Cas :
𝑘𝑙 ≤ 1.00
0.8𝑓𝑢 𝜋𝑑2
0.6ℎ0 ℎ𝑠𝑐
𝑃𝑙,𝑅𝑑 = 4
𝛾𝑉
∗ ℎ𝑝
(ℎ − 1) = 55209.090580039534 𝑁 = 55.2091 𝑘𝑁
𝑝
Calcul à la flexion
Classification de la section
Hypothèses :
- Section partiellement enrobées.
-
𝑐
𝐷𝑜𝑛𝑐 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 ( ) < 9𝜀
𝑡 𝐼𝑃𝐸600
D’où notre section partiellement enrobée est de classe 1
Et 𝑏𝑒𝑓𝑓 = 2.576𝑚
Volume de béton dans la nervure :
Trapèze :
55
𝑆𝑛𝑒𝑟𝑣𝑢𝑟𝑒 = (88.5 + 61.5) ∗
2
𝐿𝑒𝑠 𝑛𝑒𝑟𝑣𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠 à 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒 4 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 0.8𝑚:
10
𝑛𝑛𝑒𝑟𝑣𝑢𝑟𝑒𝑠 = ∗ 4 = 50 𝑛𝑒𝑟𝑣𝑢𝑟𝑒𝑠
0.8
𝑆𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 = 50 ∗ 4125 = 206250 𝑚𝑚2
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠
𝐺𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 = 𝑏𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 ∗ ℎ𝑐 ∗ 𝜌𝑐 = 1.5 ∗ 0.120 ∗ 25 = 4.5 𝑘𝑁/𝑚𝑙
En phase exploitation
Volume de béton dans la nervure :
𝐿𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑢𝑚𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑑𝑜𝑛𝑛é 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑖é𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒
Et ce en phase exploitation c’est-à-dire sans étais
𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒
𝑉𝑏é𝑡𝑜𝑛 = 𝑆𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 ∗ 𝑏𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 = 0.206250 ∗ 3 = 0.61875 𝑚3
𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒
𝐺𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒 = 𝑏𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 ∗ ℎ𝑐 ∗ 𝜌𝑐 = 3 ∗ 0.120 ∗ 25 = 9 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Figure 2
Les autres données sont tirées de l’exercice.
Poids Rapporté au ml
Phase Eléments
(kN/m²) (kN/ml)
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑙2
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 = −𝑞𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 ∗ à l’appui d’étayage
8
𝟓𝟐
𝑀𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 = −18.2341125 ∗ = −56.9816015625𝑘𝑁. 𝑚
𝟖
𝐷𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝐷𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒
𝑙2
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 = 𝑞𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 ∗
8
𝟏𝟎𝟐
𝐷𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 = 48.6084375 ∗ = 607.60546875 𝑘𝑁. 𝑚
𝟖
𝑙2
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑆,𝑐𝑎𝑟 = 𝑞𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑆,𝑐𝑎𝑟 ∗
8
𝟏𝟎𝟐
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑆,𝑐𝑎𝑟 = 35.00625 ∗ = 437.578125 𝑘𝑁. 𝑚
𝟖
Les efforts résistants de la poutre
- Résistance en flexion
o
Calcul de l’aire de cisaillement EC3-1-1 6.2.6 (6.18) détails de calcul
Type profil en I et H laminés charge parallèles à l’âme.
𝐴 − 2𝑏𝑡𝑓 + (𝑡𝑤 + 2𝑟)𝑡𝑓
𝐴𝑣 = 𝑚𝑎𝑥 {
𝜂ℎ𝑤 𝑡𝑤
15600 − 2 ∗ 220 ∗ 19 + (12 + 2 ∗ 24) ∗ 19
𝐴𝑣 = 𝑚𝑎𝑥 {
1.2 ∗ 514 ∗ 12
𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝐴𝑣𝑧 = 83.8 ∗ 102 𝑚𝑚²
On obtient le même résultat que dans le catalogue d’Arcelor à notre disposition
D’où la résistance plastique de cisaillement transversal suivant z-z que voici :
Résistance à la flexion
NF EN 1993-1-1 Annexe 𝑀𝑐𝑟
𝐸 = 𝐸𝑎 = 210 𝐺𝑃𝑎
𝐿 = 5.00 𝑚
𝐼𝑧 = 3384.104 𝑚𝑚4 , 𝐼𝑡 = 165.2 ∗ 104 𝑚𝑚4 𝑒𝑡 𝐼𝑤 = 2846.109 𝑚𝑚6
𝐺 = 87.770 𝐺𝑃𝑎
𝐾𝑧 = 𝐾𝑤 = 1.00
𝟓𝟐
𝑀𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 = −18.2341125 ∗ = −56.9816015625 𝑘𝑁. 𝑚
𝟖
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈 56.9816015625
= = 0.1513852326469
𝑀𝑐𝑟 𝟑𝟕𝟔. 𝟒𝟎𝟏𝟑𝟐𝟏𝟎𝟗𝟒𝟓𝟏𝟏𝟑𝟗
0.1𝑏
𝜆̅𝐿𝑇,0 = 0.2 + = 0.2366666666667
ℎ
Et 𝜆2̅𝐿𝑇,0 = 0.0560111111111
̅2
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
𝑀𝐸𝑑,𝐸𝐿𝑈
>𝜆 𝐿𝑇,0 donc il y a risque de déversement d’où la résistance
𝑀𝑐𝑟
réduite :
𝑤𝑦 𝑓𝑦𝑎
𝜆̅𝐿𝑇 = √ = 1.8199768365983
𝑀𝑐𝑟
0.2𝑏 2
𝛼𝐿𝑇 = 0.4 − 𝜆̅ = 0.1570968497114
ℎ 𝐿𝑇
Avec 𝛽 = 1.00
𝜙𝐿𝑇 = 0.5(1 + 𝛼𝐿𝑇 (𝜆̅𝐿𝑇 − 𝜆̅𝐿𝑇,0 ) + 𝛽𝜆2̅𝐿𝑇 = 1.8664849020641866485
1
= 0.4384906456421
2
𝜙𝐿𝑇 + √𝜙𝐿𝑇 − 𝛽𝜆2̅𝐿𝑇
(6.57) 𝜒𝐿𝑇 = 𝑚𝑖𝑛
1
= 0.3019035909834
{ 𝜆2̅𝐿𝑇
𝜒𝐿𝑇 = 0.3019035909834
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝜒𝐿𝑇 𝑤𝑦 𝑓𝑦𝑎
Ainsi 𝑀𝑏,𝑅𝑑 = = 376 401 321.09446383 𝑁. 𝑚𝑚
𝛾𝑀1
Vérification en phase construction
Les instabilités à prendre en compte sont les suivants
- Flexion → risque de déversement
- Cisaillement→ risque de voilement
Cisaillement de la poutre
Vérification au risque de voilement par cisaillement
Pour notre solive, ces risques ont été réduits compte tenu de
l’enrobage partiel (béton d’âme en présence)
Ce qui nous donne le critère suivant par la clause 6.3 (2) de l’EC4-1-
1:
𝒅
≤ 𝟏𝟐𝟒𝜺
𝒕𝒘
𝒅 𝟓𝟏𝟒
= = 𝟒𝟐. 𝟖𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑 …
𝒕𝒘 𝟏𝟐
235 𝑑
Et 124𝜀 = 124 ∗ √355 = 100.8884476698865 > 42.83333 = 𝑡
𝑤
Donc pas de risque de voilement par cisaillement d’où la vérification sera axée sur la
résistance de l’âme en plasticité, du fait de la capacité de mobilisation de résistance sans
instabilité de la plaque âme.
𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
Or 𝑉𝐸𝑑 = 164541.88 𝑁 < 1717559.3158122173 𝑁 = 𝑉𝑝𝑙,𝑅𝑑 donc la Résistance est
suffisante au cisaillement en phase construction.
Influence du cisaillement sur le moment fléchissant :
𝑉𝑝𝑙,𝑅𝑑 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒
= 858779.65790610865 𝑁 > 𝑉𝐸𝑑 Donc pas d’influence.
2