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DNA MONOCATENAIRE
FAMILLE PARVOVIRIDAE
Petit, Hecosaedrique
Grande résistance dans le milieu extérieur
Depend de la phase S et G2 du cycle cellulaire
Agent: CPV-2a et b
Parenté: penleucopénie féline, entérite du vison
Tropisme: Cellules en division : Myocytes, lymphocytes, cellules des cryptes de Lieberkuhn.
Système: digestif -> fond des villosités
Pathogénie: infection par les MF, voie orale, virémie associée aux lymphocytes 3 à 5j après
l’infection, infection des crypte au jour 5 & 6 avec pic d’excrétion virale puis apparition des
signes cliniques.
Signes cliniques: Incubation de 3 à 7 jours puis vomissements, dépression, anorexie,
hyperthermie, diarrhée 12 à 24h après, diarrhée hémoragique, Lymphopénie vers leucopénie,
Myocardite exceptionnelle chez le chiot.Mort en 2-3 jours, guérison en 4-5 jours.
Evolution: Forme foudroyante avec mort en quelques heures, suraiguë avec mort en 2 jours,
aiguë avec mort en 5-6 jours ou subclinique chez les chiens plus âgés.
Diagnostique Clinique: gastroentérite très contagieuse, chiens de 6 semaines à 6 mois, évolution
aiguë avec fièvre et lymphopénie jusque 300 leucocytes/mm3.
Diagnostique de laboratoire: Antigènes par Elisa dans les MF, excrétion 10 à 14j après l’infection.
Dispositifs à disposition du praticien: Witness, SNAP combo plus (attention a la vaccination
récente.
Traitement: réhydratation, interféron omega félin pour les chiot supérieur à un mois. Ne pas
vacciner avant rétablissement complet, réduit la mortalité et les signes cliniques entériques.
Vaccination: vaccins surdosés pour surmonter le trou immunitaire, primovaccination à 6-8
semaine puis à 12 semaines ou à 12 semaines. Rappel annuel puis tous les 2 ans. Vaccination
répétée en cas d’urgence.
Agent: CPV-1
Système: Reproduction/neonatalité
Pathogénie: Infection trans placentaire: résorption embryonnaires,
mommifications foetales, avortements précoces.
Parvovirose porcine PC
Agent: PPV
Système: Reprod/Neonat
Etiologie: monde entier, très résistant, à l’état endémique
Pathogénie: Voie oronasale, virémie transitoire puis migration dans la
rate et les noeuds lymphatique, seconde virémie et là deux type
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d’affections: La première concerne les cochette et les verrat avec une leucopénie (infection
subclinique) et la deuxième plus importante concerne les truies gravides car le virus traverse la
barrière placentaire. Si l’infection survient avant 30 jour de gestation il y a mort embryonnaire et
résorption. Si celle-ci survient entre 30 et 70 jours il y a Mort foetale avec momification. Entre 70
et 115 jours par contre, le foetus survit et une réponse immune est en marche. Conserne les truie
primipares sensible peu de temps avant la fécondation ou en début de gestation, les anticoprs
colostraux durent jusqu’à l’âge de 6 mois, Excrétion du virus pendant 2 semaines.
Signes cliniques: retour en oestrus ou nichées en partie constituée de foetus momifiés,
mortinatalité. Avortement très rarement rencontré. Lésions localisées au niveau de l’utérus et du
foetus: nécrose et infiltrations de cellules mononucléées.
Diagnostic: Foetus momifiés et muqueuse utérine par immunofluorescance
Vaccination: Vaccins vivants ou inactivés. Vacciner les jeunes truies à partir de 6 mois avant la
gestation.
Agent: FPV
Système: Digestif, Reprod/neonat, Generalise
Etiologie: parenté avec le Parvovirus canin et le virus de l’entérite
du vison. Le virus touche les félidés mais aussi les procyonidés
(raton laveur, panda) et les mustélidés. On a isolés des parvovirus
chez le chien plus proche du parvovirus félin que canin.
Pathogénie: Excrétion par les MF, salive, urine et vomissures.
Infection oronasale. Atteinte des lymphocytes avec généralisation.
Tissus lymphatique et moelle osseuse (-> panleucopénie), crypte
intestinales (entérite); infection intra-utérine -> avortement. Si
l’affection survient en 2eme moitié de gesttion on observe de
l’hypoplasie cérébelleuse, de l’atrophie rétinienne, de
l’hydrocéphalie et hydranencéphalie.
Epidemiologie: Grande résistance du virus, grande contagiosité,
épidémie chez les chats non-vaccinés. Taux de mortalité de 90%
chez les chatons. Infections chroniques, plusieurs mois chez les
chats guéris, un an chez les chat ataxiques.
Signes cliniques: Signe sévères surtout chez les chat en post-
sevrage (6-14 semaine). Incubation de 2 à 10 jours. Forme suraigue: mort subite 4 à 9 jours après
l’infection, douleurs abdominales. Forme aiguë: coliques, fièvre, abattement, anorexie,
vômissement, douleur abdominale, diarrhée à odeur fétide, si
sanguinolente le pronostique est mauvais, mort en 3-4 jours
sans traitement. Convalescence de plusieurs semaines car
immunodépression. Dans la forme subaiguë on assiste à un
léger abattement et de la diarrhée.
Ataxie féline: Diagnostique posé vers 2-3 semaines. Chats en
bonne santé apparente, chatte en bonne santé, atteinte de
l a p o r t é e e n t i è re , S i g n e : D y s m é t r i e , h y p e r m é t r i e ,
incoordination, persistance des signes à différents degrés,
compensation possible.
Diagnostique: Oedème et congestion du jejunum et de l’iléon,
de la moelle osseuse (gélatineuse). Absence de vaccination,
leucopénie 500 à 1500 GB/mm3, virus dans les MF (ELISA, ME),
prélèvements de jejunum, iléon, noeuds mésentériques, rate
pour l’histopathologie et immunohistochimie.
Vaccination: Très efficace, un seul sérotype, vivant atténué en
primo, inactivé pour chattes gravides, SC ou IM, protocole
6-10 semaine puis 10-12, rappel annuel.
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CIRCOVIRIDAE
CIRCOVIRUS
DNA BICATENAIRE
Sarcoide equin CV
Agent: papillomavirus bovin 1 et 2, pas plus de précision.
Chez les chien, atteinte de la muqueuse orale, Régression spontanée des tumeurs en 1 à 5 mois,
pour les autre espèces, juste cité.
Papillomatose Bovine BV
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FAMILLE DES ADENOVIRIDAE
agent: CAV-1
Système: Respi
Toux de chenil CN
agent: CAV-2
Système: Respi
Etiologie: bordetella bronchiseptica, virus para-influenza, adénovirus type 2, maladie de Carré,
herpesvirus, autres virus et bactéries. Les 2 premier sont rencontré le plus fréquement.
Incubation de 3-6 jours, virus dans les muqueuses respiratoires antérieures, trachéobronchite
nécrosante focale pouvant évoluer vers la pneumonie exsudative.
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Formes cliniques: Chiens bien vacciner contre la maladie de Carré et CAV-1: toux sèche et forte,
1-3 semaine, saisonnoer. Les autres: toux sèche et douloureuse, bronchopneumonie, mortalités,
pas d’incidence saisonnière.
Vaccination: multivalent: maladie de Carré, para-influenza, adénovirus de type 2. Vaccins
spécifiques: Bordetella bronchiseptica et para-influenza: vivant intranasal (Nobivac BpPi) ou
inactivé (Pneumodog). Primovaccination avec vaccin multivalent, vaccin spécifique bivalent
type Pneumodog. 2 injections sc à 2-3 semaines d’intervalle à partir de 4 semaine pour les chiot
nés de mere non-vacciné et 6 semaines pour les autre. Puis rappelle annuel. Pour le Nobivac:
une injection intranasale dès l’âge de 4 semaine avec rapel annuel.
Pneumo-enterite BV
Tropisme: epithélium, SN
Agent: PcHV-1
Système:SN/Généralisé/respi/repro-neonat
Ethiologie: glycoprotéines gD &gE, vaccins avec délétion dans le gène codant pour la gE. Hôte
naturel: le porc.
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Pathogénie: état latent, introduction par un
porc infecté de manière latente.
Transmission aérogène, infection produite
par voie oronasale.
Souches hypovirulentes: porcs de tout âge,
cliniquement les porcelets de moins de 3
semaines. région naso-pharyngée et
amygdales, ganglions lymphatiques
régionaux, nerfs olfactifs et bulbe olfactif,
nerf glossopharyngien, nerf trijumeau,
atteint le système nerveux central par voie
nerveuse. pas de virémie. strictement
neurotropes.
Souches hypervirulentes : pathogénie
semblable, infectent des porcs plus âgés,
tropisme pour le tractus respiratoire.
Porcelets nouveau-nés: voie nerveuse et
virémie. Porcs plus âgés: dissémination
locale du virus au niveau du tractus
respiratoire avec nécrose des amygdales
et pneumonie. Système nerveux central soit
par virémie, soit par propagation nerveuse.
Truies gestantes: infection transplacentaire.
Semence du verrat.
Signes cliniques: période d’incubation de 1 à 11 jours. Taux de mortalité de 100% chez les
porcelet < 2 semaines avec fièvre, abattement, anorexie, faiblesse, manque de coordination,
convulsions et mort subite, L’infection in utero donne lieu à la mort à deux jours tandit que
l’infection directement après la naissance induit la mort à 5 jours. Taux de mortalité de 50% chez
les porcelets de 3 à 4 semaines avec maladie nerveuse, tremblement musculaire, ataxie,
incoordination, convulsions épileptiformes, paralysie postérieure, mouvement circulaires,
opisthotonos et mouvement de pédalage. taux de mortalité de 5% chez les adultes. Entre 4
semaines et 3 mois la maladie donne lieu aux symptômes suivants: appétit diminué, fièvre,
symptômes respiratoires (éternument, toux, jetage, dyspnée) & nerveux (convulsions,
incoordination, mouvements de pédalage, claquement des mâchoires avec salive spumeuse.
Chez les porc charcutier, la période d’incubation est de 3 à 5 jours puis fièvre (41°C), anorexie
totale, signes respiratoires et parfois nerveux. Celà s’accompagne d’un retard de croisance de
3 à 4 semaines et d’un taux de morbidité de 100%. Chez le porc Adulte on assiste à de la fièvre,
abattement, inappétence et exceptionnellement de l’ataxie et de l’incoordination. Queqlues
signes respiratoires sont présents.Et enfin, chez la truie gestante il y a induction de l’avortement
10 jours après infection, chez les foetus on observe des lésions de nécrose dans le foie, la rate et
les reins ainsi qu’une momification ou des porcelets mort-nés.
Lésions: méningoencéphalite non suppurante, nécrose de la muqueuse, infiltrations sous
muqueuses de ¢ mononucléées, bronchite, bronchiolite et alvéolite. Lésions nécrotiques focales
dans le foie, la rate, les ggl lymphatiques, les glandes surrénales.
Diagnostic: isolement du virus en culture de cellules réalisé à partir du cerveau, des amygdales et
du poumon. Immunofluorescence sur coupe d’organe. Diagnostic sérologique par ELISA. Pour
le contrôle, on fait d’abord in test ELISA classique puis sur les animaux positif on fait un test ELISA
spécifique gE pour différencier les animaux vaccinés des animaux malades.
Vaccins: Vivant atténué ou inactivé. 2 vaccination à 4 semaines d’interval (dont la première est
à 10 semaines chez les porcelet) pour tous les animaux sauf les truies et verrats en production
qui sont vacciner 2 ou 3x/an selon que le vaccin soit inactivé ou atténué.
Chez les autres espèces: Transmission sporadique aux ruminants par voie aérogène, matériel,
personnel. Incubation de 3 à 6 jours puis jetage nasal, dyspnée, ptyalisme, soif & signes nerveux
(tremblements, piétinements, beuglements, dépression, prurit incoercible, automutilations,
paralysie. Mort en quelques heures à 6 jours. Chez le chat et le chiens la transmission ce fait par
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contact avec des porc ou par la viande crue (pas de mou pour le chat). L’incubation est de 1
à 6 jours, Il y a refu de nourriture, dépression, pas d’agressivité, dyspnée,hypersalivation, prurit,
décubitus, inconscience et mort en 12 à 48h.
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Avortement: passage transplacentaire lors de la virémie. 1er trimestre ->Mortalité embryonnaire,
2e trimestre -> avortement avec virémie chez foetus, cytolyse, nécrose multifocale généralisée.
3e trimestre: avortement, mortinatalité, mortaliténéonatale jusqu’à 12 jours. Bref dans tous les
cas c’est le drame!
Vulvovaginite infectieuse pustuleuse et balanoposthite: avec exanthème coïtal, erythèmes,
vésicules, ulcères, forte température. Origine vénérienne ou autre.
Métrite après césarienne: Métrite, rétention placentaire, métropéritonite chez le BBB.
Encéphalite: Jeunes et adultes, confusion avec BoHV-5.
Infection du nouveau-né: voie transplacentaire en fin de gestation ou voie horizontale après
réexcrétion de la mère ou autre animal. Forme généralisée avec foyers de nécroses disséminés,
souvant signes digestifs (ptyalisme, diarrhée, signes nerveux d’encéphalite. L’immunité
colostrale est très efficace avec une demi-vie de 20 jours.
Vaccins: délétés en gGE (comme Aujeszky) vivants aténués (Inasale/IM) ou inerte/inactivé (SC).
Agent: BoHV-2
Système: Peau et Muqueuses
Ethiologie: apparenté à HuSV-1, l’herpes simplex humain et distinct des autres herpesvirus des
ruminants. Deux entités cliniques: une forme généralisée, la maladie d’allerton et une forme
localisée: thélite, maladie localisée du trayon.
Pathogénie: La primo-infection se fait par blessure cutanée. Tropisme pour les cellules du derme
(couche de malpighi), latence dans les neurones de la peau probablement. réactivation
expérimentale par dexaméthasone, lésions localisées en Europe, thermosensibilité du virus.
Signes cliniques: Chez les vaches laitiière: second semestre, génisses primipare, 2 à 10 jours
postpartum, dissémination en quelques semaine. Incubation de 4 à 10 jours. Lésions sur le
trayon: plaque de peau indurée, quelques vésicules, couleur bleue de la peau, ulcères avec
nécrose de l’épiderme, transmission éventuelle au veau qui tête. Forme généralisée: Nodules
durs, circulaires, nécrose et ulcères de la peau.
Diagnostique différentiel des infections du trayon: thélite infectieuse, paravaccine, stomatite
papuleuse bovine, cowpox, vaccine, fièvre aphteuse. Labo: isolement viral à partir des croûtes
ou de la lymphe contenue dans les lésions.
PRévention: pas de vaccin, précautions hygiénique: désifection du trayon, des ustensiles de
traite. Le virus est rapidement inactivé.
Agent: BoHV-5
Système: SN
Ethilogie: étroitement apparenté à BoHV-1, répartition géographique: australie, USA, amérique du
sud, europe?
Pathogénie: infection par voie nasale: multiplication dans la muqueuse respiratoire puis excrétion
durant 10 à 16 jours en suite dissémination: virémie, transmission ¢ à ¢, neuroinvasion (¢
olphactives et terminaisons du nerf maxillaire. Invasion du système nerveux central, latence
dans le ganglion trijumeau.
Signes cliniques: Chez le nouveau né: infection systémique rapidement mortelle. Veaux âgés de
8 à 10 mois: Légers signes respiratoires, abattement, anorexie, hypersalivation, douleur
abdominales, piétinement, bruxisme, mâchonnements, phase de dépression, démarche
chancelente, crise d’excitabilité: pédalage, spasmes puis mort en 3 à 5 jours.
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Herpesvirose Caprine CP
Agent: CpHV-1
Système: Repro-neonat
Ethiologie: Virus apparenté au BoHV 1 & 5 et à
l’herpesvirus du renne et du cerf mais distinct des
autres herpèsvirus de ruminant. Deux entité clinique:
chez les chèvres adultes on assiste à des avortement
et des vulvovaginites. Chez le chevreau il s’agit
d’enthérite. Persistance à l’état latent.
Epidemiologie: Dissémination pendant la période
de reproduction, prévalence importante dans les
pays méditerranéens.
Signes cliniques: La forme généralisée atteint les
chevreaux nouveau-nés avec faiblesse, fièvre,
douleur abdominale, cyanose, lésions
inflammatoires et nécrotiques de la muqueuse
intestinale. Chez les chèvres adulte, vulvovaginite
pustuleuse et pneumonie aiguë associée à M.
haemolytica. Avortement en 2eme moitié de
gestation avec nécrose multifocale chez le foetus.
Herpesvirose du cerf: (CvHV-1) syndrome oculaire avec conjonctivite: larmoiement, jetage
oculaire mucopurulent, oedème de la paupière supérieure.
Herpesvirose du renne; (CvHv-2) affection génital, subclinique chez le renne. Confusion dans le
diagnostique sérologique avec BoHV-1.
Avortement/Myeloencephalopathie CV
Agent:EHV-1
Système: Respi/repro/SN
L’avortement equin à EHV-1: Réctivation et réexcrétion (transmission), primoinfection de juments
gestantes, épidémie, un seul avortement par jument, pas d’autres signes cliniques chez la
jument, surtout entre 6 et 11 mois de gestation, lésions de nécrose chez l’avorton.
Infection périnatale par EHV-1: Maladie généralisée avec lésions respiratoire, hépatiques, ...
Encéphalite à EHV-1: apparait après un avortement, vasculite, thrombose sans virus. Réaction
immunopathologique, ataxie, parésie symétrique.
Agent:EHV-3
Système: Repro
Rhinopneumonie equine CV
Agent: EHV-4
Système: Respi
Ethiologie: étroitement apparenté à EHV-1
Pathogénie, symptôme, etc: Il ne s’agit pas vraiment de pneumonie mais en réalité de
rhinotrachéite. Il y a latence dans les lymphocytes. Cette maladie touche les poulain de plus
de 2 mois avec fièvre, anorexie, jetage nasal et rarement de la bronchopneumonie. Il y a
séroneutralisation et les vaccins existent combiné avec EHV-1.
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Herpesvirose canine ou Maladie hemorragique du chiot
(participe a toux chenil) CN
Agent: CaHV-1
Système: Repro-néonat
Ethiologie: Prenté avec le FeHV-1. Tropisme pour le tractus
respiratoire, mes muqueuses génitales et le système nerveux.
Infections inapparentes et latence.
Pathogénie: Maladie mortelle chez le chiot de moins de 4
semaines car la thermorégulation et le système immunitaire
est immature mais protection par les anticorps colostraux. La
transmission se fait par voie oroasale (Sécrétions respiratoire
et génitale), par voie vénérienne ou par voie
transplacentaire. Les sécrétions sont virulentes durant 15-20
jours après l’infection. Autre type d’expression chez les plus
agés: Infection de la muqueuse génitale avec lésions
papulovésiculeuses, réapparition au pro-oestrus. Egalement
infection de la femelle gestante avec avortement,
résorptions foetales, mortinatalité et mortalités néonatales. Et
puis le plus fréquemment, des infections inapparentes avec
transmission silencieuse.
(c’est quand-même
bien foutu un virus!!!!)
Portage latent: Localisation dans les ganglions nerveux
lombosacrés et trijumeaux, noeuds sous-maxillaires,
amygdales, glande maxillaire, foie. Réactivation par les
glucocorticoïdes, le prooestrus et réexcrétion nasale, orale,
vaginale et oculaire.
Forme aiguë néonatale: incubation de 4-6 jours, anorexie,
selles molles, nausées, vaumissement, diarrhée aqueuse,
douleur abdominale, faiblesse, hypothermie et mort en
quelques jours. foyers de nécrose et d”hémorragie dans
tous les organes. Les survivants ont des séquelles
neurologiques.
Troubles de la reproduction: Résorption foetales,
momifications, avortement, mortinatalité, mortalité
néonatale et naissance de chiots porteurs latents.
Forme génitale: lésions papulovésiculeuses (femelle et
mâle)
Forme respiratoire: agent de la toux des chenil ou
subclinique
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avec l’herpesvirus canin et du phoque. Ubiquiste.
Tropisme pour l’epithélium du tractus respiratoire
supérieur, de la conjonctive et pour les cellules
nerveuses.
Pathogénie: Contact direct par voie respiratoire,
infection du chaton par la mère en période néonatale
(entre 2 et 12 semaines). Portage latent: infection du
chaton porteur d’anticorps colostraux. En suite, Infection
lytique de l’épithélium nasal puis dissémination locale:
Sac conjonctival, oropharynx, trachée, bronche,
bronchioles. Virémie transitoire, infection latente du
ganglion trijumeau. Il y a excrétion virale dès 24h et
pendant une à deux semaines. Gérison en 10 à 14 jours
avec lésions chroniques des cavités nasales et du tissus
oculaire.
Epidémiologie: persistance grâce aux porteurs latents.
Episodes de réactivation (glucocortico, lactation,
changement d’habitat) et 7 jours plus tard réexcrétion et
celà durant 1 à 13 jours. Il y a 4 à 5% de chats excréteurs
dans la population.
Signes cliniques: Chatterie, magasins. Période d’incubation de 2 à 6 jours. Hyperthermie,
abattement, inappétence, eternuements, ptyalisme, jetage, conjonctivite, toux durant une à
deux semaines. Mortalité très faible, sauf en cas de surinfection par pneumonie bactérienne
chez chatons et immunodéprimés. Atteintes chroniques: conjonctivite, sinusite, kératite
ulcéreuse ou interstitielle, rhinite. Avortement sporadique non spécifique. Infection
inapparentes.
Tropisme: macrophages
Agent: OvHV-2 (europe: hôte naturel -> mouton), AiHV-1 (afrique: hôte naturel -> gnou)
Système: Généralisé
Pathogénie: Portage latent chez l’hôte naturel: persistance dans les lymphocyte B, réactivation
et réexcrétion probablement au cours de la mise-bas. Passage transplacentaire évoqué chez
la brebis, infection innapparente. Chez les bovins par contre, infection aiguë avec un tropisme
pour les lymphocytes T qui prolifèrent de façon non-tumorale. Il y a nécrose tissulaire des tissus
lymphoïdes, des épithéliums, des vaisseaux sanguins, du foie et autres organes. L’Hypothése
(mais on a jamais isolé le virus ni dans les lésions, ni dans les LT et pas de réponse anticoprs) est
que les LT sont infectés ce qui induit une dusrégulation, leur prolifération puis sont détruit par les
CNK.
Epidemiologie: Contact avec les brebis post-parturientes, contact avec les moutons mais pas de
dissémination entre bovins. Parfois caractère seudo-endémique. Récurrent. Les cervidés sont
extrèmement sensibles.
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Signes cliniques: 3 formes: suraiguë, intestinale et Céphalique & oculaire. La période d’incubation
est très longue de 1 à 6 mois. La forme suraiguë consiste en de graves inflammation des
muqueuses buccales et nasales, des gastro-entérite hémorragique et la mort qui survient en 1 à
3 jours. La forme intestinale induit hyperthermie, diarrhée, congestion des muqueuses buccales
et nasale, du larmoiement, jetage, adénopathie. La mort survient en 4 à 9 jours. La forme
céphalique et oculaire induit de l’hyperthermie élevée (40 à 41 °C) avec du jetage nasal et
larmoiment, paupière à moitié closes, photophobie, ophtalmie ( inflammation des veines
oculaires, tuméfaction des paupières, cécité partielle ou totale). Les muqueuses buccales sont
congestionnée, ulcérées voir nécrosée et accompagnée d’hypersialorrhée. Lésions ulcéreuses
et crouteuse du mufle avec obstruction des narines et respiration buccale, dout le nom de
coryza gangreneux. Enfin on assiste à une hypertrophie des noeuds lymphatiques avec signes
nerveux qui évoluent en une à 2 semaines. Forme chronique: parfois guérison, mais dure
plusieurs mois.
Agent: BoHV-4
Système: occulaire, génital, respi
Ethiologie: Distinct des autres herpesvirus bovins, présent dans le monde entier, variations
mineures entre les souches, isolé de cas cliniques et d’animaux sains. Appelé aussi virus
passager
Pathogénie: Transmission par voie locale respiratoire, multiplication au site d’entrée dans les
cellules épithéliales, virémie associée aux ¢ mononucléées, généralisation de l’infection puis
état de latence dans les cellules mononucléées. Puis réactivation par exemple avec des
glucocorticoïdes et excrétion nasale.
Signe cliniques: 2 affections, l’une occulaire et respiratoire et l’autre génitale. Affections
génitales: Métrite du post-partum associé à l’infection durant la gestation. Présence de virus en
grandes quantités dans les sécrétions utérines et durant une longue période. La séroconversion
est tardive. On observe également des vulvovaginites et des avortement entre 5 et 9 mois de
gestation.
Herpesvirose equine
GENRE ASPHAVIRUS
Agent: asfavirus
Système: Général
Quelques petites info: Virus de grande taille, unique,
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afrique et amérique du sud, espagne et portugal. Très grande résistance du virus. Ici épidémie
en 1985. Transmission opérée par la tique molle du genre Ornithodoros. Le Cycle du virus:
phacochère, potamochère et hylochère et tiques molles. Le reste on s’en fou!
GENRE ORTHOPOXVIRUS
Vaccine Ho, BV
GENRE PARAPOXVIRUS
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Ethiologie: même virus que plus haut, zoonose donc, très résistant, touches tous les petits
ruminants
Pathogénie: Transmission par contact, voie aérogène, croutes. L’infectiosité persiste jusqu’à des
années dans le milieux extérieur. Pénétration par une muqueuse, Lésions au niveau des
jonctions cutanéo-muqueuses: périnée, pieds, paupières et surtout buccales. Propagation
locale sur la peau ou dans le tractus digestif, pas de dissémination généralisée.
Epidémiologie: Persistance de l’infection dans un troupeau, réinfection subcliniques fréquentes,
épidémies annuelles chez les jeunes.
Signes cliniques: allure épidémique chez les jeunes, période d’incubation de 3 à 14 jours, Lésions
de type macule, papule, vésicule, pustule et surtout croutes brunâtres. Tout celà localisé au
niveau de la face, des bourrelets coronaires, des mamelles et du TD. L’évolution est bénigne
avec mortalité de 1%.
GENRE AVIPOXVIRUS
Variole aviaire
Système: peau muqueuse
Agent: Fowpox chez la poule, pigeonpox et canarypox
Ethiologie: dans le monde entier. Vecteur d’expression de gènes pour la construction de vaccin
recombinants mammifères.
Pathogénie: lésions de la peau ou des muqueuses orale et respiratoire. Lésions secondaires
consécutives à la virémie.
Signe cliniques: Forme cutanée avec nodules sur les parties nues, papules, vésicules, croûtes et
cicatrices, chute de ponte, retard de croissance. La forme diphtéroïde ou pox humide cause
l’apparition de membranes diphtéroïdes sur les muqueuses de la bouche,de l’oesophage et de
la trachée. Détresse respiratoire et suffocation menant à la mort.
Diagnostique par inoculation des prélèvement à un oeuf embryonné de poule et à une culture
de fibroblastes d’embryon de poulet. Séroneutralisation, ELISA, immunofluorescance indirecte.
Vaccination; Vaccins vivants atténué.
GENRE CAPRIPOXVIRUS
Clavelée Ovine & Variole Caprine MDO: Maladies contagieuses à déclaration obligatoire, variole
la plus grave conserne l’asie, le moyen-orient et l’afrique.
GENRE LEPORIPOXVIRUS
Myxomatose (MDO) Lp
Système: peau muqueuse
Ethiologie: infection inapparente chez le lapin américain mais maladie grave chez le lapin
américain.
Pathogénie: virus présent dans les myxomes, les sécrétions nasales et oculaires, le sang.
Transmission par contact direct (forme amyxomateuse par voie respiratoire), par les insectes
piqueurs ou par le matériel d’injection. L’infection est suivie d’une virémie, le virus atteint la rate
et le poumons en 3 jours, tous les organes après 4 jours. Apparition du myxome primaire puis
myxomes secondaires après généralisation. Les souches pneumotropes induisent la forme
amyxomateuse. Immunodépression.
Signes cliniques: La forme myxomateuse possède une incubation de 4 à 18 jours, les signes sont
présence de myxome primaire sur les oreilles et autour des yeux, gonflement des tissus de la
tête, blépharoconjonctivite, inflammation de la région ano-génitale, myxomes secondaire,
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aspect léonin de la tête. La mortalité va de 25 à 100% selon les souches. La forme
amyxomateuse est acompagnée d’une incubation de 1 à 3 semaines avec pas ou peu de
myxomes, blépharoconjonctivite, larmoiement et jetage, évolution vers bronchopneumonie,
kifkif pour la mortalité.
Vaccin: hétérologue avec virus du fibrome de shope. Mais innocuité chez le lapereau et durée
d’immunité de 2 à 3 mois seulement. homologue: atténué et thermosensible chez les lapin
reproducteur, durée d’immunité de 4 à 6 mois.
Fibrome de Shope Lp: Fibrome localisé chez le lapin des cotonniers, mortel chez le lapereau,
infection localisée chez le lapin européen.
GENRE SUIPOXVIRUS
RNA MONOCATENAIRE +
Système: général
Ethiologie: Prototype du picornavirus
Pathogénie: Infection respiratoire puis atteinte du 1er site de multiplication, la muqueuse du
pharynx, Virémie, infection de nombreux tissus et organes avec différents types de
Lésion:Vésicules, Aphtes, Ulcères superficiels, Cicatrisation en 8-10 jours, Aphtes primaires et
secondaires. Incubation de 2 à 8 jours
Evolution:Pour les infections aiguës cliniques, la guérison survient en 14 jours, portage pharyngé
durant 23 jours chez les bovins. Mais il y a aussi les infections subcliniques et les infections
chroniques: 2 ans chez les bovins, 6 mois chez les moutons (pas chez le porc).
Epidémiologie: graves épizooties depuis très longtemps.Virus résistant, stable entre pH 7 et pH 9,
résiste à la lumière, HR > 55 %, résiste dans les matières organiques (mucus nasal, lait, matières
fécales). Inactivation assez rapide dans la salive et par l’acide lactique (carcasse).
Transmission: directe (salive, lait, MF, aérosols), indirecte (vecteurs animés ou inertes), par voie
aérienne: sur terre mais aussi sur mer à cause de l'hygrométrie et selon les vents.
Incubation de 2-8 jours.
15
Bovin et porc: Fièvre, abattement, prostration, anorexie, problèmes locomoteurs, aphtes dans la
bouche (langue, gencive, face interne des lèvres), sur les pieds (bourlet coronaire, espace
interdigité), sur les mamelles: extrémité des trayons, sur le groin également chez le porc.
Petits ruminants/espèces sauvages: peu sensibles. pas ou peu d'ulcères cicatrisant rapidement.
avortement, mortinatalité.
Maladie vesiculeuse du PC
Système: peau muqueuse -> juste citée.
Système: nerveux
Etiologie: Teschovirus sérotype 1, souche virulente en europe centrale et afrique ( les souches
moins virulente s'appelle le virus de talfan et la répartition est mondiale).
Pathogénie: transmission oro-fécale, atteinte des sites primaires (amygdales, intestin, nœuds
lymphatiques régionaux), virémie puis localisation secondaire du virus dans de nombreux tissus
(coeur, poumon, foie, rein, rate, glandes salivaires). Parfois atteinte du système nerveux central
avec destruction des neurones, paralysie et mort.
Signes cliniques: fièvre, abattement, perte d'appétit et diarrhée légère. Les signes nerveux
apparaissent après 6 à 7 jours: faiblesse, incoordination, paralysie progressive. La mort survient 3
à 4 jours après l'apparition des signes nerveux. Les lésions nerveuse sont de type
dégénérescence neuronale, neuronophagie, manchons lymphocytaires périvasculaires. La
maladie de Talfan est une parésie enzootique bénigne.
Vaccination: Des vaccins vivants ou inactivés ont été développés contre les virus du sérotype 1.
Non enveloppé
Cytolyse intense
Généralisation de l’infection possible.
Coryza felin
Système: respi
Etiologie: Un seul sérotype
mais nombreux variants,
protection partielle entre les
souches avec variation de
virulence
Pathogénie: Transmission respiratoire et excrétion par la salive et le
jetage nasal ou oculaire aiguë ou chronique. Ceci s'effectue dans
des groupes de chats. les réinfections sont possibles par des
souches de différentes antigénicités. mais augmente le degré de
protection des chats adultes.Infection de l’oropharynx puis virémie
transitoire avec atteinte des organes lymphatiques et respiratoire
sup, membrane nictitante, reins, cervelet, epithélium nasal,
conjonctive, langue, palais. Nécrose cellulaire avec vésicules,
ulcères. Courbe de température biphasique 24 h puis 4-7 jour après
l’infection. Sites secondaires d’infection: Localisations buccales,
parfois pulmonaires et articulaires (chaton).Infection aigue,
infections buccales récidivantes chez les FIV+ ou infection
chronique des amygdales et des arcs palatoglosses. Chez le
16
chaton, infection par la mère, protection colostrale contre la maladie (jusqu’à 3 à 9 semaines)
Calicivirose aiguë: Signes généraux (hypertermie, anorexie, abattement) et signe locaux
(jetages, ulcères buccaux langue et palais, intensité maximale après 4 à 14 jours, diarrhée.
Cicatrisation en une à deux semaines.
Calicivirose chronique: stomatite chronique avec gingivite, pharyngite, palatoglossite
chroniques. Lésions prolifératives de type ulcéreux (arc palatoglosses). Co-infection avec le FIV.
Souches américaines hypervirulante avec un taux de mortalité de 30 à 50% avec les signes
typique plus pancréatite hémorragique, oedème et ulcères de la face, congestion pulmonaire
et splénomégalie.
Enterite CH
Système: digestif
Apparentés au calicivirus félin (souche F9): Glossite et Diarrhée
Non apparentés au calicivirus félin: Diarhée mortelle, Maladie vésiculeuse génitale
Signes cliniques chez le chiot: Diarrhée, vomissements, anorexie, abattement, sans fièvre,
guérison en 1 semaine.
Bovin, humain, porc, mouton, canard. Virus entérique, petit à RNA monocaténaire +.
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ORDRE NIDOVIRALES -> RNA MONOCATENAIRE +
Enveloppé,
Tropisme digestif pour les entérocytes différenciés et évolution vers
tropisme respiratoire et maladie généralisée.
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Diagnostique: Signes cliniques peu évocateurs sauf l’ascite. Test sérologique teste le coronavirus
félin en règle général. La RT-PCR sur sang repère les porteurs chronique et Teste le coronavirus
félin dans les MF. Diagnostique clinique: sang (neutrophilie, anémie non régénérative,
hyperbilirubinémie, hyper gammaglobulinémie, taux élevé de protéines sérique. Liquide
d’ascite avec fibrine, concentration élevée en protéines (3,5g/dL) quelques ¢ sanguines et plus
de 50% de gammaglobuline. A l’examen nécroscopique on observe des épanchements
cavitaires, des granulomes et des pyogranulomes en histopathologie. SUr les chats séropositifs,
10% développent la PIF.
Traitement: Corticotstéroïdes (Prednisolone 1mg/Kg 2x/J PO. et interféron oméga félin, guérison
d’1/3 des chats seulement.
Vaccination: Primucell FIP, vaccin atténué par voie intranasale à partir de 16 semaine, 2 injections
à 3-4 semaines d’intervalle. Taaux d’efficacité de 75%. Conseillée chez les chats à risque.
Contrôle des chatterie: Statut sérologique d’une chatterie, prélèvement de 10 à 20 % des chats.
Mesures hygiénique, sevrage des chatons à 5-6 semaine, retirer la chatte, isoler les chaton
jusque 12 à 16 semaines. Si séro- pas de contamination. Séparer les chattes + des chattes -.
Introduction de chats séronégatif avec 2 contrôle sérologique en 2 mois de quarantaine. Après
saillie ou exposition, quarantaine de 3 semaine et tests séronégatif avant réintroduction. Tester
les chats tous les 6 à 12 mois et élimiener les fort excréteur dentifié par le test RT-PCR.
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Signe clinique: 2e semaine de vie, incubation de 20 à 36h, durée 5-6 jours, mortalités,
déshydratation.
Enveloppé
Nucleocapside
émergence récente du SDRP
Portage chronique du virus de l’artérite équine
tropisme : macrophages
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Syndrome dysgenesique et respiratoire porcin - SDRP PC, BV
Agent: arterivirus
Système: généralisé, SN Respi, repro/néonat
Signe clinique: Classés en 4 catégories: Anorexie d’une part,
avortement, mortinatalité, porcelet faibles, momifications foetales
d’autre part, problème de fertilité et enfin problème respiratoires à la
naissance. Agent de pneumonie interstitielle, le virus se trouve dans
l’épithélium bronchique, les cellules alvéolaires, les macrophages et la
rate. Les signes cliniques sont variable d’une porcherie à l’autre.
Diagnostique: Macrophages alvéolaires de porc, cellules adaptées,
test sérologique IPMA.
Vaccination: 2 cible, les truie et les porcelet. Vaccin vivant américain
et atténué avec souches européennes.
Enveloppé,
Peu de resistance
extérieur,
Nucleocapside
Flavivirus :
encéphalites
transmises par des
arthropodes
Pestivirus :
immunotolérance
(3e groupe de
l’hepatite C)
Agent: Flavivirus
Système: SN
Ethologie: Transmission par le Culex modestus, résevoir aviaire. agent de zoonose
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Signes cliniques: Incubation de 3 à 6 jours (15 maxi) fièvre biphasique avec incoordination
motrice, parésie paralysie mais aussi dépression, apathie, trébuchements, faiblesse des
membres, ataxie, convulsions, déplacements en rond, hyperexcitabilité, paralysie partielle,
coma. Mort dans 30% des cas.
22
et contage leucocytaire puis transfert d’échantillon au Laboratoire de diagnostique (CERVA)
pour faire une immunofluorescence directe. Les Echantillon de routine sont egalement envoyé
au CPGV qui conditionne l’échantillon, et diagnostique par le CERVA. (j’pige que d’all à son
tableau!)
Vaccination: interdite en UE, développement de vaccins marqués.
23
salive, Voie aérienne (quelques mètres), IA et monte naturelle, Embryons (donneuses IPI). Vache
séronégative: Infection génère une fois un veau IPI. Vache IPI: Génère systématiquement des
veaux IPI. Circulation de virus BVD: Présence d’IPI, Rarement circulation en l’absence d’IPI
La forme subclinique: 90%, présence dans le sang après 2-4jours, animal en bonne santé (chute
de lait transitoire).
La forme entérique:« BVD », Animaux de 6 à 18 mois, Diarrhée épidémique, Fièvre, abattement,
anorexie, Toux, jetage nasal et lacrymal, Salivation (stomatite ulcéreuse), Leucopénie, Ulcères
sur les muqueuses digestives, Association avec des avortements, Morbidité élevée.
La diarrhée néonatale: rare, immunité colostrale efficace.
La forme hémorragique: À tout âge: Hyperthermie élevée, Purpura thrombocytopénique, Fèces
hémorragiques, Hématurie, Ecchymoses, Pétéchies, Taux de létalité très élevé, Hémorragies
dans les organes.
L’infécondité
L’avortement
Les anomalies congénitales: nerveuse, oculaire, poil
Le syndrome du veau faible
La maladie des muqueuses: Aigue: Bovin de 6 mois à 2 ans, Fièvre, abattement, faiblesse,
anorexie, Lésions érosives dans tout le tractus digestif, Lésions érosives dans les narines, Jetage
nasal muco-purulent, Boiterie, décubitus, Diarrhée abondante débutant 2 à 3 jours après
l'apparition des signes cliniques, Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie, Nécrose des
épithéliums et destruction massive des tissus lymphoïdes, Mort 3 à 10 jours après le début des
signes. forme chronique: Inappétence, perte de poids, Débilitation progressive (jusqu’à la
cachexie), Diarrhée continue ou intermittente, Jetage nasal et oculaire, Alopécies et
hyperkératinisation (sur le cou), Lésions érosives chroniques dans la bouche et sur la peau
(périnée, prépuce, vulve, espace interdigité), Boiterie chronique, Anémie, leucopénie,
neutropénie et lymphopénie, Survie quelques semaines jusqu'à 18 mois.
Encéphalite équine CV
Système: SN
Rubéole Ho
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ORDRE MONONEGA-VIRALESRNA -> MONOCATENAIRE -
PARAMYXOVIRUS
infection respi antérieure
Parainfluenza 3 ou PI3 BV
Pathogénie: infection respiratoire, virus stable dans les aérosols,
dissémination locale, présence d’hémagglutinine et de
neuraminidase, hyperplasie et nécrose de la muqueuse, perte des cellules ciliées, pneumonie
interstitielle, excrétion de 8 à 10 jours.
Signes cliniques: Soit Infections asymptomatiques, soit fièvre des transports avec possibilité de
surinfection à M. haemolytica, ou encore bronchopneumonie des lobes crânio-ventraux avec
fièvre, abattement, toux, jetage séreux, dyspnée. Gérison en 3-4 jours à moins qu’il y ai des
complications.
Parainfluenza 3 ovin OV
MORBILLIVIRUS
Tropisme pour les ¢ mononucléées sanguines, épithéliums et
système nerveux, virémie primaire et secondaire
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Signes cliniques: incubation de 1 à 4 semaines, puis première hyperthermie discrète puis seconde
hypertermie avec jetage, conjonctivite, anorexie, lymphopénie. Les signes sont respiratoire et
digestifs: conjonctivite, jetage, brocho-pneumonie, entérite hémorragique, pustules cutanées.
Les signes nerveux apparaissent directement si l’incubation est longue et consiste en de
l’incoordination, myoclonies, parésies, tremblements, crises épileptiformes, ataxie, torticolis,
nystagmus, hyperesthésie, raideur de la nuque. La myoclonie peut-être une séquelle. Le
pronostic est mauvais quand il y a apparition de signes nerveux et immunodépression.
Symptômes occulaires: COnjonctivite aiguë, choriorétinite, névrite du nerf optique. Symptôme
néonat: Infection transplacentaire: avortement, mortinatalité. Naissances de chiots faibles avec
signes nerveux en 4-6 semaines. Symptôme dermatologiques: éruption vésiculo-pustuleuse,
hyperkératose
RUBULAVIRUS
Maladies généralisées
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péricarde, le myocarde, la trachée, les poumons, etc. Une conjonctivite séreuse ou
mucopurulente, rhinite, sinusite et trachéite caséeuse ite non purulente.
Diagnostic: Isolement à partir de matières fécales, de trachée, de rate, cerveau, poumon, IF sur
coupes de trachée.
Vaccination: Vaccins vivants atténués : souche lentogène (Hitchner B1 ou LaSota) administration
par gouttelette dans l’oeil ou le nez, par spray ou par l’eau de boisson. Vaccins inactivés :
recommandés chez le pigeon où les souches lentogènes peuvent conserver une certaine
virulence.
PNEUMOVIRUS
Rhinotrachéite du dindon AV
Maladie respiratiore sup. Agent de syndrôme de la tête molle chez le poulet.
ENVLP,
Resist moyen ext,
Penetration par lesion epith (arthropode ou morsure)
27
GENRE DES RHABDOVIRUS
Rage MDO
Ethiologie: Lyssavirus avec glycoprotéine G. 2 type, urbaine
et sylvatique. Les vecteurs sont le renard, la moufette, le raton laveur, le vampire, le chien. LEes
souches sont de rue (urbaine ou citadine), sauvage (vulpine) ou fixes. La souche vulpine est
adaptée au renard, le chien et le chat sont 300000 fois plus résistants, il y a une faible excrétion
salivaire par le chien mais l’excrétion est plus importante par le chat et les ruminants. La souche
canine est responsable des incursions de rage dans nos pays originaire d’afrique du nord,
d’europe centrale ou d’amérique du sud. Cette souche est très adaptée au chien, le profil
d’excrétion est très élevé et il y a un risque majeur de contamination. Il existe également la
souche EBL-1 pour “European bat lyssavirus” Bat pour chauve-souris. Elle est différente de la
rage transmise par les vampires mais est transmissible. Pas identifié en Belgique mais dans les
pays d’europe avoisinant.
Pathogénie: transmission par morsure avec multiplication primaire dans les myocytes. La période
d’incubation est de 3 semaines à 7 mois et dépend de la multiplication au site d’entrée, de la
dose virale et de l’endroit d’inoculation. Le transport se fait par voie axonale puis multiplication
dans les neurones du cerveau et de la ME, multiplication également dans les glandes salivaires
avec excrétion virale 7 à 14 jours avant les signes cliniques.
Signes cliniques: Rage furieuse (rare et courte) avec
nevrosité, hyperthermie, jappement, paralysie partielle des
mâchoires, signe du bâton, hypersalivation. La Rage
paralytique elle provoque de l’incoordination, parésie,
paralysie des membres, procidence de la troisième
paupière, puis paralysie des mâchoire évoluant vert la
paralysie complète et mort en 5 à 7 jours. La rage vulpine
induit plutôt une forme apathique avec troubles
psychiques, musculaires, digestifs.
Epidémiologie de la rage vulpine: propagation par renard
résident ou itinérant. Il y a évolution temporelle et spaciale
des épidémie. La vaccination du renard se fait à l’aide
d’appat largué par avion avec un virus recombinant de la
vaccine exprimant la gG de la rage. Epidemiosurveillance
se fait grâce à des marquages à la tétracycline et par
sérologie. Belgique indemne.
ENVLP,
Glycoprot de surf (HA-NA),
Genome segmente,
Nbx ressortiment et mutation
28
GENRE DES ORTHOMYXOVIRUS
INFLUENZA A & B
Grippe porcine
Etiologie: virus influenza H1N1, H3N2, H1N2. hémagglutinine
(HA) et neuraminidase (NA), transmission à l'homme.
Pathogénie: Le virus est excrété par les sécrétions nasales,
émission d'aérosol, infections subcliniques: persistance de
l'infection. pénètre dans les cavités nasales et infecte la
muqueuse nasale, trachéale et bronchique.
dissémination dans le tractus respiratoire (1 à 3 jours après
l'infection) jusqu'aux alvéoles pulmonaires, nécrose de la muqueuse, débris cellulaires et de
cellules mononucléées dans les exsudats, pas de virémie.
Signes cliniques: période d'incubation: 1 à 3 jours. maladie soudaine. anorexie, abattement,
température très élevée (41°C), toux, difficultés respiratoires (respiration abdominale). Parfois
jetage, éternuement, conjonctivite. Faiblesse musculaire, perte de poids. Après 3 à 6 jours de
maladie, le porc guérit soudainement
taux de mortalité très faible: 1 à 4%.
Lésions: lobes antérieurs du poumon, dégénérescence et nécrose de l'épithélium des bronches
et bronchioles, dilatation des capillaires et infiltration des septa alvéolaires, atélectasie
alvéolaire, pneumonie interstitielle et emphysème.
Diagnostic: atteinte soudaine et allure épidémique, isolement viral à partir d'écouvillons nasaux
ou de poumon sur des oeufs embryonnés de poule de 10 jours. sérums couplés à 3-4 semaines
d'intervalle, analysés par inhibition de l'hémagglutination
Vaccination: type H1N1 avec protection croisée envers les différents sous-types de H1N1. type
H3N2. Deux injections de vaccin à 1 mois d'intervalle. Les anticorps colostraux persistent 2 à 4
mois chez le porcelet. L'immunité conférée par la vaccination est de courte durée (quelques
mois).
Grippe equine
Agent: H7N7, H3N8. Pas d’info.
Grippe aviaire
Etiologie: virus influenza de type A, nombreuses espèces aviaires différentes: oiseaux sauvages,
principalement aquatiques, réservoir important. Toutes les combinaisons possibles des 15 sous-
types connus d'hémagglutinine et des 9 sous-types connus de neuraminidase en majorité non
pathogènes. La peste aviaire est provoquée par des souches virales hautement pathogènes
(sous-types H5 et H7).
Pathogénie: clivage de l'hémagglutinine en deux protéines par un clivage protéolytique. souches
hypovirulentes: cellules épithéliales respiratoires et intestinales. Souches hypervirulentes: sensibles
à des protéases qui se rencontrent dans de nombreux tissus
Signes cliniques: La période d'incubation varie de quelques heures à quelques jours.Souches
hypervirulentes: morts subites, l'arrêt de la ponte, des signes respiratoires, des sécrétions
oculaires, de la sinusite, de l'oedème de la tête, de la cyanose, et de la diarrhée.Souches
virales moyennement virulentes: chute de production des oeufs, l'atteinte respiratoire, la
diarrhée et l'anorexie. Elles sont surtout rencontrées chez le dindon. infections secondaires
(pseudo-peste aviaire). hémorragies, des pétéchies sur le coeur, les muqueuses digestive et
respiratoire. souches hypovirulentes: oedème de la trachée, exsudat caséeux dans la trachée.
Diagnostic: écouvillons du cloaque et de trachée inoculé à des oeufs embryonnés de poulet.
Contrôle de l'infection: La peste aviaire est une maladie contagieuse au regard de la loi. La
vaccination ne peut donc pas être utilisée. Elle est contrôlée au niveau de la Communauté
Européenne. Souches H5 et H7 de virus influenza aviaire hautement pathogènes.
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(FAMILLE DES FILOVIRIDAE -> EBOLA)
ENVLP
ENVLP
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RNA BICATENAIRE
REOVIRIDAE
Resist ext !!
Genome segmente
potentiel de reassortiment
Reovirus Type 2 CT
Juste citée.
31
Pathogénie: Infection fécale-orale, Attachement sur entérocytes activés par enzymes
protéolytiques, Dissémination locale, Résistance du rotavirus, Atteinte du sommet des villosités,
Malabsorption intestinale, Récupération en 4-5 jours, Réinfections subcliniques, Virulence de la
souche de rotavirus bovin, Age du veau (2j pour les souche peu virulente et 6 semaine pour les
souche 6 semaine). PLus l'animal est vieux et plus les entérocytes vont se renouveler
rapidement.
Epidémiologie: Épidémies, Résistance de plusieurs mois, Excrétion très abondante dans les MF,
Réinfections inapparentes (adultes), Infections croisées.
Signes cliniques: Incubation très courte, Dès l’âge d’un jour Jusqu’à 2 semaines, Allure
épidémique, Diarrhée, Déshydratation. Mortelle si infections secondaires.
Rotavirose felineCT
Juste citée
Gastro-enterite a Rotavirus PC
Etiologie et pathogénie: Le rotavirus porcin est présent dans le monde entier, prévalence de
porcs séropositifs: jusqu'à 90%. Le porc est sensible à des rotavirus provenant d'autres espèces,
endémique, porcelets nouveau-nés, de 1 à 3 semaines, deuxième épisode: 3 à 4 semaines
après la première.voie orale, cellules différenciées du sommet des villosités intestinales. Signes
cliniques et diagnostic: subcliniques faible diarrhée. porcelets infectés le jour de la naissance.
aggravés par l'influence d'autres facteurs
Diagnostic: mise en évidence d'antigènes de rotavirus dans les matières fécales ou le contenu
intestinal par une méthode ELISA.
BIRNAVIRIDAE
Genome segmente (2segments)
Hépatite du Canard AV
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DNA ET RNA AVEC REVERSE TRANSCRIPTASE
FeLV CT
Ethiologie: intégration du DNA proviral dans le génome
cellulaire, pouvoir oncogène, multiplication dans les cellules en mitose, Variabilité. Trois sous-
groupes : FeLV-A : la règle, FeLV- B et C : recombinants. virulence variable selon la souche. FeSV
est le virus mutant défectif.
Pathogénie: transmission par les sécrétions, voie vénérienne, MF, urine, lait. Transmission in utero,
contacts répétés en chatterie (dose du virus), sensibilité des chats de moins de 16 semaine,
mais immunité colostrale jusqu'à 8 semaine. Prévalence des chat virémiques de 3 à 10%.
Pronostic: mort de 85% des chats virémiques en 3,5 ans. dégénérescence cellulaire: destruction
des cellules souches de la moelle osseuse, anémie, neutropénie, lymphopénie,
thrombocytopénie et immunodépression. Transformation cellulaire: recombinaison entre le
génome du FeLV et un oncogène cellulaire, recombinaison entre le FeLV et le feline sarcoma
virus (FeSV).
Maladies associées: Tumeurs hématopoïétiques, maladies hématopoïétiques, infertilité, entérite.
Epidémiologie, comparaison FeLV/FIV: FeLV -> Infection de collectivité, Transmission aisée entre
chats vivant ensemble, In utero, Sensibilité maximale jusqu’à l’âge de 16 semaines, Prévalence :
3-10 % d’infectés persistants, Maladies chez le jeune adulte (2-4 ans). FIV -> Infection du chat
solitaire, Pas de transmission entre chats vivant ensemble (In utero), sensibilité du chat adulte(4
ans) Prévalence : 1-15 % de chats infectés, Maladies chez le chat âgé (10 ans).
Signes cliniques: Chatons : évolution aiguë, si la virémie se développe, mort en 4 à 8 semaines,
leucopénie et immunodépression aiguë. Chats adultes : longue incubation, période
d’incubation : jusque 3 ans, signes cliniques entre 2 et 4 ans, Lymphosarcome tymiques,
multicentrique, alimentaire (chat plus agés). Leucémie lymphoïde, myéloïde, érythrocémie,
érythrémie aiguë.
FIV CT
Ethiologie: Lyaison par la gp120 au récepteur CD4
et au récepteur de chimiokine. Transcriptase
inverse, protéase, intégrase.
Pathogénie: transmission par morsure, voie sexuelle,
transplacentaire (rare), via colostrum, lait, salive.
Tropisme pour CD4+, CD8+,LB, macrophages,
astrocytes. Réponse immune après 2-4 semaines,
pas d'élimination du virus, infection persistante,
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destruction des lymphocytes, perturbation de la production de cytokines (état d'activation
permanent du système immunitaire et immunodéficience). Longue période d'attente de 5 à 10
ans
Epidémiologie: prévalence 1 à 15%. Prédispositions: Chats sauvages, de gouttière mâles.
Castration, ovariectomie et nuit à l'intérieur minimise les risques. Peu de transmission entre chat
vivant ensembles.
Signes cliniques:10 ans avant l'apparition du stade 4
Stade 1: Fièvre, diarrhée, gingivite, conjonctivite, uvéite, jaunisse, infections bactériennes
secondaires, Légère leucopénie : neutropénie, Lymphadénopathie généralisée. Durée : n jours
à n semaines. Signes non perçus par le propriétaire, Mortalité exceptionnelle, Signes plus
prononcés chez le chaton.
Stade 2: Stade asymptomatique, Chats séropositifs et en bonne santé, Charge virale sanguine,
Durée > 5 ans, Diminution des LT CD4+ 18 à 24 mois après l’infection, Proportion de chats qui
restent en stade 2 et ne progressent pas.
Stade 3: Fièvre récurrente, leucopénie, lymphadénopathie, Dégradation de l’état général,
Infections orales chroniques progressives, Modifications du comportement. Durée : 6 – 12 mois.
Stade 4: Syndrome d’immunodéficience, Infections opportunistes, Maladies myéloprolifératives,
Tumeurs, Signes nerveux, Sensibilité élevée à toute maladie infectieuse, Signes cliniques de FIV
englobent les stades 3 et 4, Durée de quelques mois.
HIV HO
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Arthrite-encephalite caprine ou CAEV Cp (BV,OV)
Etiologie: apparenté au virus visna-maedi, ubiquiste avec variation dans la virulence.
Pathogénie: transmission par le colostrul, le lait, voie transplacentaire exceptionnellement ou
sperme, jetage, sang. L’infection est persistante dans les monocytes. Chez la chèvre adulte il y
a un tropisme pour le tissu conjonctif, poumon, foie, rate, noeuds lymphatique. Induction de
lésions articulaires par afflux de monocytes et activation de l’infection virale. La localisation
préférentielle est d’ailleurs les articulation. Chez le chevreau on observe de la
leucoencéphalomyélite et une période d’incubation courte.
Signes cliniques: encéphalomyélite chez les chevreau de 2-4 mois avec paralysie progressive,
pas de fièvre et un appétit conservé. Arthrite chez les chèvre>12mois, surtout au niveau du
carpe. Des mammite avec tuméfaction diffuse de la mamelle et de la pneumonie interstitielle
de même nature que la forme Maedi.
35
AGENTS NON- CONVENTIONNELS
PRIONS
ESB BV, PC
Tremblante du mouton OV
ESF CT
Creutzfeldt-Jakob Ho
36