Vous êtes sur la page 1sur 29

PRINCPAUX ENGINS ET MATERIELS

1. Matériels de terrassement
Les engins de terrassements, ce sont les engins servant à l'extraction et au
déblaiement, les engins de transports, les engins mixtes.....

1.1 Nivelleuse

La niveleuse automotrice est constituée par un long châssis, rigide ou articulé, portant,
entre le train avant et le train arrière, une lame d'acier qu'un système d'articulation et de
vérins permet de placer dans n'importe quelle position par rapport à lui.

La commande des déplacement principaux est faite en marche depuis le tableau de bord,
en général au moyen de vérins hydrauliques. Un vérins permet souvent le déplacement
latéral de la lame, ce qui facilite le travail dans les fossés.

La largeur de la lame es adaptée à la puissance de la niveleuse et varie de 3 m h 4,20 m,


la plus courante est de l'ordre de 3,6 à 3,80 m.

Le train avant peut parfois recevoir une petite lame transversal fixe, dite lame bull qui
facilite le régalage de matériaux déposés en tas, mais présente l'inconvénient d'alourdir
le train avant, de durcir la direction , et d'induire en permanence la dangereuse tentation
d'utiliser la niveleuse en bulldozer.
Les roues avant sont directrices, et peuvent être inclinées â volonté en marche pour
absorber les poussées transversales.

Le train arrière comporte 4 roues montées en tandem sur balanciers.


La puissance des modèles varie de 50 à plus de 200 CV.

Ce type de niveleuse sert aussi ben au reprofilage qu'au rechargement. Cependant, dans
certaines régions, pour la création de fossés latéraux, il est nécessaire de recourir à des
engins de plus forte puissance.

L'expérience montre que, dans bien des pays, il est souhaitable de conserver des
niveleuses avec boite de vitesses mécaniques, qui offrent une plus grande robustesse et
plus de facilité.

1.2 Bouteurs{bulldozer}

Ce sont des engins portant à l'avant une lame susceptible d'être levée ou abaissée, et
éventuellement de pivoter autour d'un axe vertical. Il en existe une très large gamme
avec des puissances variant de 60 à 300 CV.

On les utilise essentiellement au débroussaillement et au décapage des emprunts ainsi


qu'au foisonnement des matériaux.

Pour le déplacement des bouteurs entre chantiers, il est nécessaire d'utiliser des tracteurs
routiers avec remorques porte-engins.

Le déplacement de la lame du bouteur est commandé par vérins. Ce système présente


l'avantage de permettre de faire porter à volonté une partie du poids d'engin sur la lame.
Un rippeur, monté à l'arrière, à une plusieurs dents, est utilisé défonçage et le décapage
des cuirasses.

1-3 chargeur
La chargeuse est engin de chargement le plus couramment utilisé. Son principe de
fonctionnement est le suivant.

La godet est monté à l'extrémité d'une structure qui porte un parallélogramme articulé
permettant de lever ou de l'abaisser sans modifier son inclinaison sur le plan horizontal, et un
mouvement supplémentaire de basculement {le cavage}.

La capacité du godet doit être adoptées à celle du camion. Si elle est trop faible, les
temps mort diminuent le rendement. Si elle trop importante, la suspension du camion
souffre exagérément au chargement. Un calcul d'optimum n'est pas possible, mais une
règle couramment admise veut que le chargement s'effectue avec le contenu de 3 à 5
godets.

Chaque engins peut être adaptée à celle du camion. Si elle est trop faible, les temps
morts diminuent le rendement. Si elle est trop importante, la suspension du camion
souffre exagérément au charger. Les godets doivent être pourvus de dents que l'on
remplace lorsqu'elle sont usées.

Les chargement peuvent être montées sur chenilles ou sur roues. Ces dernière peuvent
être à châssis rigide ou articulé.

Bien qu'en pays très humide les chargeuses sur pneumatiques offrent moins de facilité
d'emploi que celles sur chenilles, dans le cas général les chargeuses sur roues sont
préférable pour leur rapidité de manoeuvre et leur plus grande facilité de déplacement.

1.3 Chargeuse – pelleteuse


L'utilisation de ce nouveau type matériel
se développe de plus en plus, notamment sur les chantier d'ouvrages d'art.

Il s'agit d'un engin né de l'adaptation d'une pelle à l'arrière d'une chargeuse.

Comme un tracteur agricole, la machine possède 2 grandes roues arrière motrices et 2


roues avant plus petites, directrices, ou motrices et directrices.

La capacité de godets du chargeur se situe entre 700 et 1 000 litres et la puissance varie
de 70 à 100 CV.

1.4 Pelles hydrauliques

Il en existe une gamme très importante, sur pneumatique ou sur chenilles, dont les
puissances des modèles usuels vont de 6 à 25 tonnes.

Les pelles hydraulique sur pneumatique sont généralement équipés de stabilisateurs.

1.6 Engins de transport


Les Scrapeurs :
Les Scrapeurs, ce sont les engins de terrassement utilisés à la fois pour travaux de
chargement et de transport de matériaux sur des distances moyennes n'excédent pas 2
km en général.
La décapeuse appelée aussi scraper ou moto-scraper et de catégorie CACES 8, est généralement utilisée pour
le décapage des sols. Cet engin possède une caisse avec tiroir éjecteur pouvant se baisser au sol et qui, par
l'effet du déplacement de la machine, permet d'extraire les matériaux pour être ensuite transportés sur le lieu
de déchargement où il y est répandu en couches.
Ces engins travaillent généralement en duo car ils sont poussés, à l'arrière ou figure un tampon, par un
bulldozer équipé d'une lame spéciale dite "pousse". Cette forme de scraper dite "poussé", est la plus répandue,
mais n'est pas la seule. En effet l'engin peut être autonome sous sa forme "automotrice", qui, par le biais d'une
chaine élévatrices, se charge et se décharge par ses propres moyens. Il existe encore une dernière forme assez
peu courante de décapeuse appelée "bimoteur", qui est, comme son nom l'indique, équipée de deux moteurs,
un à l'avant et l'autre à l'arrière, et qui peut par la même occasion se passer d'un bulldozer pour travailler.
Une variante spéciale de ces scrapers bi-moteur représentent les scrapers dits "push-pull", munis d'un étrier
amovible à l'avant et d'un crochet à l'arrière, ils peuvent être couplés durant la prise de matériaux qui se fait
successivement par l'un et puis par l'outre des deux. C'est parce que la puissance d'un seul ne suffirait pas
toujours pour cela. Après le chargement, les deux véhicules se dirigent séparément vers le lieu de
déchargement pour se réunir après pour la prochaine prise de terre.
Les camion-bennes:

L'outil de base des équipes de rechargement est le camion-benne. La capacité des


bennes varie en pratique de 5 à 7 m3 et la puissance de 150 à 230 CV. 11 s'agit
essentiellement de camions à un seul pont moteur. Dans certains cas, le recours à un
véhicule à deux ponts moteurs (4x4) peut être intéressant car il permet de s'affranchir
des difficulté occasionnelles de circulation. Toutefois ce matériel est nettement plus cher
à l'achat et plus fragile à l'emploi. De plus, donner aux conducteurs les moyens de se
sortir d'une passe difficile revient à les inciter à circuler par tous les temps, au détriment
des chaussées en terre. L'utilisation de camions à un seul pont est en général
parfaitement possible sous réserve que les pistes d'accès et les emprunts soient
convenablement assainis.
Le déversement s'effectue le plus souvent par l'arrière, avec l'inconvénient de donner
des tas de matériaux difficiles à régaler, sauf si le chauffeur est assez adroit pour
avancer lentement pendant la vidange. Il existe également des modèles tri-benne se
déversant sur l'un ou l'autre côté ou par l'arrière. Leur emploi n'est intéressant que si l'on
ne dispose pas de dégagements suffisants sur le chantier (ce qui n'est généralement pas
le cas dans les régions tropicales).

1.7 Performances et rendement des engins mobiles de terrassement


Connaître les performances d'un engin dans des conditions de travail déterminées
permet de vérifier son aptitude à ce travail.

Connaître le rendement d'un engin pour effectuer un travail déterminé, permet le calcul
de son coût d'exploitation.

1.7.1 Les performances :


En fonction de sa puissance, un engin mobile de terrassement sera plus ou moins
capable de vaincre les résistances qu s'opposent à ces performances. De plus la
puissance est en relation directe avec le rendement car, à l'évidence, plus un est puissant,
plus son rendement st élevé.

La puissance d'un engin s'exprime :


- En effort à la barre pour les engins chenilles.
- En effort à la jante pour les engins sur roues munies de pneumatiques.
- La résistance que doit vaincre la puissance d'un engin en charge est la
résistance totale opposée par le terrain sur lequel travaille l'engin.
- L'adhérence des chenilles ou pneus sur le sol doit également être calculée,
car elle peut, par patinage, influencer négativement les efforts à barre ou à la jante.

1.7.2 Caractéristique de base d'un engin


Les caractéristiques de base servant à déterminer les performances d'un engin mobile de
terrassement sont les suivantes :

- Son poids à vide.


- Sa charge utile.
- Son poids total en charge.
- La répartition du poids sur chaque essieu (Seulement pour les engins sur
roues avec pneumatiques);
- La capacité de l'engin en volume;
- Les puissances à la barre ou à la jante pour chaque rapport de la boite de
vitesses avec les vitesses correspondantes.

1.7.3 Capacité
Un engin de terrassement extrait ou transporte des matériaux en place dans le sol. Sa
capacité en volume est donc fonction de la quantité de matériaux qui, par foisonnement,
augmente de volume au cours de leurs extractions du sol. Cette augmentation de volume
est indiquée par un indice de foisonnement, propre à chaque type de matériaux. De plus,
ces matériaux ont une densité spécifique qui permet de calculer leur poids
.
Tableau 1

Le calcul du volume en place, transporté ou, s'effectue en multipliant l'indice de


foisonnement du matériau par la capacité, avec dôme de la machine.

VT = IF x CD
VT: Volume en place transporté
IF: Indice de foisonnement
CD: Capacité de la machine avec dôme.
La calcul du volume en place, transporté ou extrait, s'effectue en multipliant le poids
spécifique du matériel par le volume en place transporté ou extrait.
PT = PS x VT
PT: Poids en place transporté
PS: Poids spécifique

Exemple : Un engin d'une capacité avec dôme de 20 m3 et d'un poids à vide de 30 t, qui
transporté de l'argile humide, aura un poids total de charge de :

Volume en place extrait :


0.75*20=15m3
Poids transporté :
1780 x 15 = 26700 kg
Poids total en charge :
30 000 + 26 700 = 56700 kg ou 56.7 t

1.7.4 Résistance du terrain :


Les résistances opposées par un terrain déterminé au déplacement d'un engin sont la
résistance au roulement, et éventuellement la résistance due à la pente. Le calcule de la
résistance au roulement s'effectue en multipliant le poids total en charge de l'engin (en
tonne) par un coefficient qui indique la résistance opposée à l'engin (en KN par tonne)
par un sol horizontal. Ce coefficient qui varie en fonction des différents matériaux, est
indiqué sur le tableau. 2. Les valeurs indiquées peuvent fortement varier, surtout pour
les pneumatique, en fonction des dimensions du pneu et de sa pression de gonflage.

Une pente à gravir constitue un obstacle qui s'ajoute à la résistance au roulement. Cette
résistance proportionnelle au poids de la machine, est de 0.1 KN par tonne de poids et
pour chaque unité de pourcentage de pente.

Le calcule s'effectue en multipliant le poids total de la machine en charge par 0,1 et par
le pourcentage de la pente. Par contre en descente la pesanteur s'ajoute à la force de
traction et cette <<aide>>se calcule de la même manière que la résistance due à la
pente.
Pour un engin qui gravit une pente, la résistance total comprend la résistance au
roulement moins la résistance à la pente. Dans ce dernier cas, l'aide due à la pente est
très souvent supérieur à la résistance au roulement et l'engin peut descendre par son
propre poids.

1.7.5 L'adhérence
L'adhérence est fonction du poids l'engin et du glissement ou du patinage de son train de
roulement sur le son.

Pour calcule l'adhérence, on multiplie le coefficient d'adhérence par le poids appliqué


sur les roues motrices ou sur les chenilles.

Le coefficient d'adhérence étant très variable, en fonction non seulement du terrain,


mais des caractéristiques des pneumatiques ou des chenilles, il est utile de demander
aux constructeurs les coefficients d'adhérence à appliquer pour leur matériel. C'est
pourquoi le tableau suivant indique la moyenne des valeurs le plus souvent utilisées.

Coefficience d'adhérence des


principaux sols
nature du sol pneus chenille
béton 0,90 0,45
argile sèche 0,55 0,85
argile humide 0,45 0,70
argile avec ornières 0,40 0,70
sable sèche 0,20 0,30
sable humide 0,40 0,50
gravier compacté 0,40 0,60
gravier non compacté 0,35 0,55
terre ferme 0,55 0,90
terre meuble 0,45 0,60

Exemple d'application
Prenons le cas d'un tracteur à chenille d'un poids à vide de 12800kg, équipé d'une boite
de vitesses mécanique dont les rapports sont les suivants: 1er Vitesse 2.6 km/h, effort de
traction 147.30KN; 2éme Vitesse 4 km/h, effort de traction 98.4 KN; 3éme Vitesse 5.4
km/h, effort de traction 65.7 KN. Ce tracteur tire une remorque tombereau sur pneus
d'une capacité avec dôme 9m3, chargé de sable humide et pesant à vide 27700 kg. Le
déplacement s'effectue sur un sol boueux avec une pente
de 12%.

Poids transporté par le tombereau:

2100 x 9x 0.88 = 16632 kg


Poids total en charge du tombereau:

27700 + 16632 = 44 332 kg

Résistance au roulement du tracteur :

0.4 x 12.8 = 5.12 KN

Résistance due à la pente du tracteur :

12.8 x 0.1 x 12 = 15.36 KN

Résistance totale du tracteur :

5.12 + 15.36 = 20.48 KN

Résistance au roulement du tombereau :

44.332 x 1.5 = 66.498 KN


Résistance due à la pente du tombereau :

44 332 x 0.1 x 12 = 53.198 KN

Résistance totale du tombereau :

66.498 + 53.198 = 119.7 KN

Résistance totale de l'ensemble :

119.7 + 20.48 = 140.17 KN


La résistance totale de l'ensemble 140.17 KN étant inférieure à l'effort de traction en
premier vitesse (98.4 KN). Le transport pourra être effectué en premier et à une vitesse
de 2.6 Km/h.

L'adhérence étant de :
- Poids appliqué sur les chenilles : 12800 kg
- Coefficient d'adhérence (terrain meuble) : 0.6

adhérence : 0.6 x 12800 kg = 7680 kg = 76.8 KN

L'engin peut rouler sans glissement.

1.7.6 Le rendement
Dans la majorité des cas, le rendement d'un engin mobile de terrassement se calcule en
multipliant le volume ou le poids de matériau déplace par heure, par le nombre de
cycles de travail effectués en une heure. Il faut en plus pendre en considération
l'efficience, facteur tenant compte des condictions effectives de travail.

Efficience
Aucun engin ne travaille 6o minutes par heure. La moyenne généralement admise est de
50 minutes de travail effectif par heure, mais les conditions de travail peuvent modifier
cette moyenne.

Pour tenir compte de l'efficience, on applique un coefficient qui le nombre de minutes


de travail par heure. Le tableau suivant indique les coefficients d'efficience le plus
souvent admis.

Rendement horaire :

Le calcule de rendement horaire s'effectue en appliquant la formule suivante :


RH : rendement horaire (en m3/h)
CA : Capacité de l'engin en m3
DC : Duré de cycle (en min)
EF : Coefficient d'efficience

2. Les engins de manutention

Les engins de manutention sur chantier sont utilisés pour déplacer une charge. Les
constructeurs ont mis au point des matériels qui peuvent, soit assurer les deux fonctions
déplacement-levage, soit seulement la fonction levage. Premiers les premiers, on trouve
grues à tour, chariots, élévateurs, grues mobiles et grues auxiliaires sur véhicule, parmi
les second, les ascenseurs et monte-charge de chantier.

2.1 Portée et charges utile


La nature des charges à manutentionner a une grande influence sur le choix d'un engin
de manutention. Leur poids fixe la puissance de levage. Leur forme impose la nature du
dispositif de préhension, leur matière détermine le choix du système de manutention.

Cependant, pour les engins de manutention spécifiques aux besoins des chantiers,
l'élément le plus important d'une charge est sont poids car celui-ci va fixer la puissance
de levage nécessaire de la machine choisie.

Cette puissance maximale de levage est, selon les engins, invariable ou variable. Elle est
pratiquement invariable pour les chariote, élévateurs, ascenseurs et monte-charge.

En revanche pour les grues à tour, les grues mobile et les grues auxiliaires sur véhicule,
elle varie en fonction de la portée, c'est- à-dire selon la distance qui sépare l'axe de la
charge de l'axe de la machine de manutention, et plus cette portée est réduite plus la
force levage de l'engin est élevée.

Ainsi, une grue qui peut lever 25t à 3m de portée, n'enlèvera plus que 17,6 t à portée de
5m et 5.8 t à une portée de 10 m. Les constructeurs de grues fournissent avec leur
matériel un tableau indiquant les charges d'utilisation en fonction de la portée, cette
portée est bien sur en fonction elle-même de la longueur de la flèche.

2.2 Les grues à tour


Les grues distributrices à tour, appelée plus simplement grues à tour, occupent une place
de choix parmi les différents moyens de manutention utilisés dans les travaux de
construction.

Les grues à tour se répartissent en deux grandes catégories :

- Les grues montables par éléments


- Les grues se montant automatiquement

On peut également les répartir en grues tournantes du haut, généralement montable par
éléments, et les grues tournant du bas. Dans ces deux grandes familles, les machines se
subdivisent en grues statiques et grues roulantes.

2.2.1 Les actions de manutention d'une grue à tour


Une grue distributrice à tour combine deux opérations de manutention en levant une
charge et en la distribuant sur une aire dont l'importance est fonction des
caractéristiques de la machine. Elle exécute pour cela trois mouvements: orientation,
levage, distribution, auxquels il faut ajouter pour grues roulantes, la translation.

Ces grues se composent principalement d'un châssis, fixe ou mobile, d'une tour à treillis
et d'une flèche portante d'un chariot mobile, équilibrer par une contre flèche lestée ou
par un câble de retenu, l'ensemble étant lesté à la base.

La zone couverte par une grue à tour est fonction de la longueur de la flèche et de la
mobilité de la grue. Les grue mobiles pouvant rouler sur rail desservant une aire plus
importante que celles fixée au sol.

Les performance d'une distributrice sont :


- la hauteur sous crochet, distance verticale entre le sol et le crochet remonté
au maximum et non chargé.
- La portée, distance horizontable entre l'axe de rotation de la grue et l'axe
vertical de crochet, distance qui varie entre un maximum et un minimum.
- La charge utile, qui est charge maximale autorisée aux différentes portées, la
utile aux différentes portées peut être également fonction du mouflage du câble de
levage. Description de l’Elévateur de Construction :
En tant que gros équipement fixe pour la production de mine et la construction
d'immeubles, la Elevateur de Construction tient une place importante dans la
fabrication et le développement de mine. Elle est équipée de dispositifs sûrs et
complets qui lui procure une sûreté d'emploi qui la place dans les premiers rangs
parmi les produits du même type. Son design combiné, lui permet d'être équipée de
différentes façons, proposant ainsi des vitesses et des applications différentes. Son
design qui prévient les dangers latents est l'un des meilleurs au monde. La Elevateur
de Construction est un engin très pratique et fiable. Nous fournissons également des
machines de béton, des grues mobiles hydrauliques ainsi que des rouleaux
compresseurs qui sont tous de très bonne qualité.
Fiche technique de la Elévateur de Construction :
1. Capacité de charge ( par cage ) : 2000kg
2. Capacité de levage de charge : 1000kg
3. Vitesse de levage : 40m/min
4. Longueur de la barre de mur max. : 9m
5. Hauteur de levage standard ( hauteur à ordre spécial max. ) : 150 (300)m
6. Dimensions de la cage intérieure : 3.0*1.3*2.7m
7. Tailles des parties de mâts : 0.65 * 0.65 * 1.508m, 0.8 * 0.8 * 1.508m
8. Capacité de levage : 200kg
9. Force de puissance continuelle : 7.5 * 2kW
10. 40% puissance à intervalle : 10.5 x 2kW
11. Electricité nominale ( par cage ) : 45A
12. Electricité de propulsion ( par cage ) : 200A
13. Consommation de puissance : 26KVA
14. Modèles des dispositifs de sécurité : SAJ30-0.95, SAJ40-0.95
15. Poids des cages : 1420kg, 1480kg
16. Poids des parties de mâts : 172kg, 184kg
17. Poids des caisses : 1230kg, 1260kg
18. Poids des compteuses : 1100kg, 1260kg

2.2. Grues montable par éléments

Les grues distributrices à tour, montable par élément permettent d'atteindre les plus
grandes hauteurs et d'avoir les portées les plus importantes.
Elle assure le déplacement vertical d'une charge, ses déplacements radial et circulaire et,
en général, son déplacement latéral.

Ces grues se composent d'un châssis fixe ou sur rails, d'une tour composée d'élément
qui se fixent bout à bout. Par juxtaposition d'une partie supérieure tournante portante la
cabine la flèche, et son contrepoids, sur la flèche circule un chariot. Tous les
mouvements, commandés depuis la cabine, sont assurés par des moteurs électriques.

L'orientation de la partie supérieure tournante est assurée par grande couronne dentée
commandée par un pignon.

Suivant leur emploi, les grues peuvent être :

- à poste fixe, fixées au sol dans un bloc béton;


- Sur rail droit ou en courbe;
- Télescopables en montant en même temps que le bâtiment qu'elles
desservent et placées à l'intérieur du bâtiment sur lequel elles prennent appui;
- Ancrées à l'extérieur du bâtiment, ce qui permet d'obtenir une grande
hauteur;
- Haubanées au sol (solution peu utilisée);

Pour le montage, plusieurs procédés sont utilisés par les constructeurs, ils nécessitent
généralement un moyen auxiliaire de levage (grue mobile), au moins au début de
l'opération.

2.2.3 Grues à montage automatique


Les grues montrables par éléments sont longe à mettre en place; aussi sauf dans le cas
où une très grande hauteur et une importante portée sont nécessaires, il est souvent
possible d'utiliser de grues à montage automatique, facile à transporter et se montant
très rapidement. Il existe de nombreux modèles de ces grues, allant de la simple grue
équipée d'une flèche sans chariot aux modèles puissants ayant des caractéristiques
d'emploi proches de celles des grues montrables par éléments.

Sur les grues sans chariot de distribution, les changements de protée sont assurées par
relevage de la flèche. De conception simple et de puissance limitée, elles sont utilisées
pour la construction de petits bâtiments de faible hauteur.

Les divers modèles de grues à flèche avec chariot se différencient par leur système de
montage. C'est ainsi que l'on trouve des grues télescopiques qui se relèvent et ensuite se
télescopent en hauteur et même horizontalement pour certains modèles et des grues
pliant avec une tour généralement en deux éléments.
Certaine de ces grues sont placées sur un châssis à roues, remorquable, automoteur ou
fixer sur un camion.

2.3 Les grues mobiles

Contrairement à la grue tour qui est un engin de distribution, la grue mobile est conçue
pour des déplacements qui peuvent être effectués à vide d'un chantier à un autre, ou en
charge pour des translations de charges d'un point du chantier à un autre.

C'est un engin indépendant, mobile avec sas propre source d'énergie, et se déplaçant sur
pneumatique ou sur chenilles.

Destinées principalement à des opérations de levage ponctuelles, ces grues


interviennent, en général, là où l'utilisation d'une grue à tour n'est pas justifié.

Sur un plan général, l'utilisation d'une grue mobile est fonction de la durée et de la
nature de chantier. On aura intérêt à utiliser une telle machine :

- Si la durée des travaux est courte et ne justifie pas le déplacement et la mise en


place d'engin de levage spécifiques.
- S'il faut constamment déplacer les charge d'un point à l'autre chantier.
- S'il faut fréquemment déplacer la grue sur le chantier ou la faire aller d'un
chantier à l'autre.
- S'il faut charger fréquament l'équipement de la grue.

C'est emploi des grues mobiles conduit les utilisateurs à passer de plus en lus par les
loueurs car l'achat de ce matériel ne se justifie que si l'on a un emploi quasi permanent
d'un engin de levage d'une puissance donnée. De plus les opérations de levage
nécessitant le plus souvent une bonne connaissance des techniques de levage de façon à
éviter tout accident, les entreprises spécialisées passent de plus du stade de la loction
avec conducteur, au stade de la prestation de service, l'entreprise de levage prenant en
charge la responsabilité de toute l'opération.

Les grues mobiles se classent en trois grandes familles : La grue automotrice, les grues
routières et les grues sur chenilles.
2.3.1 Grues automotrices
Ce sont les grues de chantier qui en général, sont équipées d'une seule cabine regroupant
tous les organes de commandes : mouvement de la grue et translation du véhicule.

Elle sont <<tout-terrain>>, montée sur quatres roues motrices et directrices et offrent de
bonnes possibilités sur les chantiers difficiles.
Elle sont généralement équipées d'un motrices puissance avec transmission automatique
et convertisseur de couple, capables de fournir un maximum de rendement sur les
terrains les plus varriés et dans les conditions les plus dures.

Equipées d'une flèche télescopique du type caisson, elles offrent des puissances de
levage maximales allant jusqu' à 300 t, mais ce sont surtout des grues moyennes ne
dépassant pas 50 t pour la majorité des machines.
2.3.2 Grues routières
Les grues routières se subdivisent en deux catégories : les grues automobiles et les grues
sur porteur.

 Les grues automobiles sont équipées d'une cabine unique avec double poste
de conduite réversible : conduite sur route vers l'avant, commande des
mouvements de grue vers l'arrière. Limitées en général à une capacités de
l'ordre de 20t, ces grues possèdent de bonne qualité en tout terrain. Avec des
performances routière de l'ordre de 60 km/h, elles sont plutôt réservées aux
interventions rapides et aux chantiers de courte durée.

 Les grues sur porteur sont généralement assez mal adapté aux chantiers
difficiles car les machines au-delà de 20t sont assez encombrantes en raison
de leur longueur et surtout du nombre d'essieux qui les composent.

2.3.3 Les Grues sur chenilles


On utilise souvent ce type de grue dans les chantiers de forage; de battage de pieux ou
de palplanches.
2.4 Les grues hydrauliques auxiliaires sur véhicule

Le chargement et le déchargement, ont toujours été un point faible de camion. Or, le


mariage camion-grue permet à un seul homme de remplir toutes les fanctions
nécessaires aux transport d'une charge de son lieu de stockage, à son endroit
d'utilisation, évitant les délais d'attente, tant au départ qu' à l'arrivée, le véhicule
devenant totalement autonome.

Une grue auxiliaire hydraulique comprend les éléments suivants :

 un socle qui sert d'assise à l'ensemble de la grue et se fixe sue le camion par
étriers, boulonnages ou autres dispositifs.
 Des stabilisateurs, au nombre de deux qu assurent la stabilité et soulagent le
châssis durant le travail; deux stabilisateurs extensibles sont placés aux extrémités
de la base et sont commandés hydrauliquement. Les grue légères ne sont
généralement équipés qu de simple béquilles à commande manuelle.
 Une flèche qui s'articule sur le socle; elle est commandé par un vérin hydraulique.
Dans les modèles de fortes capacités de levage ou de portées importantes, la
flèche est constituée par plusieurs éléments articlés coulissants; commandés
hydrauliquement. On peut en augmenter la portée par des rallonges ou la mise en
place d'une flèche. Pour le transport, la flèche se remplie de façon à demeurer
dans le gabarit du véhicule. La rotation de la flèche est assurée par un ou deux
vérins commandant des crémaillères ou par un moteur hydraulique.
 un poste de conduite avec les commandes des mouvements groupées sue un des
côtés à la base. Les grues de fortes puissances sont équipés d'un siége, placé sur la
partie inférieur de la flèche, dans le but d'augmenter la visibilité de l'opérateur,
 un dispositif hydraulique composé d'une pompe hydraulique entraînée par le
moteur du camion ou plus rarement par un moteur auxiliaire qui assure l'énergie
nécessaire aux mouvements de levage, extension pivotement, etc. Cette énergie
est transmise aux organes accessoires tels que benne, grappin etc.
 Derrière la cabine, c'est le montage le plus courant; il nécessite la construction
d'un soubassement lié aux longerons du plateau du véhicule. C'est la solution
adaptée pour montage sur un camion-benne.
 Au centre du véhicule, ce montage ne s'exécute que sur des véhicule de poids
totale en charge supérieure à 15 t.
 A l'arrière du véhicule, ce montage permet de charger à la fois la camion et
éventuellement, une remorque. Ce montage se fait également sur des véhicule
supérieur à 15 t.
 En montage "roll-loader"; pour augmenter la zone du travail, la grue est montée
sur un boggie pourvu de quatre rouleau circulant sur les longerons de remorque ou
de la semi-remorque. Les commandes sont montée à portée de la main sur le fût
de la grue et le chauffeur peut surveiller toute la sone de travail de cette position.
La possibilité de déplacer la grue le long de la plate-forme pendant le travail rend
inutile les levages à une portée extrêmement longue.

2.5 Les chariots élévateurs de chantier


Le chariot élévateur de chantier un engin de transport et de manutention au sol. Il est
prévu pour soulever des charge et, pour ce faire, il est équipé d'un mât (ou rampe
verticale) réalisé en profilés, à l'intérieur duquel coulisse un chariot prote-équipement
monté sur des galets et déplacé par un système de vérins et de chaînes

Dans la plupart des cas, on trouve des mâts télescopiques standard qui permet une
hauteur d'élévation de 3,5m à 4m.

Cependant dans certaines utilisations, il faut des charges à des hauteurs supérieurs. Le
chariot est alors équipé d'un mât triples, composé d'un mât télescopique pourvu d'un
troisième élément qui reçoit porté-équipement. Dans ce cas d'élévation est portée
valeurs pouvant atteindre 6 m.
Élévateur de la construction

Pou une telle levée, couramment utilisé dans la construction de petites immeubles les
capacités décroissent avec l'élévation. Par exemple, pour un chariot qui léve 3t à 0,5 m,
la capacité n'est plus que de 1,7 à 6 m.

Les chariots des chantier à bras articulés ou télescopiques

Les chariots élévateurs de chantier classiques ne peuvent pas présenter ou placer leur
charge au-delà d'un obstacle ou à travers une. Cependant les chariots de chantier à bras
articulés ou télescopiques peuvent travailler dans cette condition grâce à deux systèmes
principaux suivants.

 Le mât est placé en bout de deux solidaires et articulés, ce qui permet de placer la
charge en hauteur et en avant de la machine.
 Le second système utilise un mât télescopique, semblable à celui d'un grue,
articulé à sa base et pourtant un jeu fourches à sa partie supérieure. Cela lui
permet de soulever la charge de la flèche et de la porter vers l'avant de l'engin.
2.6 Ascenseurs de chantier
L'ascenseur de chantier présente l'avantage de pouvoir transporter non seulement des
chargement des charges, mais également des personnes, en hauteur ou en profondeur
avec distribution à des niveaux définis. Il peu desservir des hauteur considérables
pouvant largement dépasser 200 m.

Les vitesses de levage se situe approximativement entre 30 et 90 m/mn et les forces de


levage sont de 300 à 2000 kg et même plus pour modèles spéciaux.

2.7 Monte-charge
Un des plus anciens appareils de manutention utilisé dans le bâtiment, le monte-charge
appelée également monte matériaux, est un petit engin destinés à lever des charges
légères à une hauteur limitée.

C'est un utile de levage très utilisé dans la construction de maisons individuelles à un ou


deux niveaux.

Ils sont généralement commandés par câbles et treuil.

Les plateau porte charge est guidé à par un mât, généralement semblable à une échelle.
Ce mât peut se placer verticalement, mais le plus souvent il est incliné.

L'énergie nécessaire est assurée par un moteur thermique, mas il existe des monte-
charge à moteur électrique.

Un des modèles très utilisés est du type mobile, placé sur deux roues, ce qui lui permet
d'être tracté. Commandé par un moteur thermique, le treuil actionne le câble qui tire un
plateau guidé par un mât type échelle

3-Machine de béton.
Description de la pompe à béton sur remorque :
La pompe à béton sur remorque adopte un moteur diesel à économie d'énergie. Elle peut
économiser jusqu'à 20% d'énergie. Grâce à l'utilisation du système de direction à tension
hydraulique, la pureté de son gasoil est bonne, la température de ce dernier est basse et les
chocs émanant de la direction sont faibles.
Pompe à béton sur remorque

Description de la pompe à béton sur remorque :


La pompe à béton sur remorque est équipée avec un châssis importé qui est léger
et économe en énergie. L'alimentation d'eau est transportée par la pression d'air.
Cette pompe à béton sur remorque est dotée d'un réservoir d'eau de grand volume.
Le système de tranchage est sûr
Flèche de distribution HG41B

Description de la flèche de distribution HG41B :


Le dispositif de direction est à freinage normalement fermé. C'est à dire que le
dispositif de direction est fermé et que la flèche ne peut pas tourner sauf à
condition que le moteur de direction soie lubrifié. Elle dispose de deux méthodes
d'opération : télécommande sans fil et télécommande filaire. Cette flèche de
distribution est dotée de nombreux dispositifs de sécurité afin
Camion malaxeur de béton

Description du camion malaxeur de béton :


Le camion malaxeur de béton adopte un châssis importé qui est léger et économe
en énergie. Les pièces hydrauliques sont toutes importées, elles sont fiables et
commodes. L'alimentation en eau s'effectue par pression d'air. Le réservoir d'eau à
pression est de grand volume et il est facile à nettoyé. Ce camion malaxeur de
béton est équipé d'un bidon malaxeur en acier à haute ..

.
1. Description du malaxeur de béton JS2000 :
Le malaxeur de béton JS2000 est doté d'une structure raisonnable. Il est
commode, fiable et efficient. Il se distingue par son temps de malaxage
court, sa vitesse de décharge rapide, sa consommation d'énergie basse et son
bruit faible. Ce malaxeur de béton JS2000 convient à de nombreux
domaines. Il peut non seulement malaxer le béton flexible et le béton dur,
mais aussi ...

Description de la centrale à béton HZS120 :


La centrale à béton HZS120 est un équipement d'enrobage de haute fonction pour
le béton. C'est un équipement de nouvelle génération qui a été dessiné avec soin et
précision. Elle adopte un design modulé qui est facile à déplacer et installer. Les
pièces pneumatiques sont toutes de marques étrangères réputées. Cela assure la
fiabilité et la sûreté de la centrale à béton.
Centrale d'enrobage pour asphalte

4 Centrale d'enrobage pour asphalte

Description de la centrale d'enrobage pour asphalte :


La centrale d'enrobage pour asphalte adopte une structure raisonnable
afin de faciliter la circulation sur le chantier. Son design modulé et la
structure des connexions améliorée selon les conditions des chantiers
permettent un déplacement de cette centrale d'enrobage pour asphalte
rapide et une installation simple. La jauge et les moyens de contrôle
améliorés sont de haute précision et sont très efficients. Ils sont
conformes aux standards internationaux. .
..

Vous aimerez peut-être aussi