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107 107
235
342 342
67
235 2 3 5 – 19°C 168 + 14°C
MEDTL : figure adaptée ou reproduite récupérée sur le site du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable,
des Transports et du Logement http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/
Produits_editoriaux/Publications/Reperes/2012/Climat_ed_2012
Composition de l’atmosphère sèche Part des principaux gaz dans la réflexion des
(% du v olume hors H 2O) rayonnements v ers la Terre (en W /m 2)
CH4 et N 2 O
6%
O3
A u tr e s 8%
1,0 % Azote ( N 2 ) H2 O
78,1 % 60 %
Oxygène ( O 2 )
20,9 % CO2
26 %
CH4 (ppb)
{N2 O 270 p p b 1 400
+ 18 % }
1 200
300 Début de l'ère
industrielle 1 000
800
250 600
500 1000 1500 2000
Année
Les chiffres entre crochets correspondent à la concentration a tm o sp h é r iq u e du gaz en 2005 et à son taux de cr o issa n ce entre
1750 et 2005.
Source : G IEC, 1e r groupe de tr a va il, 2007.
C o n c e n tr a tio n
2005 379 p p m 1 774 p p b 319 p p b 60,6 p p t 76,9 p p t 5,6 p p t
2 à plusieurs e n vir o n
Durée de s é j o u r entre 1 e t
m illie r s 12 a n s 114 a n s 10 0 0 0 3 200 a n s
260 a n s
d 'a n n é e s ans
Pouv oir d e
r é c h a u ffe m e n t 1 25 298 [124 ; [7 300 ; 22 8 0 0
g lo b a l (100 a n s ) 14 8 0 0 ] 12 2 0 0 ]
A u g m e n ta tio n d u
fo r ç a g e radiatif depuis
+ 1,66 + 0,48 + 0,16 +0,337
1750 due aux émissions
a n th r o p iq u e s (W /m 2 )
Source : GIEC, 1er groupe de travail, 2007. N.B : ozone et eau non-inclus
B io sp h è r e
[8 433 - 1 4 3 ]
Océ a n
[139 333 + 4 3 3 ]
Sédimentation 0,7
Sous-sol
[13 567 - 8 9 5 ]
Ce graphique p r é se n te : ( i) sous forme de flè ch e s, les flux de carbone entre les r é se r vo ir s sur la période 1990-1999 en milliards
de tonnes d’équivalent CO 2 par an ; ( ii) entre crochets, la taille des r é se r vo ir s en m illia r d s de tonnes d’équivalent CO 2 et leur
va r ia tio n sur la période 1750-1994. Ré se r vo ir s et flux p r é - in d u str ie ls sont en noir. Ceux qui sont liés au développement des
a ctivité s a n th r o p iq u e s à partir de 1750 sont en rouge.
Source : d’après G IEC, 1e r groupe de tr a va il, 2007.
en 1750 Variation Variation % années 90 Fraction %
Océans 139333 433 0,31% 139766 85,5%
Sous-sol 13567 -895 -6,60% 12672 7,7%
Biosphère terrestre 8433 -143 -1,70% 8290 5,1%
Atmosphère 2189 605 27,64% 2794 1,7%
sommes = 163522 0 163522
• L’océan est le stock dominant, il a absorbé environ 42% des extractions du sol et
de la biosphère réalisées depuis 1750
• L’atmosphère a stocké le complément ~58% ce qui a fortement modifié sa
composition (augmentation de 28% du stock carbone atmosphérique).
30
-15
-20
Les données concernant les émissions dues à la combustion fossile et à la production de ciment, le réservoir o cé a n iq u e
ainsi que l’a ccr o is se m e n t a tm o sp h é r iq u e résultant sont pour la période 2000-2005. Les flux te r r e str e s sont pour les années
1990-1999.
Source : G IEC, 1e r groupe de tr a va il, 2007.
Masse de l’atmosphère : 4**Rt2*patm/g =5300
Tt, 180 Emol de gaz.
Rejet annuel 29 Gt CO2 (2007) dont 1/3 à 1/2 est
absorbé par la biosphère (océans, sols,
végétaux)
Rémanent ~15 Gt, soit 340 Tmol, soit +1,9
ppmv.
En 2007 il y avait 383 ppmv de CO dans
l’atmosphère, en 2010 390 ppmv (à comparer
aux 280 ppmv en 1751)
4 450
Concentration de CO 2 (ppm)
2
Écart à la température actuelle (°C)
0 400
-2
350
-4
-6
300
-8
-10 250
-12
-14 200
-16
-18 150
400 000 350 000 300 000 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 Aujourd’hui
Années p a ssé e s
Ces r é su lta ts ont été obtenus à partir de l’a n a lyse de carottes de glace à Vostok (Antarctique).
Source : World Data Center for Pa le o clim a to lo g y , Boulder & NOAA Pa le o clim a to lo g y Program.
Température globale moyenne estimée (°C)
14,6
(°C)
14,4
14,2
14,0
13,8
13,6
13,4
13,2
Période Accroissement
Moyenne Annuelle Années en °C s ur 10 ans
Courbe de te n d a n ce
In te r va lle de confiance à 5 % sur dix ans
0,5 0,5
0 0
-0,5 -0,5
-1 -1
-1,5 -1,5
-2 -2
1910
1920
1930
1940
1950
1960
1970
1980
1990
2010
1900
2000
1900
1910
1920
1930
1940
1950
1970
1980
1990
2000
2010
1960
éc art de température moye n n e déc ennale
Source : M é té o - Fr a n ce , 2011.
CO 2
76,7 %
8
tC
GtGC 2-q
OO2e
0
1990 2004 1990 2004 1990 2004 1990 2004 1990 2004 1990 2004 1990 2004
É n e r g ie Tra ns p o rt B â tim e n t In d u s tr ie A g r ic u ltu r e U TC F D é c h e ts
(25,9 % ) (13,1 % ) (7,9 % ) (19,4 % ) (13,5 % ) (17,4 % ) (2,8 % )
300
Indice bas e 100 en 1990
A fr iq u e
250
200 Monde
150
É ta ts - U n is
100
UE à 1 5
50
0 Fra n c e
1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005 2009
Dans le Monde l’électricité est produite
surtout avec des énergies fossiles : du
charbon, du gaz, un peu de pétrole. La
production électrique est responsable
de plus d’un quart des émissions. Le
deuxième contributeur est l’industrie
(hors production électrique) pour moins
de 1/5 des GES produits, suivent le
transport pour environ 1/7 des
émissions, l’agriculture (CH4, N2O
surtout) 1/7 et la déforestation 1/8.
Mt CO 2 éq.
6000
5000
4000
3000
2000
1000
-1 0 0 0
1990 2009 1990 2009 1990 2009 1990 2009 1990 2009 1990 2009 1990 2009 1990 2 0 0 9
1
É n e r g ie Pro c é d é s Us age d e A g r ic u ltu r e D é c h e ts Total h o r s U TC F To ta l
in d u s tr ie ls s olv ants e t U TC F1
d'autres p r o d uits
25
t CO 2 é q ./h a b i tant
20
Etats-Unis d'Amérique &
Moyenne Annexe I :
Canada 19,4 %
16,1 t CO 2 éq./hab.
15
Autres non-Annex e I 2,0 %
EET Annex e I 9,7 %
Moyenne non-Annexe I :
Annex e I
4,2 t CO 2 éq./hab.
11,4 %
Europe
5 Amérique
Lat i n e Non-Annex e I
10, 3 % Asie de l'Es t 17,3 % Afrique 7,8 % Asie du Sud 13,1 %
0
0 1 4 5 2 6 3 7
Po p u la tio n cu m u lé e ( e n m illia r d s)
Le p o u r ce n ta g e indiqué correspond à la part des régions dans les é m issio n s m o n d ia le s de GES.
EET : Eco n o m ie s en tr a n sitio n , JANZ : Japon, Au str a lie , Nouvelle-Zélande.
Source : G IEC, 1e r groupe de tr a va il, 2007.
Scenarii
+ 3,5°C dans le sud de l’Europe
+ 2,5°C en Asie du Sud Est
+ 4,9°C en Arctique (pôle Nord)
+ 3,2°C en Amérique Centrale
+ 2,6°C au sud de l’Australie
+ 3,3°C en Afrique de l’Ouest
Augmentation mondiale de + 2,8°C par
rapport à la période 1980-1999
Résultats basés sur l’ensemble des modèles dans le scénario A1B du
GIEC.
Convention-cadre sur les changements climatiques, Article 2
« L'objectif ultime de la présente Convention et de tous instruments juridiques connexes
que la Conférence des Parties pourrait adopter est de stabiliser, conformément aux
dispositions pertinentes de la Convention, les concentrations de gaz à effet de serre dans
l'atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du
système climatique. Il conviendra d'atteindre ce niveau dans un délai suffisant pour que
les écosystèmes puissent s'adapter naturellement aux changements climatiques, que la
production alimentaire ne soit pas menacée et que le développement économique puisse
se poursuivre d'une manière durable. »
Accord Copenhague 2009 :Nous nous accordons à penser qu’une forte diminution des
émissions mondiales s’avère indispensable selon les données scientifiques (…) en vue
de réduire ces émissions pour que la hausse de la température de la planète reste
inférieure à 2 °C, et entendons prendre, pour atteindre cet objectif, des mesures cadrant
avec les données scientifiques et fondées sur l’équité. Nous devrions coopérer pour
parvenir dans les meilleurs délais au plafonnement des émissions mondiales et
nationales, en reconnaissant qu’il faudra plus de temps aux pays en développement
pour atteindre le pic des émissions et en se rappelant que le développement social et
économique et l’élimination de la pauvreté sont les priorités premières et essentielles de
ces pays et qu’une stratégie de développement à faible taux d’émission est
indispensable pour conférer à celui-ci un caractère durable.
http://unfccc.int/resource/docs/2009/cop15/fre/11a01f.pdf#page=4
http://www.franceonu.org/spip.php?article422 0 :
« La France est totalement engagée dans la réussite du processus qui doit nous conduire
à un accord global et ambitieux à Copenhague pour lutter contre le changement
climatique. Pour la France, l’accord de Copenhague est l’occasion de définir, pour
tous les pays, à partir d’un partage équitable des efforts et de nouvelles formes
d’organisation internationale, les règles d’un développement économique et social
véritablement durable, intégrant les contraintes environnementales (émissions de
gaz à effet de serre, épuisement des ressources...).
L’engagement de la France pour un succès à Copenhague est indissociable de celui de
l’Union Européenne, qui négocie d’une seule voix dans le cadre de la Convention
Climat (CCNUCC) et élabore ses positions dans le cadre lors du Conseil Européen.
L’UE a fait la preuve avec le paquet " énergie climat " de sa capacité à mettre en
place des politiques et mesures permettant d’atteindre les objectifs ambitieux
qu’elle s’est fixés en matière de changement climatique (-20% d’émissions en 2020
par rapport à 1990 pouvant aller jusqu’à -30% en cas d’accord satisfaisant).
Pour la France dans l’UE, l’accord de Copenhague doit, en premier lieu, viser l’objectif
global de limiter le réchauffement à moins de 2 »
1 : Conference of the parties (conférences des états partis à l’accord de Kyoto)
Emissions peaking by 2020 will require
>A CO2price of $50 per ton for power generation
& industry in OECD+
>Investment needs in non-OECD countries of
$200 billion in 2020, supported by OECD+
through carbon markets & co-financing (F.
Birol)
Bourse des permis d’émission et des
« certificats verts »
Les émissions européennes de GES ont baissé
de 17 % hors UTCF sur la période 1990-2009.
Chute de près de 6% entre 2008 et 2009, en
grande partie en raison de la crise économique.
Réductions d’émissions par secteurs : 15 %
énergie, 31 % industrie, 22 % l’agriculture et 32
% traitement des déchets.
Le stockage net de carbone agro-forestier
(UTCF) s’accroît sur la même période de 25 %.
L’utilisation des combustibles fossiles pour les
transports, la production électrique, le
chauffage des bâtiment et l’industrie
augmentent l’effet de serre.
Le réchauffement de la Terre est démontré.
La corrélation avec l’activité économique est
indiscutable.
Tout reste à faire pour maîtriser l’élévation de
température et limiter les conséquences
catastrophiques.
Pour rester dans un volume horaire limité, il n’a été
question ici que de l’impact global sur le climat de
l’émission de GES, cependant il existe des impacts
sanitaires et environnementaux liés aux combustions
par exemple :
http://
www.elements.nb.ca/theme/fuels/orimulsion/cleger.
htm
Concernant cette page, il convient de noter que
l’orimulsion® ne contient plus de tensio-actifs à base
phénolique : http://
en.wikipedia.org/wiki/Orimulsion