technologies de fabrication.
Section III.1 : représentation du groupe IMETAL et ses filiales
Cette stratégie se construit avec l’ensemble de nos équipes qui sont les
garants du professionnalisme et de l’expertise nécessaire. Nos équipes, à
tous les niveaux, sont au centre du dispositif qu’ils font vivre et évoluer jour
après jours, pour accroitre la performance et la qualité. Chaque métier du
groupe, de par ses spécificités, requiert des talents et des compétences ; ce
sont ces talents qui nous propulsent vers le succès.
La mise en place d’une nouvelle gouvernance au sein du groupe IMETAL
permettra de mieux produire, dans des conditions de travail améliorées,
d’offrir des produits de qualité à notre clientèle et d’atteindre les objectifs de
production et de rentabilité fixés.
III.2.1 Introduction
Pour le liquide en ébullition, nous avons x=0 du fait que mʺ=0, tandis que pour
la vapeur saturée sèche x=1, parce que m’=0.pour la vapeur humide 0<
x<1.
Vx = m′ . v ′ + mʺ. vʺ
(m′ + mʺ)Vx = m′ v ′ + mʺvʺ
Vx = v ′ + x(v ′ + vʺ)
hx = h′ + x (hʺ − h′ )
ux = u′ − x (uʺ − u′ )
sx = s′ + x (sʺ − s ′ )
hʺ − h′ Lv
sʺ = s′ + = s′ +
Ts(p) Tsp
-les paliers isobares (AB) qui sont confondues avec les isothermes dans le
mélange bi-phasique et les courbes isobares en vapeur surchauffée (BF),
Sur ce diagramme, il est possible de suivre les diverses évolutions que l’eau
et la vapeur peuvent subir dans une installation :
-évacuation des condensats par le purgeur (A’R) : il subit une détente et par
suite une revaporisation partielle,
-la circulation de la vapeur dans les conduites est due aux différences de
pressions le long de la tuyauterie. Il est donc inutile d’installer des pompes
donc le cout est généralement élevé.
-la vapeur est un fluide inodore non toxique, une fuite de vapeur n’engendre
aucun risque d’incendie et ne nécessite généralement pas l’arrêt de
production pour les opérations de maintenance et de réparation.
-turbines à vapeur,
-chauffage à vapeur,
-production d’engrais,
Une chaudière à vapeur est un vase fermé qui sert à produire de la vapeur
à une pression supérieure à la pression atmosphérique. Le confinement de la
vapeur fait monter la pression et donc la température d’ébullition. La quantité
d’énergie contenue dans la vapeur produite augmente également. Les
générateurs de vapeur sont définis non seulement par leur type, mais encore
par leur débit de vapeur et leur pression de service maximale (timbre). Pour
produire de la vapeur haute pression à des puissances assez élevées, il
existe pour l’essentiel deux types : chaudières à tubes d’eau et chaudières à
tubes de fumées, dans le cas des chaudières à tubes d’eau, l’eau se trouve à
l’intérieur des tubes qui sont léchés à l’extérieur par les gaz de combustion.
Ces chaudières produisent la vapeur avec une pression allant jusqu’à 300 bar
environ. Ces pressions ne peuvent pas être produites par les chaudières à
tubes de fumées, du fait de leur principe. Dans les chaudières à tubes de
fumées, les gaz de combustion traversent les tubes qui baignent dans l’eau.
Selon leur modèle, ces chaudières présentent une pression de service allant
jusqu’à 25 bar environ et fournissent 25 tonnes de vapeur par l’heure.
Le générateur de vapeur est définit non seulement par son type, mais
encore par son débit de vapeur et sa pression de service maximale (timbre).
Le générateur de vapeur devra comporter des organes de sécurité, de
réglage, d’affichage et d’isolement, un module de pompe d’eau alimentaire,
un équipement de chauffe (bruleur) et un dispositif de commande. La
sélection des différents composants est en fonction du mode de
fonctionnement de l’installation souhaité par l’exploitant et des combustibles.
III.2.9.3 Economiseur
III.2.9.9 Surchauffeurs
III.2.9.10 Conduites
III.2.10 Fonctionnement
L’eau est fournie à une pompe appropriée par pompe électrique centrifuge
d’alimentation (1). L’eau entre dans la chaudière par une soupape de retenue
d’alimentation (2). Quand l’eau atteint son niveau normal, au-dessus du milieu
des verres de jauge (3), l’interrupteur de double contrôle des sondes (4)
coupe la fourniture électrique au moteur de la pompe. Le bruleur (5) est
boulonné au porte bruleur au bout avant du foyer, et il est conçu pour
atomiser le combustible afin d’être bruler avec le maximum d’efficacité. L’air
nécessaire pour le combustible est fourni par un ventilateur d’air forcé faisant
corps avec le bruleur. Le foyer (6) reçoit une chaleur radiante de la flamme.
Les gaz de combustion inversant dans le foyer, retournent vers le devant de
la chaudière (7) et dans un nid de tubes à fumées (8) placées en cercle
autour du foyer. Les tubes entrent dans la chambre arrière (9) passant en
dehors de la chaudière à travers la sortie des gaz de carneau à la cheminée
(10). Les tubes de fumées sont munis de promoteur de turbulence amovible,
permettant un transfert efficace des gaz devant être expulsés via la sortie des
gaz de carneau. La pression de vapeur dans la chaudière est indiquée par
une jauge de pression. Quand la pression est montée, la soupape d’arrêt (11)
est ouverte permettant à la vapeur de passer au système. Quand la vapeur
quittera la chaudière, le niveau d’eau tombera à un point de 13 mm en-
dessous du niveau normal. Au fur et à mesure que la pression de vapeur
baisse, le pressostat de contrôle haut/bas fera fonctionner le brûleur à feu
haut.
Attention :
Si pour une raison quelconque l’eau n’est pas fournie à la chaudière et que
le niveau d’eau baisse à peu près 38 mm en dessous de la normale, le double
contrôle (4) arrêtera le brûleur et fera retentir une sonnette d’alarme. A
condition que le niveau d’eau soit restauré, la sonnette s’arrêtera et le brûleur
redémarrera automatiquement. Néanmoins, si le niveau d’eau baisse à peu
près 50 mm en dessous du niveau normal, le contrôle outrepassant de niveau
d’eau (13) arrêtera le brûleur et fera retentir la sonnette d’alarme. Le brûleur
ne se remettra en marche, que quand le niveau d’eau été restauré et
l’interrupteur de réglage sur le panneau aura été actionné manuellement.
L’impulsion de la pression, vers la jauge de pression et les contrôles de
pression, est obtenue au moyen de connexions de tuyaux de cuivre, de
l’assemblage du verre de la jauge d’eau. Un robinet à trois voies monté avant
la jauge de pression est muni d’une connexion pour la jauge de test de
l’inspecteur. Une connexion est prévue pour un robinet salinomètre (14) sur le
côté gauche de la chaudière à côté du tuyau d’alimentation de la pompe
d’alimentation. La soupape de purge (15) montée bas sur l’arrière de la
chaudière est fonctionnée manuellement pour enlever les boues, et aussi,
pour contrôler les quantités de solides dissouts dans l’eau de la chaudière. La
soupape est aussi utilisée lorsque l’on vidange la chaudière pour l’inspection
annuelle.
III.2.11 Dimensionnement
Ŋ: rendement de la pompe.
III.2.11.6 Brûleur
III.2.12.1 Virole
Forme : cylindrique
Fabrication : oxycoupée, roulée et soudée
Dimensions : diamètre intérieur, longueur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Plaques tubulaires
Forme : circulaire
Fabrication : oxycoupée et percée
Dimensions : diamètre extérieur, épaisseur calculée, épaisseur adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
III.2.12.2 Foyer
Forme : cylindrique
Fabrication : oxycoupée, roulée et soudée
Dimensions : diamètre extérieur, longueur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Enveloppe de la boite de retour
Forme : cylindrique
Fabrication : oxycoupée, roulée et soudée
Dimensions : diamètre intérieur, largeur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Forme : circulaire
Fabrication : oxycoupée et percée
Dimensions : diamètre extérieur, épaisseur calculée, épaisseur adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Tube d’accès
Forme : cylindrique
Fabrication : oxycoupée, roulée et soudée
Dimensions : diamètre extérieur, longueur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone A42CP (AFNOR), P265 GH (EN)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Tubes de fumées
Forme de la section : circulaire
Fabrication : tronçonnage à disque
Dimensions : diamètre extérieur, longueur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone TU37C (AFNOR), DIN17175
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Tubes tirants
Forme de la section : circulaire
Fabrication : tronçonnage à disque
Dimensions : diamètre extérieur, longueur, épaisseur calculée, épaisseur
adoptée.
Métal constitutif : acier au carbone TU37C (AFNOR), DIN17175
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Entretoises
Forme de la section : circulaire
Fabrication : tronçonnage à disque
Dimensions : diamètre extérieur, longueur
Métal constitutif : acier au carbone A60 (AFNOR)
Mode de fabrication : laminée à chaud.
Piquages
Ø
Rep Nbr Désignation Ep Dégagement bride
ext
07 01 trou d’homme / / / /
08 01 Trou de poigne / / / /
09 01 Trou de sel / / / /