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Le droit de la famille est l’ensemble des règles qui régissent les relations des
personnes unis par des liens de filiation علقة قرابةou d’alliance علقة تحالفau
regard de différentes institutions familiale telle que le mariage,
le divorce, la représentation légale, le testament إرادةet les successions خلةفة.
Si l’on parle généralement du droit de la famille, on ne trouve aucune définition
de la famille en droit marocain, il on est de même en droit français dans le code
civil, les seule disciplines qui définissent la famille sont des définitions de
sociologique..
Les définitions qu’on trouve de la famille on pour source le droit international de
droit l’Homme ou dans la déclaration universel de droit de l’Homme de 1948,
l’article 16 défini la famille comme la cellule de base et d’unité naturel de la
société qui a droit à la protection de l’état et de la société, de même le pacte
international de droit civil et politique de 1968 retient la même définition que la
déclaration universelle, la convention de droit de l’enfant adopté en 1989
reprend cette définition de la famille dans le préambule et y ajoute que c’est
l’environnement naturel pour l’établissement et le développement de l’enfant.
L’étude de droit de la famille appelle l’étude de l’évolution historique de la
formation de ce droit, en effet avant l’adoption du code la famille en 2004 le
Maroc a été régie par la disposition du code de statut personnel de 1957 /1958 et
avant l’adoption de ce code , les relations familiale et les règles les régissent
aussi bien au niveau personnel que patrimonial ont été régie par une disposition
du droit musulman principalement Malikite , à l’Independence du Maroc se
dernier ne voulais pas rester étranger au mouvement de codification entre pris
de nombreux pays musulman (Tunisie, Série, L’Irak ) c’est ainsi le 19 aoûte 1957 ,
une commission des oulamas a été instituer par feu le Roi Med 5, présider par
feu Hassan 2 dont le rapporteur été feu Allal fassi.
La commission de codification du droit musulman mais en fin de compte ces
travaux en concerner la codification du seul statut personnel.
les directives donné par le Roi Med 5 est de revenir au source de richesse de
notre tradition juridique musulman, en faisant revivre cette tradition juridique
riche qui n’a pas besoin d’emprunter aux autres sources, L’objectif principal était
d’uniformiser l’application des règles régissant le statut personnel à l’ensemble
des marocain musulman et pour lutter et débarrasser le Maroc des divisions
opérer par le protectorat français notamment : en luttant contre la pratique
coutumière qui s’éloigne quelque fois des enseignements musulmans
orthodoxes.
La commission de codification a fait preuve de grande célérité/ Rapidité en
travaillant à partir d’un projet élaborer par le ministère de la justice et en
adoptant la totalité de 5 livre composant le code de statut personnel entre 1957
et 1958. Le code de statu personnel marocain contrairement à la Majallat
tunisienne de 1956 était considérer comme le plus respectueux de la tradition
juridique orthodoxes, en effet il s’agit d’une reprise des enseignements de
l’école Malikite représenter sous forme d’un digeste( )مدونةpermettant de
mettre entre les mains des praticiens un code uniforme, facile d’utilisation au
lieu de se disperser dans la nombreuse quantité des sources Malikite néo-moins
si l’on considère que ce code n’a pas eu des apports totale ils n’ont demeurent
pas moins qu’il a eu le mérite de consacrer des dispositions pertinente
considérer à l’époque comme une révolution il s’agit notamment de :
1/ -L’ institution d’un âge de majorité matrimonial de 15 ans pour les filles et 18
au garçons mettant ainsi fin au mariage de impubère.
2/- L’institution du consentement comme étant une condition de fond au mariage
pour mettre fin au droit de contrainte matrimonial ()الجبر.
3/ -En matière de Dot le code de statut personnel a souligné la propriété
exclusive de la Dot pour l’épouse.
4/- en matière de représentation légale le code de statut personnel à institué à
coté de la tutelle légale exercer par le père et la tutelle testamentaire exercer
par le tuteure désigner par le juge, il a institué une tutelle datif.
Malgré ces apports le code de statut personnel véhiculait le modèle d’une
famille patriarcal consacrant l’autorité maritale et fragiliser par la persistance de
deux institutions la répudiation (mettre fin au mariage par la seule volonté
unilatéral de l’humain) et la polygamie, Allal fassi avait demandé son absolution
pure et simple mais il n’a pas été suivie par les membres de la commission.
Ce code a résisté pendant longtemps, en 1961, 1965,1979 et 1981 car c’est un
domaine qui touche la religion (Chariaâ). Or la 1ère réforme a été que le 10
septembre 1993 mais d’une manière très limitée.
En 2000 : une préparation du projet du plant d’intégration de la femme au
développement. Le changement qui a eu entre 1993 et 2000= changement de
conception/ En 2004 L’adoption de code de famille
Les réformes :
La première réforme du code de statut personnel date de 10 septembre 1993,
Les principales réformes avaient concerné la tutelle matrimonial الوصاية الزوجية
qui a d’avantage pour objet la protection des intérêts de l’épouse ; avec un
assouplissement concernent les femmes majeures orphelines de père qui pouvait
conclure elle-même mariage avec toute fois une préférence à la représentation
patrimonial.
Toujours en matière de mariage le consentement autant comme élément de fond
de mariage est renforcé.
La polygamie est désormais soumise au contrôle du juge.
La garde l’enfant a connu deux réforme substantiel, la 1er concerne les
dévolutaire de droit de garde en rétablissant le père dans son droit autant que
gardien de l’enfant qui vient directement après la garde ,
La 2éme réforme vient de la fixation d’âge de fin de garde , malheureusement
diversement fixé pour le garçon (12 ans) et pour la fille (15 ans).
En matière de dissolution de mariage les réformes ont touché la répudiation qui
ne peut se faire qu’avec la présence que l’épouse. de même le statut personnel à
intégré la possibilité d’un don de consolation (article 52 bis) pour couvrir les
préjudices subit par la femme répudier
En matière de représentation l’égale la mère peut désormais devenir tutrice
légale de ses enfants en cas d’incapacité ou décès du père, mais pouvoir reconnu
à la mère (tutrice légale) sont nettement inférieure par rapport à ceux reconnu
au père, dans la mesure ou la majorité des actes fait par la mère sont soumis au
contrôle de juge soumis au contrôle du juge de tutelle.
Malgré l’importance de ces réformes, elles étaient moins de répondre aux
revendications intellectuelles, politiques et notamment féministes.
Quels sont les principaux acquis de droit de la famille ?
- Depuis l’adoption de dahir de 10 sep 1993 constituant la 1er réforme de code
de statut personnel, les demandes pour aller en profondeur dans les réforme ont
été poursuivis grâce notamment à une société civile très active, c’est ainsi le
gouvernement de 1998 , est engager dans sa déclaration politique
gouvernementale à assurer l’application des dispositions positives du code de
statut personnel est devrait progressivement à sa réforme.
le secrétariat d’état chargé de protection social, de la famille et de l’enfance a
présenté un plan globale d’intégration de la femme dans le développement dont
le référentiel étais d’avantage une disposition des traités internationaux en
matière de droit de l’homme. Ce projet de plan d’intégration de la femme au
développement portait sur les différents domaines devront faire l’objet de
réforme pour accompagner le développement de la femme marocaine. Or les
proposition relatives à la réforme du code de statut personnel ont été mal
accueillit par les conservateurs qui voyait dans ce projet une anhélation aux
idées étrangères à notre culture, et c’est ainsi que la société marocaine de ses
différents niveaux a connu un réel affrontement entre les partisan et adversaire
de ce plan. Un affrontement qui a connu sont paroxysme le 12 mars 2000 avec
l’organisation de la marche de rabat qui soutient le plan et la marche de casa qui
été au style au plan d’intégration.
Le gouvernement dans l’incapacité de gérer la sensibilité de cette période même
s’il a mit en place une commission en mai 2000, mais cette dernière n’a jamais
vu le jour, et il a fallu attendre la nomination de la commission royale de réforme
du code de statut personnel mise en place de 27 avril 2001.
la commission royale de 27 avril 2001 présentait de nombreuse spécificité par
rapport au commission précédente tout d’abord : la composition est
pluridisciplinaire où il y a aussi bien des juristes, mes magistrats , des
scientifique… des nombre de la société civil ainsi que la présence de l’élément
féminin , des directives contenu dans le message royal adressé aux nombres de
la commission les appelaient à opérer un subtile d’dosage entre notre héritage
culturel, le principe de l’Islam et nos engagement internationaux en matière de
droit de L’homme avec une ouverture sur El IJTIHAD , Dans le messages royal, la
réforme du statut personnel à adopter la position du projet de plan d’intégration
de la femme en inscrivant cette dernière dans le cadre du développement
humain durable, Si l’arbitrage royal a permit de désamorcer les problème et
d’initier une réforme intégral , mais le travail a été loin d’être facile au sain de la
commission qui a connu des affrontement entre les conservateur et moderniste
au point qu’il a fallu changer le président de cette commission et le replacer par
un homme politique qui a pu amener l’établissement d’un consensuel au tour du
projet de code de la famille, ce dernier a été publiquement présenter par le Roi
de 10 octobre 2003 à l’occasion de l’entre parlementaire.
Chapitre 1 : Le mariage
- Le mariage musulman est un mariage consensuel basé sur l’échange de
consentement et le recueille de se consentement par des adouls devant
témoins, malgré l’importance du mariage il demeure un contrat dissoluble.
Le mariage en droit marocain s’il garde son caractère consensuel, il devient de
plus en plus formel, ce formalisme a prit naissance dans l’ancien code de statut
personnel en 1955 ; 1958 pour atteindre un degré plus important aussi bien on
se qui concerne la conclusion du mariage que les formalités administratives
nécessaire pour cette conclusion, le code de la famille a accordé une assez
grande importance à la période précédent le mariage à savoir les fiançailles
Section 1 : les fiançailles :
- Comme dans la majorité des législation les fiançailles constitue une promesse
de mariage entre un homme et une femme qui peut être faites par tout moyen
utiliser ou admis par la coutume, les usages y compris la récitation de
FATIHA ou l’échange de cadeaux et présents, de ce qui précède les principales
conclusion a tiré sont les suivantes :
- Les fiançailles ne sont pas un mariage.
- Rien ne s’opposer a ce que les fiançailles fassent l’objet d’un acte notarial.
- La récitation de la FATIHA qui atteste du consentement des deux fiancés n’a
pas valeur de mariage.
En effet le code de la famille précise que les fiancés restent on période de
fiançailles jusqu'à la conclusion du mariage dûment constaté (l’établissement
et l’enregistrement de l’acte de mariage).
Le code de la famille a repris et maintenu le principe de la liberté de rupture
des fiançailles, chacun des fiancés libre de mettre fin au fiançailles , toute fois
sans que cela ne donne lieu à un certain dédommagement
Toute fois si la rupture a occasionné un préjudice quelconque la partie victime
peut demander une sorte de dommage est intérêt
Exemple : arrêt des études, de travail, changement de ville, investissement
pour la cérémonie de fiançailles.
En ce qui concerne les présents et les cadeaux la loi a prévu le droit de
récupérer ces cadeaux sauf si la rupture incombe à la personne qui a donné les
cadeau, par contre la dot peut être demander par le fiancé ou ses héritiers en
cas de décès, elle peut être donner en argent ou en équivalant,
Si une dépréciation touche la partie de la dot qui a été transformer en
trousseau c’est la personne qui est à l’origine de la rupture qui supporte la
dépréciation de cette valeur
Section 2 : Condition de fond du mariage :
1 - la capacité matrimoniale : c’est la 1ère condition de fond de mariage,
constitué deux éléments à savoir :
L’attende de 18 ans grégorienne révolue aussi bien pour l’homme que pour la
femme et la jouissance des faculté mentale, le code de la famille a prévu une
dispense d’âge pour garçon ou pour fille âgé de moins de 18 ans de demander
une autorisation au juge charger du mariage auprés de la section de la justice
de la famille du lieu de résidence, le juge statuera sur la demande en
s’assurant que le candidat ne fait pas l’objet d’une contrainte et que ce
mariage est accepté par le tuteur qui appose sa signature ainsi que celle du
demandeur sur la demande d’autorisation, le juge doit motiver sa décision
d’autorisation ou de reçu dans l’intérêt de l’enfant (candidat du mariage
mineur) pour se faire le juge peut faire recoure à l’expertise médical ainsi qu’à
une enquête social, l’autorisation du juge n’est susceptible de recoure, si le
tuteur légale (père) refuse t’autorisé le mariage du mineur, ce dernier peut
saisir le juge charger qui statuera dans les même condition.
Le mariage autorisé avec l’âge autorisé émancipe le mineur pour tous ce qui
est conséquence et effet du mariage, ce qui signifie que cette personne peut
ester en juste pour tous ce qui concerne la pension alimentaire, la dissolution
du mariage etc. sans la présence de son tuteur par contre elle reste soumise a
la tutelle sur les bien jusqu’à sa majorité.
Le mariage avant l’âge autorisé ne peut être conclu si l’autre partie souffre
d’un handicape mentale.
Les effets du mariage nul : le principe : le mariage est sensé n’avoir jamais
existé et donc ne produit aucun de ses effets.
b-le vice : Le mariage est considéré vicié pour non respect de l’une des
conditions de fond de mariage selon les cas :
Le non respect des conditions légales relatives à la dot, par la nomination par
le juge d’une dote de parité (l’attribution à l’épouse d’une dot de la même
valeur que celle attribuée aux femmes du même milieu économique et social)
Les effets du mariage vicié : Le principe c’est qu’un mariage vicié produit les
mêmes effets qu’un mariage valable et valide, s’il y a décès de l’un des époux
il y a vocation successorale réciproque.
le juge après avoir visé les documents du mariage, autorise les adouls à rédiger
l’acte de mariage. Ces derniers doivent y mentionner le n° et la date
d’autorisation de mariage, l’identité complète des futures mariés accompagnés
des justificatives d’identité, leur situation légale par rapport au mariage
(premier mariage, divorce, décès..), toute mention relative à la dot si il y a lieu,
si le mariage a été contracté par procuration, le recueille de l’offre et de
l’acceptation. L’acte du mariage doit être signé par les époux, le tuteur
matrimonial s’il est présent et par les deux adouls aven mention de leurs noms
et la date de l’établissement de l’acte. Une fois établi par les adouls, l’acte de
mariage est envoyé au juge pour homologation. Un extrait de l’acte de mariage
est envoyé à la section du tribunal de la famille du lieu de naissance de chacun
des époux, ainsi qu’à l’officier d’état civil du lieu de naissance des chacun des
époux. si l’un des époux ou les deux ne sont pas nés au Maroc l’extrait d’acte
du mariage est envoyé au procureur du Roi près du tribunal de première
instance de Rabat. L’épouse a doit à l’original de l’acte de mariage et l’époux a
droit à une copie de l’acte.
Section 5 : La polygamie :
- La polygamie : Le nouveau code de la famille s’il n’a pas aboli la polygamie , l’a entouré
de membre de condition de fond et de forme à la lecture des disposition du code en la
matière la polygamie est l’exception et la monogamie est le principe , le code de la
famille considère d’entrer de jeu que le la polygame est interdite quand il y a un clause le
monogamie introduite par l’épouse , elle est également interdite quand un injuste est a
craindre entre les épouses, Le juge n’autorise pas la polygamie s’il voit d’après les
éléments du dossier que l’époux demandeur n’est pas en mesure de prendre en charge
deux famille et de répondre à l’ensemble de leur besoin de manière équitable pour
autoriser la polygamie l’époux demandeur doit adresser un demande d’autorisation au
juge dans laquelle précise le motif objectif et exceptionnelle qui fonde sa demande de
mariage polygamique , Exemple : (stérilité, maladie, incapacité d’avoir des relation
conjugale…) cette demande doit être assortie de l’ensemble des document justifiant la
situation financière du demandeur.
- Le juge convoque l’épouse à une audience qui aura lieu à huit clos en chambre de
conseil, lors de cette audience un réconciliation est tenté après avoir écouté les deux
époux, les débat en chambre de conseil, peuvent donné lieu à 3 situation :
1- L’épouse accepte le mariage polygamique avec au sans condition (Exemple : avoir un
logement propre, pension alimentaire, droit des enfants…)
2- refus de l’épouse qui s’obstine a demander le divorce si le marie persiste à vouloir
contracté un nouveau mariage, dans ce cas le tribunal fixe un mentant couvrant les droits
de l’épouse et des enfants à consigner dans la caisse du tribunal dans un délai d’une
semaine , à l’expiration de ce délai , le défaut de consignation de la somme est
équivalent à la renonciation de l’époux de son projet de mariage polygamique.
3- L’épouse refuse le mariage polygamique et ne demande pas le divorce dans le cas le
tribunal déclenchera d’office la procédure de la discord
Le mariage polygamique dans le cadre du nouveau code a également prévu le droit à
l’information de la seconde épouse, cette dernière doit être mise au courant que le future
marie est déjà engager dans les liens de mariage , elle doit donné sans accord en
connaissance de cause , l’information et l’accord de la 2 épouse sont notifier sur un
procès verbale officiel
L’actuel code de la famille considère : Que le mariage valable entraine vis-à-vis des conjoint premiérement la coahbitation
légale , les rapports conjugaux , légalité des traitements entre les épouse en cas de polygamie, les bon rapport entre les
époux , la fidélité resciproque et la présérvation des intérêt de la famille, - la participation de l’épouse ainsi que de l’époux à
la prise en charge de la famille et des enfants cette prise en charge commune ne signifie pas forcement l’obligation de
l’épouse de participer pécuniairement , en effet la prise en charge de l’épouse incombe à l’époux et le défaut d’entretient
constitue un cause de divorce judiciaire
Les autre effets : la concértation entre les époux pour toutes les question conscérnant la
famille, les enfants, le planing familliage ( nombre d’enfant) enfin les effet réciproque
reconnaissent à l’un comme à l’autre conjoint de devoir de respect vis-à-vis des parents
et proches de l’autre et leur acceuille dans la limite des convenance .
Section 2 : vis-à-vis des enfants
Vis-à-vis des enfants le mariage entraine des effets que le législateur à consacré
expertement dans son article 54 le 1er constat qui peut être fait c’est l’influence des
disposition de la convention de droit de l’enfant sur le contenu de cette article en effet
l’article 54 regroupe aussi bien des droit de l’enfant à la vie , à la survie , au
développement et à la protection en effet, les droit consacré par cette article , concerne
la pretection de l’enfant depuis sa conception jusqu’à l’âge adulte , la préservaition de
l’identité de l’enfant par l’auctroit d’un nom, prénom nationalité et son inscription sur les
registre d’ Etat civil , la protection de la santé de l’enfant son allaitement au sein dans la
mesure possible , la protection contre la violence et mauvais traitement , l’orientation
religieuse, l’éducation et la formation selon les capacipté phisique et intelectuel , la prise
de disposition spécifique quand il s’agit d’enfant souffrant d’un handicape notamment en
matiére d’éducation et de formation ,
cette article précise …. Doivent être garantie dans le cas de divorces ou de décès
conformément aux dispositions du code régissant la garde de l’enfant et la représentation
légale
- L’actuel code de la famille s’il l’a innover par certain coté, cette innovation est resté
dans la stricte orthodoxie musulman régissant la filiation.
Le code de la famille a néanmoins développer l’établissement de la filiation en prévoiant
la filiation parentale, la filiation maternel avant de se consacrer à l’établissement de la
filiation paternel
Le code de la famille à souligner que la filiation parentale c'est-à-dire la relation
biologique qui lie l’enfant à ses deux parents peut être légitime ou illégitime ( elle ne
produit aucun effet vis-à-vis du père ) mais produit les même effet qu’une filiation
légitime vis à vis de la mère en vertu du lien naturel qui lie la mère à son enfant),
-Les Rapports par erreur (choubha) : sont des rapports qui ne peuvent être
ni totalement illicite ni totalement licite le parcoure de la litérature à permis
de dégager certain situation de choubha tel que les relations d’un homme
avec une femme croyant avoir à faire à son épouse ou d’autre auteur
considère que les rapport de choubha peuvent avoir lieu dans le cas de
rapports avec un 5éme femme ou avec une épouse 3 fois divorcer sans
avoir contracter de mariage etc. le législateur marocain à retenue les
rapports par erreur comme fondement de la filiation paternel aussi bien
dans CST que son CF et c’est par le biais qu’il a pu établir la filiation d’un
grossesse qui a lieu pendant les fiancaille enffet l’article 156 prévois la
possibilité d’établir la fialation d’une grocesse pendans les fiancaille si
pour des rapport par erreur si pour des raisons impérieuse l’acte de
mariage n’a pas pu être établis, a condition qu’il aie fiançaille connu ,
échange de consentement , présence et accord du tuteur matrimonial le
cas échant et que la grossesse à lieu pendant les fiancailles , si le fiancer
nie que cette grocesse et de lui le tribunal ordonera une expértise
judiciaire.
L’établissement de la filliation pendant les fiancaille n’entraine pas
établissement du mariage les seuls effet qui découle c’est l’établissement
de la filliation vis-à-vis du fiancer qui entraine les empêchement réciproque
à mariage et droit et devoir réciproque
Les effets de la filiation :
-L’établissement de la filiation ouvre droit à des effets personnels et des effets
patrimoniaux
Dans l’actuelle semestre on s’adressera principalement aux effets personnels de la
filiation. Ces dernier son régis par La HADANA ou la Garde.
-La garde est une institution qui a pour objet la protection de l’enfant son éducation et sa
préservation, de tous ce qui peut lui porter préjudice.
La HADANA requière une grande importance pendant les 1ères années de l’enfant.
Le FIQH musulman lui a accordé une grande importance partagé par les différents rites, la
HADANA a été principalement une prérogative féminine.
les malikites et les hanafites s’inscrivait dans se cadre en privilégiant l’exercice de la
HADANA Par la mère ou ses parentes
contrairement au hanbalite qui considère qu’on dehors des 1ères années de l’enfants, la
HADANA devait être exercer par les parents males par les males ( العصبةles agnats).
-Le droit musulman distinguait entre la protection de la personne et des celle des biens
de l’enfant par conséquence, il prévoyait deux institution distincte à savoir la HADANA et
la représentation légale.
le code de statut personnel de 57/ 58 à pratiquement reprit la même distinction avec un
assouplissement introduit en 1993 et une organisation plus au moins conjointe de ces
deux institution.
Le 10 septembre 1993 le père est désormais placer après la mère mais avec toute la liste
des parentes maternelles et paternelles.
L’actuel code de la famille qui balance entre la notion de responsabilité parentale et de
responsabilité paternel octroi en priorité le droit de garde à la mère suivit du père et de
la grand-mère maternelle, en l’absence ou dans le cas d’incapacité de ces derniers le
juge l’octroi au proche parent de l’enfant en fonction de l’enfant en fonction de l’intérêt
supérieur de l’enfant.
-le fait d’habiter une ville différente du représentant légal , ne s’oppose pas à l’exercice
de droit de garde,
-l’exercice d’un profession ou d’un commerce de la mère ne s’oppose pas à l’exercice de
la garde
-par contre des maladie contagieuse ou un âge très avancer dans le cas de la grand mère
, peut constituer des motif pour reconsidérer l’octroi de la garde
Les attribue de la garde :
la personne qui exerce la garde doit veiller à la protection physique psychologique et
morale de l’enfant, cela signifie que la personne à qui incombe de droit de garde doit
prendre toute les mesures pour assurer une bonne éducation de l’enfant pour voir à ses
besoins veiller à son éducation scolaire à son orientation religieuse, c’est attribue de la
HADANA même s’il sont exercé par la personne qui exerce la garde, le père non gardien
entant que représentant légale à un droit et une obligation de regard sur l’éducation de
l’enfant
si la non musulman gardienne est la mère de l’enfant elle exerce le droit de garde au
même titre que la mère musulman à condition de ne pas chercher à détourné l’enfant de
sa religion,
si la gardienne non- musulman elle ne peut exercer cette garde que 15
L’actuel code n’a pas introduit cette distinction mais il a largement souligner l’impotence
de l’orientation religieuse
Nous voyons qu’il est diff de privé une mère gardienne de la garde de ses enfants
par son remariage
Si la mère gardienne se remarie le père n’est plus tenu de payer les frais de logement ni
le salaire de la garde, par contre il reste chargé de la pension alimentaire de son mari.
Le droit de visite :
- la garde de l’enfant par un parent ne prive l’autre parent du droit du visite de l’enfant
en effet qu’il s’agissent du csp ou du cf l’organisation de la garde s’accompagne de
l’organisation de droit de visite ; les parents peuvent se mettre d’accord d’un manière
volontaire sur les modalité d’exercice du droit de visite et de soumettre à la justice en cas
de conflits le juge fixe le droit de visite en précisant minutieusement les modalité ( lieu,
heur, jour) pour éviter toute sorte de fraude ou autre
de même le tribunal peut reconsidérer l’organisation de droit de visite si des
circonstances rendent difficile l’exercice de ce droit tel qu’il était prévu
Si le titulaire de droit de visite vient à décéder son père et sa mère bénéficient de ce droit
de visite
La fin de la garde
La fin de la garde est fixée à l’atteinte de la majorité. Toutefois, à partir de 15 ans, le garçon
comme la fille peut choisir le parent avec lequel il souhaite vivre. Ce choix est validé en
fonction de l’intérêt de l’enfant. Le nouveau CF a fixé uniformément l’âge à partir duquel
l’enfant peut choisir le parent avec qui il souhaite vivre. Contrairement au CSP qui fixait un
âge différent selon il s’agisse du garçon à 12 ans ou de la fille à15ans. De même le nouveau
CF a mis fin à la tradition malikite selon laquelle la fi, de la garde se prolonge pour la fille
jusqu’à son mariage indépendamment de toute limite d’âge.
Chapitre 4 : la dissolution du mariage.
La dissolution de lien de mariage peut résulter du décès de l’un des époux, de l’absence de la
résiliation du mariage (en cas de vice) et le divorce. Le nouveau CF définie le divorce comme
la dissolution du mariage à l’initiative de l’époux ou de l’épouse chacun selon les conditions
fixées par le code et sous contrôle judiciaire. Le nouveau CF a introduit des nouveautés en
matière de procédure ainsi que de nouveaux modes de dissolution de mariage. C’est ainsi
qu’en matière de procédure :
La réconciliation est obligatoire sauf en cas d’absence contrairement aux dispositions du CSP
de 57/58 qui ne prévoyait cette réconciliation que pour les marocains ni musulmans ni juifs.
La durée de la procédure est fixée à 6mois dans le CF, même si ce délai n’est pas toujours
respecté
Les nouveaux modes de dissolution, introduites par le nouveau CF, portent sur le divorce par
discorde ou ce que l’on appel « chiquaq » ou le divorce par consentement mutuel.
- Le divorce par discorde contrairement à l’utilisation qui on a été faite, elle a été institué
comme une procédure de règlements de différents entre les époux.
- Le divorce par consentement mutuel est la formule la plus simple pour mettre fin aux liens
conjugaux notamment dans le cas de la communauté marocaine résidente à l’étranger.
Il peut être exercé aussi bien par l’époux que par l’épouse, à des conditions qui leur sont
propre.
- Adresse
- Profession
- La situation financière de l’époux, elle doit être accompagnée d’un acte de mariage ou du
jugement établissant le mariage. (art 16 du CF) le cas échéant.
Le juge convoque les époux, en vue de leur réconciliation, si l’époux reçoit personnellement la
convocation, elle ne se présente pas, il est considéré avoir renoncé à la demande du divorce.
Si l’épouse reçoit la convocation et ne se présente pas ou ne présente pas d’observations
écrites, une mise en demeure lui est adressée pour se présenter ou à défaut, il sera statué sur
la demande de l’époux.
Quand les époux se présentent devant le tribunal, il est procédé à une tentative de
réconciliation en chambre de conseil, le tribunal pourra convoquer toute personne qui estime
en mesure de jouer un rôle dans cette réconciliation. Si cette réconciliation est aboutit, un
acte est dressé remis à chacun des époux et dont une copie est conservée dans le dossier. Si
la réconciliation n’aboutie pas, et qu’il y a des enfants, une autre réconciliation est entreprise
dans un délai d’au moins de 30 jours. Si la réconciliation n’aboutie pas, le tribunal fixe un
montant couvrant les droits de l’épouse et les enfants le cas échéant, que l’époux doit
déposer dans la caisse de tribunal dans un délai de 30 jours. A l’issue de ce délai, si la somme
fixée par le juge n’est pas consigné, le mari est considéré renoncer à sa demande. Dès que la
somme fixée par le juge est déposée, le mari est autorisé à enregistrer le divorce près de deux
adouls du ressort territorial du tribunal qui a donné l’autorisation.
L’acte adulaire de divorce est homologué par le juge qui l’envoie au tribunal à la section de la
justice de la famille, en vue d’une décision de justice. Le juge rend une décision constatant le
divorce dans laquelle mention est faite, de l’identité des deux époux, des enfants, un résumé
des allégations des deux parties, les efforts entrepris en vu de la réconciliation, les droits du à
l’épouse (pension alimentaire, la dot, logement…) et aux enfants, l’organisation de la garde
s’il y a lieu, le droit de visite, et le caractère de ce divorce (s’agit il d’un divorce révocable ou
irrévocable.)
Le divorce judiciaire sous contrôle à l’initiative à l’époux est un divorce révocable, ce qui
signifie que l’époux peut reprendre la vie conjugale avec son épouse avant l’expiration de la
retraite de viduité fixé à 3 mois. Le droit de reprise de la vie conjugale était entièrement
reconnu à l’époux sous l’ancien CSP. Dans l’actuel CF, l’époux qui désire reprendre la vie
conjugale, ne le fait que si l’épouse donne expressément son accord en présence du juge qui
l’a convoque à cet effet. Si l’épouse est d’accord, un acte de reprise est dressé envoyé à
l’officier d’état civil et remis également à l’épouse dans les mêmes conditions que l’acte du
mariage. Si l’épouse n’est pas d’accord, le juge déclenche automatiquement la procédure de
discorde.
Le divorce révocable est un divorce qui laisse subsister l’ensemble des effets du mariage en
dehors des relations charnelles. Il s’agit d’un simple relâchement des liens conjugaux, si le
décès de l’un des époux intervient pendant la retraite de viduité, ils s’héritent mutuellement.
Tout divorce à l’initiative de l’époux est un divorce révocable cela signifie que
l’époux peut reprendre la vie conjugale sans nouvel acte si la reprise a lieu
pendant la retraite de viduité et à condition que l’épouse consent à cette reprise.
Pour ce faire, le juge convoque l’épouse et lui fait part de la volonté de l’époux si
elle est d’accord, un acte de reprise est dressé par le tribunal il sera conserver
dans le dossier des époux et une transmission sera faite à l’officier d’état civil
des lieux de naissance de chacun des époux, ou il sera destiné au procureur du
roi près du TPI de Rabat si les époux ne sont pas nés au Maroc.
Toutefois, si l’épouse est encore mineure, elle peut choisir le divorce par الخلعmais ne
peut se libérer de la contrepartie (la compensation) qu’avec l’accord de son tuteur
légale.
Qu’en est t-il de la contrepartie ? è Tout ce qui peut constituer une obligation,
peut servir de contrepartie. Le plus souvent la contrepartie de la compensation est la
renonciation de l’épouse à l’entretient النفقةde ses enfants. Cette contrepartie est
acceptée à condition que la mère soit en mesure de prendre en charge ses enfants. Si
la mère, qui a donné en contrepartie la pension alimentaire de ses enfants, devient
insolvable l’époux doit prendre en charge ses enfants. Ce dernier peut demander un
remboursement à la mère quand elle revient à de meilleures conditions.
Le divorce par discorde est soumis à une procédure dont l’objectif premier et dernier
est la réconciliation des époux. L’époux ou l’épouse qui saisit le tribunal par une
demande de divorce par discorde et avant tout désireux de solliciter une aide du
tribunal pour régler les différents conjugaux qui risquent de briser son mariage. En
effet, le tribunal saisit par les requêtes en discorde diligentes tous les moyens
permettant de réconcilier les époux ; il choisit deux arbitres de la famille de l’époux et
de l’épouse à qui il fixe un délai pour remettre un rapport consignant les causes des
différents entre les époux, la part de chacun dans ce différent et ce qui a été entrepris
pour les rapprocher.
Si les époux acceptent de se réconcilier, un procès verbal est rédigé, signé par les
arbitres et les deux époux, réalisé en 3 exemplaires pour chacun des époux gardent
un exemplaire et le 3ème classé dans le dossier du tribunal. Si les époux refusent la
réconciliation, le tribunal les autorise à enregistrer le divorce près de deux adouls et le
tribunal dans sa décision, constatant le divorce, statue sur le droit dû à l’épouse et aux
enfants, et peut prévoit un dédommagement pour la partie lésée. Le divorce par
discorde est un divorce irrévocable.
Tout divorce à l’initiative de l’époux est un divorce révocable sauf quand il s’agit d’un
divorce avant la consommation.
2- Le divorce judiciaire
Le divorce judiciaire est un divorce que le CF a reconnu à l’épouse dans certain cas
limitatifs. Le divorce judiciaire, contrairement au divorce sous contrôle judiciaire, est
un divorce prononcé par le juge, il est rendu sous forme de jugement. Tout divorce
judiciaire est irrévocable sauf le divorce pour défaut d’entretien, et le divorce pour
délaissement. L’épouse peut demander le divorce judiciaire pour non-respect des
conditions de l’acte ou pour préjudice, pour défaut d’entretient, pour absence de
l’époux, délaissement, vices rédhibitoires, serment de continence.
En ce qui concerne le non-respect des conditions de l’acte de mariage, cela
signifie que si les conditions volontaires est consensuelles, introduites dans l’acte du
mariage par les époux ne sont pas respectées, l’épouse peut demander le divorce ;
même si une bonne partie des malikites considèrent que le non-respect de ces clauses
volontaires ne doit pas entrainer la dissolution du mariage. Le préjudice a été traité
dans le même point que le respect des conditions de l’acte. Le préjudice signifie aussi
bien un préjudice physique que moral qui rend la vie conjugale difficile et porte
atteinte à l’épouse ou aux conditions de vie de la famille et des enfants.
Le CF dispose que l’épouse peut démontrer le préjudice par tous les moyens de
preuves possibles y compris le recours à l’expertise ou autres. Le divorce pour
préjudice ouvre les effets patrimoniaux relatifs aux droits dû à l’épouse et aux enfants,
ouvre également le droit à un dédommagement pour préjudice subie.
Les vices rédhibitoires concernent les maladies présentant des dangers pour la
santé ou la vie de l’autre époux ou des males formations empêchant les relations
conjugales. S’il s’agit de maladie, le juge fait recours à une expertise si la guérison
peut intervenir dans un délai maximum d’un an, on sursoit sur la demande et on
accepte la demande du divorce si l’expertise démontre qu’il s’agit d’une guérison.