Vous êtes sur la page 1sur 20

RUPUBLIQUE ISLAMIQUE MAURITANIE FACULTE DES SCIENCES ECONNOMIQUES ET

HONNEUR FRATERNITE JUSTICE JURIDIQUES

UNIVERSITE DE NOUKCHOTT Al Aasriya DEPARTEMENT GESTION PROFSSIONNELLE

Exposée sur la dimension Financier de la gestion de patrimoine


- GROUP 08

 Mariem Sid’elmokhtar B026778


 Fatma Zein B023901
 Mohamed Mokhtar Bechir B027326
 Mohamed Ali Didi B027495
 Nadia Sidi Mohamed Mohamed sidi El Mokhtar B026246
 Fatimetou Sidi Bouye B026768

Sujet: la dimension financier de la gestion de patrimoine


Gestion professionnelle parcours : banque et assurance
Encadre par prof : saad bouh aboubecar beyane
Année universitaire2023-2024
Le plan
Introduction
1/Les produits d’épargne et de placement
Sections1 : les différents critères de choix des produits d’épargne et de placement

Sections2 :les produits d’épargne non risqués

Sections3 : les produits d’épargne risqués

Sections4 : les produits

boursiers Sections5 : les produits d’épargne

collective

2/L’assurance-vie et la gestion de
patrimoine
Sections6 : présentation générale de
l’assurance-vie

Sections7 : l’assurance-vie comme outil de


constitutions d’une épargne

Sections8 : l’assurance-vie comme outil


detransmissions d’une capitale

3 / Gestion d’un portefeuille titres


Sections9 : définitions

4/l’épargne retraite
Sections10 : les grands principes du système de retraite Français

Sections11 : les régimes obligatoires

Sections12 : les régimes supplémentaires : l’épargne retraite


collective ou individuelle
5 / Conclusion
Introduction

Les produits d’épargne et de placement sont très variés et présentent des profils de risque et de rentabilité très variables. Il est impératif, pour l’épargnant
et son conseil, de bien avoir à l’esprit ces deux dimensions avant tout investissement en produits financiers. Ceci est l’objet du parti 1éme de l’exposée. Au
sein de ces différents produits, il en est un qui présente un intérêt tout particulier en matière de gestion de patrimoine, l’assurance-vie, du fait notamment
de sa fiscalité et de son traitement lors d’une succession partie 2éme partie. Si l’épargnant fait le choix d’investir dans un portefeuille de titres, va se poser la
question de son mode de gestion et de la mesure de sa performance. Ces points sont examinés à la 3éme partie. Afin de s’assurer des revenus une fois son
activité professionnelle terminée, il est possible de se constituer une épargne retraite. Pour l’y inciter, le législateur a prévu un certain nombre d’avantages
fiscaux. Ce thème fait l’objet de la 4éme partie
1/Les produits d’épargne et de placement

Un particulier disposant de liquidités peut placer son argent sur une multitude de produitsBancaires ou financiers. Le choix d’un produit se fait en fonction de plusieurs
critères, notamment le niveau de risque que le particulier accepte de prendre, son horizon de placement et la rentabilité qu’il en espère.
S’offrent alors à lui des produits qui ne présentent aucun risque, mais dont la rentabilité est limitée, et d’autres, les plus nombreux et variés, qui présentent un aléa quant à leur
rentabilité future.
Ce chapitre présentera successivement les différents critères de choix des produits d’épargne et de placement, les produits d’épargne non risqués,les produits risqués, les
produits boursiers, notamment les actions, pour terminer par les produits d’épargne collective.
Selon que le placement est à court, moyen ou long terme, la classe d’actifs dans laquelle seront investies les liquidités sera plus ou moins risquée. Plus l’investissement
est à
court terme, plus les actifs devront être peu risqués car, en cas de pertes, il sera plus difficile de se « refaire ».
L’horizon a également une incidence sur la liquidité des actifs retenus. Un investissement à court terme doit ainsi nécessairement se faire dans une classe d’actifs très liquides.
De même, le choix de la classe d’actifs va être fonction du niveau de risque qu’est prêt à prendre l’investisseur ou de l’espérance de rentabilité qu’il attend de son
investissement, ce qui peut se traduire de deux façons

Sections1 : les différents critères de choix des produits d’épargne et de placement


Le choix d’un produit se fait en fonction de plusieurs critères, notamment le niveau de risque que le particulier accepte de prendre, son horizon de placement et la
rentabilité qu’il en espère

Avant d’épargner, voici les questions que chacun devrait se poser

 La disponibilité : L’argent placé est-il disponible ? Peut-on ou non le récupérer à tout moment ? Y a-t-il ou non des pénalités en cas de retrait
de cet argent ?

 Le rendement : Combien cela va-t-il rapporter ? Ce rendement peut provenir, selon les cas, de deux sources : une rémunération régulière
(intérêts) ou une rémunération lors de la vente du produit financier, en cas de plus-values. Pour calculer le rendement du placement, il faut aussi tenir
compte
des frais et de la fiscalité qui peuvent ou non exister à la souscription, pendant la période d’épargne ou à la sortie.

 Le risque : Quelle est la sécurité du placement ? Son rendement est-il garanti ou au contraire existe-t-il un risque de perte ? Est-ce que
vous êtes sûr(e) de récupérer votre capital de départ ?

 La simplicité : Le placement est-il simple ou complexe ? Est-il facile d’accès ? Réclame-t-il des compétences particulières pour
comprendre ses mécanismes et pour le gérer au mieux ?

Evidemment, le profil idéal serait un produit qui garantirait un rendement élevé, sans frais ni fiscalité, et qui serait simple et liquide. Mais un tel produit
d’épargne n’existe pas !

A savoir
Aucun produit ne réunit toutes ces qualités ensemble. Par exemple, un produit ne peut pas avoir un fort rendement et être peut risquer

Sections2 : les produits d’épargne non risqués


Les produits d’épargne non risqués offert au particulier moins de risque sur son épargne même si le rendement n'est pas toujours excellent, voici les 4 placements les moins risqué

1_les livrets Les livrets permettent aux particuliers de faire fructifier leur argent. En effet, les sommes déposées sur ces produits d'épargne génèrent des intérêts, qui viennent s'ajouter (généralement en
fin d'année) au capital de départ.

2_l’épargne de logement : Le plan d'épargne logement (PEL) est un compte d'épargne réglementé. Il sert à constituer une épargne destinée à l'achat d'un bien immobilier ou au financement de travaux.

3_les comptes à terme Un compte à terme (ou dépôt à terme) est un compte d'épargne qui offre un taux d'intérêt élevé à condition que les sommes déposées restent soient bloquées

4_les bons de caisseLe bon de caisse est un placement financier. C'est un produit de placement destiné aux particuliers, effectué auprès d'une banque ou de tout autre établissement financier, qui se traduit par la remise d'un
bon nominatif. Le bon de caisse peut aussi être réalisé auprès de l'État, on parle alors de bon au Trésor.

Section3 Les produits d’épargne risquée


Ce sont les placements le plus risquée pour le particulier mais qui ont un rendement très élève et la plus part ces placement sont à long terme les principaux produits risquée les
suivants

1_L'assurance-vie est un placement financier qui permet au souscripteur d'épargner de l'argent dans l'objectif de le transmettre à un bénéficiaire lorsque survient un
événement lié à l'assuré : son décès ou sa survie. Ce produit d’épargne permet au souscripteur de percevoir des intérêts sur son contrat en fonction du capital investi.

2_ Un contrat de capitalisation fonctionne globalement de la même manière qu'un contrat d'assurance vie. Il s'agit d'un produit d'épargne qui permet de se constituer ou
de valoriser un capital sur le moyen ou long terme en investissant dans des supports financiers plus ou moins risqués

3_Plan d’épargne en action Le plan épargne action (PEA) est un produit d'épargne réglementé. Il permet d'acquérir et de gérer un portefeuille d'actions d'entreprises
européennes, tout en bénéficiant, sous conditions, d'une exonération d'impôt.
Section4 Les produits Bourcier

Les produits bousier : Les particuliers ont la possibilité d'investir directement en bourse à travers différentes classes d'actifs comme les obligations, les actions, les
options négociables, les certificats, les warrants et les contrats à terme ferme

1_Les obligations : sont des dettes donnant droit au versement d'un intérêt appelé coupon et au remboursement du capital prêté. Les intérêts versés sont fixés à
l'émission et peuvent être fixe ou variable. Les obligations peuvent être émises par des états ou des entreprises

2_les actions :Une action correspond à une fraction du capital d'une société et confère principalement deux droits : un droit au dividende et un droit de vote lors des
assemblées générales. Les actions permettent de dispenser deux sortes de revenus

3_ Les options négociablessont des titres qui procurent à son détenteur le droit d'acheter ou de vendre une certaine quantité d'un actif à un prix déterminé à l'avance. Il
s'agit d'un droit et non d'une obligation. Toutefois cette option peut être exercée pendant une certaine durée ou uniquement à son échéance. Les options les plus connues sont
les options sur actions permettant d'acheter ou de vendre des actions à un prix connu à l'avance (mais aussi options sur indices boursiers ou matières premières).

4_Les certificats et les warrantsLes warrants sont des produits financiers qui donnent droit à leur détenteur et non l'obligation d'acheter ou de vendre un actif sous-
jacent à un prix fixé à l'avance à ou jusqu'à une date donnée. On retrouve le même fonctionnement que pour les options à la différence que les options sont émises par
Euronext alors que les warrants et le sont par les banques.
5_les contrats à terme fermeDans ce cas l'investisseur s'engage à acheter ou à vendre à une date future et à un prix déterminé à l'avance une certaine quantité d'un
actif financier (actions, obligations ...), il s'agit là d'une obligation et non plus d'une possibilité.

Section5 Les produits d’épargne collective


Est l'ensemble des mécanismes d'épargne constitué au sein de l'entreprise et présentant des avantages fiscaux et sociaux.

Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM)est un organisme financier qui a pour vocation : La collecte de l’épargne auprès des
investisseurs pour la placer dans des valeurs mobilières selon des critères bien défini. Ainsi, cela permet de constituer un portefeuille de valeurs mobilières.

Un Organisme de Placement Collectif Immobilier (OPCI) est un véhicule d’investissement réglementé dont l’objet principal est l’acquisition ou la
construction d’immeubles exclusivement en vue de leur location.

Le fonds commun de placement à risque (FCPR) est un véhicule de placement à forte rentabilité. Il s’agit d’un organisme collectif collectant des capitaux auprès
d’investisseurs, qui sont ensuite réinvestis dans des opérations de capital risqué

(Fonds Communs de Placement dans l'Innovation) et les FIP (Fonds d'Investissement de Proximité)

Ces Produits de défiscalisation par excellence, les fonds communs de placement dans l'innovation (FCPI) et les fonds d'investissement de proximité (FIP) donnent accès
à des réductions d'impôts. Mais il faut aussi prendre en compte le rendement de l'investissement lui-même.

Les trackers et ETF actif


Un ETF (ou « tracker ») est un placement cherchant à suivre l'évolution d'un indice boursier (CAC 40, Nasdaq, etc.). Comme tout autre placement collectif, les trackers
présentent des avantages et des risques.

Section6 présentationgénérale de l’assurance vie


L'assurance vie est un contrat par lequel l'assureur s'engage, en contrepartie du paiement de primes, à verser une rente ou un capital à l'assuré ou à ses bénéficiaires.
Elle peut être utilisée comme un produit d'épargne à moyen ou long terme

Le régime juridiquede l’assurance vie

Les assurances-vie garantissent le versement d'un capital ou d'une rente au souscripteur ou au bénéficiaire désigné dans le contrat. ... Le décret n° 2019- 1437 du 23
décembre 2019 met en œuvre la réforme de ces contrats, prévue par l'article 72 de la loi Pacte du 22 mai 2019, au 1er janvier 2020.

Les règles fiscales également spécifiques à l'assurance vie

Le taux global des prélèvements sociaux pour l'année 2018 en matière de revenus du capital (assurance vie par exemple) s'est établi à 17,2 %. Cette taxation se décompose
en 9,9 % de CSG, 4,5 % de prélèvement social, 2 % de prélèvement solidarité, 0,5 % de CRDS et 0,3 % de contribution additionnelle

Principales différence avec le contrat de capitalisation et l'assurance décès

L'assurance-vie sert à optimiser la transmission du patrimoine au décès de l'assuré grâce à ses avantages fiscaux, tandis que le contrat de
capitalisation permet d'organiser la succession de son vivant via la donation en pleine propriété ou démembrée.

Section7 l’assurance vie et un outil de constitution d’épargne


C'est à la fois un outil d'épargne et de transmission du capital et elle s'est imposée comme le placement préféré des français, en témoigne le volume des contrats
souscrits chaque année et le niveau des versements effectués (les 2/3 de l'épargne des ménages vont dans l'assurance vie)....

Type de contrat

Il existe plusieurs types d'assurance vie, dont l'assurance vie temporaire, l'assurance vie entière, l'assurance vie universelle, l'assurance vie collective et
l'assurance vie à émission garantie

Lesrèglesà connaitre avant la souscription assurance vie


L'assureur doit vous fournir chaque année les informations suivantes :

 Montant du rendement garanti.


 Montant de la participation aux bénéfices techniques et financiers du contrat.
 Rendement garanti moyen.
 Taux moyen de la participation aux bénéfices des contrats de même nature ouverts à la souscription.

La disponibilité de l’épargne constituée

Rapidité avec laquelle un épargnant peut récupérer son argent sur un placement.

Si l’épargne placée sur des produits d’épargne retraite (PER, PERP, Madelin) est en principe bloquée jusqu’à l’âge de la retraite, d’autres placements permettent de récupérer son argent à tout moment. C’est
notamment le cas du livret A et de l’assurance-vie.
Sections8 : l’assurance-vie comme outil de transmissiond’une
Capital
L'assurance vie est une solution d'investissement qui permet au souscripteur d'épargner de l'argent ou de valoriser un patrimoine financier existant afin de répondre à
plusieurs types d'objectifs. Elle permet en outre de bénéficier d'avantages fiscaux cumulés avec ceux liés à la transmission du patrimoine

Rédaction de la clause bénéficiaire

La clause bénéficiaire est celle qui, dans un contrat d'assurance-vie, sert à désigner les personnes choisies par le souscripteur assuré pour récupérer des capitaux au
moment de son décès

Le dénouement du contrat d'assurance vie au décès de l'assuré

Le décès de l’assuré provoque la fermeture du contrat d’assurance-vie. Les capitaux présents sur le contrat reviennent alors aux bénéficiaires désignés par le souscripteur.
Pour les récupérer, ces bénéficiaires doivent contacter la compagnie d’assurance et fournir tous les documents demandés. Ils disposent d’un délai de 10 ans pour faire valoir
leurs droits.

La fiscalité en cas de décès


En cas de décès du bénéficiaire, les primes perçues sur un contrat d'assurance-vie peuvent être soumises : aux droits de succession : sont imposables aux droits de
succession les primes versées

Selon la réglementation actuellement en vigueur, les capitaux décès versés, quelle que soit la date d'adhésion au contrat collectif d'assurance vie, sont totalement
exonérés de fiscalité en cas de décès (hors prélèvements sociaux) si le bénéficiaire est le conjoint survivant ou le partenaire

3 / Gestion d’un portefeuille titres

Section9 définitions

Un portefeuille titres regroupe un ensemble de produits d’épargne et de placement ou, en d’autres termes, de titres financiers (actions, obligations, parts
ou actions d’OPCVM), de titres de créances négociables à court et moyen termes, et éventuellement de contrats financiers (produits dérivés notamment
optionnels)
.
La gestion de portefeuille consiste à constituer un ensemble d’actifs et à en faire évoluer la composition en vue d’atteindre les objectifs fixés par
l’investisseur. Au cours des dernières décennies, le marché de la gestion d’actifs a connu une croissance rapide à l’instar de celui des marchés financiers. La
gestion d’actifs pour compte de tiers s’est fortement développée au plan mondial. Les sociétés de gestion françaises gèrent plus de 4 000 milliards d’euros.
La gestion de portefeuille, d’abord centrée sur les actions, s’appuie sur des concepts et méthodes issus de la théorie moderne de portefeuille initiée par
Marko witz (1952).
Les concepts clefs sont définis par souci de simplification, sur la base d’un placement en actions. La gestion de portefeuille s’appuie sur deux notions
essentielles : la rentabilité et le risque.

4/l’épargne retraite

L’épargne retraite est la constitution d’un capital par le versement de sommes en vue de la retraite de l’épargnant. L’épargne réalisée est alors reversée à la retraite sous
forme d’une rente viagère ou d’un capital.

Le régime d’épargne retraite représente l’ensemble des contrats d’investissements financiers permettant la constitution d’une épargne lors de la vie active, en vue de disposer
d’une rente après la retraite.
En d’autres termes, l’épargne retraite est une forme d’épargne par capitalisation, constituée à partir des versements périodiques de l’épargnant. Les sommes sont bloquées
jusqu’au départ à la retraite et elles seront alors versées sous forme de capital ou transformées en rente viagère.

Sections10 : les grands principes du système de retraite Français

Le système français de retraite par répartition a été instauré en France à partir de 1945. Il repose sur le principe de solidarité, c'est-à-dire que
les retraites sont financées par les cotisations des actifs et des employeurs, pour être redistribuées la même année aux retraités sous forme de pensions de retraite.

Le système de base des répartitions


Depuis 1945, le système de retraite français est basé sur la répartition. Son fonctionnement est relativement simple : durant votre phase d'activité, les cotisations
que vous versez chaque année au titre de l'assurance vieillesse servent à financer les pensions des retraités de cette même année.

Un financement essentiellement assuré par des cotisations assises sur les revenus du travail

Le système actuel de financement de la protection sociale, basé essentiellement sur les salaires, n'est plus viable aujourd'hui avec l'explosion du chômage. Sa réforme est
donc à l'ordre du jour, une adaptation qui pourrait aussi être l'occasion d'une démarche dynamique dans les politiques d'emploi.

Section11 Les régimes obligatoires


On parle de régime obligatoire lorsque l'on évoque le régime légal de prévoyance d'un assuré. Chaque personne doit être affiliée à un régime d'assurance maladie. Le
régime obligatoire est financé en grande partie par les cotisations sociales ainsi que par la CSG, la Contribution sociale généralisée

Les régimes de retraite de base obligatoire

La retraite de base désigne la pension de retraite de premier niveau, obligatoire. Elle est perçue par tout individu ayant exercé une
activité professionnelle ou ayant été affilié à une ou plusieurs caisse(s) de retraite.

La pension de retraite de base totale correspond à l’addition de toutes les pensions obtenues pour chaque régime de retraite de base dans
lequel l’assuré a cotisé tout au long de sa vie professionnelle.
Les régimes de retraite complémentaire
obligatoire

La retraite complémentaire est le 2ème pilier de la retraite obligatoire en France. Elle intervient en complément de la retraite de base. Cette
deuxième pension est gérée par des caisses de retraite dites « complémentaires », propres à chaque régime. Le régime complémentaire de retraite est un
régime en points.

Se ctions12les régimes supplémentaires : l’épargne retraite collective ou individuelle

La retraite supplémentaire, encore appelée retraite sur complémentaire, désigne d'une part les régimes de retraite facultatifs par capitalisation (non
légalement obligatoires) proposés par certaines entreprises à leurs salariés, et d'autre part les produits d'épargne retraite individuels.

Les produits de retraite collective

Le Plan d'épargne pour la retraite collective (PERCO) est un système d'épargne mis en place par accord collectif ou par décision de l'employeur. Il permet aux salariés
de se constituer, avec l'aide de leur entreprise, une épargne pour la retraite, en complément des régimes de retraite obligatoires par répartition
Les produits d'épargne retraite collective sont destinés à constituer un complément de rente ou de capital en vue de sa retraite.
...
Le PERCO mis en place par votre employeur peut être alimenté par :

 des versements volontaires,


 tout ou partie de vos primes.
 tout ou partie de votre intéressement et de votre participation.

L’épargne de retraite individuelle

L’épargne retraite individuelle a pour but d’améliorer la pension versée par les régimes de retraite obligatoires. Différents contrats coexistent depuis plusieurs années, les
contrats Madelin (réservés aux travailleurs non-salariés), le Préfon (pour les fonctionnaires), etc. Ils ont un point commun : les sommes sont bloquées jusqu’au départ à la
retraite et l’épargne capitalisée est reversée principalement sous forme de rente viagère.
Avec la loi Pacte, un nouveau contrat, le Plan d’épargne retraite individuel, destiné à fusionner ces différentes solutions seront bientôt disponibles. Pour bien choisir votre
dispositif de préparation à la retraite, selon votre profil et vos attentes, voici un panorama des solutions de retraite individuelle.

Le nouveau contrat de retraite

Le plan d’épargne retraite (PER) est un nouveau produit d’épargne retraite créé par la loi Pacte de mai 2019. Disposant de caractéristiques harmonisées par rapport aux
anciens produits (Perp, Madelin, Perco, article 83) qu’il a vocation à remplacer, il permet d’accumuler une épargne destinée à compléter ses revenus à la retraite.
Fonctionnement, fiscalité, modalités de sortie en capital ou en rente… L’essentiel à savoir sur le PER.
Les enveloppes de déductibilité fiscale

La déduction fiscale, comme une exonération, une réduction ou un crédit d’impôt, est un avantage fiscal octroyé à un contribuable. Son principal effet est de minorer la base
imposable, de diminuer le montant des revenus soumis à l’impôt, un peu comme un abattement fiscal.

Mais à la différence de la notion d’abattement, qui découle généralement de l’application d’une règle fiscale généreusement octroyée par l’État, la déduction est accordée en
contrepartie d’une dépense appelée charge déductible ou charge à déduire du revenu.

Conclusion
On peut conclure que ces dimensions financier dispose pour le particulier l’ensemble de placement et d’épargne Le choix fait en fonction de plusieurs critères
de risque et de rentabilité est aussi au niveau L’assurance-vie n’est pas un simple placement mais un mode de détention et surtout un contrat
original… avec un aléa sur la durée de vie humaine et donc sur le bénéficiaire des capitaux ces dimensions s’intéresse aussi à la gestion Un portefeuille titres
qui regroupe un ensemble de produits d’épargne et de placement ou, en d’autres termes, de titres financiers (actions, obligations, parts ou actions
d’OPCVM), de titres de créances négociables à court et moyen termes, et éventuellement de contrats financiers (produits dérivés notamment optionnels).et
enfin nous avons eu locations de visé l’épargne de retraite La retraite est aujourd’hui considérée comme l’une des préoccupations principales des actifs
français. Plusieurs questions se posent et peuvent concerner tant des problématiques sociales, fiscales et budgétaires qu’économiques.
Ainsi, certains s’interrogent sur l’opportunité d’un changement de régime social et les incidences que ces modifications pourraient avoir en termes de
retraite et tous ces services son a dispositions du particulier

Vous aimerez peut-être aussi