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INTRODUCTION
Il est de coutume à l'Université de Kananga et au programme des cours
académiques dans un cours vu soient sanctionné par un travail pratique ou une
interrogation. C’est ainsi que nous les étudiants de deuxième licence en sciences
économiques et de gestion, option : sciences économiques, département d'économie
monétaire nous avons le devoir de le faire. Comme l'indique notre travail pratique de
séminaire d'économie monétaire, nous allons d'abord présenter l'épargne dans son
ensemble ; comme ceci est porté notre choix du sujet.
Tels que dit par nos prédécesseurs économistes, notamment Adam
Smith, Keynes, David Ricardo et autres, à notre niveau l'épargne est la partie
correspondante des revenus disponibles des agents agrégats économiques, qui ne sont
baptisés à la consommation rapide et considérée comme une consommation
exceptionnelle dans le temps.
Du point de vue de la croissance économique, l'épargne à une capacité
qu'un pays joue un rôle fondamental important dans le financement d'investissement.

CHAPITRE PREMIER : GENERALITES


I.1. Définition des concepts des bases
I.1.1. Épargne
Étymologiquement l'épargne vient du mot espargnier, ce qui signifie
traiter avec indulgence. C'est une action d'épargner, d'être économe dans la dépense, de
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mettre de l'argent de côté dans un but particulier. C'est aussi ce que l'on a épargné,
économisé.
François Hollande définit l'épargne comme l'ensemble d'un comble et un
effet de sortir dans la crise financière en orientant l'épargne vers les dettes souveraines,
il préfère de stimuler l'économie à la production.1
Pour INSEE l'épargne c'est l'ensemble de tout ce qui reste après le
paiement, l'épargne alimente la trésorerie dans l'autofinancement des nouveaux
investissements2.
Malthus définit l'épargne comme la non consommation, car toute
épargne est réservée pour une utilisation future3.
I.1.2. Étrangère
Le terme étranger selon l'économie, il est expliqué comme une période
de l’émergence d’autres types d’acteurs internationaux, l’État demeure aujourd’hui,
ainsi que cela a déjà été relevé ci-dessus, l’acteur central des relations internationales.
C’est autour de lui que se structure tout le système international. La politique étrangère
est donc inévitablement au cœur de toute réflexion sur les relations internationales.
Ainsi que le souligne Marcel Merle : « La politique étrangère est la partie
de l’activité étatique qui est tournée vers le “dehors”, c’est-à-dire qui traite, par
opposition à la politique intérieure, des problèmes qui se posent au-delà des frontières.
»
Par la politique étrangère, l’État cherche à répondre au comportement
des autres acteurs internationaux, et, d’une manière plus générale, agir sur son
environnement pour le conserver tel quel quand il lui est favorable et le transformer
quand il lui paraît défavorable. En d’autres termes, l’État cherche, par le moyen de la
politique étrangère à au moins maintenir et au mieux accroître ses capacités
d’influence à l’extérieur du territoire national.
Par rapport aux autres politiques publiques, la politique étrangère joue un
rôle à bien des égards primordiaux. Dans la mesure où « le propre de la puissance est
de protéger » et où la naissance même du pouvoir est liée au besoin de sécurité d’un
groupe social face aux menaces de l’extérieur, la politique étrangère ou ce qui a pu en
tenir lieu plonge ses racines dans la nuit des temps. Elle a ainsi représenté une des
tâches incontournables de tout système politique.
I.1.3. Publique
Le terme public est défini en droit commercial comme une branche du
droit commercial et privé qui, par dérogation au droit civil, réglemente de manière
spécifique certaines activités de production, de distribution et de services. Il englobe à
1
François H. Si je suis élu je passerai un contrat avec l’industrie, dans l’usine nouvelle, N°3246,30 juin 2001,
p.32
2
INSEE, Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts des rémunérations, France Mai 2009.
3
Malthus, Economie politique, Paris, éd. Laquier 1997. p.12
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la fois le commerce au sens courant du terme, c'est-à-dire les activités d'échange, et


l'industrie, donc des activités de transformation. Le droit commercial ne régit
cependant pas l'ensemble de la vie économique. Pour des raisons socio-historiques, les
agriculteurs, les artisans et les membres de professions libérales demeurent soumis au
droit civil, même si leur statut tend à se rapprocher de celui des commerçants. Si cette
évolution continue, la distinction traditionnelle du droit civil et du droit commercial
sera remplacée par celle du droit des activités économiques ou professionnelles, d'une
part, et du droit des relations personnelles et de la consommation, et d'autres parts de la
production.
L'existence du droit commercial se révèle lorsque, face à une situation de
fait identique (par exemple, l'établissement d'un bail ou la cessation des paiements d'un
débiteur, etc.), un système juridique prévoit l'application alternative de deux règles,
l'une relevant du droit commun, l'autre d'un droit exceptionnel, selon la nature de l'acte
envisagé ou la qualité de son auteur.
Ce terme publique est relatif à une collectivité, par opposition à privé
c'est-à-dire ce qui a un Intérêt public. D'autre part, ce terme est relatif au
gouvernement, à l'administration d'un pays c'est-à-dire par une affaire publique.
Le mot public à deux sortes de signification qui s'écrit de cette manière
l'adjectif public s'écrit public au masculin et publique au féminin. Publique c'est une
opinion (féminin), et public qui est un secteur (masculin).
CHAPITRE DEUXIEME : NOTIONS SUR L'EPARGNE
ETRANGERE PUBLIQUE
II.1. Utilité de l'épargne
L’épargne permet de vous enrichir à court, moyen et long terme, mais
aussi, à vous procurer un coussin en cas de coups durs.
Si l’on porte attention aux 3e et 4e piliers de la pyramide, soit celui du
Régime de retraite privé ainsi que sur l’épargne personnelle, force est d’admettre que
si un employé ne bénéficie pas d’un régime privé, c’est 50% de son revenu de retraite
qui doit provenir de ses propres ressources. En sachant que moins du quart des
entreprises privées offrent actuellement un régime de retraite à leurs employés, il va
s’en dire que la prise de conscientisation de chacun des travailleurs quant aux enjeux
de la retraite est crucial.
Afin de pallier à cette réalité, le gouvernement du Québec a adopté la loi
39, portant sur les Régimes volontaires d’épargne-retraite (RVER). La mise en place
de ces régimes avait pour objectif premier de fournir un véhicule d’épargne à près de
la moitié des travailleurs québécois qui ne disposent pas d’un régime d’épargne retraite
à travers leur emploi. Le RVER constitue le régime minimal qui doit être mis en place
par les entreprises. Toutefois, il est important d’être en mesure d’évaluer l’ensemble
des différentes avenues possibles en termes de régime de retraite.
II.2. Rôle de l'épargne dans l'économie
L'épargne détermine, dans une large mesure, le taux de croissance de la
productivité et du revenu. En général, les pays en croissance rapide ont des taux
d'épargne plus élevés que les pays à croissance lente.
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II.3. Les avantages de l'épargne


Les gens épargnent pour diverses raisons :
Pour se préparer aux urgences ou risques futurs (catastrophes naturelles,
blessures, décès).
Pour effacer les variations de revenus et de consommation : épargner pendant
les périodes de surplus pour utiliser pendant les périodes difficiles.
Pour éduquer leurs enfants.
II.4. Les inconvénients de l'épargne
Les inconvénients consistent en un taux faible en rendement, une
limitation des montants placés et certaines contraintes d’utilisation suivant le produit
choisi.
Par Ailleurs, Quel est le montant maximum sur un compte courant ? Il
n’y a pas de plafond maximum sur un compte courant. Dans tous les cas, mieux vaut
ne pas dépasser la limite de garantie de 100 000 euros. Cependant, il est inutile de
laisser autant d’argent dormant sur un compte ne générant aucun intérêt.
II.5. Catégories d'épargne
Épargne financière : L'épargne financière peut être constituée des sommes
d'argent placées à la banque, des produits financiers d'investissement immobilier,
lesquels peuvent être financés par le particulier lui-même mais aussi par le biais de
son employeur (entreprise).
Épargne monétaire : C'est un produit d'épargne géré par des gestionnaires
professionnels, qui est investi collectivement dans les instruments financiers de court
terme. Ainsi, le souscripteur se libère de la gestion et profite du savoir-faire d'un
expert compétent.
Épargne individuelle : épargne résultant du choix opéré par l'individu, à partir
de son revenu, entre consommation et non-consommation.
Épargne logement où épargne retraite : est un système d'encouragement à
l'épargne des particuliers en vue de l'acquisition, de la construction ou de
l'aménagement d'un logement, ou en vue de l'amélioration de leurs pensions de
retraite.
Épargne nationale : Est un système mise en fraction du revenu national qui
n'est pas consacrée à l'acquisition de biens de consommation.
Épargne forcée ou involontaire : est un système d'épargne imposée à
l'individu par le groupe dont il dépend. (Ce sont par exemple les prélèvements opérés
par l'État et les collectivités publiques sous forme d'impôts destinés à couvrir des
dépenses d'investissement, les cotisations obligatoires perçues par les organismes de
sécurité sociale en vue de la couverture des risques futurs.)
II.6. Formes d'épargne dans l'économie
Beaucoup d'auteurs selon leurs catégories et leurs périodes ont donné les
formes d'épargne, de notre part, nous montrons trois formes d'épargne dans les
manières suivantes :
 L'épargne classique : livrets d'épargne bancaires, placements financiers.
 L'épargne solidaire : fonds communs de placement, OPCVM.
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 L'épargne collective : épargne salariale et épargne retraite.

CONCLUSION
Nous voici arrivés au terme de notre travail pratique et scientifique dont
il était baptisé sur : "Épargne étrangère publique".
Hormis l'introduction et la conclusion de ce travail, nous l'avons
subdivisé en deux chapitres et chaque chapitre avec les sous points.
Le chapitre premier est consacré par la généralité sur les concepts des
bases et le second chapitre est porté sur les notions d'épargne étrangère publique.
Nous ne finissons pas sans dire nos sincères remerciements à l'autorité
morale et académique le titulaire de ce cours pour ces différentes multiples
occupations abandonnées pour nous encadrer dans ce cours, il mérite un excellent
remerciement.
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BIBLIOGRAPHIE
1. François H. Si je suis élu je passerai un contrat avec l’industrie, dans l’usine
nouvelle, N°3246,30 juin 2001
2. INSEE, Partage de la valeur ajoutée, partage des profits et écarts des
rémunérations, France Mai 2009
3. Malthus, Economie politique, Paris, éd. Laquier 1997
4. Séminaire d’économie monétaire II
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TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION...........................................................................................................1
CHAPITRE PREMIER : GENERALITES.....................................................................2
I.1. Définition des concepts des bases.............................................................................2
I.1.1. Épargne..................................................................................................................2
I.1.2. Étrangère................................................................................................................2
I.1.3. Publique.................................................................................................................3
CHAPITRE DEUXIEME : NOTIONS SUR L'EPARGNE ETRANGERE PUBLIQUE
.........................................................................................................................................4
II.1. Utilité de l'épargne...................................................................................................4
II.2. Rôle de l'épargne dans l'économie...........................................................................4
II.3. Les avantages de l'épargne......................................................................................4
II.4. Les inconvénients de l'épargne................................................................................4
II.5. Catégories d'épargne................................................................................................5
II.6. Formes d'épargne dans l'économie..........................................................................5
CONCLUSION...............................................................................................................6
BIBLIOGRAPHIE..........................................................................................................7
TABLE DES MATIERES..............................................................................................8

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