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EXERCICES SUR LES POINTS DE VUE

Analyser des textes

 Identifier auteur et narrateur :

Je suis à ce point exténuée que mes propres bourdonnements


me font sursauter. Je me contente d'éponger, d'une patte molle, le
suintement de mes ailes bleutées, de crainte qu'elles ne s'engluent,
me paralysant sur place. Je n'ai même plus l'énergie d'aller me
repaître du charnier de mes congénères. Les miroirs multipliés de mes
yeux me renvoient de toutes parts le reflet des objets en vibration à
travers la nappe de chaleur semblable à un mirage et striée parfois
par la chute verticale d'une feuille d'arbre déshydratée ou par le vol
poussif d'un moineau rasant le sol dans l'attente problématique d'un
ver à moitié consumé par le soleil.

Noëlle Châtelet, « Sécheresse », in Histoires de bouches, 1986.

a) Qui est l'auteur de ce récit ? Qui en est le narrateur ?


b) S'agit-il d'un narrateur témoin ou d'un narrateur
personnage?
c) Quels indices révèlent son identité ?

‚ Différencier narrateur et personnage :

Nous étions harassés ; aussi, notre hôte, voyant les efforts que
nous faisions pour comprimer nos bai11ements et tenir les yeux
ouverts, aussitôt que nous eûmes soupé, nous fit conduire chacun
dans nos chambres. La mienne était vaste ; je sentis, en y entrant,
comme un frisson de fièvre, car il me semblait que j'entrais dans un
monde nouveau.

Théophile Gautier, «La Cafetière »,1831.

Sur le chemin de boue figée, recouvert par une neige souple,


marche un homme, grand et large d'épaules, suivi de loin par les
animaux à peine visibles dans le crépuscule. En vue de Bâtards, il
s'arrête et arrête son troupeau, puis il avance seul dans la cour. Il va
fièrement. Le bois de ses sabots crisse.

Claude Seignolle, Le Meneur de Loups,


2000.

a) À quelle personne l'histoire est-elle racontée dans chacun de ces


extraits ?
b) Quels émotions et sentiments éprouve chacun des personnages
de ces récits ?
c) Lequel de ces deux textes facilite le mieux l'identification du
lecteur au personnage ?

ƒ Reconnaître le point de vue :

Deux mois avant la mort d'Angèle, il l'avait menée, un dimanche,


aux buttes Montmartre. La pauvre femme adorait manger au
restaurant ; elle était heureuse, lorsque, après une longue
promenade, il l’attablait dans quelque cabaret de la banlieue. Ce jour-
là, ils dînèrent aux sommets des buttes, dans un restaurant dont les
fenêtres s'ouvraient sur Paris. [...] Leur table était placée devant une
des fenêtres.
Ce spectacle des toits de Paris égaya Saccard. Au dessert, il fit
apporter une bouteille de bourgogne. Il souriait à l'espace, il était
d'une grande galanterie inusitée. Et ses regards, amoureusement,
redescendaient toujours sur cette mer vivante et pullulante, d'où
sortait la voix profonde des foules. On était à l'automne ; la ville, sous
le grand ciel pâle, s'alanguissait d'un gris doux et tendre,
piqué ça et là de verdures sombres qui ressemblaient à de larges
feuilles de nénuphars nageant sur un lac.

Émile Zola, La Curée, 1871.

a) Relevez, dans le premier paragraphe, toutes les informations


fournies par le narrateur. Quel est le point de vue adopté dans ce
paragraphe?
b) Quel est le point de vue dominant dans le second?
c) Quels mots vous ont permis de répondre?

„ Analyser Les interventions du narrateur :


Le ministre Otis et sa famille sont ennuyés par un fantôme qui les
dérange la nuit. Mr Otis lui a offert un lubrifiant pour graisser ses
chaînes.

Le lendemain matin, quand les membres de la famille Otis se


retrouvèrent pour le petit déjeuner, ils parlèrent assez longuement du
fantôme. Le ministre des États-Unis fut naturellement un peu
contrarié de constater que son cadeau n'avait pas été accepté. « Je
n'ai nul désir, dit-il, de causer le moindre mal à ce fantôme, et je dois
vous faire observer qu'étant donné le nombre de siècles qu'il a passés
dans ces murs, j'estime qu'il n'est pas du tout poli de lui lancer des
oreillers. » Remarque fort juste que les jumeaux, je regrette d'avoir à
le dire, accueillirent avec des éclats de rire.

Oscar Wilde, Le Fantôme de CantervilLe, 1887,


trad. Jules Cartier.

a) À quelle personne le récit est-il fait ?


b) Quel est le point de vue adopté ici ?
c) Montrez que le narrateur intervient dans le récit et citez l'un de ses
commentaires.

EXERCICES D’OUTILS DE LANGUE

VOCABULAIRE

1. Bâtir des champs lexicaux :

a. Classez les termes suivants selon qu'ils expriment la colère ou la


peur.

affolement - angoisse - appréhension - énervement épouvante -


exaspération - fureur - inquiétude - irritation - panique - rage -
terreur - emportement.
b. Classez les mots suivants en deux groupes et dites à quel champ
lexical ils appartiennent.

bonheur - émerveillement - étonnement - plaisir - ravissement -


stupeur - effarement - enthousiasme - allégresse - gaieté -
stupéfaction - saisissement.

c. Trouvez l'intrus dans les listes suivantes.

1) terreur - terrifier - terrasser - terrible - terrifiant - terroriser.


2) agréable - agrément - agrégé - agréer - agrémenter - de bon gré.

2. Différencier sentiments et sensations :

À quels sentiments correspondent les sensations suivantes ?

1. avoir le cœur qui bat - 2. avoir les larmes aux yeux - 3. avoir des
sueurs froides - 4. avoir le cœur serré - 5. avoir la gorge sèche - 6.
claquer des dents - 7. trembler comme une feuille - 8. avoir des
bourdonnements d'oreille.

3. Utiliser le vocabulaire du XIXème siècle :

Vérifiez dans le dictionnaire la définition des mots suivants. Employez


chacun d'eux dans une phrase.

1. un fiacre - 2. un vestibule - 3. une toilette - 4. une parure - 5. un


calorifuge - 6. une tenture - 7. un brocart - 8. un haut-de-forme - 9.
une torchère - 10. une redingote - 11. une calèche - 12. un flambeau.

4. Trouver des synonymes :

Dans les phrases suivantes, remplacez les adverbes par des groupes
nominaux ou des propositions subordonnées.

L'homme est arrivé soudain alors que le soir tombait. Les habitants se
sont immédiatement demandé ce qu'il voulait. Tous dévisageaient le
voyageur qui arrivait probablement de l'étranger. Il était visiblement
fatigué. Les paysans parlaient tout bas : ils commentaient
défavorablement la tenue du marcheur et la canne qu'il tenait
ostensiblement à la main. Le maire a aussitôt appelé un enfant pour
qu'il mène l'homme vers la maison communale.

5. Nommer l'émotion :

Dites quels sentiments expriment les phrases suivantes, et par quel


moyen elles y parviennent.

1.« Mon Dieu, quelle horreur ! »


2.« Comme cela fait du bien! »
3. « Oh! je souffre... si vous saviez comme je souffre ! »
4. « C'est le plus beau château que je connaisse! »

GRAMMAIRE ET CONJUGAISON

6. Employer des connecteurs de temps :

Complétez le texte en employant les connecteurs suivants.

le soir - avant le souper - d'abord - un soir - ensuite - après quoi - à


partir de ce jour - maintenant que - après - alors.

... , tout en arrosant, le curé me parla ainsi :


«... te voilà apprivoisé, je vais t'enseigner à parler français ..., à lire
et à écrire... ; ..., nous verrons. "
Je fus bien content de ces paroles, car je compris ... que le curé
s'intéressait à moi et voulait me garder. ..., tous les matins, après la
messe, il me montrait deux heures durant; ..., il me donnait des
leçons à apprendre dans la journée et, ..., il me faisait encore deux
heures de classe... .

Eugène Le Roy, Jacquou le Croquant, version abrégée,


2006.

7. Exprimer l'ordre ou l'injonction :


Récrivez les éléments soulignés à l'impératif ou au subjonctif, afin
d'exprimer l'ordre.

1.« Mes cheveux me font mal, vous devez les peigner. »


2. «Je souffre terriblement, il faut m'aider. »
3.« J'ai très chaud, peux-tu ouvrir la fenêtre ?»
4.« J'ai peur, il faudrait appeler un domestique. »
5. «Je vous aime, vous devriez me suivre. »

8. Reconnaître les temps verbaux :

Relevez les formes verbales et précisez les temps employés.

Le jour où Lullaby décida qu'elle n'irait plus à l'école, c'était encore


très tôt le matin, vers le milieu du mois d'octobre. Elle quitta son lit,
elle traversa pieds nus sa chambre et elle écarta un peu les lames des
stores pour regarder dehors. Elle retourna vers le centre de sa
chambre, elle s'assit devant sa table et elle commença à écrire une
lettre.
« Cher Papa,
Ce matin quand je me suis réveillée, j'ai cru que j'étais à nouveau à
Istanbul. Je voudrais bien fermer les yeux et quand je les rouvrirais
ce serait à nouveau comme à lstanbul. Tu te souviens ?»

D'après J.-M.G. Le Clézio, Lullaby, 1982.

9. Raconter au passé composé et à l’imparfait :

Conjuguez les verbes entre parenthèses au passé composé ou à


l'imparfait.

Ça y est : ils (tirer). Dimanche, pour l'ouverture de la chasse, ils


l’(attendre) avec impatience, alors ils ne (se priver) pas. Et il (falloir)
aller vite. C' (être) à celui qui en abattrait le plus ou le spécimen le
plus grand. Et, là encore, ils (faire) très fort. Cent cinquante kilos de
poil, de muscle et de tendresse.
[...] Melba, qui (représenter) l'ourse de nos forêts. Larmes de
compassion aussi pour ceux qui (se battre) pour voir les ours
repeupler nos forêts. De douleur pour les deux oursons qui ne
profitent plus de la chaleur de celle qui les (mettre au monde).
10. Raconter au passé simple et à l'imparfait.

Conjuguez les verbes entre parenthèses au temps qui convient. Vous


choisirez le passé simple ou l'imparfait.

Enfin, vers minuit, le brouillard (se dissiper) et Germain (pouvoir) voir


les étoiles briller à travers les arbres. La lune (se dégager) aussi des
vapeurs qui la (couvrir) et (commencer) à semer des diamants sur la
mousse humide. Le tronc des chênes (rester) dans une majestueuse
obscurité, mais, un peu plus loin, les tiges blanches des bouleaux
(sembler) une rangée de fantômes dans leurs suaires. [...] C' (être)
un bel endroit, mais si désert et si triste que Germain, las d'y souffrir,
(se mettre) à chanter et à jeter des pierres dans l'eau pour s'étourdir
sur l'ennui effrayant de la solitude. Il (désirer) aussi éveiller la petite
Marie et, lorsqu'il (voir) qu'elle (se lever) et (regarder) le temps, il lui
(proposer) de se remettre en route.

11. Distinguer adjectif qualificatif et participe présent :

Complétez par -ant ou -ants.

Mes amis, prévoy..., avaient laissé leur bougie allumée, craign... de


ne plus retrouver leur chambre. Mais nous, insouci..., avions éteint les
nôtres en arriv… .Désir... ouvrir la fenêtre, j'approchai en
chantonn..., mais je me reculai bien vite, le cœur batt... . J'apercevais
des personnages se faufil... dans les buissons, j'entendais des bruits
inquiét.... J'appelai à l'aide, tout trembl..., alors que ma femme, se
demand... ce que j'avais, admirait les objets charm... posés sur la
table. Nos deux amis, me rassur..., affirmèrent que tout était normal.
Mais d'autres événements intrig... devaient perturber notre nuit au
château, fais... de ce séjour un souvenir peu agréable.

12. Identifier les formes de l'infinitif et du participe passé :

Complétez les points de suspension par –er ou une forme en -é, en


respectant la règle des accords.

Les fenêtres étaient ferm... .Avant de me déshabill..., j'en ouvris une


pour respir... l'air frais de la nuit, délicieux après un long souper. En
face était le Canigou, d'un aspect admirable en tout temps, mais qui
me parut ce soir-là la plus belle montagne du monde, éclair... qu'il
était par une lune resplendissante. Je demeurai quelques minutes à
contempl... sa silhouette merveilleuse, et j'allais ferm... ma fenêtre,
lorsque, baissant les yeux, j'aperçus la statue sur un piédestal à une
vingtaine de toises de la maison. Elle était plac... à l'angle d'une haie
vive.

D'après Mérimée, La Venus d'Ille, 1837.

13. Écrire correctement les mots en –ment :

Retrouvez le nom en -ment correspondant aux verbes suivants, et


écrivez-le correctement.

1. changer - 2. bégayer - 3. commencer - 4. vouvoyer - 5. déguiser -


6. juger - 7. aboyer - 8. assortir - 9. enseigner - 10. dévouer - 11.
bâtir - 12. licencier - 13. trembler - 14. déployer - 15. vêtir - 16.
sentir.

14. Orthographier les mots composés :

Comment écrivez-vous les mots suivants au pluriel ?

un réveille-matin - un lave-vaisselle - un tourne-disque - un sous-


vêtement - un tire-bouchon - un taille-crayon - un remonte-pente -
un passe-partout -un wagon-lit - un chou-fleur -un couvre-lit - un arc-
en-ciel - une belle-sœur - un porte-clés - un coffre-fort - un abat-jour.

DICTEE D’ENTRAINEMENT :

J'aperçus au loin la masse sombre de mon jardin, et je ne sais d'où


me vint une sorte de malaise à l'idée d'entrer là-dedans. Je ralentis le
pas. Il faisait très doux. Le gros tas d'arbres avait l'air d'un tombeau
où ma maison était ensevelie.
J'ouvris ma barrière et je pénétrai dans la longue allée de sycomores,
qui s'en allait vers le logis, arquée en voûte comme un haut tunnel,
traversant des massifs opaques et contournant des gazons où les
corbeilles de fleurs plaquaient, sous les ténèbres pâlies, des taches
ovales aux nuances indistinctes. En approchant de la maison, un
trouble bizarre me saisit. Je m'arrêtai. On n'entendait rien.

Guy de Maupassant, « Qui sait ? », 1890.

1) Ne confondez pas où (pronom relatif) et ou (conjonction de


coordination), là (adverbe de lieu) et là-dedans avec la
(déterminant).
2) Justifiez l'accord des adjectifs suivants : ensevelie, arquée,
opaques, pâlies.
3) A quels temps sont les verbes : j'aperçus, j'ouvris, je pénétrai,
je m'arrêtai, s'en allait, plaquaient ? Pourquoi ces temps sont-ils
employés ici ?
4) Les sycomores sont des arbres (érables) ressemblant aux
platanes.

EXPRESSION ECRITE

 Distinguer auteur, narrateur et personnage :

Ce jour-là, il avait gelé horriblement. Le soir était venu. Nous


allions nous remettre à table devant le grand feu de la haute
cheminée, ou rôtissait un râble de lièvre, flanqué de deux perdrix qui
sentaient bon. Mon cousin leva la tête.
G. de Maupassant, « Un réveillon », 1882.

Sujet : Imaginez que Guy de Maupassant ne sache pas


comment continuer
Son récit. Vous venez en aide à l'auteur et lui proposez
plusieurs pistes pour poursuivre l'histoire.

Méthode :

1.Je deviens le narrateur :je m'exprime à la première personne (je ou


nous);
2. Je conserve les mêmes temps pour le récit.
3. J'ai trois possibilités :
. faire dialoguer les personnages;
. faire leur portrait;
. décrire les lieux.

‚ Poursuivre un récit en conservant le point de vue initial :

Elle flânait depuis cinq bonnes minutes devant les rayons des
shetlands. Tout à coup ses doigts jaillissent, s'enroulent, un petit pull
est entièrement aspiré dans le creux de sa main, puis sa main avalée
par son sac, lequel déglutit et recrache une main vide.
Je l'ai vue. Mais de l'autre côté du comptoir, Cazeneuve, le flic
approprié, l'a vue aussi. Heureusement, je suis plus près d'elle que
lui.

Daniel Pennac, Au bonheur des ogres, 1985.

Sujet
Lisez le texte ci-dessus, et imaginez la suite de l'histoire :
selon vous, qu'arrive-t-il à la jeune voleuse ? Vous ferez
intervenir tous les personnages évoqués.

Méthode :
1. Je poursuis le récit à la première personne et au présent de
l'indicatif.
2. J'oppose le narrateur, apparemment bienveillant, à Cazeneuve,
soucieux de faire respecter la loi.
3. Je retranscris dans la narration les sentiments, émotions et
pensées du narrateur.

ƒ Rédiger un article de presse à partir d'un fait divers

Sujet :
Écrivez une quinzaine de lignes à partir d'un fait divers (au choix).

1. Un enfant seul (3 ans, pantalons et chemise bleus) a été


trouvé tout en larmes, hier soir, devant l’entrée principale de
l’IC.

2. Dans l'un des appartements du château de Versailles, un


visiteur s'est brusquement dévêtu et s'est caché dans le lit de
la chambre royale. Il ne veut pas quitter l'endroit, prétendant
se nommer Napoléon IV.

Méthode :

1.J'adopte un point de vue omniscient : je donne autant de détails


que possible, pourvu qu'ils correspondent à la situation choisie.
2. Je peux introduire dans mon récit des commentaires ou des
jugements.
3. Je choisis un registre comique ou dramatique ; je peux employer
l'humour ou l'ironie.

„ Écrire un article et une page de journal intime :

Lorsqu'elle l'aperçut au bout du chemin, elle ne le reconnut pas


immédiatement. Puis elle distingua la ceinture qui nouait son manteau
et trouva quelque chose de familier à la démarche de l'inconnu. Si on
ne lui avait pas répété dix fois que son mari était bel et bien mort à la
guerre, elle aurait juré que c'était lui. Il fallut qu'elle s'avançât
davantage pour le reconnaître tout à fait.

Andreï Malkine, Le Testament français, @ Mercure de France, 1995.

Sujet : Rédigez un article de journal et une page de journal


intime.

Consignes :

Imaginez que vous êtes journaliste. Résumez en quelques lignes le


fait divers évoqué dans l'extrait ci-dessus.
Imaginez maintenant que vous êtes le personnage féminin évoqué
dans le texte.
Rédigez deux passages de votre journal intime, d'environ quinze
lignes chacun.
L'un sera écrit avant les retrouvailles, l'autre après.

Méthode :

1. Pour l'article de journal, je rédige un résumé à la troisième


personne, et je transforme les temps de la communication indirecte
(passé simple) en temps de la communication directe (passé
composé).
2. Pour le journal intime, j'écris à la première personne et j'exprime
les inquiétudes, les moments de découragement, ou encore les
espoirs du personnage.

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