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Le droit international privé est un ensemble de règle de droit qui sont sensé organiser
les relations entre les personnes privées, à condition que cette relation comporte un
élément étranger (Ex. Les personnes privées appartiennent à des Etats différent, ou, le
conflit entre deux personnes privées de la même nationalité mais qui a eu lieu sur un
autre Etat).
La définition du droit international privé dégage deux conditions pour s’en référé :
1. Les personnes du droit privé, ceux du droit public sont exclu
2. Un élément étranger d’extranéité qui caractérisent la relation (il n’est pas
obligatoirement la différence de nationalité)
Le droit international privé se compose de quatre matières qui ne sont pas distingue l’un
de l’autre, ils sont traité ensemble : Les conflits de nationalité, la condition des
étrangers, les conflits d’autorité et de juridiction, les conflits de loi.
Le conflit de nationalité est présent dans deux situation : quand une personne dispose
de plusieurs nationalité ou quand une personne ne dispose pas de nationalité (Ex. une
personne qui réside au Maroc et qui a deux nationalité française et algérienne et veut se
marier à une femme qui est belge et tunisienne).
La nationalité est un lien juridique et politique entre une personne et un Etat, il lie la
personne à l’Etat. Seulement il faut que l’Etat remplisse les conditions exigé par le droit
international (la population, le territoire, la souveraineté, la reconnaissance
international)
La nationalité implique des effets de droit et d’obligation. La personne d’un Etat est lié à
cet Etat par un lien juridique qui lui offre des droits et lui exige des obligations vis-à-vis
de cet Etat, elle a le droit de bénéficié des conventions et des traité ratifié et signé
par cet Etat.
Cette nationalité peut être attribué ou acquise.
1. Conflit positif :
Le conflit positif de nationalité est quand une personne dispose de plusieurs nationalités
en même temps. Le fait d’avoir plusieurs nationalités ne pose pas lui-même un problème.
Le problème se pose quand la personne est impliquée dans une situation de droit, et qu’il
faut recourir à la nationalité et faire un choix entre les nationalités, c’est à ce moment
que le problème est posé.
Lorsque, par exemple une femme belge et française veut contracter mariage avec un
homme français et tunisien ru le territoire marocain. Le problème subsiste donc au
moment où l’une des deux parties dispose de plusieurs nationalités.
La loi n’a rien prévu pour cette situation. Dans ce vide, il y a eu intervention de la
jurisprudence. On a inventé ce qu’on appelle la nationalité effective, qu’on doit retenir
dans ce cas.
La nationalité effective se base sur plusieurs critères qui sont choisis par le juge. Le
choix de la nationalité doit être obligatoirement basé sur un certain nombre de critères.
Il n’y a pas une situation commune à toutes les personnes. Ce choix va prendre en
considération des éléments spécifiques à chaque situation.
2. Conflit négatif :
Le conflit négatif de nationalité est lorsqu’une personne est apatride. Selon le code de la
famille, en cas de mariage, et que l’une des personnes est apatride ou marocaine on
applique les règles du code marocain de la famille.
3. La nationalité marocaine :
Seulement, le fait d’avoir un visa, ne veut pas dire automatiquement que la personne peut
accéder au territoire Marocain, la personne peut être refusé lors de son entré.
Toute personne étrangère qui séjour au territoire marocain pour une durée déterminé
est soumise à certaine condition (ce n’est pas n’importe qui peut séjourner sur le
territoire marocain). Le séjour peut être un séjour touristique et qui est soumis à des
règles qui lui sont propre. Donc la loi peut autoriser ou interdire à certain personne le
séjour sur le territoire marocain. Ainsi le séjour des étudiants sur le territoire marocain
sont soumis à certain condition. Généralement, c’est les raisons du séjour qui détermine
les conditions.
Pour l’exercice d’une activité professionnel sur le territoire marocain, il y a deux volet
de conditions tout d’abord la nationalité de la personne et la nature de la profession qu’il
veut exercer et la deuxième condition est le fait de bénéficier ou pas d’une convention
ou d’un traiter signé et ratifié par le Maroc. En cas d’absence d’accord à la convention,
on fait appel à ce qui est prévu par la loi.
Généralement, c’est la nationalité de la personne qui détermine la possibilité de la
personne d’exercer une activité sur le territoire marocain, et les conditions exigé par la
loi.
Lorsqu’une relation de droit met en présence plusieurs loi, mais, il faut choisir entre les
différentes lois, ou on a la possibilité d’appliquer plusieurs loi.
Il y a deux points essentiels à ce niveau :
- Les situations où il est possible d’appliquer une loi et où la loi est déterminée par
le droit marocain (Ex. deux étrangers veulent contracter mariage sur le
territoire marocain, c’est une relation de droit international privé parce que cela
implique plusieurs nationalités étrangères et donc plusieurs lois, dans ce cas le
droit international privé prévoit d’appliquer à chacun sa loi national).
- Situation où on aura à choisir entre les lois et on ne peut pas appliquer plusieurs
lois parce qu’ils peuvent être contradictoire, comme le cas du divorce (on ne peut
pas appliquer à chacun sa loi national comme le cas du mariage parce que par
exemple la loi française peut prévoir que les enfants vont rester avec la mère et
la loi allemande prévoit qu’ils vont rester avec le père. Donc, il y a une
contradiction entre les lois, on ne peut pas appliquer les deux). Le conflit de loi
dans ce cas consiste à faire un choix. Pour résoudre ce problème, on va faire
appel au DCC qui va indiquer la loi applicable dans ce type de situation.
Pour résoudre ce conflit avec un maximum de protection, il y a des méthodes qui sont
prévu par les législations des Etats et qui chacune porte sa particularité. (Ex. au moment
où il y a divorce de deux époux sur le territoire, c’est la loi nationale qui s’applique
quelque soit la nationalité des deux personnes).
Ces méthodes reposent sur des étapes : la qualification, la catégorie de rattachement,
le critère de rattachement.
1. La qualification :
2. La catégorie de rattachement :
Le DIP constitue quatre catégories de rattachement, ils ont été prévu par la doctrine
pour traité les cas du DIP :
- Le statut personnel
- Le statut réel
- Les faits juridiques
- Les actes juridiques
3. Le critère de rattachement :
1. Compétence du tribunal :
Quand un tribunal peut se déclarer compétent pour saisir une affaire (Ex. en cas de
litige entre la société française et américaine, c’est le fait de dire quel tribunal déclarer
en cette affaire, le tribunal français ou américain).
Par exemple, le tribunal belge a décidé sur une affaire, on doit déterminer si les
décisions du tribunal belge sont applicables au Maroc.