétaire keynésienne souligne que les agents ont
une sensibilité faible et imprévisible aux augmentations de leurs revenus courants. Il soutient que les
ménages ajustent leur consommation en fonction de leur revenu permanent plutôt que de leur
revenu courant, ce qui signifie que les agents maintiennent un montant constant de dépenses au fil
du temps, même si leur revenu actuel augmente ou diminue. Il affirme également que le moteur du
multiplicateur keynésien s'est avéré non seulement lent mais chaotique, et que la politique
budgétaire est donc inefficace et peut même déstabiliser l'économie en créant de l'inflation
La critique de la politique monétaire keynésienne
Critique de la politique monétaire keynésienne
Conclusion de Friedman : effet positif sur l'emploi à court terme seulement
À moyen terme : retour des niveaux de chômage antérieurs avec inflation plus élevée
Inefficacité et même nocivité de la politique monétaire expansionniste
Argumentation basée sur le concept d'attentes adaptatives (prédictions basées sur des données
passées
le modèle keynésien face à la mondialisation 
Le rejet de libre échange
La condition de paix : l'abandon du libre-échange va dans le sens de la paix entre les nations. Dans
ce cas, la concurrence sera réduite d'autant et la paix sera préservée.
La fixation de taux d’intérêt : La fixation des taux d'intérêt est un facteur clé de la reprise
économique et du retour au plein emploi.
La révolution néolibérale
Les économistes qui sont venus au pouvoir avec Mme Thatcher et Ronald Reagan n'aiment pas les
idées keynésiennes
La révolution néolibérale# vise à affaiblir l'Etat au nom de la rigueur et de la lutte contre l'inflation
Cela passe par la réduction des dépenses publiques et l'allégement de la fiscalité, principalement
celle qui frappe les revenus les plus élevés
Les aides sociales doivent être revues à la baisse car elles encouragent le chômage volontaire
Le marché doit redevenir le principal moteur de la croissance
Il est important de modifier le modèle de "corporate governance" qui est en vigueur
Les déterminants de l’investissement dans la globalisationLe texte décrit les différents déterminants
de l'investissement dans la globalisation, notamment la capacité d'obtenir des matériaux du sol ou
du sous-sol, l'accès à de vastes marchés de consommateurs et la recherche de la réduction des coûts.
Il souligne également que cela peut entraîner une baisse de l'emploi dans le pays d'origine et ruiner
les travailleurs peu qualifiés.
En fin Le principal de ce texte est que le modèle keynésien n'est plus valable en raison des nouvelles
règles du jeu de la mondialisation, qui a conduit à un retour à une économie de marché. Dans ce
système, le taux d'exploitation du travail est considéré comme une variable plus fondamentale pour
expliquer les décisions d'investissement que la différence entre le taux d'intérêt et le rendement
marginal du capital, et il est questionné si les idées de Keynes sont compatibles avec la globalisation
Les déterminants de l’investissement dans la globalisationLe texte explique que l'augmentation de la
demande attire les investissements en créant des attentes positives chez les investisseurs, et que la
mondialisation a changé la place de l'attente et l'effet de la baisse d'intérêt. Il mentionne également
que les flux d'investissement à l'étranger sont plus élevés que les flux d'investissement étrangers en
France pour les grandes entreprises françaises, et que le premier facteur influençant leur
investissement n'est plus situé dans leur pays d'origine. Il donne enfin trois raisons à cette situation.
Chapitre 3:l’application des théories keynésianisme au fil de temps
Les trente glorieuses
L’expression « trente glorieuse » désigne la période des trentaines d’années qui a suivi la fin de la
seconde guerre mondiale en 1945, jusqu’au premier choc pétrolier de 1973. C’est pour les pays
industrialise occidentaux une période de prospérité exceptionnelle.
Donc le système keynésien, généralisé pendant les 30 glorieuses, est basé sur une intervention forte
de l’État sur le plan budgétaire et monétaire. Mais cela a débouché sur une forte inflation et un fort
endettement de l’État à la fin des 30 glorieuses ce qui a remis en lumière les préceptes libéraux. Pour
eux, la politique keynésienne est inefficace et peut avoir des effets néfastes importants en créant des
dysfonctionnements sur les marchés. Le marché doit rester le seul organe de régulation économique.
La période des Trente Glorieuses constitue un âge d’or de l’intervention publique d’origine
keynésienne. La majorité des pays ont développé des politiques économiques d'inspiration
keynésienne
Les grandes changements marqué durant les trente glorieuses
Le produit intérieur brut a été multiplié par 4,5 entre 1947 et 1973, ce qui correspond à une
croissance annuelle moyenne record de 5,9%.
Initialisé par la reconstruction d’après-guerre avec le soutien de plan Marshall, la durée de cette
période de croissance peut s’expliqué par :
Le travail des femmes qui augmente le revenu du foyer,
Le (baby-boom) est l’accroissement de l’espérance de vie qui augmente le nombre de
consommateurs,
La sécurisation des revenus par l’état providence : création de sécurité sociales, des allocations
familiales, des régimes de retraites, instauration en 1950 du SMIG,
L’augmentation de la durée des congés payés qui favorise le développement des dépenses de loisirs.

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