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Objectifs
1. Introduction
5. Un déterminisme complexe
6. Références
7. Terminologie
8. Résumé
a. Introduction
b. Théorie cognitive
Cette théorie met en avant le fait que des idées négatives (sur soi, sur
l’environnement) peuvent avoir valeur de facteurs dépressogènes. Ainsi
existerait-il des sujets ayant des schémas de pensées trop systématiquement
pessimistes qu’il convient de rééduquer: en les repérant et en apprenant a les
corriger. Cette théorie est surtout validée par l’efficacité des thérapies cognitives
dans les formes dépressives d’intensité modérée.
a. Hypothèse monoaminergique
Chez les patients déprimés par rapport à des sujets sains, l’amygdale est
non seulement plus active au repos, mais également plus activée lors du
traitement de stimuli émotionnels négatifs. Cette hyperactivation de l’amygdale
c. Neurogenèse hippocampique
d. Hypothèse inflammatoire
D’autres recherches ont exploré les rôles potentiels des cytokines. Les
symptômes de syndrome dépressif majeur sont assez proches de ceux retrouvés
dans le comportement d’un malade qui répondrait en luttant contre une
dépression. Ceci induit la possibilité que la dépression puisse résulter d’une
manifestation de mauvaise adaptation à un comportement de maladie causé par
des anomalies dans les cytokines circulantes. L’implication des cytokines pro-
inflammatoire dans la dépression est fortement suggère par une méta-analyse qui
montre que les concentrations en IL-6 et en TNF-α sont plus hautes chez les
sujets atteints de dépression que chez les sujets sains. Ces anomalies
immunologiques pourraient causer un excès de production de prostaglandine E2
et probablement une expression excessive de COX-2.
(b) La génétique
Il existe plus qu’un gène de la dépression. Le terrain génétique a
une influence dans le déterminisme de ces maladies:
Chez les jumeaux monozygotes (ou vrais jumeaux): lorsque l’un est
atteint, la probabilité que l’autre le soit également est de 50%.
Figure 2
Figure 3
Figure 4
5. Un déterminisme complexe
Un point à retenir:
6. Terminologie
7. Références
8. Résumé
S'il existe d'une part une relation entre un niveau élevé de facteurs de
stress et le déclenchement d'une dépression, cette dépression peut évoluer sans
un déclencheur.
Très important à noter, c'est que d'autres maladies psychiatriques tels que
le trouble schizophrénique ou le trouble obsessionnel compulsif peuvent aussi
donner lieu à une dépression. Certains troubles de personnalités sont susceptibles
de rupture dépressive avec risque suicidaire.