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I. VOCABULAIRE :
Il [le chien] restait maintenant immobile, dressé sur ses pattes comme
hanté d'une vision, et il se remit à hurler vers quelque chose d'invisible,
d'inconnu, d'affreux sans doute, car tout son poil se hérissait.
avoir le souffle c….. ; avoir la gorge s……. ; avoir la gorge n…….. ; être
c……. sur place ; se sentir par….. ; être pétr…….. ; avoir la ch……. de p…… ;
f…... à toutes jambes ; perdre co…………. ; tr…….. comme une feuille ;
avoir le visage qui bl………. ; faire dr………. les ch……… sur la tête ;
Parmi ces noms exprimant la peur (LISTE A), choisissez ceux qui
correspondent aux définitions proposées (LISTE B).
Ex. Avoir le front moite, avoir la sueur qui perle sur le front.
Dans chacun des extraits proposés, relevez les verbes ou les adverbes
indiquant l'incertitude du narrateur sur la réalité de ce qu'il perçoit.
2. John est médecin et peut-être est-ce là une des raisons pour lesquelles
je mets si longtemps à me rétablir.
II.GRAMMAIRE et ORTHOGRAPHE :
1. Relevez les adjectifs qualificatifs du texte. Avec quel nom chacun d'eux
s'accorde-t-il ?
2. Quels sont les participes passés employés comme adjectifs ? Avec quel
nom chacun d'eux s'accorde-t-il ?
3. Relevez le sujet des verbes: contempler, se dresser, s'étendre,
recevoir.
4. Repérez deux emplois du déterminant indéfini quelque et justifiez leur
accord.
2. Réécriture :
3. Conjuguer au conditionnel :
.
1. Quelle impression les mots soulignés créent-ils dans le texte 2 ?
2. Recopiez les modalisateurs soulignés, en les classant ainsi : adjectifs
qualificatifs, expressions, verbes conjugués au conditionnel, autres
verbes.
Sa folie, son idée était là, dans cette tête, obstinée, harcelante,
dévorante. Elle mangeait le corps peu à peu. Elle, l'Invisible, l'Impalpable,
l'Insaisissable, l'Immatérielle Idée minait la chair, buvait le sang, éteignait
la vie. Quel mystère que cet homme tué par un Songe ! Il faisait peine,
peur et pitié, ce Possédé !
Quel rêve étrange, épouvantable et mortel habitait dans ce front,
qu'il plissait de rides profondes, sans cesse remuantes ?
La rampe
Un frisson me passa dans le dos, et je jetai les yeux sur le mur où j'avais
(voir) jadis l'horrible main d'écorché. Elle n'y était plus. La chaîne,
(briser), pendait.
1. Les ombres qui tombaient des arbres (être gigantesque).2. Dans son
cercueil, la goule (sembler mort). - 3. Les dernières journées de
novembre (être froid et pluvieux). - 4. Malgré les questions, la créature
(demeurer muet). 5. Les revenants (paraître) plus (comique)
qu'(effrayant).
III. COMPREHENSION :
2. Caractériser le fantastique :
[Sheridan] poussa un hurlement aigu et fut secoué encore plus fort. Puis il
entendit Popsy demander à son petit-fils d'un ton plein de sollicitude s'il
avait toujours soif ; ce dernier répondit que oui, qu'il avait très soif, que le
méchant monsieur lui avait fait peur et qu'il avait la gorge vraiment sèche.
L’espace d'une seconde, Sheridan entrevit l'ongle du pouce de Popsy,
juste avant qu'il disparaisse sous son propre menton. Un ongle irrégulier,
épais et brutal. Qui lui trancha la gorge avant qu'il ait eu le temps de
comprendre ce qui lui arrivait. La dernière chose qu'il vit avant que sa
vision s'obscurcisse définitivement, ce fut d'abord le gamin qui mettait ses
mains en coupe pour recueillir le liquide - tout comme lui, Sheridan, pour
boire au robinet de la cour quand il était petit - et enfin Popsy qui lui
caressait les cheveux doucement, avec tout l'amour d'un aïeul.
Dans une chambre d'hôtel, Nettesheim tue une araignée. Soudain des
membranes noires l'entourent...
a) Quel thème fantastique est développé ici ? Relevez les indices du point
de vue interne adopté dans la fin de cette nouvelle.
IV. ECRITURE :
Préparation :
Critères de réussite :
Il la retint avec force, et je vis que son gros et cordial visage avait
soudainement blêmi.
«Ce n'est pas possible ! balbutia-t-il, vous ne pouvez pas descendre... pas
descendre... ici.
- Mais si... Adieu !»
J'avais ouvert la porte et sauté sur le quai.
Il fit un geste inutile et, à ce qui me semblait, désespéré, pour me retenir.
«Vous ne pouvez pas descendre... ici !» hurla-t-il.
Le train se remettait en marche ; je vis le visage de mon compagnon de
route se coller, tordu d'angoisse, contre la vitre de la portière. Le train prit
de l'allure et ne fut plus qu'une ombre fuyante piquée d'un œil flamboyant
de cyclope.
1ère étape. Repérez à quelle personne le récit est écrit. Examinez les
temps verbaux employés pour savoir s'il s'agit d'un récit au présent ou au
passé. Précisez à quelle époque et dans quel lieu se déroule l'action.
3ème étape. Avant de recopier votre brouillon, vous vérifierez que les
paragraphes de votre récit mettent en évidence cette progression, que
vous avez utilisé un vocabulaire varié pour exprimer la peur et les doutes
du personnage, que votre récit est construit clairement à l'aide
d'indications temporelles et logiques appropriées.